Soubrette de deux jours par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Soubrette de deux jours par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

Dans cette histoire mon pseudo sera Myriam. Mais en vrai je suis Zoé, 35 ans, fausse blonde aux cheveux mi-long. Mes parents m’ont légué l’usufruit de quatre grands appartements dans le Marais. Inutile de vous dire que vu le prix des loyers, je n’ai nul besoin de travailler.

Parlons sexe puisque, vous êtes, chers lectrices et lecteurs, là pour ça. Mon mariage à 18 ans avec un apollon de la plage, con comme la lune a fait long feu. J’avais de grosses tendances lesbiennes et j’ai vécu plus de 10 ans avec une maitresse femme qui m’en a fait voir de toutes les couleurs et qui m’a révélé mes penchants masochistes.

Et un jour elle est partie avec une autre. La salope !

J’ai essayé de retrouver les mêmes relations. Pas si facile et en vieillissant je deviens compliquée.

Et puis un jour sur Internet, une annonce m’a fait fantasmer

« Belle femme autoritaire, cherche femme de ménage ne craignant ni les châtiments corporels, ni les humiliations… »

Moi la petite bourgeoise, allez passer le plumeau chez une autre bourgeoise, voilà qui m’a interpellé.

Je prend contact, tombe sur ce que je pense être la secrétaire de madame.

– Je ne réponds qu’aux questions pratiques, me dit-elle. Horaires, salaire. Pour le reste c’est à voir sur place. Mais envoyez-nous une photo de votre visage et de votre silhouette…
– Habillée ?
– Comme vous voulez.

Après réception des photos, on m’a fourni l’adresse et donné rendez-vous. Et le jour venu, c’est une grande rousse habillée en soubrette d’opérette qui me fit entrer dans cette villa cossue de l’ouest parisien.

– Je suis Myriam, j’ai rendez-vous avec Madame de Chatenfeu…
– C’est pour le poste de soubrette ?

Question idiote, est-ce que j’ai l’air de quelqu’un qui vient relever le compteur du gaz ?

– Oui…
– OK, entre et suis-moi ! Je m’appelle Katia. N’ai pas peur, on ne va pas te manger.

Je la suivis donc jusque dans cette immense pièce où trônait dans un fauteuil « Emmanuelle » une grande femme, entre cinquante et soixante ans, brune coiffée d’un chignon strict, joli visage, teint halé. Elle était vêtue d’une robe noire assez simple, légèrement décolletée et laissant ses belles épaules dénudées. A ses pieds, roupille un grand labrador noir que ma présence semble indifférer.

– La pétasse est arrivée ! Dit simplement la rousse.

Je ne réagis pas à ces paroles volontairement humiliantes, puisque ça devait faire partie du cérémonial.

– Bonjour madame ! Dis-je en faisant une jolie petite courbette.

Elle me dévisage sans aucune gêne, me déshabille du regard.

– Bon, t’es pas mal foutue, T’as une bouche à taller des pipes ! Mais dis-moi : tu as déjà fait ce genre de travail ? Me demande la maîtresse des lieux sans répondre à mon bonjour.
– Oui, mais mon patron n’a pas pu me garder, il a été muté à l’étranger… Inventais-je
– Tu aimes obéir ?
– Oui madame.
– Tu aimes être punie ?
– Oui, madame.
– Tu sais qu’ici tu seras mon jouet, que tu seras humiliée, fouettée…
– Oui ! Je viens pour ça…
– On dit : « Oui, madame ! », pétasse !
– Oui madame !
– T’as des tabous ?
– Non, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres.
– Il y a des choses que tu refuses ?
– Oui, tous les marquages définitifs, tatouages, brulures au fer rouge…
– Ben voyons,, je suppose que tu refuses également qu’on te coupes en rondelles ?

Quel humour à deux balles, je feint un sourire.

– OK, ouvre ta bouche de pute.

Je le fais, et Honorine puisque c’est le nom de la dame, me crache au visage plusieurs fois.

– On dit « merci madame « !
– Merci Madame
– Reprenons, je suppose que la pisse ne te gêne pas ?
– Non pas du tout, Madame, j’adore ça !
– Et la merde ?
– Quand ça reste raisonnable.
– Ça ne veut rien dire ! Tu pratiquais chez tes anciens patrons ?
– Oui Madame, un peu !
– Donne-moi des détails, pétasse !
– Madame me faisait lécher son cul après qu’elle ait fais ses besoins.
– Tu léchais sa merde ?
– Ben oui !
– Donc tu lécheras la mienne ?
– Si tel est votre désir, je lécherai votre merde, Madame !
– Et tu t’es déjà fait sauter par un chien ?
– Ma foi non !
– Et si je t’ordonne de le faire ?
– J’obéirais, Madame.
– OK ! Déshabille-toi entièrement.

J’obtempérais, elle vint près de moi me peloter un sein, puis une fesse.

– Bon, ça devrait aller. Katia va te tester, suis-là… non, non reste à poil.

Je suis donc la rousse qui ouvre une pièce aménagée spécialement pour les jeux entre esclaves et maitresses, un donjon, quoi ! Avec Croix de Saint André, cheval d’arçon, chaines, et étagères occupées par des gadgets multiples et variés.

– Je te préviens, je vais t’en faire baver !
– Attends… Tu vas m’attacher ?

Katia me gifle deux fois de suite.

– Alors deux choses, quand je te punis tu dois me vouvoyer, le reste du temps je m’en fous, sinon, bien sûr que je vais t’attacher.
– Il y a un mot de sécurité ?.
– Oui c’est « balai brosse ». Maintenant tu te mets à genoux.

J’obéis, Katia me serre fortement les tétons du bout de ses doigts.

– T’aimes ça, hein morue ?
– Euh, oui Katia !

Elle s’éloigne de quelques pas afin de prendre deux pinces à seins reliées par un chainette. Et après les avoir fixés sur mes jolis tétons elle me force à avancer en tirant sur la chainette. Ça fait très mal mais je supporte. Elle retourne chercher deux autres pinces, pour mes grandes lèvres cette fois.

Elle me fait faire plusieurs fois le tour de la pièce à quatre pattes, puis me fait me relever et m’attache contre la croix de St André, mon cul face à elle.

Et c’est parti pour une série de coups de cravache qui me mord les chairs, je crie en essayant en vain de retenir mes larmes, mais je supporte.

Je pousse un ouf de soulagement quand elle me détache, mais c’est pour mieux me rattacher, mais de face cette fois-ci.

C’est terrible elle me cingle les seins plusieurs fois, je vais me taper des traces pendant quinze jours à ce rythme-là !

De nouveau elle me détache, et sans que je m’y attende elle me gifle

– Tiens, ça c’est en prime !
– Aïe !
– Tu dois avoir soif ma pauvre bichette !
– Un peu, oui
– On va arranger ça !

Il y avait par terre une écuelle probablement destinée à donner à boire ou à manger au chien, Katia s’accroupit au-dessus (elle n’avait donc pas de culotte) et pisse dedans.

Puis elle revient vers moi, me faire mettre à quatre pattes en me tirant sur la chainette qui réunit mes pinces aux tétons. J’ai compris ce qu’elle voulait que je fasse… mais j’attends qu’elle me le confirme :

– Bois ma pisse ! Non tu ne soulèves pas la gamelle, tu lapes, comme une chienne.

Eh bien moi qui voulait de l’humiliation, je suis servie, ce n’est pas l’uro qui me gêne mais le fait de laper la pisse dans cette position.

Et pendant que je lape sa pisse, elle vient derrière moi et m’introduit sans trop de ménagement un gode dans l’anus.

– Remet toi à genoux, on va faire autre chose.

Elle s’éloigne de quelques pas, appelle quelqu’un sur son téléphone portable, raccroche, va s’assoir et fumer une cigarette en attendant, sans me jeter un seul regard.

A peine 10 minutes plus tard, la porte s’ouvrait, un bonhomme dans la soixantaine fait son apparition, il ne me salue pas et sors sa bite de sa braguette, un bon morceau !

– Allez suce-le et à fond !
– Que je…
– Oui que tu le suces ! T’as quelque chose contre ?
– Non, non !

J’ai eu peur que sa bite ne soit pas nette, mais ça allait, juste un petit arrière-gout de pisse.

Malgré ma trentaine, je n’ai pas sucé tant de bites que ça dans ma vie, mais j’essaie de bien faire. Mais toujours est-il qu’au bout de 10 minutes le monsieur bandait bien mais ne semblait pas prêt de jouir.

– Monsieur Albert, baissez votre pantalon, la pute va nous lécher le trou du cul !

Manquait plus que ça. J’ai déjà léché l’anus de mes copines de lit, mais je n’ai jamais fait de feuille de rose à un homme. Est-ce que je vais être capable de faire ça ?

Petite appréhension mais bon, je lui lèche la rondelle en fermant les yeux, ça aurait pu être pire.

Après quelques mouvements derrière, je repasse devant et le pompe en cadence. Je ne tarde pas à percevoir quelques soubresauts annonçant sa jouissance.

– Tu avales tout ! M’ordonne Katia. Les salopes, ça avale tout !

Ben oui, je suis là pour ça !

On me fait nettoyer la bite du mec afin qu’Il ne reste plus de sperme agglutiné, Il se reculotte et me jette un billet de 20 euros par terre.

20 euros ? Le salaud ! Je veux bien jouer à la pute, mais je vaux quand même plus que ça, non ?

– Vas te reposer cinq minutes sur la canapé, je vais aller dire à Honorine que tu es bonne pour le service.

Encore heureux !

Un quart d’heure plus tard, Katia vint me retrouver, me fixa un collier de chien, muni d’une laisse, autour de mon cou et me conduisit devant la maîtresse du lieu.

– Katia va t’expliquer le travail, comme elle est plus ancienne, tu lui dois entière obéissance, elle aura le droit de te punir et de s’amuser avec toi si ça lui chante, on est bien d’accord ?
– Oui madame !
– Mon fils passe parfois à la maison pour me baiser, tu lui devras obéissance également !
– Oui, Madame !
– Katia, gifle-moi cette pétasse et crache-lui à la gueule, pour qu’elle comprenne bien qu’elle n’est qu’une merde ici !

La rousse me balança un double aller-retour que j’encaissais sans broncher, puis me cracha dessus !

– Ouvre la bouche ! Pétasse !

Je reçus la salive de Katia au fond du palais et la déglutit.

– Qu’est qu’on dit !
– Heu ! Merci ?
– Et maintenant que tu m’a bien excité, tu va me sucer la chatte.

Voilà qui n’est pas un problème, je me mis en position et pointait ma petite langue agile sur son minou tout humide. Je procédais par longs mouvements effleurant à chaque fois son clitoris gonflé d’excitation. En même temps mes doigts s’aventuraient sur ses tétons que je faisais rouler.

Quand sa respiration devint saccadée, je lui donnais le coup de grâce en titillant son clito de l’extrémité de ma langue. Elle prit son pied mais manifestement s’empêcha de crier.

– Faudrait pas que l’autre folle m’entende ! Commentât-elle en se redressant

Katia n’était pas méchante, elle m’expliqua le travail et tous les détails de la maison. Effectivement il y avait du travail, la maison était immense.

– Si tu es un vraiment maso, que tu aimes les femmes et le sexe tu ne devrais pas être malheureuse ici ! Mais tu vas voir au début Honorine va-t’en faire voir de toutes les couleurs.
– C’est qui, Honorine ?
– C’est le prénom de la patronne !
– Elle vit toute seule ?
– Oui, en fait, elle est rentière, elle doit avoir pas mal d’immeubles, et tout ça est géré à l’extérieur. Pour s’occuper, elle fait de la sculpture, c’est d’ailleurs affreux, mais ce n’est pas la peine de lui dire. Elle reste parfois des heures entières dans son atelier, pendant ce temps-là elle nous fout la paix. Et puis quand ça lui prend, il faut se farcir ses séances de domination. Elle reçoit parfois des copines, des vielles salopes, surtout une…

Katia me choisit ensuite une tenue de soubrette à ma taille, très décolletée en haut et très raccourci en bas.

J’ai ensuite vaqué à des occupations exclusivement domestiques, il fallait aider la rousse Katia à faire le ménage et il y avait pas mal de repassage en retard.

Je suis rentré à la maison vers 18 heures, plutôt satisfaite de cette première journée… Ce n’est que le lendemain que les choses sont devenues un peu plus hard.

Je n’avais pratiquement pas croisé Miss Honorine de la matinée à l’exception d’un petit bonjour que j’avais trouvé bien malicieux, quand celle-ci m’appela en début d’après-midi. Elle s’était habillée en haut d’un chemisier crème et d’une jupe de tailleur pied de poule. Très classe !

– Viens devant moi, poufiasse !
– Oui, madame !

Elle se lève alors, se met devant moi et commence à trifouiller dans mon décolleté de soubrette, en extrait le haut de mes seins et se met à me pincer les bouts entre ses doigts.

– Tourne-toi maintenant !

Une fessée suivie d’une autre plus forte atterrit sur mon cul !

– Mets-toi à poil, ce sera plus pratique pour la suite !
– Bien madame
– Maintenant je veux que tu me déshabilles. Tu vas faire ça très lentement, à chaque fois que tu découvriras une partie de mon corps, je veux que tu la caresses, que tu l’embrasses, que tu la lèches ! Tu as bien compris conasse ?

– Oui, madame !
– On dit « Oui, madame, la conasse a compris »
– Oui, madame, la conasse a compris !

Puis elle m’ordonna de marcher à quatre pattes.

– Non, pas comme ça, tu ne le fais pas bien, il faut cambrer ton cul !

Et tout en disant cela elle m’asséna un coup de cravache sur les fesses. Elle m’obligea à faire plusieurs tours dans la pièce dans cette position, et bien sûr elle me frappait à chaque fois. Ce petit manège dura une dizaine de minutes et mon cul commençait à chauffer sérieusement.

– Reste comme tu es, on va changer d’endroit !

Elle demande à Katia de nous rejoindre. Nous sommes alors sorties de la pièce et Honorine me conduisit jusqu’aux toilettes !

– Je les ai fait agrandir, elles étaient un petit peu petites pour mes petits jeux…

Il y avait une vraie toilette bien classique mais aussi une autre qui l’était beaucoup moins puisqu’il s’agissait en fait d’un simple abattant élégamment monté sur quatre pieds, il n’y avait rien du tout en dessous de ce truc.

– Allez, tu t’allonges, tu passes ta tête là-dessous et tu ouvres bien la bouche. Katia, tu surveilles !

J’ai une vue imprenable sur les intimités de ma patronne, mais je n’ai pas trop le temps de m’y attarder, sa pisse dégouline, j’avale ce que je peux, mais ne peux tout absorber.

– Nettoie-bien avec ta langue !

Je lui lèche sa chatte pleine de pisse. Je me régale, sa pisse est savoureuse.

– Et maintenant je vais chier !

Et dans cette position, elle ne peut que me faire sur le visage. Je n’étais jamais allé aussi loin avec mon ex-copine. Après tout je suis ici pour voir jusqu’où je peux aller mais rien ne m’empêche de laisser tomber l’affaire.

Bien sûr mon côté profondément maso pourrait me faire tenter l’expérience, mais bon si je ne me sens pas prête, je ne me sens pas prête !

– Non pas comme ça ! Me rebiffais-je.
– De quoi ? On se rebelle !
– Je veux bien essayer de faire de la scato, mais je n’ai jamais fait ça. Je ne suis pas contre, mais faut y aller progressivement. Expliquais-je en m’extirpant de ma position.
– Autrement dit, tu me dis ce qu’il faut que je fasse ! Poufiasse !

Bon, ça tourne mal, je ne vais pas rester

– La pouffasse va sa rhabiller et aller voir ailleurs. Répondis-je.
– Non mais quelle petite effrontée ! Qu’en penses-tu Katia ?
– Puis-je suggérer à Madame d’envisager un dressage progressive de la poufiasse.
– T’as raison, les chiennes, ça se dresse ! Alors poufiasse t’es d’accord pour qu’on te dresse ?
– Oui Madame !
– Mais j’espère que tu ne vas pas me fait perdre mon temps, si je vois que ça ne colle pas, je te fous à la porte et tu ne seras pas payé .

N’importe quoi ! Je n’attend pas après l’argent, mais les principes ce sont des principes…

– Non ça ne va pas ! Si vous me virez, il faudra me payer mes gages.
– Mais c’est qu’elle commence à nous emmerder la poufiasse ! Dehors !

Je récupère mes fringues, me rhabille, mais avant de partir je compte bien lui réclamer mes gages de la journée, je n’ai pas fait tout son putain de repassage pour des prunes !

Mais la voilà qui me rejoint…

– Tiens conasse, c’est pour le dédommagement ! Me dit-elle en me tendant une enveloppe. Si tu restes tu seras payée à la journée pendant ta période d’essai.

Je compte les sous dans l’enveloppe ! C’est correct. Je ne lui a pas dit « merci » !

– Tu fais quoi, maintenant , tu te barres ou tu restes ?

Je suis restée, je me suis déshabillée et j’ai attendu les ordres.

– Bon avec tout ça, je n’ai pas chié ! Indique Honorine dans un grand moment de poésie.

Elle ordonne à Katia se s’allonger par terre, elle ne sert pas de la chaise percée, je comprends pourquoi : elle veut m’en foutre plein la vue !

– Tu t’assois là et pour l’instant tu regardes ! Me dit-elle.

Je vois Honorine de dos accroupie au-dessus de Katia. Son anus s’ouvre et ne tarde pas à dégager un petit étron qui grandit pour devenir boudin, se baisse et dégringole sur le visage de Katia qui ne fait aucun geste pour s’en débarrasser.

– Commentaires ? Me demande Honorine.
– Votre merde est très belle ! M’entendis-je mentir.

Je retrouvais mes taches ménagères, quand environ une heure plus tard la sonnette d’entrée retentit. Katia me pria d’aller ouvrir.

Un blondinet (décoloré) dans la trentaine.

– T’es nouvelle, toi ! Me balance-t-il sans me saluer !
– Oui, je suis Myriam !
– La daronne est là ?
– Elle est dans son atelier ! Lui répond Katia.
– Ben va lui dire que je suis arrivé, qu’est-ce que tu attends, conasse ?

Honorine s’amène. Elle embrasse le type.

– Qu’est-ce qui t’amène, mon fils ?
– Ben tu m’avais demandé un bouquin, je l’ai trouvé…
– Super, on s’installe un moment dans le salon.
– T’as encore le feu au cul, maman ?
– Quand je te vois, oui !

La mère et le fils s’installent sur le canapé très proches l’un de l’autre, Sammy puisque c’est nom du moutard, débraille sa mère et lui fait ressortir un sein qu’il se met à téter goulument. C’est très excitant de voir ça !

– Myriam au lieu de rester là comme un conne va nous chercher à boire, une vodka à l’orange pour moi et un jus de pomme pour mon enculé de fiston.

J’y vais puis reviens avec les verres sur un plateau.

– Elle est pas mal cette gonzesse, je peux la voir à poil ! Demande Sammy.
– Evidement ! Ben qu’est-ce que t’attend toi la boniche, allez à poil !

Je m’exécute, on me demande de me retourner, de me dandiner, d’ouvrir les cuisses, de me foutre un doigt dans la chatte, je suis devenue une jument à la foire aux bestiaux.

– Elle fait tout ?
– Elle fait pas mal de choses ! Répond Honorine.
– Tu lui as fait sucer le chien ?
– Non pas encore.
– Ça me plairait de la voir faire ça !
– Pas de problème, Katia va chercher le chien !

Et la voilà qui revient avec le toutou, elle le caresse, il se laisse faire, les chiens Ils aiment bien les caresses ! Sa main lui enserre le pénis et après quelques mouvements un cylindre rougeâtre et gluant sort de son fourreau. Impressionnant !

– Allez Myriam fait nous voir comment tu te régales en suçant la bite du chien !
– Moi je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça, faut me montrer !
– Quelle gourdasse ! S’écrie Honorine. Allez Katia assiste-la !

Katia se baisse et sans hésiter une seule seconde embouche la bite du quadrupède.

Ben oui c’est tout con, une fellation reste une fellation sauf que là il s’agit d’un chien. Donc je suce la bestiole, ça ne me fait ni chaud, ni froid, ça ne m’excite pas, ça ne me répugne pas… l’indifférence, quoi !

Pendant ce temps Honorine, complètement désintéressée par le spectacle que je suis censé donner, s’occupe à sucer la bite de son fils..

– Maintenant, met toi en levrette, le chien va te baiser ! Me dit Sammy.

Pas envie… je le ferais sans doute un jour mais ces gens-là m’énervent.

– Je reviens… Dis-je.

Je me refugie dans l’entrée, là où sont posés mes affaires et je me rhabille. Katia déboule.

– Tu fais quoi ?
– Je me barre !
– Tu as tort, c’est le premier jour, c’est normal que ce soit dur, mais ce n’est pas tous les jours comme ça !
– Ah ! Bon et on fait quoi les autres jours ?
– Le ménage, le repassage…
– Super ! Tiens, je te laisse mon adresse, tu diras à ta patronne qu’elle m’envoie un chèque pour ma journée d’aujourd’hui…
– Mais
– Salut ma belle !

Je ne regrette pas mes deux journées, mais j’aurais au moins appris deux choses, faire la soumise avec des gens antipathiques genre Honorine et son rejeton n’a rien d’excitant.

En revanche je ne regrette pas la séance avec la belle Katia, mais s’il faut que je me farcisse une semaine de repassage pour rejouer la scène, merci !

La seconde chose c’est que les séances sado-maso, c’est comme les visites au musée, on est super content d’y avoir été, mais on n’a pas envie d’y retourner de suite.

Et sur ce mes amours, je vous quitte.

AnneAbigail Lemeunier du Chesne

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8 réponses à Soubrette de deux jours par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne

  1. Fed dit :

    Vraiment une superbe histoire, bravo.

  2. Honorine dit :

    J’ai quand même trouvé ça très mécanique, très catalogue ! La conclusion est néanmoins interessante

  3. Félicia dit :

    J’ai adoré, il y a des passages très chauds et très excitants et puis j’ai bien aimé la conclusion où la narratrice reste une femme libre

  4. Zoe dit :

    Un cocktail de perversité, un récit original, que du plaisir !

  5. Sechmard dit :

    Bonjour Anne-Abigail, vous m’avez l’air très maso dans vos récits, Je suppose que dans la vrai vie vous êtres maso aussi, J’aimerais vous rencontrer pour que vous soyez mon esclave, , Est-ce possible ?

  6. Mathilda Stenberg dit :

    Une expérience qui ne me déplairait pas !

  7. Lemoine dit :

    Ben oui, le sadomaso, c’est comme l’alcool, il faut consommer modérément.

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