Jusqu’à Laetitia
Laetitia 1
par Laetitia_trav
Depuis quelques temps, j’y songeais de plus en plus souvent. Je voulais connaitre le plaisir ou en tout cas les sensations que peuvent procurer de sucer une queue et de se faire prendre.
Je ne cherchais pas à jouer ma salope, juste à connaitre avant de mourir idiot, et ressentir. Moi, l’hétéro convaincu, amateur de femmes, j’avais envie d’une queue.
Un soir, ma décision fut prise, et je me connectais sur un site de chat, sans prendre un pseudo allumeur, précisant que c’était une première fois. Je refuse pendant un temps les pseudos qui ne correspondaient pas à ma recherche ou mon envie, discutais avec d’autres sans réelle évolution dans mes recherches. Minuit approchait, sans désespérer, je me disais que ce serais pour une autre fois jusqu’a ce qu’un mec se présente :
– Salut
– Bonsoir. Que cherches-tu ?
– A te baiser.
– C’est un peu rapide comme entré en matière.
– Oui, mais c’est pourtant ce que tu cherches.
– Oui.
Nous discutâmes encore un peu, lui donnant mes conditions, pas de baiser, pas de violences, on baise, il se casse. On se décrit mutuellement, nous avons une ressemblance en étant tous les deux bruns, de taille équivalente encore que lui plus rond alors que je suis mince.
Je lui donne mon tél et mon adresse, il me précise qu’il arrive d’ici 1/4 d’heure. J’en profite pour prendre une douche rapide et appliquée, puis me ressape et attends, un verre de whisky à la main afin d’apaiser mes battements de cœur.
Finalement, mon téléphone sonne, je lui donne les derniers renseignements, et j’ouvre après encore 5 minutes a un mec effectivement de ma taille, ni laid, ni beau. On passe au salon, on discute un peu, je lui propose un verre qu’il refuse. On continue de discuter pendant que, moi, je finis mon verre. Par moment, je jette un coup d’œil a son entrejambe sans rien remarquer d’hors norme. Il ne parait pas trop bander. Et puis, reposant mon verre vide, je lui propose de passer aux choses sérieuses.
Étant ma première fois, il me laisse prendre le contrôle des choses et suivre ma voie. Rapidement, je me fous à poil, lui fait de même. Je m’installe sur le lit, lui aussi, et la main un peu tremblante, prends sa queue en main. Mis à part la mienne, c’était la première queue que je caressais, je la sentais douce sous mes doigts en prendre de l’ampleur et de la dureté lentement. Il me caressait aussi le sexe, puis, suit une grande inspiration, je me penche, presque allongée et passe un coup de langue sur son gland. La douceur de la peau du gland, ainsi que l’odeur à la fois musquée et enivrante. Tout se passait sans un mot. Petit à petit, je pris plus confiance et commencer à avaler sa tige, la sentant encore grossir dans ma bouche. Il s’allongea et se positionna afin de me sucer aussi, mais je n’y prenais pas attention, tout à ma fellation. J’essayais d’avaler sa queue le plus loin possible, arrivant presque à la prendre entièrement. En fait j’adorer sucer cette queue, la lécher jusqu’à la base des couilles, je l’entendais parfois gémir, lui me sucer encore un peu parfois, me branlant lentement le plus souvent. J’allais même jusqu’a gober ses couilles l’une après l’autre, les faisant rouler sous ma langue avant de reprendre mon pompage appliqué. Jusqu’à ce qu’il me dise de m’arrêter.
– Ok. C’est effectivement plutôt cette envie la que j’avais au départ.
– T’es sur que c’est la première fois que tu suce?
– Oui. Certain.
– Tu fais ca bien, tu y prends plaisir on dirait.
Je ne répondais rien, juste un sourire.
– Bon, tu veux que je te prenne comment ?
Sans répondre, je sortais un préso et du gel qui allait avec et lui tendis, pendant que je me mettais a 4 pattes, le cul tendu. J’ai entendu le déchirement de l’emballage, et après le claquement du préservatif, un liquide froid sur ma raie et ma rondelle, puis un doigt inquisiteur mais doux
– Ça va ?
– Oui, oui.
Ca ne faisait pas mal, mais ni de sensations de plaisir. Il continua à peine 2-3 minutes, puis me dit
– Allez, on va y aller.
Et j’ai senti son gland se frotter à ma raie, le faire glisser 2-3 fois et pointer contre ma rondelle. Je me suis détendu le plus possible que je le pouvais en sentant son gland m’ouvrir l’anneau. Une légère douleur, une attente, une progression. Cela jusqu’a ce que je sente ses couilles contre mes fesses. Puis il commença à me limer lentement, me tenant aux hanches, je me suis encore plus cambré, il prit de la vitesse et l’amplitude dans sa sodomie.
Malheureusement, je ne sentais aucun vrai plaisir, ni douleur ou à peine. Néanmoins, je me mis à gémir doucement pour encourager mon envie, peine perdue. Il me redemanda si ça allait. Je répondis oui dans la tête dans les coussins. Mes gémissements ont du lui plaire, car il s’est activé plus fort et plus vite jusqu’a décharger dans le réservoir.
– Voila, tu t’es fait enculer. me dit-il en me caressant le dos et en se retirant.
– Tu as aimé?
– Ben, en fait je suis un peu déçu. J’ai lu quelques histoires où l’enculé adorait, mais la, ni vrai plaisir, ni vrai douleur.
– On peut pas tous aimé ça. En tout cas, mis à part quelques poils, tu as un corps presque féminin. Surtout dans la pose que tu avais. J’avais presque l’impression de hanches et d’un cul de fille.
– Je ne sais pas si je dois le prendre comme un compliment. Bon en tout cas, merci pour l’expérience.
Il se leva, jeta le préso, fit une toilette rapide pendant que je me rhabillais sommairement et parti comme convenu.
Ce n’est pas une histoire érotique, c’est un compte-rendu de rencontre
Depuis le temps, j’espère que tu as pu recommencer l’expérience de la sodomie ! C’est tellement bon une bite dans le cul !
Pourtant quand c’est bien fait, c’est bon.