Carnaval 7 – L’aubade par Caroline49

Carnaval 7 – L’aubade par Caroline49

Nous voilà donc tous dehors plus ou moins déguisés. Sarah en panthère, mes deux cousins en superman, Sophie avec un chapeau mexicain sur la tête et un poncho, mes parents en eux-mêmes et moi en hôtesse de l’air. Nous reprenons la passerelle qui surplombe la gare et nous voilà au départ. La musique est devenue beaucoup plus forte. Toutes les sonos des différents chars sont en route, les différentes fanfares sont toutes là. Ça fait un brouhaha impressionnant. Le speaker qui met en marche tout le défilé est en train de faire ses essais micros. La foule est impressionnante. La seule chose qui me préoccupe sur le moment, c’est les gros nuages noirs à l’horizon. Il pleuvait ce matin sur Angers quand je suis sortie de ma petite expérience saphique et je crains qu’il ne pleuve aujourd’hui bien que la météo n’ait pas annoncé d’eau. Il fait ni chaud, ni froid et il y a peu de vent.

Le public qui se place au départ est souvent composé de parents avec de jeunes enfants ou bien des gens qui ne veulent pas trop attendre. En général, il faut une heure trente à deux heures pour que tout le cortège se mette en route. Le départ est donné à 14 h 15. Donc en théorie, le dernier élément du défilé passe au départ vers 16 h 45. Mais le public qui se trouve vers la fin du défilé, lui, ne voit le premier élément que vers 16 h 45 car il faut 1 h 30 également pour faire la totalité du parcours. Donc le public se place selon ses choix d’attente. La totalité du parcours est en descente. Ce qui fait que ceux qui sont à la fin, tout en bas, ont une perspective d’ensemble de la totalité du défilé. Il y a toujours des superbes photos chaque année. Et quand la météo est agréable, l’effet rendu est superbe.

Toujours est-il que nous décidons de nous mettre à mi-parcours comme chaque année vers la place dite de l’église St-Pierre. C’est une place qui permet également au public de pouvoir sortir du défilé très rapidement tant les points d’accès sont nombreux aussi bien à pied qu’en voiture. En descendant vers la place, je prends machinalement la main de Sarah. Elle me regarde avec son plus beau sourire. Le fait qu’elle ait essayé de me rassurer sur mes actes de tout à l’heure m’a donné un peu de baume au cœur. Je sers fortement sa main pour lui montrer que je ne suis pas insensible à elle. Je m’approche d’elle et lui donne un délicat baiser sur la joue. Je suis loin de tomber amoureuse, loin de là, mais je trouve qu’elle dégage quelque chose qui me sied à merveille. Mes envies et mes pensées lascives me reviennent en tête. Tout en marchant je me mets à penser à un bain de boue avec ma rouquine, à une douche, à des culottes mouillées, des culottes souillées, une douche de sperme…Plein de choses qui peuvent paraître plus ou moins sales aux yeux des non- initiés ou des  »puristes ». Je sens que je suis regardée dans ma petite jupe bleue et mes bas noirs. Si les mateurs savaient que je n’ai rien en-dessous…Nous voilà place St-Pierre. Nous trouvons un endroit où il y a peu de monde. Et nous attendons tout en discutant de choses et d’autres avec les gens aux alentours.

14 h 50 : Le char à confetti qui ouvre traditionnellement le défilé passe enfin devant nous. Plusieurs canons à confetti arrosent joyeusement le public de tous les côtés et cela met déjà tout le monde dans l’ambiance surtout les enfants qui en récupèrent en grosse quantité le long des trottoirs. Les différents chars, groupes musicaux, groupes d’animation et d’ambiances passent les uns après les autres. C’est un très beau défilé avec toute ses couleurs, ses danses, ses musiques, ses costumes. Il est 16 h 30 quand passe le char des ambassadrices de la ville. Il y a quelques années encore, elles étaient appelées les reines. Elles font toujours rêvées les petites filles, les petits et les grands garçons. Il y en a trois qui sont élues parmi plusieurs candidates lors d’une soirée ouverte au public au mois de février. Elles doivent être dans leur vingtième année et doivent obligatoirement habiter la ville. Tout cela pour dire qu’il y a trois nénettes en tenue d’apparat qui salue le public en faisant un mouvement d’essuie-glace avec le bras.

Le défilé se termine pour nous et nous suivons la masse du public qui se dirige vers la place des Halles où tous les chars se réunissent. Tout en descendant l’avenue je reprends Sarah par la main. Les gens forment une masse compacte. Je me surprends à échanger un petit bisou avec Sarah qui ne le refuse pas. Nous voilà arrivées sur la place. Tous les chars ne sont pas encore arrivés. Ils s’y placent en demi-cercle et le public peut accéder aux chars et aux carnavaliers. Tous les groupes musicaux passent à nouveau sur le podium présent pour une nouvelle représentation comme la veille avant le feu d’artifice.

 » C’était vraiment un très beau défilé, me dit Sarah.
– Tu trouves ?
– Oui, j’ai bien aimé. Je regrette cependant que le public ne soit pas plus investi dans la fête.
– Oui les gens sont coincés. Quoique lors du carnaval de nuit, les gens sont plus débridés. Il fait nuit, c’est le samedi soir, les gens se lâchent plus.
– Et c’est quand ce défilé de nuit ?
– Samedi prochain. Il y a une semaine d’écart entre les deux défilés. Il faudrait que tu viennes voir les ateliers.
– Ils sont accessibles ?
– Plus ou moins. Ce n’est pas ouvert au public mais avec Antoine ou mes parents, il n’y aura pas de problèmes.
– Si ! Il y en a un. Je dois repartir au Mans avec tes cousins et Sophie.
– Tu as un contrat signé de fille au pair ?
– Non mais je ne sais pas comment ton oncle et ta tante travaille la semaine prochaine. Je ne sais pas si je pourrais me libérer. Et en plus il faut que je vienne sur Cholet.
– S’il y a que ça, j’irais te chercher au Mans. Je suis en vacances.
– Je ne sais pas…
– Sarah…S’il te plaît ! Je vais en parler à ma tante. J’ai envie de passer du temps avec toi. Tu me plais beaucoup.
– Toi aussi, tu me plais bien.
– C’est gentil  »

Sur la place, le public commence à s’agglutiner. Et par chance je tombe sur ma sœur jumelle, Claire.

 » Alors sœurette, ton défilé ?
– Pfff, je n’ai plus de jambes. Danser sans s’arrêter pendant une heure quarante-cinq. Ca calme. Mais bon c’est une question d’habitude. Et toi ?
– Moi, impeccable, je te présente Sarah, écossaise. C’est la fille au pair de tatate Sophie.
– Enchantée, moi c’est Claire.
– Bonjour, Sarah. Je ne t’ai pas vue dans le défilé malgré les indications de Carole.
– Ce n’est pas important. Tu parles bien français dis donc !
– Oui ! Je…comment dites-vous … me débroule
– Débrouille !
– Oui c’est ça , je me débrouille plutôt bien.
– Je vous offre une bière les filles ? Nous dit Claire.
– Volontiers « .

Dans l’histoire, et vu le public, nous avons perdu, ma tante, mes cousins et ma mère. Nous suivons Claire qui nous emmène à un bar monté là pour l’occasion et nous prenons toutes les trois une bière tout en discutant du défilé.

 » Tu as demandé à qui pour prendre ma tenue d’hôtesse ?
– A personne, je l’ai prise dans ton placard, un point c’est tout et j’ai dit à Sarah de prendre ce qu’elle voulait.
– Tu as bien fait.
– Au fait, je peux t’avouer quelque chose ?
– Oui vas -y. Je m’attends au pire.
– Tout à l’heure, avant de venir au défilé, j’ai fait une bêtise.
– Une bêtise ? Putain non ! T’as pas niqué mon chemisier tout neuf ?
– Hein ? OH non ! J’ai sucé Antoine.
– Quoi ?!
– Oui je l’ai sucé. Et ce n’est pas la première fois. Il a une queue du tonnerre. Notre grande sœur doit être ravie d’avoir un chibre pareil.
– Mais tu es folle, tu es cinglée ! Et si Chloé l’apprend ? Elle va te tuer !
– Meuuuhhhh non. Pas de panique. Antoine avait des envies, je l’ai soulagé. Son sexe était dur, rouge, violacé, turgescent, chaud….
– Oui et bien arrête je ne veux pas en savoir plus.
– Tu joues la petite fille prude ? Toi qui as sucé, il y 24 heures un maître-nageur que tu ne connaissais pas.
– Non mais attend, ce n’est pas pareil, là c’est ton beau-frère quand même !
– Et alors ? Et en plus ce n’est pas la première fois. D’ailleurs lors de la première fois j’ai fait des grosses cochonneries avec lui. Je lui ai pissé dessus. Il a a-do-ré. Je pense que l’on peut bien s’amuser avec lui. Toi qui découvres les joies du pipi culotte on pourrait passer du bon temps tous les trois…
– Et tu me dis ça, en public ?
– Pfff ! T’as vu le bordel autour de nous ?
– Et Sarah qui écoute ?
– T’inquiètes, on a déjà fait connaissance.
– Comment dois-je interpréter cela ?
– Comme tu veux « .

Du coup, nous continuons à siroter nos bières et nous commençons à faire le tour de la place. J’explique à Sarah l’organisation du Carnaval. Les différentes équipes qui construisent les différents chars, le financement de l’ensemble, et toute la logistique inhérente à la manifestation. Je lui présente certains carnavaliers, figures emblématiques, et quelques camarades que je vois ici ou là. Tous les chars sont arrivés sur la place. Les Ambassadrices sont descendues de leur char et sont maintenant sur le podium central. Une fois que tous les groupes musicaux ou dansants sont repassés sur le podium central, la totalité des musiques invitées sur le carnaval se dirige vers l’Hôtel de Ville pour l’aubade.

A la mairie, Monsieur le Maire reçoit de façon officielle les Ambassadrices de la ville. Mais avant tous les discours et le vin d’honneur, toutes les musiques se répartissent sur tous les balcons des quatre étages de la Mairie. Le hall central est immense et du bas, nous voyons tous les musiciens. L’acoustique du hall est vraiment faite pour cela. Du coup, les musiques jouent à nouveau encore à tour de rôle pour finir souvent en grand bœuf. Le public y a accès et c’est encore une autre ambiance. Donc, Sarah, ma sœur et moi suivons la foule afin de nous diriger vers la mairie afin de profiter de cette aubade. Tout en nous dirigeant vers la Mairie, j’ai senti plusieurs fois la main de Sarah se poser sur mes fesses. Comme elle sait que je porte uniquement des bas et que je suis une sans culotte, je pense que les bières aidant, elle doit avoir l’esprit qui s’émoustille. Nous rentrons péniblement dans le hall. Il faut forcer le passage pour réussir à traverser. Le problème c’est que la majorité du public reste à l’entrée alors qu’il peut lui aussi monter dans les étages. Ce que nous faisons.

Nous voilà donc sur un balcon au troisième étage. Toutes les musiques s’installent à leur place définie et le maître de cérémonie qui n’est autre que ma grande sœur Chloé, donne le top avec ses petits panneaux indicateurs afin que le groupe allemand de Guggen Music ouvre le bal. Les morceaux s’enchainent les uns aux autres. Je sens alors une main se glisser sous ma jupe. J’écarte un peu les jambes afin de laisser l’accès libre. Et je remonte ma jupe légèrement.

 » Je ne te savais pas si directe, dit une voix masculine.
– Quoi ? (je serre les fesses).
– Chuutt laisse toi faire !
– Antoine ?
– Oui c’est moi.
– Mais…
– Chut je te dis, laisse toi faire…  »

Du coup j’obéis, je me détends, je sens ses mains soulever l’arrière de ma jupe. Une de ses mains me caresse les fesses. Une chaleur me traverse le bas ventre. Sarah est à côté de moi, une personne nous sépare. Je regarde ma grande sœur en bas qui elle ne me voit pas. Son homme est derrière moi, en train de me peloter l’arrière train. Je sens un doigt se frayer un passage vers mon sexe. Je me penche un peu sur la balustrade afin de lui donner un peu d’accès. Je sens un deuxième doigt rentrer dans ma chatte maintenant bien excitée et humide. Je pense que c’est sa main gauche. Je devine son petit doigt qui titille mon bouton à plaisir, son annulaire et son majeur dans mon sexe et maintenant son index dans mon anus. Il me masturbe. Il pose quelque chose sur mon dos afin de cacher ce qui se passe. Je commence à gémir sous l’effet de ses doigts. C’est au groupe de musique situé juste à côté de nous de jouer. Son pouce vient rejoindre son index dans mon cul. Je gémis. Je me lâche. Je jouis. Mes cris sont cachés par la trompette et la caisse claire. Ils accélèrent ses mouvements de va-et-vient. Je me sens défaillir. Cette double pénétration digitale me fait revenir en tête celle dont j’ai profité hier avec Thatsany, ma laotienne d’un soir. Je sens une contraction, puis une deuxième et enfin une troisième. Mais jambes flagellent. Je viens de jouir. Je serre les jambes, les fesses. Je viens de me faire doigter en public, en musique, entourée d’au moins deux milles personnes. Je sens ses doigts encore en moi. Il les fait glisser lentement. Je devine un troisième doigt qui rentre dans ma rose. Mais la position commence à me faire mal. Je bouge afin qu’il se retire. Il amène sa main gauche vers ma bouche. Je sens mes odeurs et je prends ses doigts en bouche. Je les lèche. J’adore mon goût sexuel.

 » Tu ne crois pas que je vais me contenter que de cela ma coquine  » me dit-il.

Il me prend par la taille et m’emmène dans un couloir de la mairie dissimulé derrière une porte battante. Sarah nous suit du regard et devine qu’il va se passer quelque chose.

La porte battante se referme derrière nous. La musique est soudain atténuée. Antoine sort un trousseau de clé d’une de ses poches et ouvre un local technique. Il m’explique que dans certains cas beaucoup de clés sont standard et lui en a tout un tas dans ses poches. Il ouvre la porte sur une sorte de remise fermée normalement aux employés de la mairie. Nous y entrons et il referme la porte derrière mais un pied la bloque. Sarah vient se joindre à nous. Cette fois-ci Antoine referme la porte et la verrouille de l’intérieure. La pièce est juste éclairée par le panneau ‘sortie’ au-dessus de la porte et par quelques voyants allumés ici ou là dans des armoires électriques. Mon beau-frère baisse son pantalon. Sa queue est déjà gonflée à bloc. Je n’ai pas le temps d’admirer que Sarah se jette déjà dessus. Je me mets alors à genoux moi aussi et nous commençons à nous partager ce chibre que j’espère bien juteux. Mes doigts parcours les fesses de mon beau-frère afin de le caresser et de surtout afin que je puisse glisser un doigt voire deux dans son petit cul afin de lui donner du plaisir, car je sais qu’il aime ça mais cette fois-ci il refuse en serrant les fesses. Je ne m’en offusque pas. Après s’être échangée sa queue pendant une bonne dizaine de minutes, je me mets debout, relève ma jupe, et m’appuie sur le mur. Je dis alors une seule phrase :

 » Casse-moi le cul !  »

Antoine me prend alors d’assaut. Son gland tendu et lubrifié par nos salives vient frapper à la porte de ma rondelle. Je pousse afin d’ouvrir mon sphincter et sa queue rentre en force dans mon fondement. Ça me fait mal, ça me brûle, ça me pique mais putain qu’est-ce que c’est bon. Il commence alors à me pilonner l’arrière train d’abord tout doucement afin que mes muscles s’adaptent et il accélère ses mouvements de coup de butoir. Je commence à prendre du plaisir. Mes gémissements commencent à monter. Je sens mes envies de chienne reprendre le dessus :

 » Vas-y Tonio, casse moi le cul, défonce moi le fion, fais-moi jouir comme une chienne, ramone-moi le cul Rââââââ !  »

Je ne m’occupe pas du tout de Sarah qui regarde la queue entrer et sortir de mon cul. L’odeur de sexe envahit ce local si étroit. Mon cul s’ouvre, mon cul chauffe, j’adore sentir son pieu me limer. Il se retire de mon cul et ouvre grand mon orifice en écartant mes fesses. Sarah se jette alors pour le sucer et le nettoyer. Elle lèche le jus de mon cul qui est collé sur sa bite. Elle tourne alors la tête et fourre sa langue dans mon cul afin de me lécher aussi loin qu’elle peut. Je me sens défaillir. Antoine reprend alors mon cul d’une force qui me fait mal et hurler. Il s’agrippe à mes seins, me les pince et me défonce littéralement la plomberie, il finit par crier

« Putaainn de salooope !!!  »

Et je devine qu’il lâche toute sa purée au fond de mon anus. Il continue à me limer afin de balancer tous le jus possible. Il se retire, Sarah vient à nouveau lui nettoyer le gland mais semble triste de ne voir aucune goutte de sperme sortir de sa bite. Elle tourne la tête et me dit :

 » Vas-y, pousse dans ma bouche « .

Je pousse alors du cul. Elle met un doigt dans mon trou bien ouvert et aide le sperme à en sortir. Elle le lèche et l’absorbe et se fout royalement de savoir s’il peut être souillé. Elle aspire le filet de sperme et l’avale. Antoine est stupéfait ! Moi aux anges. Sarah est aussi chienne que moi. Elle termine de me lécher la rondelle, qui finit de se refermer tout doucement, et me dit :

 » Voilà tu as le cul propre « .

Je me relève et réajuste ma jupe. Antoine a déjà rangé sa queue et son pantalon est déjà remonté. Nous sortons tous les trois du local comme si de rien n’était et repassons la porte battante. La musique revient alors vers nous. Mon cul me fait mal. Antoine m’a pris pour une vraie garce. Et j’ai adoré. Il repart à ses occupations alors que Sarah me prend la main et me dit :

 » J’ai envie de ta chatte, maintenant !  »

Je la regarde les yeux plein d’envies. Nous repassons la porte battante et entrons dans des toilettes. Sarah se met à genoux et avait l’air de vouloir me lécher mais je n’ai pas eu le temps. Je libère un jet de pisse qui vient claquer sur son visage. Elle ouvre grand la bouche afin de recevoir mon offrande. Je contrôle ma miction afin de lui laisser le temps d’avaler. Chose qu’elle fait avec facilité. Une fois arrosée de champagne elle se relève et me dit :

 » Je ne m’attendais pas à ça mais vu l’envie que tu dégageais je n’ai pu résister à boire toute ta pisse. J’ai envie de faire plein de trucs dégueulasses avec toi maintenant… « .

Et Sarah vient me déposer un bisou très salé sur les lèvres.

Nous sortons, son costume de panthère est humide à cause du début de mon jet, mais l’auréole est dissimulée par les motifs de son costume. Je suis aux anges et perdue à la fois. Je suis une traînée et j’aime ça. Je suis une autre femme, je suis en période de Carnaval…

A suivre…

 

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Carnaval 7 – L’aubade par Caroline49

  1. claire dit :

    J’ai toujours un immense plaisir à lire les histoires de cette Caroline

  2. Pilouface dit :

    Quel plaisir de retrouver les aventures de ces coquines au carnaval ! Joie de vivre, impertinence, désinvolture, audace, excitation, les aventures de ces gamines délurées sont une vraie gourmandise.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *