Chambre sous les toits
par Mondoi
Dans les années quatre-vingt, j’habitais une chambre de bonne sous les toits à Paris, dans le quartier St Denis, ce genre de chambre de quinze mètres carrés appelée studio, équipée douche-WC-coin cuisine, avec juste de la place pour mettre un lit, une table, une chaise et une armoire, pratique pour une célibataire qui débarque de sa province, en attendant des jours meilleurs, surtout d’avoir un plus gros salaire pour répondre aux exigences des loueurs, chaudes l’été, glaciales l’hiver, ces petits studios, situés en générale au septième étage, ont en plus le désavantage d’avoir des cloisons en « carton », ce sont des combles aménagés à moindre coup mais loués à prix d’or aux jeunes qui débutent dans la vie, l’ambiance sonore y est folklorique, tu entends tout ce qui ce passe chez le voisin et même » plus » , si vous voyez ce que je veux dire, mais bon, nous sommes entre jeunes et en âge de supporter ce genre d’inconvénients avec le sourire.
Je m’appelle Viviane, j’avais vingt quatre ans à l’époque, je débutais dans le milieu bancaire, arrivée depuis six mois dans la capitale, je ne connaissais pas grand monde, j’avais sympathisé avec une collègue du boulot, une femme célibataire plus âgée que moi de dix ans, elle m’avait fais visiter Paris et nous avions fait quelques sorties en boîte mais bon, elle semblait attirée par les femmes et après quelques gestes équivoques envers moi, j’avais pris un peu de distances avec elle, prétextant des cours par correspondance à bosser le soir, ce qui n’était pas faux d’ailleurs car je voulais progresser vers des postes plus motivants et mieux rémunérés, elle ne m’en avait pas tenue grief et m’encourageait même à persévérer, j’avait apprécié son attitude et elle était rentrée dans mon estime, je la trouvais belle dans ses moments de complicité et de gentillesse envers moi mais je n’étais pas prête à franchir le pas d’une relation homosexuelle, de tenter l’expérience peut-être, mais pas de vivre avec une femme, j’aime trop les hommes, je gardais donc de bonnes relations avec elle, Estelle qu’elle se prénommait, je savais qu’au moindre signe que je lui adresserais, elle serait là pour s’occuper de moi.
Pour en revenir à mon logement sous les toits, il faut que je vous parle de mon voisin de cloison, un gars de mon âge qui est assez turbulent en semaine mais calme le week-end, je ne sais pas ce qu’il fait comme travail, il n’a pas les mêmes horaires que moi c’est évident, je ne le croise jamais dans l’escalier, j’ai dû le voir une fois ou deux sur le palier, un mec brun pas mal, cheveux longs bouclés sur les épaules, 1m75, large d’épaules, blouson de rockers et petit cul dans des jean qui lui moulent le paquet, un regard de dragueur qui m’a évalué, pas trop mon genre de mec, il m’a dit bonjour et est rentré chez lui et hop, de suite, music à fond, il écoute des trucs que j’aimes bien mais la nuit, ça me réveille, il rentre à pas d’heure et souvent pas tout seul, la plupart du temps c’est avec une nana et j’ai le droit à la bande-son sans les images de leurs ébats.
Il y a des fois où ça reste discret, quelques soupirs, de légers bruits de sommier, la chasse d’eau des toilettes et c’est finis, je me rendors un peu humide entre les jambes mais d’autres fois, c’est l’orgie, bruits de bouteilles et de verres, music rock, ça rigole, ça glousse et j’ai le droit aux dialogues qui accompagnent les préliminaires et le coït, sans les voir, je peux imaginer ce qu’ils font et certaines fois, excitée par ce que j’entends, j’en ai la vulve trempée et j’en profite pour me faire un doigté, il m’ai même arrivé d’attendre tard le soir qu’il rentre avec une de ses amie pour me faire plaisir manuellement, l’oreille collée à la cloison, à son attitude avec elle, je sais d’avance comment cela va ce passer quand je l’entends parler crûment à sa chérie d’un soir ou à sa régulière, ma main part directement sur ma motte et j’écoute en m’astiquant le bouton.
– Hummm, tu es belle, déshabille-toi, regarde ce que j’ai pour toi, prends-la dans ta bouche, je vais te bouffer la chatte, viens sur moi, donnes-moi tes fesses, sont la des phrases que lui utilise régulièrement, par contre les copines sont plus avares en expressions imagées, j’en ai entendu quand même quelques fois qui laissaient penser que la fille était très excitée.
– Wouaaa, elle est grosse, tu vas me défoncer avec ça, va doucement quand même, hummm, tu sens bon la queue, met la moi profond, viens derrière si tu veux.
Là je dois dire que cela me trouble beaucoup quand je sais qu’il sodomise une fille, je ne l’ai jamais fais, je sais que l’on peut prendre du plaisir par là mais franchement, j’ai peur d’avoir mal et puis il y a l’hygiène, pourtant en parlant avec des copines au lycée, beaucoup semblaient y avoir gouttées et aimées cela, moi de mon côté, je trouvais que déjà aux toilettes quand tu es constipée c’est douloureux, alors une verge dedans, cela devait être pareille bien que quelques fois j’ai trouvé agréable le passage au toilettes et l’élargissement de mon sphincter, je n’avais jamais acceptée d’être prise par là par mon copain.
Un soir, il y a quinze jours de ça, une de ses amies avec laquelle la soirée semblait avoir bien commencée, protesta un peu au moment où, je suppose, il essaya de la prendre par derrière, j’ai tout entendu.
– Non… Alex… pas par là…
– Mais si, tu vas aimer…
– Non…aille… ça fait mal…c’est dégoutant…
– Pas avec moi, tu vas voir, je sais le faire sans douleur, tu vas prendre ton pied, je vais te préparer.
– Aille…! Cochon…! Qu’est ce que tu fais, hummm…c’est bon…ouiii…comme ça…
–
Je ne pouvais deviner ce qu’il lui faisait pour qu’elle soupir ainsi mais je comprenais que son refus devienne acceptation, puis il lui donna quelques conseilles du style.
– Détends-toi, pousse un peu
Et j’entendis la fille dire en gémissant que ça rentrait, il était arrivé à ses fins, elle poussa des petits râles au début puis se mit à ahaner à chaque coup de boutoir.
– Mmmouiii…Salop…c’est bon…ouiii, et lui de répondre:
– Tu es bonne avec moi, je vais te faire dedans.
Je suppose qu’il voulait dire « éjaculer » mais l’expression qu’il venait d’utiliser me troubla fortement par son côté « jeux humides », ci-bien qu’en plus de la masturbation de ma chatte, je me suis passé une main derrière pour toucher mon anus, c’était la première fois que je touchais cet endroit par plaisir pendant un doigtage, mon sexe avait ruisselé dans ma raie et mon petit orifice en était trempé, de plus, accroupie comme je l’étais au pied de la cloison, mes fesses étaient écartées comme si j’avais envie d’une pénétration rectale, mon anus était entre-ouvert comme un petit cratère, je caressais l’ouverture plissée et mon index glissa merveilleusement bien à l’intérieur, en quelque vas et viens de mon doigt dans mes fesses et des autres sur ma vulve, mon plaisir est monté de plusieurs crans, les cries de jouissance de la fille sodomisée m’ont fait venir en même temps qu’elle, je me suis mordue les lèvres pour qu’ils ne m’entendent pas crier et, chose nouvelle, j’ai giclé sur le sol, comme si j’urinais mais le liquide n’était pas pareil, j’y ai goutté pour savoir, apparemment j’étais une femme-fontaine qui s’ignorait, le touché rectal m’avait révélé.
Les jours qui suivirent furent comme une nouvelle vie, comme si j’avais découvert l’île aux trésors, mon anus pouvait me donner du plaisir, j’en étais toute retournée, quelle perte de temps, avoir si longtemps refusée d’être touché là, je rattrapais le temps perdu à chaque plaisirs solitaires auxquels je m’adonnais, je variais les positions pour rechercher une meilleur pénétration, je passais à deux doigts par gourmandise puis par plaisir d’être envahie, écartelée, parfois je n’attendais même pas d’avoir été aux W.C, mes doigts souillés m’excitaient aussi, je me voyais chienne lubrique, cédant à mon voisin qui me sabrait le cul avec son énorme engin, je dis « énorme » mais c’est pour le fantasme, en fait je ne sais pas si il est bien monté, en tous cas ses copines ont l’air contentes.
Le « voisin » Alex, en voila un qui obsédait mes nuits, à force de me doigter la rondelle, j’en étais arrivée à vouloir me faire dépuceler le petit trou et pourquoi pas par lui qui avait l’air d’en connaître un rayon sur la chose pour avoir fait céder sa copine rétive de l’autre jour, je me creusais la tête pour trouver une excuse afin de rentrer en contact « rapproché » avec lui, j’ai commencé par accrocher mes culottes sur un fil à la fenêtre pour les faire sécher, moi qui ne fais jamais ça, je les sèches à l’intérieur mais cela allait peut-être lui donner des envies quand il les verrait puis j’attendais d’entendre ses pas dans l’escalier pour sortir et ainsi le croiser plus souvent mais pas de chance, il a disparu, peut-être en vacance, en tous cas je restais sur ma faim, j’avais un besoin urgent de relations sexuelles, pas de petit copain en ce moment et comme amie, j’avais mes deux mains mais je me lassais du tripotage solitaire, il me restait Estelle à qui je ferais bien des confidences pour obtenir des conseils sur la « chose » par derrière mais ce n’est pas facile de parler de cela, même entre femmes et puis j’étais certaine de devoir passer à la casserole avec elle si j’entrais en confidences intimes, je lui fis quand même signe au travail, je lui proposais d’aller au ciné samedi soir et de manger après, ce qui lui convint parfaitement.
J’ai choisis un film romantique sur la vie d’un couple dont la femme tombe amoureuse d’une autre, ça n’a pas loupé, Estelle à posée sa main sur ma cuisse dès le début de la séance et comme j’étais en jupe, elle n’a pas eu de mal à trouver mon minou et à me caresser pendant tout le film, elle passait ses doigts sous la couture de ma culotte et humait ses doigts, au début des attouchements, je repoussais plusieurs fois sa main pour faire « style la fille prude qui veut pas », je savais que ça allait l’exciter encore plus, elle a finie par me doigter le clito et j’ai jouis sur le fauteuil, laissant une grosse trace humide en quittant la salle, ma culotte était trempée, nous sommes allées à Montparnasse manger dans un petit restau-crêperie, j’ai pris un boudin aux pommes, allusion aux questions que je lui posais sur la sodomie pendant le repas, elle a pris des crevettes, ça ne la changeait pas du parfum qu’elle avait sur les doigts, elle n’a pas parue choquée ou gênée quand je lui ai dis que je voulais tenter l’expérience de la sodo avec mon copain mais que je n’étais pas assez renseignée sur l’hygiène et la méthode pour bien le faire, nous avons finies par une crêpe à la crème de marron, nous étions sur la même longueur d’onde, elle m’a fait du pied sous la table pendant que nous mangions puis elle m’a invitée à prendre un verre chez elle pour finir la soirée et m’instruire sur la « chose », j’ai accepté avec plaisir sachant qu’elle allait surement chercher à renouveler ce qu’elle m’avait fait au ciné et même plus, j’avais la moule en feu et l’œillet qui me démangeait, de plus j’avait envie d’elle, de la voir nue et de la caresser, de sentir son sexe, de le lécher.
Une fois chez elle devant un verre de liqueur, elle me mit à l’aise par sa franchise, me racontant ses premières fois par derrière, ce qu’il fallait faire pour s’ouvrir à la pénétration anale et éviter les contractions qui rendent l’introduction douloureuse puis au sujet de la propreté rectale, elle me présenta sa solution, une poire à lavement, me proposant de m’en offrir une comme cadeau en signe d’amitié, j’étais un peu gênée par l’intimité « scato » de la discussion, elle me rassura en me disant que c’était un acte de propreté et d’hygiène que beaucoup de femmes pratiquent avant de se faire enculer afin de ne pas souiller la verge de leur partenaire.
– Ca ne fait pas mal au moins? Demandais-je innocente
– Mais non, ce n’est que de l’eau à 37° tu verras, tu vas même aimer ça, j’en suis sur, et pour ce qui est de la sodomie, si tu en as envie, j’ai ce qu’il faut pour te faire connaître ce plaisir en douceur avant que ton copain ne s’occupe de toi, tu seras ainsi prête à le recevoir, tu veux… ?
– Oui…apprends-moi…
–
Estelle s’est rapprochée pendant la conversation et comme au cinéma, elle a recommencée à me caresser les cuisses en remontant sous ma jupe pour toucher ma culotte mouillée.
– Hummm… tu es trempée petite cochonne…
– Je… je ne l’ai jamais fais avec une femme, avouais-je
– Ce n’est pas important, laisses-moi te guider, t’apprendre à offrir tes fesses et à jouir du petit trou.
–
Elle a collée sa bouche sur ma motte, la tête sous ma jupe, Estelle me broute à travers le tissu de ma culotte, une bouche chaude et humide qui provoque l’envie d’écarter les cuisses afin de lui donner un accès total à mon intimité, devant mon attitude lascive et mon silence approbateur, elle commence à me déshabiller, ma jupe glisse sur mes pieds, elle m’enlève mon top en me caressant les seins, je n’ai pas mis de soutif pour l’exciter avec mes petits nichons qu’elle n’a pas arrêtée de mater pendant tout le repas, elle me tète les pointes en me caressant la chatte, c’est terriblement agréable, je me liquéfie encore plus, Estelle finie par m’enlever ma culotte en se mettant à genoux entre mes cuisses et de suite entame un cuni de connaisseuse en me faisant relever les jambes, exposant ainsi à son regard, toutes les parties secrètes de mon anatomie, je suis troublée et gênée qu’elle puisse ainsi tout voir de moi, même mon anus, en général je fais l’amour avec une lumière éteinte ou tamisée, je n’ai jamais exposé ma vulve et ma raie de cette façon devant un garçon mais avec elle c’est différent, je me sens complice et en osmose, sans doute parce qu’elle est femme, faite comme moi, connaissant l’intimité d’un corps de femme, le gout et le parfum de ses sécrétions de plaisir, je me laisse totalement aller à ses caresses impudiques.
Estelle me fait tout et partout, rien ne lui échappe, aucun recoin n’est épargné, sa bouche et sa langue virevoltent sur mon sexe et entre mes fesses, elle lèche, suce, aspire mes chairs en chaleurs, elle me fouille le vagin de son appendice buccale, je gémis de plaisir, ses mains me caressent le pubis et les fesses, des doigts habiles et mouillés massent ma rosette vierge en douceur, je me contracte par réflexe et par pudeur, de peur de trop ouvrir cette petite porte qui recèle des parfums pas forcément érotiques mais Estelle sait y faire et malgré moi, le muscle de mon anus se détend et je ne contrôle plus son ouverture, j’ai honte de ma réaction corporelle et en même temps, j’attends avec émoi le moment où elle va introduire un doigt dans mon cul.
Mais à mon étonnement, c’est sa bouche qui vient remplacer ses doits sur mon trou de balle, je suis propre, je me suis douchée avant de sortir mais quand même, je n’ai jamais imaginé que l’on puisse aimer venir lécher cet endroit qui sert à ce que l’on sait, y mettre un doigt ou un sexe avec capote d’accord mais y mettre la langue, faut vouloir et pourtant, c’est ce qu’Estelle est en train de me faire, je sens sa baveuse qui me pénètre et qui s’agite dans mon anus entre-ouvert, elle m’a rentrée le pouce dans la sexe et me branle le clito avec la main à plat, l’association de cette double caresse me transcende et fait naître en moi des sensations jouissives inconnues et l’envie de me faire enculer, mon orifice anal réclame plus, plus gros, plus profond, comment Estelle à t’elle compris cette demande muette, elle retire sa langue, recouvre son index de salive en me fixant dans les yeux, son regard reste braqué sur moi attentive à mes réactions, au moment où elle me l’enfonce par surprise, d’une seule traite dans le sphincter.
Ce que je ressens à ce moment là n’a rien à voir avec mes expériences solitaires de doigtage anal, se le faire faire par elle est bien plus surprenant, une douce violence mêlant les sentiments de profanation intime et de fouilles rectal, son doigt s’enfonce plus profondément que je n’arrive à me le faire, j’en ai eu le souffle coupé un instant, un petit hoquet de surprise.
– Tu as mal ? Tu veux que j’arrête ?, m’a-t-elle demandée prévenante.
– Hummm…non…continus…c’est bon…
– Ouiii… pousse ma chérie, me dit-elle en reprenant ses caresses buccales, les bruits de succion et de clapot de sa bouche sur ma vulve dégoulinante de jus me rendent folle, je deviens truie, je pousse sur mon muscle anal pour mieux recevoir le doigt qui me viol, Estelle commence alors des vas et viens qui me comblent de bonheur, elle me prévient:
– Tu prends bien ma chérie, tu mérites mieux que mon doigt, si tu le veux, je voudrais faire l’homme avec toi, ainsi ton initiation sera complète…?
– C’est quoi « faire l’homme » ?
– Attends deux minutes, tu vas voir dit-elle en sortant une boîte à chaussures de dessous le canapé.
Elle l’ouvre devant moi et en extrait une ceinture de cuir munie de lacets avec un cache sexe grand comme le devant d’un string mais avec une petite ouverture, une sorte de fixation, j’ai déjà vu ce genre de chose dans des revues spécialisées en jouets sexuels, c’est une ceinture pour godemichet dont les lesbiennes se servent pour leurs ébats et pas qu’elles d’ailleurs car j’ai lu que des épouses s’en servaient sur leurs maris mais là, il n’y a pas de gode, Estelle voyant mon regard interrogatif me sourit et sort de la boîte le complément qu’il manque, trois godes de différentes formes et tailles, qu’elle dispose à côté de moi.
– Voila mes bites dit-elle en riant, tu peux choisir mais je te conseille la plus petite pour commencer, les autres sont pour les initiés ou pour ceux ou celles à qui je ne donne pas le choix.
– Tu le fais à des hommes? Lui demandais-je étonnée
– Mais bien sur ma chérie, tu ne soupçonnes pas le nombre de garçon qui ne sont pas homos mais qui aiment se faire prendre par derrière, j’ai quelques dépucelages d’anus d’hommes à mon actif, de femmes aussi, comme toi qui va y passer, dit-elle en finissant de s’harnacher, vas-y, choisis celui que tu veux dans tes fesses et tournes-toi !
Effectivement le plus petit semble être le mieux adapté pour une première fois, une verge couleur chair en latex de quinze centimètres de long et trois de diamètre, cela me semble suffisant, les deux autres sont pour moi des objets de torture, l’un est un sexe noir Africain démesuré et large avec un gland violacé énorme et des grosses couilles velues et l’autre un truc style » Alien », aussi long et gros mais en plus annelé et recouvert de picots en forme d’écailles, brrr, cela me donne froid dans le dos, faut être tordu pour aimer se faire mettre ce genre de chose ou alors en manque de sensations fortes, après avoir vu le film ou pendant, je m’interroge.
Je lui désigne du doigt celui que j’ai choisis, Estelle se le fixe sur l’ouverture prévue à cet effet, je me tourne, lui présentant mes fesses, elle me donne quelques claques dessus.
– Maintenant, je suis un homme, je vais te parler comme un homme, te baiser comme un homme, t’enculer comme un homme, je ne le fais pas pour te rabaisser mais pour que tu sois comme en situation ainsi, tu ne seras pas surprise ou déçue par le comportement de ton copain quand il te fera le cul et toi, laisse-toi aller au plaisir, donne moi ton trou maintenant.
– Vas-y doucement quand même, je suis vierge de ce côté!
– Plus pour longtemps ma chérie, tend ta croupe, cambre toi, et surtout, pousse pour que ça rentre sans douleur.
Je prends alors, la position la plus impudique que je n’ai jamais eu dans une relation sexuelle, je joue la chienne soumise attendant la copulation, Estelle m’écarte les fesses et je l’entends me cracher sur l’œillet, le gland du gode frotte mon ouverture un moment puis, sans me prévenir, Estelle me sabre l’anus d’un coup, d’une seule traite, comme un viole, elle s’enfonce en moi en me tenant fermement par les hanches et le phallus artificiel me brule légèrement au passage mais c’est moins douloureux que je ne l’imaginais, je suis remplie par sa queue, j’ai un moment la sensation d’avoir un besoin pressant, je serres les fesses en poussant un crie de surprise.
– Wouaaaail !… tu me déchire le cul…!
– Tu veux que j’arrête de te baiser, petite salope ?
– Nooooon, vas-y… mets la moi…enfonce…
–
Elle ne se fait pas prier et commence un lent ramonage, ma vulve demande des câlins et je passe une main entre mes jambes pour me triturer le bouton, Estelle a pris une vitesse de croisière et me laboure le sphincter par de grands vas et viens, elle ressort de mon cul et se renfonce, j’aime sa façon de m’enculer, je sens le plaisir monter de partout, de ma chatte que je masturbe, de mon sphincter qu’elle défonce comme un homme en me tenant par les hanches en enfonçant ses ongles dans mes chairs.
– Tu es une bonne chienne, me dit-elle, tiens, prends ça et elle me pilonne de plus belle.
D’un coup, je sens l’orgasme arriver, bouillant comme de la lave, je jouies comme une folle en pissant sous moi, dans la main qui me branle et sur le canapé.
Une fois remise du traitement rectal initiatique, Estelle m’a fait comprendre qu’elle avait envie de se faire prendre par les deux trous mais avec la queue Africaine dans les fesses et la bite d’Alien dans la fente, elle s’est mise sur le dos, jambes relevées et largement écartées, exposant impudiquement ses orifices, devant moi, elle s’est introduit la verge monstrueuse de la bête de l’espace dans le vagin, se masturbant à la force du poignet puis, après lui avoir vaseliné l’anus en lui rentrant deux doigts crémeux de pommade, je l’ai enculée de face avec l’énorme sexe black, elle a gueulée pendant l’introduction anale, l’élargissement devait être quand même douloureux pour une habituée de ce genre de calibre, surtout ajouté à celui qu’elle avait déjà dans le ventre, Estelle a posée ses jambes sur mes épaules et j’ai pilonné son cul, essayant de lui rentrer tout le morceau dans le derrière, elle a jouie au bout de cinq minutes, se rependant en plaintes et gémissements orgasmiques, elle aussi à giclée son bonheur sur le canapé, élargissant la tâche que j’avais faite.
J’ai passé la nuit avec elle, au matin, elle m’a apportée un délicieux petit-déj au lit et m’a bouffée la chatte aussi délicieusement, une fois mon café bu, je ne vous dis pas l’odeur qu’avait ma vulve mais elle aime ça les parfums intimes un peu corsés, elle aime d’ailleurs beaucoup de choses que je n’avais jamais faites, comme se faire uriner dessus, allongée nue sur le carrelage de la cuisine, elle m’a même demandée un petit plus très spécial, un présent moulé par mon rectum mais j’ai fais un blocage, je ne suis pas encore prête à faire ce genre de chose, en partant, je lui ai fais cadeau de ma culotte souillée, elle a eu l’air contente.
Maintenant initiée à la sodomie, je me sentais plus courageuse pour aller à la rencontre de mon charmant voisin, pendant la semaine, je me suis mise à l’épier plus assidument et un après-midi où j’étais en RTT, je l’entends rentrer, mon cœur se met à battre et je sens ma fente s’humidifier de désir, il faut que je me calme un peu pour ne pas passer pour une nymphomane, j’entends sa douche couler, c’est bien, il va être propre, j’attends qu’il est finit et part sonner à sa porte, il n’ouvre pas de suite, surement occupé à s’habiller, je ré-appuis sur la sonnette et la porte s’ouvre sur mon voisin, cheveux mouillés, teeshirt blanc à la James Dean et jean moulant un paquet prometteur au niveau de la braguette, je me présente en bégayant un peu, confuse de le déranger et en même temps excitée de le voir dans son intimité.
– Bon…bonjour…excusez-moi de vous déranger…je suis votre voisine de palier…
– Ha… bonjour !? dit-il souriant, en me regardant de la tête aux pieds au point que je me sens déshabillée du regard.
– Je voudrais vous parler mais peut-être préférez-vous que je repasse plus tard ?
– Heuuu…non…c’est à quel sujet ?
– Et bien voila, je ne sais pas si vous le savez mais les cloisons ici on l’épaisseur du papier à cigarette et je voulais vous prévenir que tout s’entend d’un studio à l’autre, même quand vous allez aux toilettes.
– Je vois, c’est à cause de la musique trop forte le soir que vous me dites cela ?
– Je ne vous reproche pas la musique, j’aime bien certains trucs que vous écoutez, c’est vrai que vous mettez fort certains soirs mais bon, j’écoute et j’arrive à m’endormir quand même, non ce n’est pas ça le problème.
– Je vous prie de m’excuser pour le bruit, mais je finis tard et je ne fais pas attention aux autres, je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un dans le studio à côté, je ne vous vois jamais, nous n’avons pas les mêmes horaires.
– Oui, ça doit être cela mais ce que je veux dire, c’est que je vous entends, même quand vous n’écoutez pas de musique, vous comprenez ?
Je voie son visage changer d’attitude, il devient interrogatif, commençant à comprendre de quoi je veux lui parler.
– Heuuu…vous voulez parler des soirs où je reçois du monde ?
– Oui…je suis gênée de vous dire cela, mais certains soirs…avec vos amies…vous comprenez ?
Là, il pique un fard, les souvenirs doivent lui remonter d’un coup au cerveau, surtout les plus intimes.
– Hum…je vois…effectivement…c’est gênant…, me répond-il en bredouillant.
J’enfonce le clou en lui donnant une précision qui va l’éclairer complètement.
– Votre vie privée ne me regarde pas, mais il y a quinze jours, vous avez fait fort avec votre amie, j’ai tout entendu.
–
Il est totalement décontenancé par ma révélation, sans doute les images de sa copine refusant la sodomie lui reviennent à l’esprit, il jette même un œil dans l’escalier pour voir si personne n’a entendu ce que je viens de dire, il fait un pas en arrière et m’invite à rentrer chez lui.
– Je peux vous offrir une tasse de thé pour m’excuser et voir comment atténuer mes nuisances sonores ?
– Je ne veux pas vous déranger, dis-je pour ne pas passer pour une fille facile et pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque, j’en ai la culotte collée.
– Vous ne me dérangez pas, j’allais m’en faire un et je vous dois bien ça, entrez.
Je passe la porte et me voila dans un studio de mec célibataire, une table basse, un canapé, un meuble avec une chaine stéréo et une collection impressionnante de 33 tours vinyle, un grand lit à peine fait, surélevé comme un autel de sacrifices une chaise et une guitare, ça sent un peu la clope mais il aère de suite et arrange le dessus de lit, sinon c’est propre, l’aspirateur à été passé sur la moquette récemment, pas de fringues qui trainent, tous les intérieurs de célibataires ne sont pas comme ça.
– Asseyez-vous pendant que je prépare le thé, me dit-il en me présentant le canapé, je reviens de suite.
Il file dans son coin cuisine, un couloir étroit qui longe la salle de bain-wc, je regarde un peu sa déco, c’est sommaire, un poster d’un bon groupe de rock que j’aime, celui avec un dirigeable en flammes, quelques photos de famille, des bd sur une étagère, une collection de sabres et de poignards accrochés au mur, il revient avec deux tasses et une théière et s’assoit à côté de moi, il est bien foutu, j’ai eu le temps de mater son joli petit cul, il est assez carré des épaules et musclé des bras, je lui demande ce qu’il fait comme boulot pendant qu’il me sert la chaude boisson.
– Je bosse dans la restauration, adjoint de gérant, je dois être partout, cuisine, salle, bar et jusqu’à pas d’heures, c’est pour cela que je rentre tard.
– Ok, pas facile comme métier, lui dis-je condescendante.
– Oui c’est vrai, mais on y rencontre des gens sympa.
– Je vois… comme les amies que vous invitez le soir, dis-je provocatrice mais pour aussi lui rafraîchir la mémoire.
– Touché ! fait-il en portant la main au cœur, vous ne pardonnez pas facilement ?
– Pardonner quoi…? Dis-je innocente, ce n’est pas moi qui refusais je ne sais quoi, l’autre soir.
– Hum…je vois que ce qui s’est passé à dû vous choquer pour que vous insistiez de la sorte.
– Je ne sais pas ce que vous avez voulu faire à cette fille mais elle n’avait pas l’air de vouloir se laisser faire, quand une femme ne veut pas, il ne faut pas l’obliger.
– Oui c’est vrai, je suis d’accord avec vous mais après, elle a acceptée et nous avons fait moins de bruit?
– Ce n’est pas faux, elle a même eu l’air d’apprécier ce que vous lui avez fait, j’ai eu du mal à me rendormir, ajoutais-je en baissant les yeux façon pucelle effarouchée.
– Vous auriez dû venir frapper pour me le dire.
– Et vous déranger en pleine action ?
– Je vous aurais ouvert.
– Et invitée à participer aussi, pendant qu’on y est ?
– Pourquoi pas, me répond-il sans aucune gêne, avec dans le regard une lueur un peu lubrique.
– Vous ne manquez pas de culot lui dis-je en riant, il aurait fallu que j’accepte aussi cette chose qu’elle ne voulait pas et pourquoi pas, faire des trucs avec elle ?
– Ecoutez…cette « chose », comme vous dites, quand elle est bien faite, est très agréable, vous l’avez entendu aussi non ?
– Je dois dire que j’ai été étonnée qu’après ses paroles de refus, elle en redemande, vous devez être un dieu au lit ?
– Pas plus que d’autres, mais je m’applique.
– Et c’est quoi cette chose que vous lui avez fait ? Demandais-je sans me dégonfler.
– Hum…la sodomie…me répond-il en me regardant droit dans les yeux, vous connaissez ?
Lui non plus ne se dégonfle pas, direct dans sa question, il évalue ma réaction de son regard interrogatif avec un sourire au coin des lèvres, il sait qu’il vient de poser une question très indiscrète, touchant à mon intimité profonde, je me sens fondre de désir pour lui, la moiteur de mon entre-jambe n’a fait qu’augmenter depuis que je suis assise et je me liquéfie carrément en voyant arriver le moment où je vais lui céder.
– Je connais…mais je…dis-je, en baissant encore une fois les yeux.
– Mais vous…? demande-t-il d’une voix suave, insistant pour que je parle de moi et de ma sexualité.
– Heuuu…je n’ai jamais…comment dire…fait ça.
– Ce n’est pas grave, ne soyez pas gênée, toutes les femmes ne le font pas et il n’y a pas d’âge pour découvrir ce plaisir, la vie est remplie d’expériences.
– J’ai toujours eu peur d’avoir mal si je faisant ça, lui dis-je, jouant l’innocente.
– Si l’on en a envie et que le partenaire est attentionné, cela mène à l’orgasme.
Il s’est rapproché de moi et a posé une main sur mes cuisses, je sens son souffle sur mon visage, ma chatte et mon anus crient famine, je dirige ma bouche vers la sienne et nous nous embrassons avidement, nos langues se rencontrent, sa main glisse sous ma jupe en me caressant les cuisses que j’écarte en signe d’acceptation, j’envoie une main sur les siennes cherchant à toucher son paquet cadeau, il est là, dur et chaud, tendant la braguette à l’extrême, ma main remonte sur son torse musclé et légèrement velu, je le griffe, lui pince les tétons, la sienne est déjà arrivé sur ma motte et il me caresse la vulve à travers le tissu mouillé de ma culotte, j’apprécie la douceur de ses doigts qui ont l’air de connaître parfaitement l’anatomie féminine.
– Vous voulez tenter l’expérience ? me demande-t-il tendrement à l’oreille.
– Promettez-moi de le faire en douceur, si j’ai mal vous arrêtez, d’accord ?
– Parole donnée.
Je suis détendue et prête mentalement à le recevoir dans mon petit trou, Estelle m’a offert l’objet promis pendant la pose déjeuné du lundi, elle m’a même montrée comment bien m’en servir dans les toilettes du personnel, je dois dire que cela a été très hot, façon infirmière qui aime les femmes, à deux dans les WC avec en bonus un doigtage de moule pendant que j’évacuais le lavement, ce matin, je m’en suis fais un petit toute seule comme une grande, je n’ai aucune angoisse quand à ma propreté rectal, une seule chose me questionne encore, c’est la taille de son machin que je n’ai jamais vu, j’ai bien entendu plusieurs fois ses amies le complimenter sur ses proportions phalliques mais jamais se plaindre d’un attribut trop énorme pour être reçu dans les fesses, je me laisse glisser contre son corps pour me retrouver à la hauteur de la ceinture de son pantalon que j’ai déjà défaite, je fais descendre la fermeture de la braguette en lui massant la bosse qui la déforme, le tissu de son slip se tend en forme de tente de camping aussitôt libéré, je devine qu’il y a de quoi se faire plaisir la dessous.
– Nous serons plus à l’aise sur le lit, me dit-il à l’instant où je vais pour extraire sa queue du slip.
Il se lève et entame un strip-tease devant moi en commençant par le haut, dévoilant des pectoraux de sportif et des abdos bien dessinés puis il enlève son jean et reste un instant à me regarder.
– Tu ne te déshabille pas ? me demande-t-il.
Je n’ai pas l’habitude de ce genre de situation, en général je préfère que ce soit l’homme qui m’enlève mes vêtements ou je me dessape dans le noir mais bon, comme il me fait un strip, je me lance pour lui en faire un et me voila au milieu de la pièce, enlevant mes habits un à un pour finir en culotte comme lui, il m’a observé avec délectation pendant mon déshabillage, se massant même le service trois pièces à pleine main, je m’approche de lui et remplace sa main par la mienne que je glisse à l’intérieur pour lui sortir son outil emprisonné, la vache, quel beau morceau il a, et une imposante paire de testicules qui doivent être pleine de jus, je fais descendre son slip et la verge se redresse d’un coup, comme la lame d’un couteau automatique, je ne sais pas si c’est cela que l’on appelle un bras de bébé mais ça y ressemble, le gland aussi est de taille, recouvert d’un prépuce qui se termine par un petit tuyau de chair fripée, je suis impressionnée et me dis que je vais déguster.
Lui, de son côté, saisit l’élastique de ma culotte par les côtés et la fait glisser le long de mes jambes, je lève un pied puis l’autre pour qu’il me l’enlève complètement, il la porte à son nez et la hume les yeux mi-clos comme on le fait avec un fromage, j’ai honte des parfums intimes qu’il risque d’y trouver, je mouille comme une folle depuis que je l’ai entendue rentrer chez lui et j’ai été faire pipi plusieurs fois depuis ma toilette de ce matin, après quelques seconde de reniflage, il rouvre les yeux.
– Vous sentez bon, j’aime votre odeur de femelle, il jette ma culotte et me prend par la main pour m’entraîner sur le lit où il me fait m’allonger sur le dos.
Je me laisse totalement faire, c’est lui qui prend les initiatives, il me caresse les seins, les tète, descend vers mon nombril en me léchant le ventre de la pointe de sa langue, je frissonne, il m’électrise, encore plus quand il pose sa bouche sur mon pubis en m’écartant largement les cuisses, il descend à la cave.
– Hummm…vous êtes bonne…vous sentez la pisse.
– Ho…pardonnez-moi, je peux aller faire un brin de toilette si vous préférez ?
– C’est très bien comme cela…j’adore…dit-il en replongeant dans ma fente.
Il sait y faire, de suite je ressens les premiers émois délicieux provoqués par sa bouche et sa langue, Estelle est une super brouteuse et je ne crois pas avoir eu autant de plaisir à me faire lécher par quelqu’un d’autre qu’elle mais Alex est très délicat, très doux, il sait où cela fait du bien, il ne brusque pas les choses, il alterne suçotage et léchouille, titillements et grands coups de langue râpeux, par moment elle part explorer le canyon de ma raie, glissant dans ma pilosité de brune pour atteindre le pourtour boursouflé de mon anus, je replie les jambes vers moi dans une impudeur totale pour lui en faciliter l’accès, j’entends sa bouche déposer de la salive sur l’ouverture frémissante, j’applique le conseil d’Estelle et pousse légèrement sur mon sphincter pour m’ouvrir à un éventuel touché rectal, Alex s’en aperçoit et un doigt remplace sa langue, il revient téter mon clito et m’enfonce son index dans le cul d’une seule traite, pour ne pas ressentir de douleur, je continue à pousser, le doigt rentre entièrement et me fouille le conduis, le cuni qu’il me fait, allié à la pénétration digitale me rend folle et c’est moi qui prend l’initiative de la suite des évènements, je le repousse gentiment et me retourne pour lui présenter mes fesses.
– Fais le moi maintenant… lui dis-je en m’écartant les globes des deux mains dans une invitation digne d’une scène pornographique.
– Tu le veux vraiment…? me demande-t-il.
– Ouiii…
– Prouve-le moi…dit-moi le phrase magique…
– Encule-moi…lui dis-je honteusement la tête enfoncée dans la literie, cambrant mon dos et mes hanches dans une posture de soumission totalement impudique.
Il reste debout devant le lit, son bassin étant pile poile à la hauteur de mon cul et il vient poser son gland sur mon ouverture vaginale, je suis surprise qu’il n’aille pas directement sur mon anus mais je comprends vite qu’il vient pour se lubrifier la verge à la source de mes mouillements, il me pénètre comme ça, fait quelques allés- retours, étale mes sécrétions du bout des doigts sur ma petite porte et enfin, appuis la boule de chair contre ma rosette.
– Tu sais ce que tu dois faire pour que cela se passe bien ? me demande-t-il.
– Ouiii…vas-y…lui dis-je en poussant sur mon sphincter comme m’a appris à le faire Estelle.
– Bien… ouiii…comme ça…dit-il en voyant mon anus s’ouvrir
De suite je ressens la pression exercée par sa queue qui force le barrage de mon muscle anal, je pousse encore un peu et son pieu de viande entre en moi dans une glissade incontrôlée, je suis envahie, écartelée du petit trou, je la sens passer avec un peu de douleur mais ça ne dure pas, c’est chaud et humide, souple et dure à la fois, il progresse maintenant au ralentis dans mon conduis rectal et bientôt, les poils de son pubis viennent se frotter à ma raie, ça me fais un gros morceau dans le cul, comme les jours de grosse commission, c’est du moins la première sensation que j’ai, lui en tous cas, a l’air d’apprécier.
– Hummm…aaahhh…fait-il en s’enfonçant en moi.
Il me laisse récupérer un peu de souplesse anale car j’ai eu une contraction réflex pendant l’introduction, il me caresse le corps, les seins, la moule, le clito, je me détends tranquillement, testant même l’état de ma rondelle par quelques mouvements du sphincter sur sa bite, tout va bien, il peut me sodomiser à fond maintenant, je suis prête à me faire défoncer, aucune douleur, aucune angoisse, mon cul est à lui.
– Encule-moi Alex…casse-moi le cul…lui dis-je comme dans un rêve de désirs sodomites.
Il se met en mouvement, ressortant son braquemard tout doucement, au début je ressent comme une aspiration, comme si j’allais me vider, mais je sais que je suis propre et Estelle m’a parlée de cette sensation d’avoir envie de faire que l’on a la première fois, je l’ai sentie avec elle quand elle m’a mit son gode dans les fesses, je pousse encore quand il me replante sa queue dans l’anus, cette fois, je suis pleinement accueillante, il doit s’en rendre compte et commence à me labourer le conduis de façon plus masculine, il me lime le cul avec des grands vas et viens, j’en ai le souffle coupé, il me baise comme une chienne, me ramone la tuyauterie de toute la longueur de sa verge, plusieurs fois il ressort pour me réenculer, je suis un cul à bite, une empapaoutée du dargif, une dévergondée de la boîte à chocolat, et comme Estelle me l’a conseillée, je me triture le cornichon et les escalopes, sans oublier de me visiter la grotte avec les doigts pour en rajouter au plaisir rectal, une chose m’excite aussi pendant le burinage, c’est le bruit de succion que fait mon anus au passage de sa queue, par moment je le contracte pour mieux la sentir passer et donner un plaisir supplémentaire à Alex qui apprécie les resserrements de mon muscle autour de son instrument.
Je ne sais pas pendant combien de temps il m’a limé le fion mais quand j’ai ressentis la montée en puissance du plaisir et l’arrivée de l’orgasme, il a planté ses doigts dans la chair de mes hanches en me disant qu’il allait venir, ça tombait bien.
– Haaa…ça…vient…haaa…je vais…te…faire…dedans…haaa…
Et il a fait, j’ai sentis les giclées chaudes de sperme se répandre en moi au moment où, foudroyée par plusieurs orgasmes simultanés, je me suis mise à me vider sur son lit en prenant un pied si énorme que je crois avoir perdu connaissance un instant, quand j’ai repris mes esprits, il s’affalait sur le lit, la verge encore bandée et couverte de son jus mais propre, je ne sentais plus mon trou de balle et me laissais tomber à plat ventre, un petit vent mouillé incontrôlable s’échappa de mon anus ouvert.
Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre pour une sieste réparatrice et au réveil, il m’a préparé des toasts, du jambon et des œufs, le tout accompagné de thé, comme pour un petit dèj, en me levant du lit, j’ai sentis quelque chose me couler des fesses, j’ai passé un doigt dans ma raie, c’était son sperme qui refluait vers la sortie, j’ai remis ma culotte sans m’essuyer pour garder un souvenir de ma première sodomie avec un homme, je l’ai toujours, cachée au fond d’un tiroir et je la contemple parfois avec un pincement de cœur et la main entre les fesses.
Nous avons remis ça plusieurs fois, en prenant comme prétexte le bruit qu’il avait fait la veille, il m’invitait à prendre le thé et me faisait le cul en me troussant à la hussarde, parfois même sans préliminaire, trempant juste sa queue dans ma mouille pour me l’enfiler directement dans l’anus, j’aime me faire enculer à la sauvage et ma petite entrée est devenue souple et accueillante au fil du temps, je me suis fais son cul aussi, un jour où je lui faisais une pipe, je lui ai rentré un doigt dans l’anus et il s’est laissé faire, j’ai vu la différence car il m’a envoyé sa purée sur le visage au bout de quelques vas et vient, du coup c’est devenu une habitude de lui doigter le petit trou et de lui faire un lavement avant, j’ai acheté un gode avec ceinture, comme celui d’Estelle pour lui faire gouter à plus gros, il a aimé se faire enculer par une femme, moi aussi j’aimais lui le faire, le voir à quatre pattes, les fesses tendues vers moi, je le burinais comme un homme, le laissant avec la rondelle ouverte après l’avoir défoncé puis il a déménagé et nous nous sommes perdus de vue, moi de mon côté, j’ai goutté à d’autres braquemards, des plus gros, plus larges, plus longs, j’aime ça.