Mémoire d’un couple coquin 1 – La rencontre par André_d’Ambre

Mémoire d’un couple coquin
1 – La rencontre
par Andre d Ambre


Chapitre 1 : La rencontre
Agnès

1992, j’avais 19 ans, j’avais été invité par Agnès une copine de lycée qui fêtait son anniversaire, ses 18 ans. Elle avait des cheveux longs châtain clair, une taille conséquente, sans être obèse ainsi que des seins qui faisaient fantasmer tous les mecs de ma classe.

Nous étions donnés tous rendez-vous à 17 heures chez elle le samedi pour préparer la salle à manger ou le jardin de ces parents en fonction de la météo. J’étais venu en transport en commun, je n’avais pas encore à l’époque mon permis de conduire ni de voiture. Certain avait fait du covoiturage pour venir d’autre avait un parent qui les avait déposés. Il faut dire que nous étions dans une zone de banlieue assez mal desservie par les transports en commun ce qui complexifiait l’aller, mais aussi le retour.

J’avais prévu de rester le soir dormir et de repartir le dimanche matin avec les quelques bus qui parcourent la ville le dimanche. J’avais donc prévu un sac à dos avec pyjama et change.

Les préparatifs de la fête aller bon train, rigolade, ambiance détendus, nous étions en fin d’année et le plus gros des programmes étaient passé, ce qui se ressentait sur notre moral. De plus, Agnès avait la réputation de faire des fêtes du tonnerre ce qui ravissait tout le monde. Nous avions prévu, en ce début du mois de juin de faire une bonne partie de la soirée dans le jardin attenante à la maison. D’autant que la météo prévoyait une soirée douce et agréable.

Une fois les préparatifs finis, nous sommes passés naturellement et sans transition à l’apéro. Le père et la mère d’Agnès étaient là aussi pour participer à la fête. Un peu d’alcool sur la table, pastis, vin cuit, porto, pour nous à peine sortie de l’adolescence c’était vraiment l’occasion de boire un peu, mais avec modération.

Un peu plus tard dans la soirée, il y a eu les cadeaux, en liste, peluche Hello Kitty, fer à friser, boite de préservatif avec des goûts différents, photo souvenir prise en cour, etc.

Vers 1 h du matin, les premiers collègues de classe commençaient à partir, ayant prévu avec les parents de dormir sur place, je filais un coup de main pour débarrasser la table dans le jardin.

Les parents vont assez vite se coucher une fois la table débarrassée. Sans me donner d’instruction de savoir où est-ce que je dors ? Agnès, tous les convives partis vient me voir, je suis assis dans le canapé un petit peu saoul, je chasse les vapeurs d’alcool qui me reste du repas. Elle me dit que je vais dormir dans sa chambre, elle a, pour les copines, un matelas gonflable et 3 couvertures, ce qui devrait suffire pour m’assurer une nuit de sommeil agréable.

Je rentre alors dans la chambre d’Agnès, une chambre suffisamment grande pour accueillir un lit 2 places et un matelas au sol. Je découvre qu’elle a aussi sa propre salle de bain et ces WC personnelles. C’est cool quand même d’habiter dans une grande maison. Elle sort de la penderie le fameux matelas et un petit gonfleur. Elle me dit qu’elle va se prendre une douche et se mettre en pyjama et que si j’ai envie je peux faire de même. Je gonfle donc, le matelasse rapidement puis installe les couvertures. Pendant ce temps j’entends l’eau de la douche couler. Elle ressort quelques minutes plus tard dans un pyjama rose pastel à bouton. Je remarque de suite qu’elle n’a plus de soutien-gorge. Elle me sourit et se mets au lit. Elle me dit :

– Tu peux y aller et n’oublie pas de rincer le bac de douche.

Je rentre alors dans sa salle de bain personnelle. Je me déshabille puis rentre sous la douche, la porte vitrée ferme, j’ouvre le robinet et commence à sentir l’eau chaude coulé sur mon corps. Et là entre les bruits d’eau j’entends la porte s’ouvrir. Elle me dit, pas de panique, j’ai oublié un truc dans le tiroir du lavabo. Puis elle ressort quasiment aussitôt.

Fin de la douche, je sors du bac, nue et je rince le bac. Je découvre avec stupeur que j’ai oublié ma serviette de bain pour me sécher. Je passe donc la tête par la porte et demande où les serviettes sèches se trouvent. La belle Agnès est déjà au lit, elle lit un magazine avec juste la lampe de chevet allumé, elle me dit de regarder dans le tiroir à droite.

Une fois sec, je passe mon pyjama et sors de la pièce. Elle est toujours là sur son lit. Je m’assois sur son lit et lui demande si elle veut discuter. Elle me regarde alors droit dans les yeux et me dis :

– J’ai un peu envie de dormir, mais si tu veux on peut discuter. Allonge-toi à côté de moi on va discuter.

Je m’allonge donc du côté droit. Elle ferme la lumière. Je ne vois donc quasiment plus rien. Elle commence à me parler de l’avenir et de ce quelle veut faire après le bac. Je l’écoute, elle a des petits et de grands projets pour le futur.

Puis, je ne sais pas comment, elle m’embrasse, sans prévenir. Ces lèvres chaudes touchent mes lèvres, elle commence à ouvrir sa bouche et sa langue joue avec la mienne. Je me laisse faire, puis une fois l’effet de surprise passé, je l’embrasse à mon tour sans un mot.

Je suis au-dessus d’elle, elle se livre à mes caresses sans résistance. Je l’embrasse longuement, en laissant courir mes mains sur ces bras, puis ces hanches. Une érection commence à se faire ressentir, elle doit le sentir aussi parce qu’elle commence à me rendre mes caresses. Elle s’attarde sur mes fesses, elle me caresse savamment, ce qui décuple mes sensations.

Je reprends les choses en mains, je change de position pour lui caresser ces seins si beaux. Je déboutonne son pyjama petit à petit et je laisse mes doigts courir le long de la courbure de ces jolies dunes. Je sollicite ces tétons tout d’abord d’un index moqueur puis d’une langue coquine. Elle gémit de plaisir, elle a l’air d’aimer ça. Je m’enhardis alors, laissant ma main droite descendre vers son entre jambes, je la caresse au-dessus de son pyjama. Je découvre qu’elle a gardé une culotte en dessous de son pantalon. Je reste cependant pour l’instant au-dessus du tissu. Pendant de longues minutes, elle ne réagit pas à mes caresses autrement que par des soupirs et une respiration qui s’accélère. Mais elle ne bouge pas, puis je sens une main se poser sur mon érection. Toujours au-dessus du tissu.

Elle trouve mes bourses quelle malaxe lentement, avec précaution et tendresse. J’adore cette sensation. Je m’abandonne alors totalement à ces caresses délicieuses. Je me laisse aller sur le dos, elle se redresse et je sens qu’elle m’enlève le pantalon pour libérer mon sexe érigé. Je me laisse faire, n’osant pas dire quoi que ce soit pour ne pas faire fuir cet instant magique que je suis en train de vivre.

Sa main chaude commence à me masturber avec lenteur, son autre main me prend les couilles avec délicatesse. Elle va très très lentement, comme si elle avait envie juste de me faire mourir de plaisir, mais surtout de ne pas me faire jouir. Puis, je sens ces lèvres sur le haut de mon gland, sa langue passe et repasse sur ma corolle, je gémis de plaisir. Je sens venir l’éjaculation, je tente de la prévenir que je vais craquer. Elle s’arrête alors pour me dire, j’ai envie que tu jouisses comme tu m’as fait jouir toute à l’heure. Je reprends alors les choses en mains. Je bascule sur elle et je l’embrasse, je lui glisse à l’oreille, tu n’as pas encore tous vue. Puis, je lui fais glisser son pantalon de pyjama avec la main gauche. Je me retrouve sur les genoux et elle sur le dos, je regarde dans le noir sa culotte blanche en coton qui montre des signes d’humidité caractéristique. Je sens enfin son intimité, odeur qui n’existe encore plus. Je lui retire enfin sa culotte dernière frontière entre ma langue et son sexe.

Je plonge alors ma langue sur sa vulve, en mémorise tous les détaillent, les grandes lèvres charnues et un peu poilues, ces petites lèvres lise, son clitoris dur et surtout sa cyprine légèrement sucrée et au goût délicieux et parfumé. Elle lève les jambes pour mieux me laisser atteindre son sexe, je devine son anus sur des coups de langue en bas de son sexe. Elle gémit de plus en plus fort maintenant, en effet, elle n’avait pas encore tout senti. Je laisse un doigt explorer son intimité. Je continue de lécher sa petite vulve, qui se contracte et se décontracte rapidement. J’observe dans le noir son anus qui lui aussi se fronce en fonction de mes coups de langue sur son clitoris, de plus en plus dur à mesure que le temps passe.

Elle me dit au bout d’un moment d’arrêter. Elle reste essoufflée sur le lit. Je m’allonge à ces côtés, j’en profite pour enlever le haut de mon pyjama. Elle ouvre alors le tiroir de sa table de chevet et prend un préservatif qu’elle me déroule sur mon sexe. Puis, elle monte sur moi et je sens ma verge la pénétrer sans effort. Elle mouille abondamment et son sexe est très doux. Elle commence à faire des allers-retours puis se penche, je laisse mes mains jouées sur ces fesses tout en assurant les va-et-vient avec mes hanches. Je lui caresse sa raie des fesses sans trop y penser et retombe sur son anus, que je pétris du bout du doigt. Elle a l’air d’apprécier parce qu’elle commence à aller de plus en plus vite sur mon sexe. Brutalement, je jouis, l’éjaculation m’a littéralement pris par surprise. Le sperme explose littéralement, je suis terrassé de jouissance. Je crois que je pousse un petit cri en plus. Elle s’écroule alors sur moi, je sens mon sexe se ramollir alors que je suis toujours dans son antre. Nous finissons par nous endormir comme des amants.

Le lendemain matin, nous nous réveillons vers six heures, nous nous sommes endormis dans les draps, je suis toute nue et elle aussi. Elle m’embrasse pour me dire bonjour puis commence à me caresser les pectoraux. Puis elle va sous les draps pour gober goulument mon sexe. Je cherche sa vulve à tâtons et commence à la masser. Elle accéléré le rythme à mesure que mes doigts joue avec son clitoris. Elle me fait une fellation vraiment poussée. Elle commence à sentir que je vais jouir, elle stoppe donc pour remonter de dessous les draps. Je reprendre le dessus, elle est à 4 pattes sur le lit, je me glisse donc derrière elle, j’admire son cul, sa vulve large, son anus et je plonge alors ma langue dans son intimité.

Mon index lubrifié lui malaxe l’anus pendant que ma langue lui lèche ces grandes et petites lèvres. Mystère de la lubrification, mais mon index pénètre son petit cul sans prévenir, j’en reste surpris quelques secondes, mais j’entame un va-et-vient dans son conduit. Elle commence à gémir. Je me redresse alors, toujours un doigt dans son fondement, et la pénètre en levrette, cette fois sans pensé à mettre de préservatif. Je fais des va-et-vient rapides. Elle me dit alors, ne jouit pas en moi. Je vais jusqu’à la limite, je m’arrête et là. Elle se retourne, je reste dans cette position, le sexe tendu et à genou. Elle me reprend dans sa bouche, elle me caresse les couilles pendant que sa langue joue sur mon méat. Je n’en peux bientôt plus et je lui dis que je vais jouir si elle continus.

Elle ne s’arrête pourtant pas, j’ai peur de souiller sa bouche, mais ces caresses expertes, l’effet de succions de sa bouche est plus fort que tous, je lâche alors toute ma semence dans cet antre impudique, inondant de sperme sa gorge chaude. Elle ne lâche pas mon gland tant que je n’ai pas fini de jouir. Une sensation de plénitude me submerge, je suis bien là, le sexe dans cette bouche, vidé et au bord de l’évanouissement.

Je m’écroule à nouveau dans son lit. Comme je voudrai que cette journée n’ait jamais eu de fin.

A suivre

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