Le travesti et le dalmatien par TransMonique

Le travesti et le dalmatien par TransMonique

Bonjour, voici un récit de pure fiction qui m’a été inspiré par certaines bonnes lectures sur ce site.

C’est parti !

J’ai 29 ans, je me travesti et suis artiste de cabaret. Alors inévitablement, on finit par être sollicité par des clients qui souhaitent des prestations « extérieures ».

Au début j’étais plutôt réticent et puis j’ai fini par me dire qu’il serait bête de refuser de l’argent aussi facile. Et outre les rendez-vous pris à l’intérieur du cabaret, je passais aussi quelques annonces.

Donc me voilà un peu pute !

Je m’en vais donc vous narrer l’une de ces rencontres, la plus insolite, pourrait-on dire.

Aujourd’hui c’est perruque blonde, petit caraco rose, string assorti, minijupe en vinyle noir, porte-jarretelles et bas résille, escarpins vertigineux de chez Louboutin. Je suis rasé de près partout, savamment maquillé et les ongles manucurés. Je me contemple dans le miroir. Je m’adore comme ça !

Je passe sur le luxe de précautions que m’a fait prendre mon client du jour, parce qu’après tout, quel intérêt !.

Je n’ai jamais su le nom de ces gens. C’est le grand luxe, pavillon en meulière, jardin fleuri parfaitement entretenu, escalier bordé de statuettes…Une femme mature très classe et ma foi fort appétissante me fait entrer. Elle est en robe de chambre, du satin rouge quand même…

Ça pue le fric là-dedans, meubles de style, tableaux sur les murs, objets tape-à-l’œil et j’en passe. La musique diffuse des valses de Johan Strauss. J’ignore si c’est de circonstance, mais ça ne me déplait guère.

– Mon mari arrive de suite, il finit de se laver la bite

Je suppose que cette vulgarité est volontaire et j’esquisse un sourire qui se voudrait complice.

– Votre rétribution est dans l’enveloppe sur la cheminée, vous avez le droit de recompter.

Elle me laisse seul un instant. Je ne recompte pas les sous, mais jette un coup d’œil, puis madame revient, suivi du mari et du chien.

Mon regard va d’abord sur l’animal, c’est un dalmatien, et je sais ce qu’il me faudra faire avec le moment venu.

Le mari, est en blazer bleu marine, chemise blanche et cravate. C’est dingue ça de rester en cravate à la maison ! Quelle manque de décontraction.

– C’est donc vous, Monique ! M’interpelle-t-il.
– Ben oui, c’est moi !
– Vous êtes une très belle pute !
– Merci monsieur !
– Un petit rafraichissement avant de passer aux choses sérieuses ?
– Avec plaisir !
– Le pipi de madame vous conviendrait-il ?.
– Pourquoi pas ?
– Vous ne boirez pas à la source, il serait dommage d’abimer votre beau maquillage, nous allons procéder différemment

Il se dirige vers un guéridon sur lequel ont été déposés fort opportunément sur un plateau d’argent trois verres à pied en cristal.

La femme se débarrasse de sa robe de chambre sous laquelle elle est entièrement nue. Jolie femme, belle poitrine incitant à la caresse..

– Me trouvez-vous baisable ? Me demande-t-elle.
– Oui, madame vous êtes très belle !
– Ce n’était pas ça, la question !
– Oui, vous êtes baisable, madame !
– Dites-moi que je suis une belle salope !
– Vous êtes une belle salope, madame !
– Une morue, un garage à bites…
– Oui, vous êtes tout ça madame !
– Et vous allez boire ma pisse de pute !
– Avec plaisir, madame.

Elle s’empare de l’un des verres, le porte sous sa chatte et pisse dedans.

J’aime bien les jeux uro pour leur côtés coquins (pour ne pas dire pervers), j’aime qu’on m’urine sur la bite, ou dans la bouche. Boire de l’urine dans un verre fait, pour ce qui me concerne, perdre de l’intérêt à la chose. Mais bon, il serait déplacé de faire une quelconque remarque, après tout, ces gens-là m’ont grassement payé !

Je bois donc le pipi de la dame, ces messieurs dame ne trinquent pas avec moi, pas bien grave..

– Ma femme va vous sucer la bite et quand elle sera bien raide, vous allez m’enculer ! M’informe Monsieur.
– Pas de problème. Je suis à votre disposition.

Je suis d’ordinaire davantage passif qu’actif dans mes rapports sexuels, mais je sais m’adapter.

– A toi de jouer, salope !

Comment il parle à sa femme, ce mec !

Je retire ma mini-jupe et écarte mon string afin de laisser sorti mon zigouigoui, et la dame vient y poser ses douces lèvres.

Oh ! Mais c’est qu’elle suce super bien la bourgeoise, et très vite ma bite bande comme une baguette de tambour. (une grosse baguette) .

– Il est prêt, je crois ! Constate-t-elle en se redressant.
– Bel engin en effet !

Monsieur pose alors son blazer sur un dossier de chaise, puis retire son pantalon et son caleçon. Par contre il conserve chemise et cravate ! Dingue ça, je vais enculer un mec en cravate !

– Il se tourne, me montre son cul !
– Alors ma chère, comment trouver vous mon cul ?

Il est moche son cul ! Mais je ne vais pas lui dire.

– Hum il me plait bien je vais avoir grand plaisir à vous enculer !
– N’est-ce pas que j’ai un cul d’enculé !
– Absolument, vous avez un cul d’enculé !
– Préparez-moi ! Un peu de langue, un peu de doigts

J’ai connu des anus plus sympathiques, mais bon en fermant les yeux, ça le fait, je lui lèche donc le troufignon avec application, à ce point que son trou du cul se met à bailler. J’en profite pour lui introduire un doigt que je fais aller et venir, puis je fais entrer un second doigt, puis un troisième. Voilà qui fait miauler notre homme.

– Ça suffit les doigts, enculez-le maintenant ! M’ordonne la dame.

Puisque c’est demandé gentiment… On me tend une capote et une dosette de gel. Et allons-y la jeunesse !

– Ça te plait de te faire enculer, Hubert, espèce de gros pédé ! Le nargue son épouse.
– Oh, oui ! Je ne suis qu’un pédé qui se fait enculer par un travelo devant sa salope de femme.
– T’est qu’une morue, une tafiole !

Je suis tombé sur des poétes !

– Et toi le travelo, tu ne jouis pas, les réjouissances ne sont pas terminées !

Ben oui, je sais ce qui m’attends, donc je décule.

– Oh ! Qu’est-ce c’est bon une bite dans le cul ! Commente Monsieur.
– Je suis bien d’accord avec vous !
– Je ne comprendrais jamais les gens qui refusent de se faire enculer ! S’ils savaient ce qu’ils perdent ! Poursuit ce grand philosophe.
– Bon, on passe à la suite ? Demande Madame.
– On y va !

Madame s’assoit sur le canapé et m’invite à venir à ses côtés.

– Pelotez moi les nichons, jeune fille !

C’est moi la « jeune fille ! »

Je lui caresse ses jolis seins, j’agace un peu ses gros tétons érigés.

– Mieux que ça, plus fort ! Pincez-moi, mordez-les, je ne suis pas en sucre !

Et pendant que je maltraite les nénés de la bourgeoise, son mari s’est emparé d’une carotte (elle sort d’où la carotte ?) et se ramone le cul avec.

– Fouille moi la chatte maintenant ! Me demande la dame !

C’est tout mouillé là-dedans, j’enfonce un doigt qui émet un étrange bruit de floc-floc

– Ça va être bon ! Viens Lancelot !

C’est qui Lancelot ? C’est le chien. Il vient lécher mémère avec frénésie.

– Ah que c’est bon, je plains les nanas qui ne connaissent pas ce plaisir ! Aaaah !

Ma parole elle va jouir ! Déjà ? Ben oui ! Et c’est guère discret.

Elle souffle un peu, puis récupérant un peu de sa mouille ave sa main elle m’en badigeonne ma bite.

Ce n’est pas ma première expérience zoo, mais les deux autres fois le chien ne m’avait pas léché. C’est donc un pas à franchir !

Moment fatidique ! Un peu d’appréhension, en principe un chien ne mord jamais dans ces moment-là, il se contente de lécher, mais sait-on jamais, un coup de folie… et hop, plus de bite !

De sa main gluante, Madame dirige le chien vers mon sexe, et le voilà qui me lèche ! Putain quelle langue. Non seulement c’est excitant « physiquement », mais la situation est quand même super bandante. Je crains de partir trop vite et en prévient la dame.

– O.K, on va faire un petite pause, couché le chien ! Mais j’y pense, je manque à tout mes devoirs ! Je ne vous ai pas montré mon cul !
– Je ne crois pas non !
– Les aimez-vous un peu sales.
– Disons que ça ne me dérange pas !
– Eh bien, ça tombe à pic, figurez-vous que ce matin, j’ai chié un gros boudin et je ne me suis pas torché. Je me suis dit que peut-être vous pourriez me le nettoyer ?
– Je suis à votre disposition, madame !

Elle se lève, se retourne et m’exhibe son cul, un joli cul ma foi, à ceci près qu’il est mal torché.

– Allez, servez-vous de votre langue !

J’avais craint un moment que le tableau serait catastrophique, ce n’est pas le cas, quelques traces marrons quand même. Un odeur d’andouillette qui n’a rien d’insurmontable, j’approche ma langue, je lèche ! En fait je suis loin de détester ça.

– Alors ? Vous appréciez ?
– Oui, madame, votre merde est délicieuse.

Je continue à lécher, puis ma langue vient fureter dans le petit trou.

– Je suppose que c’est terminé ?
– Oui, madame !
– Votre bouche doit avoir le gout de ma merde ?
– Probablement, madame !

Et là se produisit l’impensable, la dame approche sa bouche de la mienne et me roule un patin d’enfer, un patin tellement baveux que de la salive dégouline sur mon menton.

« Merde mon maquillage ! »

– On peut reprendre, maintenant ? Me propose-t-elle.

Elle rappelle Lancelot, passe sa main sous son ventre afin de l’exciter en lui tripotant le sexe. Quand il fut sorti de son fourreau, convenablement bandé elle le fait passer entre ses cuisses et l’embouche sans autre forme de procès.

– Vous, je veux vous voir sucer la bite de mon chien !

Pas de problème, je l’ai déjà fait, et me met à sucer cette queue rouge et visqueuse, je m’en régale tellement la chose est perverse.

– C’est bon la bite de chien, n’est-ce pas ?
– C’est divin madame !
– Et maintenant il va vous enculer !
– Oui, madame !
– Et vous n’avez pas honte ?
– Euh… que dois-je répondre ?
– Ce que vous voulez !
– Alors j’ai honte, mais ça m’excite !
– Vous n’êtes qu’une salope !
– Oui madame !
– Comme moi !
– Oui madame, nous sommes deux salopes qui baisons avec les chiens.
– Alors en position !

La bite du dalmatien est de taille convenable, visqueuse comme elle est je ne vais pas avoir besoin de lubrifiant. Je me mets en levrette, la dame aide le chien à entrer sa bite dans mon cul… et c’est parti. Dans mes expériences précédentes j’avais juste sucé, mais le fantasme de me faire prendre était resté tenance.

Curieuse sensation, l’animal me lime avec une cadence infernale, à ce point qu’au début c’est carrément gênant, après ça va mieux et des ondes de plaisir ne tardent pas à m’envahir.

La dame met fin à l’acte, afin, me dit-elle que je ne reste pas bloqué, et m’indique que si je veux me soulager, je peux lui juter au visage et sur sa poitrine.

Je ne m’en suis pas privé et bientôt mon sperme vint tapisser les nichons et la frimousse de cette charmante personne.

Pendant ce temps, monsieur, la carotte toujours flanqué dans son cul jouissait dans un kleenex.

On m’a proposé une boisson (une vraie) on m’a appelé un taxi.

Je suis rentré, pas mécontent de cette expérience. Avec les sous qu’ils m’ont donnés, je vais pouvoir m’acheter plein de petits trucs afin que je sois encore plus belle !

fin

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8 réponses à Le travesti et le dalmatien par TransMonique

  1. Bertrane_TV dit :

    Je relis de temps en temps cette histoire qui est dans mes favoris.
    Sinon, mes chéris, j’ai franchis le pas avec le toutou d’une amie ! Jai bien aimé franchir ce tabou, Cochonne, je suis !

  2. Voisin dit :

    Ce n’est pas spécialement mon truc, mais cette lecture m’a troublé

  3. Bertrane_TV dit :

    Se suis moi-même travesti et un peu pute. J’avoue que cette histoire me donne envie de faire des trucs avec un chien. J’ai une copine travesti qui a un chien,, elle l’a déjà sucé devant moi mais quand elle m’a proposé de faire pareil, je me suis jusqu’à présent dégonflée. Mais je ne vais pas me dégonfler toute ma vie !

  4. Bitos2 dit :

    C’est un vrai plaisir d’enculer un travesti, leurs culs sont si doux !

  5. Breton dit :

    C’est une histoire vraie ?

  6. Verneuil dit :

    Bravo Monique, tu m’as fait bien bander !

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