Oh Charmantes infidèles, dévoreuses d’Amants,
Dont un seul Mari n’est jamais suffisant,
La passion qui vous brûle n’est pas faite pour attendre
Que votre homme soit prêt de nouveau à vous prendre.
Vous êtes à votre époux, comme flamme à la paille
Enflammant ses désirs, vidant sa libido,
Livraison terminée…plus rien dans le fourneau.
Aussi est-il normal pendant que Monsieur baille
Que vous alliez quérir dans les bras d’un convive,
Ces joies vous restant dues, quand sa pine est rétive.
Mais à votre mari, et ce n’est que justice,
Il vous faut loyalement assouvir son vice.
En vous montrant soumise dans le lit conjugal
Aux joies que l’adultère procure en général
A tout brave cocu amoureux de sa femme
Et qui prend du plaisir à la voir qui se pâme.
Une épouse est superbe quand elle s’ouvre à la bite
D’un amant très galant que son mari invite
Souhaitant se régaler de la voir prendre son pied
Quand elle se fait sauter par ce bon équipier.
Ça permet à Monsieur d’oublier ses carences
En se réjouissant de vos intempérances
Qui vous font si Salope et lui si bon cocu.
Car plantée sous l’Amant, de façon incongrue
Vous offrez au Chéri qui se branle le mou
La superbe vision de ce beau braquemart
Qui vous flatte les fesses en un geste gaillard
Sans même qu’il en soit un tantinet jaloux.
Infidèles sans doute, honnêtes tout de même
Vous savez contenter le cocu qui vous aime
Et qui en vous voyant jouir ainsi sous l’autre
Peut vous faire compliment, ravi que cet apôtre
Puisse ainsi vous soumettre sans entraves ni freins
En vous donnant au cul toujours autant de bien.
Il souhaite intensément que l’Amant vous bouscule
Pour vous faire défaillir, tant bien il vous encule.
La partie terminée, se doit une infidèle
De faire profiter son cocu des séquelles
Engendrées par l’amour et ses réjouissances.
En lui faisant lustrer l’instrument du bonheur
Sorti encore gaillard de son for intérieur
Nappé des bonnes ardeurs déversées par l’auteur,
Après qu’il se soit fait, en bonne intelligence,
Congratulé le cul par son bon serviteur.
(22/07/2018)
Jolies rimes et conclusion réjouissante
A l’estaminet, j’avais dragué Marie-Thérèse
Elle me me dit : – Je veux bien que tu me baises
Mais une condition à ceci
Tu devras sucer mon mari
* Ça tombe bien, j’adore les bites
Allons chez toi, très vite