note du webmaster : Voici un texte qui n’entre pas dans la thématique de
notre site. L’auteur nous l’a envoyé à titre d’illustration en ce qui
concerne le débat lancé par Hélèna sur le triolisme ! Et force est de
constater que cet auteur défend avec respect et avec beaucoup de conviction
son fantasme
A l’occasion de mes quarante ans, mon mari me fit le plus beau des cadeaux
d’anniversaire
Comme pour beaucoup de femmes de mon âge mariées depuis un certain temps,
les relations sexuelles n’étaient plus aussi intenses. Heureusement, depuis
l’année passée, pendant une soirée un peu arrosée, nous avions découvert
l’échangisme et moi l’amour au féminin avec un couple d’amis originaires de
Martinique. Nous étions restés très complices. François avec moi, Pierre
avec notre amie avaient su respecter les limites et les réticences de
chacune, un de mes fantasmes ressurgissait : Avoir deux hommes dans mon lit
! François était ce complice idéal : antillais grand mince, un peu plus
jeune, 35 ans, discret sympathique et beau garçon. Et dans nos ébats j’avais
fait part à Pierre de mon envie d’un trio avec lui en évoquant son
endurance, la taille de son sexe capable de satisfaire la femme la plus
exigeante. Hélas, il se trouvait loin de nous, de l’autre coté de la mer
Le téléphone sonne. C’est Pierre
– Prends une douche, enfiles ta robe sexy, j’ai une surprise pour toi !.
La porte sonne et surprise ! François est là, avec Pierre, une bouteille de
champagne à la main, habillé d’un short et d’une chemisette laissant deviner
son corps musclé. Je suis là au pied du mur ce qui n’est qu’un fantasme va
devenir réalité… Le rire complice des deux hommes me rend à la fois excité
et sur la défensive.
La première coupe est servie. J’ai revêtu ma robe bleue celle qui s’ouvre
sur le devant. Une culotte légère masque mon intimité. Tandis que Pierre
s’active dans la cuisine, François me dévore déjà des yeux, sa main se pose
sur mon genou, se glisse sur ma cuisse pour atteindre l’élastique de ma
petite culotte, l’autre main explore mon ventre. La chaleur envahit mon
entrejambe complètement tétanisé, je ferme les yeux, m abandonnant à ses
mains douces.. Les pas de Pierre retentissent dans le couloir. François
retire ses mains.
– Il y a un mail de ta femme, jette un cou d œil sur les photos, l’icône est
sur le bureau.
Tandis que François s’installe devant l’écran, Pierre vient pour m’embrasser
tout en glissant sa main sur ma robe pour y découvrir mon sexe détrempé.
– François te fait de l’effet ! Bon anniversaire ! Me murmure Pierre avant
d’aller prendre sa douche. la boule chaude dans mon bas ventre diminue.
Ils décident que nous dînerons sur l’étroit guéridon. cette proximité
favorable aux rapprochements est loin de me déplaire. Dès le début du repas,
le genou de François effleure le mien puis une de ses mains caresse mon
mollet, remonte le long de ma cuisse. A nouveau, cette boule de chaleur
envahit mon bas ventre. J’ouvre mes jambes pour faciliter la progression
vers ma grotte humide. Une autre main ; Celle de Pierre commence à ôter les
boutons de ma robe permettant à François de poursuivre son exploration. Un
léger spasme parcourt mon être à l’instant ou François glisse un doigt dans
mon intimité. Mes deux partenaires complices guettent malicieusement la
montée du plaisir sur mon visage. Leurs caresses de plus en plus coquines et
trois coupes de champagne gomment mes dernières réticences. Me sentant à
point, Pierre ferme les volets puis mes deux hommes m’entraîne sur la
banquette. Mon mari achève d’ôter les boutons de ma robe, laissant jaillir
mes seins généreux à la pointe déjà durcie. François fait glisser ma culotte
le long de mes jambes. J’offre à mes deux partenaires la vision de mon sexe
trempé déjà ouvert comme un fruit mûr. Sans attendre ils se mettent à me
caresser la poitrine, quel délice de sentir leurs quatre mains, la langue de
François qui titille la pointe de mes seins. Une bosse plus que prometteuse
déforme son short et je sens le sexe de Pierre durcir à travers son
pantalon. François interrompt un instant ses caresses pour ôter la plupart
de ses habits à l’exception de son slip. C’est moi donc qui aurait le
privilège de libérer à l’instant qui me convient l’objet de mes désirs ! Ses
effets vont rejoindre mon string dans un coin de la pièce. L’odeur de son
corps, sa peau contre la mienne m enivre de désir. Ma main commence à
redécouvrir son sexe à travers l’étoffe, il m’attire contre lui pour
m’embrasser fougueusement. Pierre en profite pour l’enlever lui aussi, pour
se mettre à l’aise et retient ma robe légère qui quitte mes épaules pour
rejoindre les autres vêtements. Je suis là, nue, calée contre Pierre, a leur
merci. Leurs mains s’attardent sur mes seins, mon ventre, mes reins.
François glisse ses doigts dans mon intimité quel spectacle ! les mains de
mon mari, mon clitoris dressé, les doigts de François déjà tout englués de
ma liqueur intime, son sexe long et dur à travers son string. Sa langue
caresse mes seins soutenus par les mains de Pierre puis abandonne ma
poitrine pour venir goûter mon sexe. Je deviens folle. Sa langue agile
titille mon clitoris puis s’insinue dans mon vagin, en explore chaque
recoin. Mes mains se crispent sur son crâne pendant qu il s’enivre de mon
nectar. Mon mari me mordille une oreille et ses doigts jouent délicatement
avec la pointe de mes seins.quatre mains deux langues ! C’en est trop, mon
corps se cambre sous un premier orgasme solidement maintenu par mes deux
partenaires. François se redresse. N’y tenant plus je descends son string
pour saisir le fruit défendu, mon cadeau d’anniversaire ! Il jaillit devant
moi long ! raide !. Ma main commence à caresser cette imposante colonne de
chair, Pierre et mes amants précédents ne sont effectivement que des petits
garçons à coté !
Mon mari me murmure.
– Bon anniversaire !
Quel délicieux supplice ! Le sexe d’ébène glisse sur mon clitoris, sur ma
conque ruisselante. L’excitation monte à son comble lorsque mes seins à la
peau laiteuse se pressent sur le poitrail sombre.
N’y tenant plus je pousse son gland à l’entrée de ma grotte. Ma main ne
parvient pas à entourer complètement le mandrin d’ébène qui commence enfin à
m’envahir. Assise entre les jambes de mon mari dont le sexe est tendu contre
mes fesses. Je savoure ce moment divin. François progresse, à chaque poussé
un plus loin dans mon intimité puis vient l’instant où son gland se fraye
maintenant son chemin là où seul lui peut aller. mon fourreau s’ouvre se
gonfle pour l’accueillir totalement. Pierre continue à me mordiller une
oreille cela me rend folle et ils le savent ! . Il se joint à Pierre.
– Vous allez me rendre folle !
– On est là pour ça !
Leurs quatre mains ne cessent de me câliner. Leurs deux langues de me
dévorer. François est totalement planté en moi. Son pieu dure occupe tout
mon vagin dilaté.puis me sentant prête, il entame un va-et-vient d’abord
lent.
La voix de Pierre nouée par l’excitation me chuchote
– Ca te plait avec François ?
– Oui il est si gros et si long !
– Tu en veux encore ?
– Oui mais encore plus vite et plus fort.
– Va plus fort ! Elle va jouir !
Le mouvement devient plus ample. Plus puissant de plus en plus vigoureux. Ma
respiration haletante trahit la montée de mon plaisir. Bloquée entre mes
deux hommes. Pilonnée vigoureusement mon corps s’apprête à l’extase
En effet un orgasme violent me submerge. Mon vagin se contracte
sporadiquement. Mes râles de jouissance retentissent aux oreilles de mes
partenaires enchantés. Les coups de rein de François continuent de plus
belle, de plus en plus vite et une seconde vague me submerge à nouveau.
François est vraiment infatigable. Moi la sage mère de famille je suis
transformée en femelle en chaleur. Je pose mes mains sur ses jolies fesses
musclées pour mieux sentir son mouvement. J’oublie Pierre et entoure mes
jambes autour de son corps. Son sexe luisant de cyprine sort presque
complètement de moi pour rentrer à nouveau jusqu’au fond de mes entrailles.
François relève mes jambes sur ses épaules. La pénétration est encore plus
profonde. son gland qui heurte ma matrice m’entraîne vers des nouveaux
tourbillons de plaisir qui me fait oublier toute retenue
– Oh c’est bon ! Continue ! Oui ! Oui ! Plus fort !
Sur de sa virilité, maître de lui-même François sourit
Le cognement du pieu d ébène s’accélère encore. L’orgasme violent arrive. Je
crie mon plaisir
François s’assoie sur la banquette. Déchaînée, je viens m’empaler dos à lui
ses mains d’ébène contrastent avec ma peau claire. Je peux admirer son sexe
luisant de mouille. Son gland qui sort presque puis mon corps qui à nouveau
glisse sur son pieu jusqu’à toucher ses testicules. Mon clitoris dressé. Mes
mains s’attardent sur ses bourses engluées de liqueur puis sur sa verge qui
coulisse entres mes lèvres intimes. Il me remplit tout mon vagin. Tandis que
ses doigts titillent mon bouton.je ferme les yeux pour mieux savourer cet
instant. Me retournant, je m embroche face à lui une lueur canaille dans les
yeux, allant et venant sur son engin frottant avec délice mes seins tendus d
excitation sur le poitrail sombre. j’ai envie qu il me prenne longtemps
– J’ai envie d’être sur toi
Je me dégage. François s’allonge sur le tapis devant le canapé je l’enjambe
et m’empale sur son sexe qu’il tient dressé entre ses mains. Maintenant
c’est moi qui donne le rythme, je lui fais l’amour le chevauchant avec
bien-être. Mon bassin monte puis descend sur son mandrin. Quel délice
d’aller et venir sur ce long pieu de chair ! Je me soulève, une main sur nos
sexes puis je m’empale à nouveau complètement jusqu’à la garde, son gland
cogne contre mon utérus. Pierre est assis devant nous l’autre main saisit
son sexe. Je lui souris d’un air canaille tout en le masturbant doucement le
sentant sur le point de craquer j’abandonne mes caresses. Il m’embrasse
tendrement puis j’embrasse François frottant à nouveau mes seins sur son
poitrail musclé. Ses mains posées sur mes fesses accompagnent le mouvement
de mon corps allant et venant sur son sexe. Tout en restant empalée, je
pivote lui tournant le dos je vois mon corps onduler sur son pieu d’ébène
ses mains posées sur ma peau claire. Son gland excite mon point G et je
jouis à nouveau en me cambrant en arrière
– Et une levrette ça te dit ?
Sur ces mots je me mets à quatre pattes et tends ma croupe.
– Viens ! Prends-moi bien à fond comme l’année dernière !
François s’approche et fourre son pieu d’ébène au plus profond de moi m
arrachant un petit cri a l instant ou il touche ma matrice, m’empoigne à
devant Pierre se caresse
– Oh oui continue ! C’est bon !
Je sens ses mains sur moi ; ses testicules qui me heurtent, son mandrin qui
me remplit complètement et cogne contre mon utérus ; mes seins à la pointe
durcie ballottent rapidement. J’entends claquement indécent de nos corps de,
ma respiration haletante, Pierre qui encourage François.
– Vas-y François prends la bien ! Et toi tu es heureuse et comblée ?
– Oh oui ! Merci ! Merci ! Il va bien jusqu’au fond !
Je vais au devant du sexe de François puis il me saisit et me besogne avec
violence avec une vigueur inouïe, le plaisir en est presque douloureux. Je
jouis pour la cinquième fois.
François se vide avec un cri rauque. un torrent de semence m’inonde le vagin
en jets puissants. Il se dégage Pierre très excité me pénètre à son tour et
se répand en quelques coups de rein. Je jouis à l idée que leurs deux jus se
mélangent au fond de moi
– Ca t’a plu ?
– A votre avis ?
– Heureusement que les voisins étaient absents car tu n’étais pas discrète !
– Avec un tel régime peu de femmes résisteraient
– Moi je suis prête à recommencer
– Laisse-nous récupérer !
Un sexe dans chaque main. Je souris à mes partenaires qui peu à peu
récupèrent. J’ai envie d’eux ! Qu’ils me fassent l’amour longtemps ! qu ils
me caressent ! François commence déjà à durcir. Sous mes caresses son pieu
grandit et s’allonge. Pierre retrouve aussi sa vigueur je les attire contre
moi ; ils commencent à me caresser habilement. Je sens leurs sexes se
frotter contre moi. Très complice, ils usent de leurs mains et de leurs
langues. Pierre effectue un délicieux cunnilingus pendant que François
caresse le haut de mon corps s’attardant sur mes seins, mes oreilles. Une
main se glisse vers mon sexe, l’autre caresse mon dos. Pierre continue à me
fouiller tandis que ses mains remontent vers mes seins. Ma main saisit le
sexe de François dont je caresse le prépuce puis ils échangent leur place.
Chacun d eux me fouille d une façon différente, la langue de pierre est
agile, celle de François plus ample tournant comme pour élargir mon puits d
amour et explorant chaque recoin François après m’avoir fait jouir avec sa
langue s’attarde sur mes mollets et mes pieds puis il me pénètre à nouveau
sans oublier de caresser d embrasser ma jambe posée le long de son épaule.
Pierre m’embrasse simultanément.nos langues se mêlent délicieux
Ses mains parcourent mon corps, jouent avec la pointe de mes seins tandis
que l’engin de François s’active en moi, sentant la sève monter. Il laisse
la place a pierre
Je ferme les yeux et m’abandonne complètement tellement c’est bon. Parfois
n’y tenant plus l’un d’eux se vide en moi. La banquette mise à plat favorise
toutes les combinaisons possibles. Complices imaginatifs, devenus
infatigables, ils se surpassent. Caressée, léchée, embrassée, fouillée,
pénétrée, besognée, remplie par leurs quatre mains leurs deux langues leurs
deux sexes, leurs deux semences. Ils sont devenus mes instruments au service
de mon seul plaisir la réalisation de mon fantasme a dépassé ce que j’avais
imaginé : une nuit inoubliable marquée de plusieurs orgasmes me laissant
– Je vous veux tous les deux dans ma chatte
– Tu es sure de ne pas avoir mal ?
– Non j’en ai envie. Regardez ! Je suis complètement ouverte
– Tes désirs sont des ordres
Pierre s’assoit sur le bord de la banquette je m’empale sur son sexe en lui
tournant le dos il m’embrasse le dos caresse mon clitoris puis introduit un
puis eux puis trois doigts dans mon vagin.
François s’agenouille face à moi, Pierre enlève ses doigts. Le sexe d’ébène
s’approche. Excitée et toujours ruisselante, je saisis cette tige de chair
caresse mon clitoris avec le gland et puis étonnée contemple ce second sexe
glisser facilement dans ma grotte tapissée de leur semence. Quelle
impression de plénitude de se sentir aussi désirée, aussi femme ! Je pose
mes mains sur les fesses musclées. Ils m’embrassent me caressent. Quelle
découverte ! Sentir deux sexes en soi ! C est divin ! . Nous les femmes nous
avons ces privilèges : faire l’amour avec deux hommes et jouir plusieurs
fois. !
Ils commencent leurs va-et-vient d’abord lentement puis graduellement le
mouvement s’accélère, ils me mordillent chacun une oreille l’orgasme arrive
violent irradiant dans tout mon corps. Mes mains descendent vers mon
entrejambe. Mes doigts entourent l’un et l’autre des sexes me pistonnant
englués de ma liqueur intime, jouent avec leurs testicules à travers les
bourses, s’attarde sur mes lèvres clapotantes et mon bouton dressé.
– Arrête, tu vas nous faire craquer maintenant et nous voulons encore te
faire jouir encore plus fort.
– Oh non ne craquez pas maintenant c’est trop bon ! j arrête car je veux
savourer le plus longtemps possible le mouvement de leurs sexes dans mes
entrailles
Pierre s’allonge, je me renverse en arrière les seins dressés. Les deux
hommes s’activent en accordant leurs mouvements je sens leurs testicules me
heurter tour a tour, le mouvement alternatif de leurs deux queues dans mon
fourreau dilaté, les mains de mon mari fermement appliquées sur mes reins.
Prise en sandwich, remplie comme jamais le plaisir est encore plus violent
je jouis à nouveau en hurlant mon plaisir, mon vagin se contracte
sporadiquement mes ongles se ‘plantent dans le dos de François qui s’active
vigoureusement. Je perds un peu la notion du temps. Je voudrais que cela ne
cesse jamais.
Perdant toute mesure, je supplie presque :
– Continuez c’est bon oh oui ! Encore ! Encore ! Plus vite ! Oh oui ! Comme
ça ! Continuez, je vous sens bien tous les deux ! Vous me rendez folle ! Je
n’ai jamais joui comme ça ! Oh oui François cogne bien au fond !
– Tu n’en as jamais assez ! Ca te plait ?
– Oh oui j’aime bien sentir vos deux bittes surtout toi, François quand elle
cogne au fond !
– Alors tiens ! Tiens ! Tu la sens bien ?
– Oh oui ! plus vite ! Encore ! Encore ! Continuez ! Continuez ! Que c est
bon deux queues je vais encore jouir !
Ils accélèrent puis changent. Je m’empale sur François pendant que Pierre me
besogne lui aussi avec force. N’en pouvant plus de m’entendre gémir de
plaisir
Ils me préviennent
– On va craquer !
– Non continuez ! encore ! Encore !
– Non on en peut plus ! ça y est !
Nous jouissons tous les trois en même temps dans un feu d’artifice de cris
de jouissance. Mon vagin se contracte et enserre leurs deux sexes. Ils
m’inondent de leurs jets puissants, l’éjaculation de François sur ma matrice
déclenche un orgasme inouï, mon corps se cambre le plaisir irradie dans tout
mon être en vagues successives. Je ne peux plus rien faire et je hurle ma
jouissance en labourant inconsciemment le dos de mon mari avec mes ongles.
Epuisés, ils s’écroulent. Leurs deux corps serrés contre moi, leurs cœurs
battent la chamade, ils reprennent leur souffle Pierre se dégage. Allongée
sur François, couverte de sueur, je sens son sexe se rétracter en moi ; le
gland glissant lentement vers l’entrée de mon vagin. Puis je me dégage à mon
tour un peu étonnée de sentir mon vagin vide et si ouvert de ne plus sentir
leur sexe.
Je pose une jambe sur chacun d’eux, avant de m’endormir les doigts dans mon
sexe un peu douloureux béant d’où s’écoulent semences, liqueurs intimes
mélangés. Je suis moi aussi épuisée par tous ces orgasmes mais je ne me suis
jamais sentie aussi femme, aussi heureuse, aussi comblée…
A midi le soleil me réveille à travers les volets. Doucement je me dégage de
l’étreinte de mes partenaires. Le téléphone sonne c’est Christine la femme
de François enceinte de 8 mois
– Bon anniversaire ! C’était comment ?
– Extraordinaire nous avons peu dormi, ils se sont surpassés, je n’ai jamais
joui autant
A cette pensée mes doigts libres se glissent vers mon sexe déjà humide…
– Mon médecin nous a déconseillé les relations sexuelles. François est au
régime depuis un mois
– Ah, je comprends sa vigueur et la façon dont il m’a remplie et fait
l’amour
– Moi aussi je voudrais bien découvrir le triolisme avec deux hommes
– Repose-toi bien ton tour viendra et tu verras. Toute femme devrait vivre
cela une fois dans sa vie
A ce moment ils approchent et je sens leurs mains se poser sur moi
– Je te laisse au revoir
L’avion de François décolle à 22 heures et il n’est que midi… Nous avons
un peu de temps devant nous…
Cple91@netcourrier.com
Qu’est-ce qu’il y a d’alternatif là-dedans ?
Relisez l’incipit du texte, vous aurez la réponse !