Les Vilaines Cousines par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne
Bonjour, je m’appelle Anne-Abigail et ce récit est basé sur des faits réels. J’ai aujourd’hui 33 ans, je suis un peu maso, un peu sapho, un peu dingo
C’était il y a 13 ans… l’année de mes 20 ans !
Pendants mes vacances, j’avais décidé de rendre visite à ma tante Sylviane et à mon oncle Georges que je n’avais pas vu depuis quelques années. Ils vivent près de Cahors dans un joli corps de ferme. En compagnie de leurs deux filles. Caroline, 21 ans et Manon 19 ans.
Cet après-midi, après nous être promenées dans les bois avec mes cousines, nous sommes arrivées près d’une cabane abandonnée.
– Entrons nous reposer quelque temps ! Dit Manon l’air visiblement très fatiguée.
– C’est une bonne idée ! Renchérit Caroline.
Toutes les trois nous nous dirigeons vers cette cabane faite de rondins de bois et couverte d’une mousse indiquant que peu de personne viennent par ici. Je pousse la porte qui me résiste un peu et entre la première. La pénombre qui règne dans la pièce me permet à peine de distinguer les meubles. Devant moi une table mal équarrie avec une chaise sur le côté, dans le fond une commode et face à l’entrée un canapé fort usé. Entièrement à ma contemplation, je suis surprise lorsque Manon se colle contre mon dos, me saisit les poignets et les tend à Caroline, qui en un tour de mains les attachent avec une fine corde.
– Mais… qu’est-ce que vous faites… ?
A peine ai-je terminé ma phrase qu’une traction sur mes poignets m’oblige à lever les bras. Je vois Manon tirer sur la corde qui entrave mes poignets, en jeter l’extrémité par-dessus une poutre du plafond et de toutes ses forces elle me soulève. Si bien que rapidement je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que mes épaules me fassent trop souffrir.
– Vous êtes folles… ! Détachez-moi immédiatement… !.
Une boule d’angoisse monte dans ma gorge lorsque je vois Caroline, terminant de nouer la corde sur un anneau fixé dans le mur, me regarder avec des yeux de feux.
– Qu’est-ce que je vous ai fait… ? Pourquoi… ? Détachez-moi… Je vous en prie… !
– J’en ai marre que tu nous prennes de haut avec tes grands airs de fille de la ville, toujours à nous narguer et à nous snober, aussi nous allons te montrer comment nous traitons les petites prétentieuses de ton genre par ici ! Dit Caroline pleine de colère.
– Je le ferais plus… détache-moi, j’ai mal aux poignets… Pardon Caro Pardon !
– Trop tard Anne, fallait y penser avant !
Je vois Caroline se diriger vers la commode, ouvrir un tiroir et prendre un objet, lorsqu’elle se retourne vers moi elle me montre une baguette en bois.
– Je vais te chauffer un peu les fesses peut être que cela t’apprendra la modestie ?
– Nooonn… ! Tu ne vas pas oser faire ça… ! Nooonn… ! Je veux pas… !
Comme Caroline passe devant moi je tente de lui décocher un coup de pied mais je perds l’équilibre et une violente douleur monte de mes poignets. J’essaie de d’arrêter le balancement de mon corps en me mettant sur la pointe des pieds mais je n’y arrive pas.
– Salope… ! J’ai mal aux mains, détache-moi… !
– Quoi ? Tu oses me traiter de salope… ! Tu ne perds rien pour attendre… ! Je me suis toujours demandé quelle sorte de culotte peut bien porter une fille de la ville.
Joignant le geste à la parole, elle passe dans mon dos, remonte doucement ma jupe, découvrant petits à petit mes cuisses, lorsqu’elle commence à apercevoir ma petite culotte, elle s’exclame :
– Tu portes une culotte de pute ma chère Anne. Regarde Manon elle porte une culotte de dentelle presque transparente, on lui voit les poils et pour un peu on lui discernerait le minou.
Morte de honte en entendant les commentaires de Caroline je me mets à pleurer.
– Ar rêtes, tu as gagn (snif) ées, je ser rai sage à l’ave (snif) nir !
Les larmes inondent mon visage, mais, lorsque j’entends Manon, je n’en crois pas mes oreilles.
– Dit Caro, tu crois qu’on la fait mouiller ?
– Je ne sais pas il suffit de vérifier… !
Caroline termine de remonter ma jupe jusqu’à ma taille, découvrant mes cuisses fermes et fuselées, la roule et la coince dans ma ceinture. Puis elle fait glisser ses mains le long de mes hanches et s’arrête en atteignant l’élastique de ma culotte.
– Noonn ! Caro ne fait pas ça ! Baisse pas ma culotte… Noonn… !
J’ai beau me débattre, mais attachée comme je le suis, je ne peux rien faire. Je sens les mains de Manon faisant descendre ma culotte avec une lenteur extrême, laissant apparaître le duvet roux de ma toison puis la fente de mon sexe. Arrivée à mi-cuisses elle la laisse tomber. Je perçois le frottement du tissu glissant sur mes jambes et découvre sur le sol ma petite culotte faisant une tache blanche. De rage je lance un coup de pied à Caroline.
– Aiiii… !
Au glapissement que j’entends, je sais que mon talon l’a atteint à l’estomac. Je vois Caroline se tenir les mains sur l’estomac, pliée en deux de douleur.
– Vache j’ai mal… ! Tu vas me payer çà !
– Attends Caro ont va l’attacher autrement intervient Manon.
– Comment ? Demande Caroline se redressant avec peine et me jetant un regard noir.
– On va lui ligoter les jambes, comme ça elle ne pourra plus bouger.
Manon et Caroline s’approchent de moi.
– Pardon Caro Pardon ! Je ferai tout ce que tu veux. Excuse-moi
Arrivée à ma hauteur Caroline s’abaisse et attrape une de mes chevilles.
– Anne, si tu bouges je te promets que tu le regretteras
Le ton de la voix de Caro est si dur que je n’ose pas faire un mouvement. Manon détend la corde de mes poignets ce qui me fait un bien fou car je peux enfin reposer les pieds sur le sol. Très vite un fourmillement parcourt mes bras et mes mains, puis des picotements de plus en plus douloureux au fur et à mesure que le sang se remet à circuler. Manon et Caroline en profitent pour lier une corde à chacune de mes chevilles, puis elle en passe l’extrémité dans des anneaux fixés dans le sol et, elles tirent sur les cordes m’obligeant à écarter les jambes. Lorsqu’elles sont satisfaites, elles nouent les cordes aux anneaux. Je suis immobilisée entièrement à leur merci.
– Qu’est-ce que-vous allez faire de moi ?
Manon s’approche de moi et me dit en me regardant dans les yeux.
Tu n’aurais pas dû faire ça Anne…
Elle se laisse tomber à genoux et son visage arrive à hauteur de mon sexe. Elle place ses mains sur mes fesses me faisant sursauter.
– Que vas tu me faire ?
– Juste vérifier si tu mouilles. Me répond-elle en riant.
Le souffle du rire de Manon sur ma chatte, les caresses de ses mains sur mes fesses et la situation dans laquelle je me trouve commencent à provoquer des troubles au creux de mes reins. Une chaleur que je connais bien irradie mon minou. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas laisser paraître mon trouble. Mais lorsque Manon écarte les lèvres de ma chatte, je suis bien obligée d’admettre l’évidence.
– Regarde-moi çà Caro, elle mouille comme une fontaine. Elle aime ça, une vraie petite salope.
Les mots de Manon me blessent mais je préfère ne rien dire.
– Si elle aime se faire tripoter, je lui réserve une bonne surprise dit Caroline en se dirigeant vers la porte. Avant de sortir, elle me regarde
– Je crois que tu vas aimer Anne tu n’aurais pas dû me frapper, je t’aurais pardonné ta morgue mais maintenant j’ai un compte avec toi.
Et elle referme la porte sur elle.
– Qu’est-ce qu’elle va me faire ?
– Je ne sais pas me répond Manon Mais depuis le temps que j’ai envie de toi je vais en profiter…
Je regarde Manon, son visage ovale encadré de cheveux blonds est tourné vers moi, de ses yeux bleus un torrent sensuel s’échappe. Elle approche sa bouche de ma vulve, écarte à nouveau les lèvres de mon minou, attrape avec délicatesse mon clitoris et commence à le sucer comme un bonbon. Une violente décharge secoue mon bas ventre, mon bassin ondule au rythme des caresses de Manon. Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en plus fort. En femme experte Manon contrôle la montée de mon orgasme, reculant le plus possible les limites de l’explosion.
-Manon.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Oui… Ouuiii !! Je veux jouir Hooo ! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!
Un orgasme fulgurant me parcourt le corps me laissant sans force, au bord de l’évanouissement. Lorsque que je reprends conscience je vois Caroline devant moi.
– Alors petite pute, je vois que tu ne t’es pas ennuyée pendant mon absence. Depuis le temps que Manon voulait te faire une minette. Maintenant à mon tour de jouer avec toi. Regarde, je t’ai cueilli des fleurs…
Dans ses mains Caroline tient délicatement un bouquet de fleurs. Elle les dépose une à une sur la table. Six en tout. C’est alors que je me rends compte que ce ne sont pas des fleurs mais des orties. Un cri jaillit de ma bouche.
– Que vas-tu faire avec ça !
– Te nettoyer la chatte. Regarde-toi, tu as de la mouille partout. Ce n’est pas très propre cela. Toi qui passe des heures dans la salle de bain à te pomponner, tu dois bien le comprendre. Me dit-elle un sourire aux lèvres.
– Non…Noonn…Nooonnn…!! pas çà Caro, tout ce que tu veux mais pas çà
Comme une hystérique je me débats dans mes liens. Je tente de resserrer mes jambes. Chose impossible car je suis trop bien attachée.
– Caro je tends prie, ne fais pas ça…!
Caroline contemple mes efforts infructueux. Elle tire un mouchoir de l’une des poches de son jeans, l’enroule autour de la tige de la première ortie, la soulève et se dirige vers moi. Une peur panique me saisit.
– Nooonnn…!!
Soudain Manon et Caroline éclatent de rire.
– Regarde elle pisse… elle a tellement la trouille qu’elle fait pipi dit Manon entre deux hoquets.
– La cochonne faire cela devant nous… elle n’a pas honte ? Renchérit Caroline.
Rien n’y fait, je ne peux pas m’arrêter, je regarde cette fontaine d’or jaillir de ma chatte et imprégner le sol sablonneux de la cabane. Petit à petit le flot se tari pour ne laisser place qu’a quelques gouttes. Je suis rouge de confusion et je n’ose pas regarder devant moi, je garde la tête baissée sentant monter un flot de larmes.
Manon se mouille le doigt avec un peu de l’urine qui a coulé sur mes cuisses et me le fait sucer.
– Suce, suce ta bonne pisse !
– Non pas ça !
– Tu as tort, elle est délicieuse ! dit-elle en se léchant le doigt.
Je pensais avoir échappé à cette épreuve, mais voilà qu’elle recommence. Je ferme ostensiblement la bouche, alors elle me pince fortement le téton à travers mon tee-shirt et profite du fait que j’ouvre la bouche pour crier, pour y fourrer son doigt
– Tu es vraiment une sale fille. Reconnaît qu’il faut bien t’essuyer la foufounette maintenant. Me dit Manon
Je ne réponds pas. Mais lorsque je vois les feuilles d’ortie entre mes jambes je ne peux m’empêcher de supplier Caroline.
– Tu m’as assez humiliée comme çà…arrête Caro…!
Je vois les doigts de Caroline séparer les lèvres de mon sexe. Je retiens mon souffle car les feuilles d’ortie montent vers ma chatte. Saisie par l’appréhension je ne bouge plus. Lentement Caroline fait glisser les feuilles d’ortie entre les lèvres de mon minou, entre mes jambes et pour finir dans le sillon de mes fesses jusqu’à mon anus. Dans un réflexe je crispe mes fessiers ce qui a pour effet de ralentir encore plus le mouvement des orties. Une fois entièrement passée Caroline jette la tige sur le sol.
– Et d’une…!
Ces mots sont comme un déclic, jusqu’à présent je ne sentais rien. Brusquement un picotement se propage à l’intérieur de ma vulve, bientôt remplacé par une véritable démangeaison, puis des élancements semblables à des piqûres se répandent le long du trajet suivi par les feuilles d’orties se transformant en une unique brûlure.
– Aiiii…! Je suis en feu…! J’ai mal !
A travers le brouillard de larmes qui obstrue mon regard j’aperçois Caroline qui revient vers moi avec une autre tige d’ortie.
– Noonn…! Plus ça…Trop mal…!
Malgré mes suppliques et les déhanchements de mon corps pour échapper aux orties de Caroline, une deuxième tige suit le même chemin le long de ma vulve et dans la raie de mes fesses. La douleur est encore plus vive que précédemment.
– Plus… Noonn… ! … plus Caro… trop mal… ! … arrête … !
– J’espère que tu as compris maintenant !
– Ouuii…! …Ouuii ! …je serai sage je ferai tout ce que tu voudras…!
Caroline profite quelques temps du spectacle de mon corps se contorsionnant en tous sens pour échapper à la souffrance qui le ronge. Elle semble se délecter de mes cris et de mes suppliques.
Manon s’approche de Caroline
– Tu m’excite quand tu fais la méchante !
Les deux sœurs s’embrassent sensuellement sur la bouche, se pelotent et se débraillent avant de rouler sur le sol, où elle se gamahuchent l’une, l’autre.
J’ignorais que mes cousines avaient des rapports incestueux, les voir se donner du plaisir ainsi m’excita énormément.
– Bien. Manon, détache-la.
Manon s’approche de moi, me délie les chevilles et lorsqu’elle détache la corde qui maintenait mes bras levés je m’effondre sur le sol. Je me tords comme un ver, une main frottant ma chatte l’autre mes fesses pour tenter d’apaiser la souffrance. Au bout de quelques temps la douleur s’estompe. Comme je tente de me relever Manon me dit :
– Reste à genoux et approche à quatre pattes esclave…
C’est la première fois que j’entends ce mot dans sa bouche mais à partir de cet instant je sais qu’il va rythmer toute ma vie. Je m’approche de mes cousines, déjà prête à me soumettre à leurs nouveaux caprices.
– C’est exprès que tu as laissé trainer ça sur ta table de nuit ? Me demande Manon en m’exhibant une feuille de carnet rempli de mon écriture.
« Elles sont trop belles mes cousines ! Que j’aimerais être leur esclave ! »
– Vous fouillez dans ma chambre alors ?
– Ben quoi ? Faut bien aérer, non ? Et puis ne te plains pas, nous avons exaucé ton fantasme ! Maintenant habille-toi correctement, nous devons rentrer à la maison. Dit Caroline.
J’abaisse ma jupe. Je cherche ma petite culotte du regard mais Manon me dit :
– A partir de maintenant tu ne portes plus sous-vêtement.
– Oui…maî…maîtr…maîtresse Manon.
Nous sommes sorties de la cabane. Arrivée sur le chemin, je me suis tournée vers la cabane pour figer à jamais l’image de cet endroit qui me fit découvrir ma vocation d’esclave.
En entrant dans la maison, une autre surprise et de taille m’attendais.
– Alors, demande l’oncle Georges, ça s’est bien passé ?
– Super ! Répond Caroline, on l’a soigné aux orties.
Je rêve, l’oncle Georges était donc au courant !
– Et elle a réagi comment ? Demande la tante Sylvianne.
– Elle a mouillé comme une salope !
– Bien on va se faire cinq minutes détente, on se mets tous à poil.
L’instant d’après je découvrais la bite de mon oncle Georges fièrement bandée.
J’étais tétanisée, ma tante Sylvianne et mes cousines me retirèrent mes vêtements, je me laissais faire.
– Venez mes chéries, venez sucer la bite de votre papa ! Dit ensuite tonton Georges.
Et là devant mes yeux subjugués, je vis Caroline et Manon s’agenouiller près de leur père et entamer une fellation incestueuse à deux bouches.
Il les fit stopper au bout de quelques minutes. Et pointa sa main vers moi !
– En levrette, esclave, je vais t’enculer !
Je ne protestai pas, cela procédait pour moi de la logique des choses, je me mis en position et offrait mon anus aux assauts virils de mon oncle, tandis que les deux cousines faisait minette à leur mère.
13 ans plus tard je me remémore encore cette folle journée ! Le lendemain je quittais oncle, tante et cousines, les adieux furent chaleureux sans arrière-pensées, comme s’il ne s’était rien passé !
J’ai ainsi découvert ma nature profonde : je suis profondément maso, mais libre ! Paradoxal ! Non ! Car maintenant mes Maîtresses, c’est moi qui les choisis !
Bisous.
Anne-Abigail
© 2000 annvoneichmuller@hotmail.com
Publié initialement sur le site de Revebebe le 23/02/2001 sous le numéro 1869 et qui ne l’a pas conservé
Rétabli ci dans une version non censurée et rewritée.
Faut pas déconner, les orties ça fait vachement mal 🙂
qu’est-ce que le passage incestueux à la fin est censé ajouter ?
Si on te demande…
Pas mal et en plus la conclusion est intelligente. Il ne me viendrais pas à l’idée de jouer à des jeux de soumission avec quelqu’un qui aurait une gueule qui ne me revient pas
ça j’adore !!!!!
Un peu limite ! On dirait que le récit a été essoré de telle façon qu’il soit conforme à la charte du site en transformant la contrainte en consentement. Cela dit c’est pas si mal