Confessions scatos – 2
Mr de Montbaron par Pauline
Ce bon bourgeois qui se faisait appeler Monsieur de Montbaron mais qui n’était point noble, m’étant renseigné auprès de qui de droit, aimait la merde et donc la mienne. Quand la chose était possible, car on ne chie pas facilement sur commande, et que sa visite était imminente, j’allais chier ma merde dans les toilettes et m’abstenait de tirer la chasse. Dés son arrivé et après qu’il m’eut rétribué les services que je m’apprêtais à lui rendre, je lui indiquai qu’un cadeau était à sa disposition dans les toilettes. Il se déshabillais et entrait dans le petit endroit, en laissant la porte ouverte. Il récupérait ma merde, la léchait et se masturbait jusqu’à ce qu’il jute. Avec Rosine, nous gloussions : « Un client vite fait sans même y toucher, voilà qui change des peine-à-jouir » (les carnets d’une putain, 1951)
Mes émois par Bruno
Vera est une très jolie fille, brunette avec un corps incroyable. Un jour où j’avais rien à faire, je décidai de lui téléphoner pour lui proposer d’aller au cinéma. Véra était habillée d’une très jolie jupe et d’un haut assez moulant, très suggestif. Il n’y avait pas de grand films à l’affiche, on a choisi un truc d’horreur. j’avais une envie folle d’elle, je me suis dit à cet instant qu’elle ne sortirait pas du ciné sans avoir cédé à mes avances. Arrivé sur place la salle était vide, j’allais pouvoir mettre mon plan en marche ! Je voulais sentir ses cuisses sous mes mains habiles, je voulais l’embrasser sur sa magnifique bouche charmeuse. Après 15 minutes du film je me suis penché à son oreille et je lui dit :
– Véra, j’ai envie de te tripoter !
Elle m’a regardé avec un très jolie sourire. J’ai donc compris que la réponse était oui ! J’ai déposé ma main sur sa jolie nuque pour la caresser un peu, ensuite j’ai passé ma main dans les cheveux de la demoiselle.. Elle est d’une beauté incroyable. J’embrasse cette demoiselle au regard si tendre, j’ose déposer ma main sur une de ses cuisses, elle écarte les jambes un peu, je caresse ses jolies cuisses qui me fond tordre de désir. Je suis en parfaite érection. Je prends les seins de ma compagne et je lui demande si elle aime ça, elle me répond :
– Plotez-moi les nichons, jeune homme, et tirez-moi les tétons, vous aurez l’air moins con !
Je remonte sur les cuisses, j’ose sentir la chaleur fromagère qui se dégage de son entrejambe. Je glisse mes doigts sur son axe de plaisir, elle pousse de légers gémissements, elle commence à miauler. Après quelques minutes j’enfonce deux doigts en elle, je la masse d’une main favorable, elle se laisse faire encore plus, elle me chuchote à l’oreille qu’elle en veux encore plus ! Hum quelle douce chanson que celle-ci ! Je lui écarte les jambes en relevant la jupe, elle n’a pas de culotte, cette salope, je me mets à genoux devant elle. Je penche ma tête et je lui embrasse son jolie sexe humide elle me dit que c’est bon, je continue pendant plusieurs minutes.. Après une petite pose, parce qu’on avait envie de sucer un bâtonnet glacé, Vera dégage mon jean, sort mon chibre, le suce un peu mais pas assez longtemps à mon avis, puis décide de venir s’assoir sur moi, empalant ma bite dans son anus.. Elle me chevauche, je regarde autour de moi, des spectateurs sont entrés et font cercle autour de nous profitant du spectacle, certains ont sorti leur chibre et se l’astiquent avec vigueur J’ai jouis, ma bite est ressortie bien dégueu, enduite de sperme et de caca. Vera est toujours accroupie au-dessus de ma bite, elle pousse, un étron en forme de boudin sort de son cul et vient s’enrouler sur mon ventre
Les spectateurs se sont enfuis, je ne sais pas quoi faire de ce caca et Vera me fait un bisou en me disant « à une autre fois »
Imaginez mon émoi
Ce fut magique ! par Rollo
Ben non, ce n’est ni moi, ni ma maitresse sur la photo (en fait c’est maîtresse Gaia, je crois) mais ça m’a rappelé un souvenir inoubliable. J’avais rencontré une nouvelle maîtresse, très belle, pleine d’humour et d’un bon esprit. Elle m’a expliqué ses pratiques et m’a dit « une domination sans scato, c’est dommage ! » Je lui ai répondu que je n’étais pas prêt pour ça , elle n’a pas insisté, mais m’a dit qu’un jour « j’y viendrais parce que tous ses esclaves avaient franchis ce pas un jour ou l’autre », je l’ai laissé dire. Je suis devenu rapidement accro a cette maitresse, elle m’abreuvait de sa pisse, me faisait sucer des bites, m’humiliait et me torturait de mille façons. Puis un jour elle me dit carrément : « la prochaine fois je te chie sur la gueule » « Et si je refuse ? » « On ne se verra plus ». C’était probablement du bluff pourquoi se serait-elle privée d’un client, n’empêche que j’ai fais semblant d’accepter le deal et la fois d’après, je me suis allongé, j’ai vu son petit étron sortir de son joli cul, grossir et me tomber dessus. Ce fut magique !
Regarder une belle femme chier un long boudin ! Quel spectacle emoustillant !
Depuis quelques temps, ma copine et moi essayons de diversifier notre paysage sexuel, notamment en essayant de nouvelles pratiques.
Nous avons ainsi essayé la sodomie, or ma copine n’était pas très propre à cet endroit, et pour les préliminaires, j’ai fait un anulingus. Or j’ai aimé le petit gout de merde qui en imprégnait son anus. Le lendemain je lui ai alors demandé d’essayer de me faire caca dans la bouche, et j’ai adoré (surtout la sensation de chaud ).
Depuis, elle me fait souvent caca sur moi, et m’étale tout avec ses fesses dodues.
PS : j’aime aussi faire caca sur ses nichons et tout lécher !
Le merde ce n’est pas ma tasse de thé
Merci pour cette pertinente réflexion qui fait vachement avancer le schmilblick
Mon fantasme préféré est d’être attaché sous une chaise sur laquelle le belle femme s’assoit et me pisse et me chie sur le visage. Elle n’a pas pissé à fond et finit de le faire dans un saladier, elle y incorpore un peu de sa merde et mélange un peu jusqu’à ce que le liquide devienne d’une couleur marron, alors elle me m’oblige a tout boire. C’est bon !
Je me suis un peu retrouvé dans le dernier récit. Ma maîtresse à force persuasion m’a donné envie de gouter à cette humiliation suprême. Je me revoie encore étendu sur le sol, maîtresse accroupie au dessus de moi m’offrant le spectacle de son cul magnifique, elle a poussé, m’a demandé d’ouvrir la bouche et très vite j’ai eu sa merde dans ma bouche, ce fut une révélation, j’étais excité comme jamais et me suis branlé comme un dingue. C’était magique !
Faut vraiment aimer la merde pour faire des trucs pareils
En voilà une réflexion à 3 euros 50 !
Personne ne vous demande d’aimer ça mais sinon, oui il y a des gens qui aiment ça, dont moi-même, je ne fais pas ça tous les jours non plus, mais quand je suis en plein délire érotique je me lâche.
Bonjour MAthilda
oui c’est rare, mais c’est très excitant une femme qui accepte d’offrir son caviar à son partenaire !
Perso j’adore 😉
Allez affirmer comme ça que » une domination sans scato, c’est dommage ! » n’a strictement aucun sens !
Peut-être… mais ce n’est jamais qu’un propos rapporté par un contributeur et qui ne saurait engager le site
La seconde histoire n’a pas grand intérêt, mais la première m’intéresse.
Eddy, as-tu les références précises de l’ouvrage dont est tiré le primer article ? J’ai cherché sur le net, mais sans rien trouver, merci d’avance.
Hélas, non ! je me souviens d’avoir reçu ça par mail par un contributeur qui n’a plus donné de ses nouvelles depuis. On trouvait dans les années 1950/60 « sous le manteau » des petits opuscules avec des histoires coquines, la plupart étaient des publications clandestines sans dépot légal, ce qui explique la difficulté de les retrouver.
Aujourd’hui, je suis aux toilettes chez des amis. Ça fait deux fois que je tire la chasse et ce que j’ai déposé refuse toujours de s’en aller. Il n’y a pas de balais a chiottes pour m’aider et mes amis m’attendent depuis dix minutes
T’envoie un SMS à tes amis et tu leur dis que tu es dans la merde 😉