C’est court… par Verdon

C’est court… par Verdon

M’étant aventuré au chevet d’une Dame,
Persuadé d’assurer un bon retour de flamme,
Dans son lit elle me trouve vraiment un peu trop court.
Et malgré ses efforts pour me porter secours
Revenez me dit-elle quand vous l’aurez plus longue.
Piteux je me rhabille et rechausse mes ‘tongs’.
Boff !
Mais on a sa fierté ! Relevant le défi,
A coups de pastilles bleues gobées à profusion
Je retourne à la tâche, couilles en ébullition
Bandé comme un taureau, la biroute à midi.
Mais tant monte la sauce qu’en croisant ma voisine
Je lui ravis le cul car elle aime la pine.
Humm !
Trouvant la route longue, avant le terminus,
De ma bite impatiente je braconne l’anus
D’un jeune travelo au fond de l’autobus.
La concierge à son tour me réclame un bonus
Et la fille de l’étage dans l’ascenseur me suce.
Sur le cul de ma Belle je découvre un gugusse !
Ho !
Je suis fatalement de nouveau pris de court,
La bite qui pendouille et la Dame rigole
Qui me dit  » mon bonhomme, va jouer dans la cour,
Tu reviendras me voir quand tu l’auras moins molle  » !
Mais coincé sur son cul, ma godille en vadrouille
Voilà que sur le mien son amant me farfouille
Et j’ai droit devant elle, sans même un peu de beurre,
De me prendre une pine d’une sacrée grosseur.
Aye !

Ce coup-ci, décidé, d’un morceau d’olivier
De mes mains je fabrique un magnifique vié
Et dix fois à la tâche elle ne se fait prier
Pour user dans son trou le joli bois bandé.
Et depuis ce jour-là sans jamais débander
Je la baise et l’encule tous les jours sans pitié.
Waouh !
Concierge et puis voisine, travelo et soubrette
Me réclament à leur tour bonne baise et levrette
Je me fais un plaisir d’arrondir leur rosette
Avec mon vireton qui sent bon l’olivette.
Et même le bon amant m’ayant fait des tendresses
Pour un prêté-rendu je lui comble les fesses.
Et Zou !

(03/11/21)