Ne tirez pas sur les Belles-Mères…
S’il y en a quelques grincheuses
D’autres acariâtres ou bien chiantes
Pour la plupart elles sont charmantes
Et souvent même délicieuses
Quand elles se livrent à la bamboche
Pour peu qu’on les ait dans la poche.
Nous lui avons fauché sa fille
Et sans doute un peu sa jeunesse
Alors jalouse elle nous défie
A la recherche de tendresses.
Le vieux est là qui n’en peut plus
Et le beau-fils est bien venu.
Car on sait que jeune monture
Est un régal pour les matures.
Et qu’à ne tiennent les années
Madame a encore du poignet
Pour s’occuper d’un marjolin
Sans que ça fasse un gros chagrin
À sa fille qui comprend bien
Que sa maman a des besoins
Et que la chose n’est pas un crime
Vu qu’elle a l’âme magnanime.
La robe de chambre qui s’entrouvre
Et Belle-maman que l’on découvre
A moitié nue devant sa glace
Sans que soucis cela lui fasse !
On a bien vite fait de comprendre
Que la bourgeoise prête à se rendre
N’attend plus que le bon moment
De recevoir des compliments
Et un peu de rentre-dedans
De la part de son jeune amant.
Ne tirez pas sur la Belle- mère.
Plutôt faites en votre affaire.
Elle est à l’âge où le métier
Lui a limé bien le dentier.
Si votre main dans le panier
Trouve l’endroit trop évasé
Il se peut bien qu’à l’opposé
Dame réclame votre pitié.
Ne tirez pas sur la Belle-mère.
Sauf si au cul ça peut lui plaire.
Tant il est vrai que même bigote,
Elle ne veut pas mourir idiote.
Et si lui vient la belle idée
Un jour de se faire débrider,
Le vieux alors l’ayant trop molle
Vous êtes là pour le beau rôle.
Sans doute à se faire tourmenter,
La vieille va un peu crier
Tant le p’tit trou s’est resserré.
Mais dans la vie il faut savoir
Choisir la paix ou le foutoir
Ou alors s’en aller chier.
Ce que ne font jamais ces Dames
A l’âge du retour de flamme.
Car elles jouissent les cochonnes
Bien plus que quand on les enconne.
Et si l’anus un peu bougonne
Très vite ensuite elles s’en tamponnent,
Car après tout, un bel outrage
C’est l’apanage de leur âge.
N’engrossez pas votre belle-mère
C’est pas sérieux, ça fait vulgaire.
Faites la chose à votre Dame
Ce qui lui laisse tout un programme
Pour se détendre après les couches.
Et payez-vous quelques cartouches
Sur le giron de grand ‘maman
Tant bouleversée par l’évènement.
Alors compris…ne tirez-pas
Sur Belle-maman, ça ne se fait pas !
Cajolez-la, maîtrisez-la.
De la vigueur de ci de là
C’est quelque chose qui lui va
Mais surtout ne l’abîmez pas.
Ravigotez-lui le baron*
Si ce n’est du filet mignon
C’est quand même un morceau de choix
Et source de fameux émois
Pour qui sait d’une tripotée
En assouplir la tendreté.
Les Belles-mères sont débrouillardes
Qui savent soulager leur fille
Quand côté cul elle est flemmarde,
En dégorgeant du cher beau-fils
Les grosses burnes bourrées de sève
Face à ce cul qui fait la grève.
16.01.2020
*Baron d’agneau cuit à la broche…humm !
Par contre il est permis de tirer la belle-mère 😉
(Mais attention elles ne sont pas toutes tirables)