Mamie déprime – 7 – par mlle_heleneD

Mamie déprime – 7 – par mlle_heleneD

Michelle vint le dimanche suivant, Thomas sortant à nouveau avec ses copains. Le baiser remplaça la bise mais la façon dont Valérie enlaçait sa mère laissait Eric perplexe. Toutefois, le trio ne se gênait plus pour se caresser. Surtout Valérie. Sitôt le café bu, il se rendit dans la chambre. Michelle et Valérie se lancèrent dans une fellation en duo. Puis Eric prépara Michelle avec sa langue tandis qu’elle mélangeait la sienne avec celle de sa fille. Eric avait déjà joui deux fois dans le ventre de Michelle. Cette fois, il la besognait, les jambes calées sur ses épaules, Valérie assise sur son visage.

Soudain, Valérie se figea.

– Merde ! s’exclama-t-elle en regardant vers la porte.

Eric tourna la tête et vit Thomas, le visage blême. Valérie descendit du lit et passa un kimono en soie.

– Continuez, je vais lui parler.

Elle ferma la porte de la chambre, prit une grande inspiration et trouva son fils dans sa chambre.

– Pourquoi tu es rentré si tôt.
– On devait faire plein de truc, mais finalement, personne n’était d’accord.

Un silence s’installa.

– Je vais t’expliquer, dit Valérie en s’asseyant sur le bord du lit.

Elle raconta donc comment son père avait couché avec Michelle, comment elle avait gouté au plaisir saphique. Thomas ne fit aucun commentaire, ni ne posa de question. Il regarda sa mère. Elle était belle, joliment maquillé, plus qu’à son habitude. Le kimono cachait le haut de ses cuisses, à la lisière des bas. Les jambes croisées lui donnaient à voir un escarpin aux talons très hauts, très sexy. Même si la porte était fermée, les cris de Michelle parvenaient à ses oreilles. Il posa sa main sur le genou et remonta le long de la cuisse.

– S’il te plait Thomas, non, il ne faut pas. Je suis ta mère.

Elle prononça ces mots tout en sachant pertinemment qu’ils n’avaient aucune valeur. Le  » fais ce que je dis, pas ce que je fais  » ne pouvait pas tenir. Elle ne fit rien pour l’en empêcher. La main abandonna la cuisse pour se glisser dans le décolleté. Valérie se mordit la lèvre lorsque son fils effleura son sein.

Elle se leva brusquement, le kimono grand ouvert sur son corps seulement vêtu de bas tenus pas un serre-taille.

– Rejoins-nous, dit-elle en sortant.

Eric pilonnait sans retenue Michelle qui en demandait plus. Elle embrassa tendrement sa mère et s’allongea sur le lit, en position d’attente. Thomas arriva presque aussitôt, nu, son sexe dressé. Valérie lui adressa un regard, écarta un peu plus ses cuisses dans une invitation silencieuse. Thomas s’allongea sur elle, guida son sexe vers l’entrée et la pénétra maladroitement, sans douceur.

– Doucement, calma gentiment son père. Profite du moment

Thomas obéit, se concentra sur les sensations. Valérie le conseillait.

– Oui mon chéri, dit-elle, comme ça, oui, c’est bien, continue.

Eric et Michelle s’étaient arrêtés et regardaient le fils aimer sa mère. Si Valérie avait découvert des sensations totalement inconnues dans les bras de sa mère, faire l’amour avec son propre fils lui procura un orgasme totalement différent de celui que lui donnait son mari. L’interdit avait une saveur incomparable. Les gémissements se muèrent en petits cris, puis en hurlement de jouissance. Thomas éjacula en elle.

Ils restèrent immobiles pendant un long moment, le temps de calmer les battements de leurs cœurs. Thomas osa se pencher et embrassa sa mère. Elle rendit son baiser sans réticence.

– Tu veux baiser ta Mamie ? demanda Eric.

Thomas hocha la tête.

– Viens, je vais te sucer, dit Michelle.

Thomas se laissa faire. Elle avait beau être sa grand-mère, il la trouvait aussi belle et aussi sexy que sa mère. Et cette langue qui s’enroulait autour de son sexe, de son gland. Absolument divin.

– Viens, dit Michelle en se mettant en position.

Cette fois, Thomas entra plus lentement. Il fit l’amour à sa grand-mère pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que son père demande de prendre le relais. Thomas revint dans le vagin maternel.

– Oh je viens, je viens, grogna Eric
– Donne-nous ton foutre ! gueula Michelle.

Elle se rapprocha du visage de sa fille. Eric se retira vivement et fourra son gland dans la bouche de Michelle. Un premier jet remplit son palais, la suite barra son visage. Thomas ne put résister et fit de même. Les deux femmes se léchèrent mutuellement puis nettoyèrent les queues devant leur nez. A un moment, elles se retrouvèrent ensemble sur le membre encore dur d’Eric, tandis que Thomas avait débandé. A la stupeur du trio, le garçon s’approcha pour prendre sa part et les premiers coups de langues démontrèrent que ce n’était pas la première fois.

– Tu nous expliques ? demanda Eric.

Thomas se posa sur le coin du lit. Valérie et sa mère étaient enlacées comme deux amoureuses.

– Il y a un mois et demi, Enzo m’a annoncé qu’il était gay. Ça a été un choc car je ne n’aurais jamais imaginé que ce soit le cas. Il n’arrêtait pas de parler des filles. Mais c’était justement pour mieux cacher qu’il préférait les garçons. Le deuxième choc, c’est quand il m’a dit qu’il était amoureux de moi. Je n’ai pas su quoi dire. je suis parti sans rien dire. On est resté un moment sans se parler. Mais Enzo, c’est mon meilleur ami, gay ou pas, amoureux de moi ou pas. Alors je suis revenu le voir chez lui et on a parlé. Beaucoup parlé. Avant que je parte, il m’a demandé si j’étais d’accord pour l’embrasser. J’ai dit oui. C’était la première fois que j’embrassais quelqu’un sur la bouche. Quand je suis allé le voir la semaine suivante, j’ai eu un autre choc : Enzo était habillé en fille, genre très sexy, comme vous Maman et Mamie. Il, elle m’a dit que peut-être comme ça, je l’aimerai plus facilement. Elle m’a dit le l’appeler Ambre. Et c’est vrai qu’elle m’a troublée. On s’est embrassé une nouvelle fois. Mais je ne sais pas si c’est de voir mon meilleur ami en fille, son parfum, mais j’ai eu soudain très envie d’elle. On est allé dans sa chambre, on s’est déshabillé. Elle aussi avait mis des dessous sexy tout en dentelle, des bas, des talons hauts. Son string lui faisait un cul d’enfer. J’ai totalement oublié que Ambre était un garçon. Elle m’a fait une fellation puis je l’ai sodomisé. Elle m’a dit que j’étais le premier, même si elle avait des jouets pour se donner du plaisir. Puis elle m’a demandé si j’acceptais de la sucer. Je n’ai pas dit non et j’ai aimé ça. Voilà, on a refait l’amour trois fois depuis.
– Très bien, dit Eric. Si je considère comment tu as fait l’amour à ta mère et ta grand-mère, on peut dire que tu es bi.
– Peut-être. Mais je n’ai pas été sodomisé. Mais je ne serai pas étonnée, si Ambre me le demande.
– Tu savais qu’Enzo s’habillais en fille ? demanda Valérie
– Pas du tout. Elle m’a expliqué qu’elle avait avoué son homosexualité à ses parents très tôt et qu’il l’avait facilement accepté. C’est sa mère qui lui a proposé de s’habiller en fille pour mieux me séduire. Fait croire que ça a marché.
– Tu es amoureux d’elle ? demanda Michelle

Le regard de Thomas se perdit dans le vide.

– Je ne sais pas. Autant Enzo ne m’excite pas qu’Ambre me rend dingue.
– Tu lui as dit ?
– Non.
– Tu devrais, conclut Michelle. Bon, assez parlé. Les garçons, vous seriez prêt pour un dernier round ? J’ai encore envie.
– Tu es vraiment insatiable ! s’exclama Valérie
– Tu n’imagines même pas.

Michelle se pencha vers Eric et goba son sexe mou.

– Viens mon chéri, je vais m’occuper de toi, dit Valérie.
– Je peux t’embrasser ?
– Tout ce que tu veux.
– Maintenant que j’ai deux belles queues à ma disposition, je vais en profiter, dit Michelle jugeant que celle d’Eric était prête. Thomas, allonge-toi sur le dos.

Le garçon obéit. Michelle se débarrassa des talons aiguilles et guida la queue dans son anus. Thomas s’empressa de lui peloter les mamelles. Eric comprit ce qu’elle avait en tête et la pénétra vaginalement.

– Oh putain ! Je jouis déjà ! beugla-t-elle.
– Tu aimes ça, salope ! Tu aimes te faire fourrer par tous les trous, dit Eric
– C’est quoi cette manie de parler !

Valérie regarda sa mère se faire démonter avec un sentiment de jalousie, d’envie. Elle se pencha pour embrasser sa mère, comme pour marquer son territoire, garder une certaine propriété.
Après plusieurs minutes, Eric finit par jouir, Thomas ayant cédé bien plus tôt.

La famille incestueuse se sépara. Michelle gagna la salle de bains pour se refaire une beauté. Thomas la suivit pour aller dans sa chambre mais s’arrêta pour regarder sa grand-mère.

– Je te plais ? demanda-t-elle.
– J’avoue que tu es super bandante.
– Je vois ça, dit-elle en avisant son sexe qui se dressait. Plus ou moins qu’Ambre ?
– Egalité ? répondit Thomas pour ne pas se mouiller. Bon je te laisse. Merci Mamie.
– De rien mon grand.

Michelle embrassa sa famille sur la bouche. Valérie s’accrocha à sa mère plus longtemps que les autres.

A suivre

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8 réponses à Mamie déprime – 7 – par mlle_heleneD

  1. Benoit de Macadamia dit :

    En ces temps de retour de pudibonderie bornée et d’amalgames débiles, ça fait un bien fou de lire ce genre de choses. Merci à l’auteure

  2. Kriss Baxter dit :

    Si je vous disait combien de fois j’ai moi aussi léché la chatte de ma mère, j’en ai encore son merveilleux goût dans la bouche !

  3. Jean-seb dit :

    J’aime les mémés lubriques

  4. Landerneau dit :

    En fait, là elle ne déprime plus ! Lol !

  5. Anne-Abigail dit :

    Quel joli pied de nez à la morale bourgeoise ! Bravo pour ce texte !

  6. Belinda dit :

    Whaou, toute la famille s’y met… Est-ce que le père va enculer son fils ? Suspense ?

  7. Lemoine dit :

    C’est très excitant les familles tuyau de poêle

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