La dame du bois de Boulogne
par Douxarnaud
14 heures ou 15, peut-être. Les rayons de soleil d’un début de printemps faisaient leur apparition, diffusant une lumière plutôt blanche sur le feuillage vert naissant, et de nombreuses feuilles brunes jonchaient encore le sous-bois. Je me promenais lentement le long de cette petite rivière qui traverse le bois de Boulogne. C’est alors que je décidai de m’asseoir sur un banc pour profiter pleinement de ce spectacle.
Une dame d’un certain âge, avec un cocker, passa.
Deux cyclistes moulés par des justaucorps de couleurs vives attirèrent mon regard. Plus tard une femme accompagnée d’un lévrier afghan blanc marcha dans ma direction. Arrivée à ma hauteur se tourna vers moi, probablement sans même me voir et continue son chemin.
Maintenant il était temps que je poursuive ma promenade. J’allai me lever lorsque je vis la femme au lévrier revenir, et soudain j’eus envie de la regarder passer là, devant moi, d’observer ce couple ainsi constitué, empli d’élégance, d’étrangeté et de mystère.
Je restai assis, elle s’écarta de la droite qu’elle suivait pour aller s’asseoir sur un banc face au mien. Elle était vêtue d’un loden long bleu marine fermé par de grands boutons de couleur turquoise nacrée. Je ne pouvais apercevoir que ses mollets revêtus de collants clairs, aux pieds de fins mocassins marine achevaient d’habiller ses jambes. Elle s’assit, retira la laisse du collier de son chien et ouvrit un magazine qu’elle tenait dans la main. Le lévrier fit le tour du banc de sa maîtresse puis élargit un peu le cercle en ma direction, ensuite il revint vers elle et se coucha à ses pieds. Cette femme semblait tout à sa lecture sans se soucier le moins du monde de ma présence, cependant, parfois imperceptiblement je la sentais jeter un regard sur moi. A un moment elle croisa ses jambes et pour la première fois j’entrevis son genou. Le lévrier se releva, fit quelques pas à droite puis à gauche avant de se diriger à nouveau vers moi. Cette fois il vint jusqu’à mes pieds et posa sa gueule sur ma cuisse pour se faire caresser ; à cet instant sa maîtresse l’appela : « Victor, ici !» et m’adressa un large sourire. Son manteau avait un peu glissé sur sa jambe, laissant découvrir un peu de son corps. Un couple âgé s’approcha de nous, elle réajusta son manteau tout en continuant sa lecture.
Puis le lévrier recommença son manège, nous étions à cet instant seuls, son manteau glissa à nouveau, elle appela son compagnon et tout en me souriant se leva. Son manteau cette fois s’ouvrit complètement sur sa jambe, découvrant des bas sans que je puisse distinguer de jupe. Très rapidement en se levant elle ouvrit les deux derniers boutons de son manteau, me laissant voir en marchant, sa jambe en totalité. Arrivé à la hauteur de son chien, face à moi, elle s’accroupit pour fixer la laisse au collier. Son manteau long en touchant le sol forma un peu comme une corolle largement ouverte sur le devant, me montrant un sexe nu recouvert d’un très léger duvet noir de jais, avec de grandes lèvres particulièrement généreuses.
– Ce n’est pas encore l’été, il est nécessaire de marcher un peu.
– Puis-je vous accompagner ?
– Bien sûr et bien plus encore.
Nous empruntâmes un petit sentier en sous bois, ma main à travers l’étoffe caressait ses fesses fermes M’enhardissant, je soulevai son manteau pour découvrir le grain de sa peau et glisser ma main dans le sillon qui départageait ses deux globes. Mon index se fit plus inquisiteur et sentit vite un anus qui ne demandait qu’à être empli.
Nous étions maintenant hors du sentier, nous nous arrêtâmes, elle abandonna au sol la laisse de son lévrier, Victor. Je posai ma main entière sur son sexe, j’avais envie d’y engloutir mes doigts, la caresser, faire croître son clitoris qui devait être spectaculairement rouge tellement ma main était humidifiée par son jus. J’eus envie de m’agenouiller pour mieux voir, sentir et goûter ce con. Mais pendant que je découvrais cette intimité pulpeuse, ma partenaire avait ouvert mon pantalon, sorti mon sexe au gland turgescent gavé d’une liqueur qui déjà d’un voile transparent le vernissait. Sa main se fit plus directrice, l’autre d’un geste ample remonta son manteau, découvrit son cul, blanc, ferme, nu. Elle se pencha en avant, me désignant l’auréole irisée ou j’étais attendu. Je sentais le corps de Victor le long de ma jambe. Elle prit appui sur le tronc d’un arbre et bras tendu m’intima de l’enculer. Mes bourses se caressaient le long de son sexe particulièrement doux. Je sentis son corps s’ouvrir totalement, les mouvements devinrent plus rapides, je l’entendis gémir, jamais le contact de mes couilles le long d’un corps ne fut si doux, je déchargeai violemment, mon sexe butant fort au fond d’elle.
Elle se redressa, passa une main dans mes cheveux, l’autre sur la gueule de son lévrier afghan
– Mes amants préférés, pour aujourd’hui…
A. de C.
C’est donc une histoire à chute ! Mais cette chute est fort plaisante