Mes expériences mouillées
par Mondoi
Je m’appelle Ophélie, j’ai trente cinq ans, et j’assume totalement maintenant, mes envies de pipi culotte et autres délire mouillés.
Pourtant, comme toutes les filles et femmes, j’ai longtemps été gênée par mes petites fuites involontaires, la peur que cela ce voit, de se faire gronder, la peur des odeurs, des taches sur les pantalons ou les coulées sur les collants, la peur d’être moquée, c’était une vraie hantise.
Pendant mes masturbations d’ado, il m’arrivait d’expulser un liquide aussi mais qui sentait moins fort et j’ai aimé cela dès les premières fois, j’avais un conflit en moi, la honte du slip mouillé d’urine et le bonheur de la jouissance mouillée, c’est une amie en camp de vacances qui m’a libérée de mes gênes en m’initiant aux plaisirs uros.
Pendant une excursion en montagne, nous avons été prises toutes les deux d’une envie pressante et sommes allées nous cacher dans la forêt pour faire notre petit besoin, c’était la première fois que je faisais pipi devant une autre fille et que je la regardais faire aussi car elle s’était accroupie en face de moi, elle regardait ma vulve et moi j’ai baissé les yeux, du coup j’ai vu la sienne, poilue et entrouverte avec ses petites lèvres qui pendaient, ça m’a donné un coup au cœur, j’ai trouvé cela joli, elle s’est mise à faire pipi et je ne pouvais plus m’empêcher de regarder le liquide qui sortait de son sexe, moi je me retenais encore, gênée de faire devant elle, elle m’a dit,
– Laisse-toi aller, ça va venir, tu veux que je t’aide ?
Je ne savais pas qu’on pouvait aider quelqu’un à faire et comment, je lui ai dis:
– Tu sais faire ça toi ?
– Oui, entre-autre, m’a t’elle répondue.
Elle est venue s’accroupir à côté de moi, a finie de pisser et m’a passée une main entre les cuisses, j’ai sentis que je mouillais déjà car ses doigts on glissés facilement entre mes petites lèvres et elle s’est mise à me frotter le clitoris vigoureusement, par moment son doigt descendait sur mon méat urinaire pour le titiller et il remontait astiquer mon bouton d’amour, je n’ai pas été longue à sentir le plaisir monter mais aussi la douce brulure qui signale l’arrivée de l’urine, je n’ai pas pu me retenir et je lui ai fais sur les doigts et la main, elle semblait apprécier car elle à laissée sa main qui me masturbait en me disant des mots gentils.
– Voila… c’est bien… continue… hummm… c’est chaud… tu sens bon…. prends ton temps,
J’ai eu un orgasme aux sensations inconnues, j’était sur un nuage et je ne l’ai pas repoussée quand elle m’a embrassée sur la bouche, dans le léger brouillard de l’émotion qui modifiait ma vision comme dans un rêve, je l’ai vue porter ses doigts à sa bouche pour goutter à ma miction, cela m’a bouleversée, je ne savais pas que des femmes pouvaient aimer faire cela, moi qui avais tant souffert de mes appréhensions de culottes souillée et odorantes, quand elle m’a tendue ses doigts pour que je les lèche à mon tour, je n’ai eu que quelques secondes d’hésitation, elle l’avait fait, je pouvais le faire, après tout, c’était mon pipi, j’ai sucé ses doigts.
Pas de gout désagréable, pas d’odeur repoussante, j’ai avalé mes premières gouttes de pipi et nous nous sommes encore embrassées sur la bouche, elle m’a prit la main et l’a guidée vers sa vulve, me faisant comprendre qu’elle avait envie de caresses, je lui ai fais comme pour moi, elle était trempée, je l’ai masturbée et elle a jouis dans ma main, prise d’un élan de folie, j’ai aussi léché mes doigts pour la goutter, saveurs intimes, parfums de femmes, j’ai aimé ce moment où toutes mes barrières s’affaissaient une à une, je découvrais le plaisir entre filles en même temps que mes hontes sur le pipi disparaissaient, une révélation éblouissante.
Nous ne nous quittions plus, chaque moment de liberté était voué à notre amour pour les caresses et les jeux de pipi, elle m’a fait tout lui faire et elle m’a tout fait, le meilleur je crois, était nos soixante neuf endiablés dans la mousse des sous-bois, moi ou elle dessus, chacune notre tour, à jouir sous la bouche, la langue et les doigts de l’autre et finissant par une miction dans la bouche, pendant les excursions, nous faisions le concours idiot de la culotte la plus souillée, la plus trempée, de celle qui l’a garderait le plus longtemps, nous tournions autours des garçons pour voir s’ils sentaient quelques chose, de vraies cochonnes.
Pendant une de ces ballades, elle m’a fait comprendre, en s’éloignant avec un mono, de la suivre discrètement à distance, je les ai suivis dans le sous-bois, à bonne distance, et là, j’ai vu ma copine ouvrir la braguette du mec et en sortir une verge presque dure qu’elle s’est mise dans la bouche, agenouillée à ses pieds, j’ai été triste sur le moment car je ne savais pas qu’elle aimait les garçons, je la voulais pour moi toute seule mais comme je n’avais jamais vu une femme faire une telle chose, la curiosité l’a emportée sur la jalousie et j’ai regardé mon amie sucer un homme, elle bougeait son visage d’avant en arrière avec les lèvres en anneau autour du gros sexe, le gars la tenait par les cheveux et donnait des mouvements avec sa main, parfois ma copine enlevait la verge de sa bouche et descendait plus bas lui embrasser les boules, c’était donc comme cela qu’il fallait faire pour que jouisse les hommes, en effet, au bout de plusieurs minutes, j’ai vu que le mono bougeait plus vite les hanches, il s’est reculé et une giclée de liquide blanchâtre a aspergé le visage de ma copine, je voyais du sperme pour la première fois en vrai, mon amie devait en avoir reçue dans la bouche aussi car il s’en écoulait de ses lèvres, elle s’est relevée pour l’embrasser et il a dû en avoir dans la bouche, bien fait, à moins qu’il aime ça.
Le gars avait toujours le sexe à l’air et mon amie jouait avec, il avait ramollit et diminué de taille, je me demandais ce qu’il attendaient, j’ai compris quand le mono a commencé à pisser, de suite ma copine a reprit les choses en main en dirigeant le jet, puis elle s’est penchée pour en boire et s’asperger le visage en se masturbant à travers son short, une vraie truie, qui me donnait envie de baiser, j’ai la chatte en feu, la culotte trempée, je me suis faite un doigté en la regardant boire le pipi du gars, quand elle m’a rejoint après, elle sentait le sperme et la pisse et elle était contente, elle avait prit son pied comme cela, elle m’a conseillée d’essayer, ce que j’ai fais quelques jours plus tard avec un mec qui me tournait autour mais je ne voulais le pas sucé, je lui ai juste tenue son truc pendant qu’il faisait pipi, ça a eu du mal à venir parce qu’il bandait, ma copine m’avait expliquée que ça pouvait arriver et que pour le faire débander, j’avais qu’a lui mettre un doigt dans les fesses, les mecs aiment pas ça, pas comme moi, ce que j’ai fais, pas de bol, j’ai du tomber sur un cas, il aimait ça, il bandait encore plus, j’ai finie par céder et le prendre dans ma bouche, lui par contre avait un gout et une odeur, pas comme ma copine, il a baisé ma bouche, je n’ai rien eu d’autre à faire que bouger mon index dans son anus, il s’est vidé en moi, sur mon palais et dans ma gorge, une grosse quantité, j’ai tout avalé, le gout de son sperme était agréable, j’ai attendu un peu en lui tripotant les couilles et il s’est mit à uriner, là aussi j’ai avalé et je me suis faite arroser, j’en ai profitée pour faire sous moi, dans ma culotte et pas seulement pipi, j’avais sentie l’envie venir en le suçant et je m’étais retenue, mais je voulais être plus folle que mon amie et la surprendre, j’ai fais caca dans ma culotte pendant que le mec me pissait dessus, j’ai jouis comme cela, quand la chose m’a déchirée le sphincter et s’est étalée entre mes fesses, comme si on me sodomisait de l’intérieur, il n’a rien vu, rien senti, rien entendu.
Quand j’ai retrouvé mon amie, elle nous avait espionnée et savait tout, sauf pour la surprise qui me collait chaudement aux fesses, elle l’a trouvée quand elle m’a passée une main dans le slip pour mesurer l’état de mon émoi, elle a écarquillée les yeux de surprise puis s’est lovée contre moi pour me chuchoter des reproches teintés de jalousie.
– Petite sale… tu as fais cela sans moi…. tu aurais pus te retenir pour me faire plaisir;
– Ne t’inquiète pas…. il y en aura d’autres…. des plus gros même…. rien que pour toi.
– Hummm…. attends… je ne vais pas te laisser seule dans cet état… Hannn… je fais pareil que toi… hummm.
Elle était en train de faire dans sa culotte en marchant, serrée contre moi, le l’ai entendue lâcher un pet, elle était toute rouge à force de pousser, de l’urine s’est mise à couler le long de ses jambes, j’ai passé une main sur ses fesses, une masse chaude et molle tapissait le fond de sa culotte, je l’ai écrasée de la paume, elle m’a sourie, nous étions heureuses.
Amusant même si le final scato fait un peu rajouti