Une fellation en public devant dix personnes
par Gargantua
Une fellation en public, devant 10 personnes la queue à l’air, que du bonheur pour un voyeur exhibitionniste à ses heures.
Je vous parle d’un temps ou les marchands de préservatif n’étaient pas riches. Je me promenai en ville, une ville du sud, ou le soleil brille plus souvent qu’ailleurs.
Nous allions faire des courses avec ma copine. Une journée comme tant d’autre, sauf que cette fois si, une envie pressante de pisser me prit. En règle général, je me contente d’un coin de mur, d’un arbre ou de tout autre endroit propice à ce genre de soulagement pour la gente masculine, mais là, en plein centre-ville par une après-midi d’été, dur, dur…
Pas loin il y avait des WC municipaux, tenue par une «Dame-pipi ».
Je laisse ma copine continuer les courses dans un grand magasin, et je vais de ce pas me soulager.
Arrivé sur place, un double escalier permet d’accéder d’un côté aux « Hommes » et l’autre côté aux « Dame ». Le côté « Homme » est composé d’une vingtaine d’urinoirs disposés de part et d’autre de la pièce. Le côté « Dame » était lui composé de dix toilettes avec porte. La « Dame-pipi » se trouvant du ce côté-là. Les deux parties étant séparées par une porte, ce qui fait que ce qui se passait chez les « Hommes » ne se voyait pas de l’autre côté.
Pour corser l’ambiance, je vous parlerai bien de l’odeur qui remonte, une odeur forte d’ammoniaque, l’odeur des urinoirs du monde entier. En clair, une puanteur insoutenable.
Dans ce sous-sol, il y a quelques urinoirs de disponible, les autres sont tous utilisé par des messieurs qui font semble-t-il ce qu’ils sont censés faire en ce lieu
Tranquillement, d’un pas assuré je me dirige vers l’un d’eux, le regard fuyant. Je me déboutonne la braguette, et je sors mon engin pour l’utiliser, mais voilà ça fait tellement longtemps que j’avais envie, que ça vient pas…
Pour ceux qui l’on vécut, vous savez de quoi je parle, le temps dure longtemps…C’est un grand moment de solitude, ce qui doit durer moins d’une minute en temps normal prends un temps fou.
Je regarde autour de moi, histoire de voir si je passe inaperçu ou pas, et je vois 10 paires d’yeux qui me scrutent… Non content de trouver le temps long, me voilà le centre de toutes les attentions. On me regarde avec insistance. Des regards interrogateurs, suspicieux.
A mon tour, je m’intéresse à ceux qui m’entourent, ce sont des hommes d’âge mûr. Le regard de certains est bizarrement plus bas que la ligne horizontal, il va en direction de mon urinoir.
Non de d’là, voilà-t-il pas qu’ils regardent dans la direction de mon sexe.
Une vue d’ensemble me permet de voir que certains d’entre eux ont leur sexe à la main. Sans vergogne, ils matent mon pistolet. Cela n’est pas pour me déplaire, j’aime le sexe masculin, mais jamais au grand jamais je n’aurai imaginé cela. Autant d’hommes à la fois, dix pour les avoir compté, Ils se masturbent ou se tire sur la queue avec des signes évidents d’invitation dans le regard.
Mon expérience en la matière étant des relations avec des camarades de pension, du «touche-pipi» d’ado, de la branlette de groupe. Une relation d’une soirée avec un homme sans expérience qui fut un fiasco. Mais la autant d’un coup…Ça fait un choc.
Mon envie d’uriner viens de disparaître d’un coup, envolée, plus rien…
Je sens mon sexe gonfler, je commence à bander.
Je me sens quelque peu gêné. Mais au diable, là où il y a de la gêne il n’y a pas de plaisir il a dit l’autre. Combien il avait raison.
Merde alors…Alors, tout en restant tourné vers le mur, je commence à tirer sur ma bite, doucement, mais surement. Addict de la masturbation depuis mon plus jeune âge, une branlette de plus ou de moins je ne suis plus à cela prêt
Je me tourne légèrement vers l’assemblée pour voir leur réaction, cela ne fait que renforcer leur attitude. Je sens bien que le courant passe, je sens bien que maintenant je fais partie de leur groupe, car ils sont tous là pour la même chose, mater de la bite.
En me tournant, je sens un apaisement dans l’assemblée, un soupir de soulagement, d’autre se tourne pour me faire voir leur bite, il y a vraiment de tout.
A mon grand étonnement, je suis l’un des seul à bander, il y a quelques belles queues, mais peu en véritable érection… surprenant. Il y a un gros gland sur une petite bite. Il y en a même un qui est monté comme un âne, courte mais énorme et toute veinée, elle me fait peur !
Devant ma hardiesse un homme vient se mettre à côté de moi pour regarder de plus prêt. Ne te gêne pas, vas-y matte, c’est là pour ça, profitons-en, je suis assez exhib pour ne pas être choqué. Mon côté voyeur aussi est satisfait.
Comment ne pas être satisfait, dix hommes qui me mate en train de me tirer sur la queue, ce n’est pas demain que cela se reproduira, çà c’est pour le coté exhibe.
Le coté voyeur aussi est pleinement ravi, bitophile comme moi, pourquoi ne me suis-je pas dirigé vers toute ces bites tendue vers moi ? La jeunesse, le manque d’expérience… Ce serait aujourd’hui, je crois que j’honorerai chacune d’elle d’une bonne pipe ou d’une bonne branlette. Mais bon faut bien que jeunesse se passe.
L’homme tend la main doucement vers mon sexe. Je me laisse faire. Une caresse, douce, surprenant, je m’attendais à autre chose, à quelque chose de plus rugueux vu son âge, mais le garnement sait y faire. Comme quoi les aprioris sont idiots. Il me masturbe doucement.
Que du bonheur…
Il se met accroupi devant moi se saisit de mon dard et le fait entrer sa bouche en une seule fois à fond. Je vous parlai de bonheur ? Mais mazette, ça c’est du bonheur. Il me prend le sexe dans une aspiration sans fin. Une pipe de chez pipe, du jamais vu, du jamais ressenti, un aspirateur de 1500 Watts. Une aspiration tout en faisant des allez retour. A chaque fois c’est à fond, une gorge profonde et sans soubresaut de rejet, et j’ai bien 17 centimètre à avaler, avec un diamètre honnête.
Ça dure, et bizarrement je n’arrive pas à jouir, était ce mon envie d’uriner ?
C’est surprenant, arriver à bander comme un cheval avec une envie de pisser, je crois que c’est tôt le matin que ça m’arrive, après une nuit de repos. Vous savez quand on se lève avec la trique et une envie de pisser à vous fendre le crane. Mais ça ne m’était jamais arrivé à deux heures de l’après-midi.
Erreur de jeunesse, je ne profite pas du spectacle autour de moi, je suis obnubilé par ce crane avec cette tonsure due à l’âge, qui va et qui viens à hauteur de mon bassin. J’en oublie d’être voyeur tellement le plaisir est intense.
Mais le plaisir ne dure pas, un individu, placé près de la monté d’escalier fait un signe, quelqu’un viens.
Tout le monde y comprit moi se retourne, mon amant d’un instant reprends une position « normale ».
Un quidam fait son apparition, il se dirige vers une pissotiére. Lui est là pour pisser et rien d’autre, et il y fait son affaire sans se soucier de qui est là.
La messe est dite, adieu pipe du feu de dieu, je vais me finir à la main.
Je commence donc à me masturber, et toujours partagé entre l’envie de pisser et celle de jouir, c’est fabuleux, je m’astique discrètement, l’autre étant encore là. C’est encore plus jouissif. Le fait de savoir que je me tape une branlette devant des demandeurs c’est top, mais de le faire alors que l’autre a le dos tourné sans savoir ce que je fais, c’est hummmmmmm…
L’autre, je dis, l’autre car il ne fait pas partie du jeu, secoue son bignou, range son engin et s’en va. Il semble ne s’être aperçu de rien. Le guetteur nous fait signe que la voie est libre.
Libre de continuer, car mon suceur reviens à l’attaque, me sollicite, je concède à sa demande. Me revoilà la queue dans sa bouche, la succion succède à l’aspiration, et là, je succombe, je joui.
Il me suce jusqu’à la dernière goutte, pas de gaspillage, j’en ai le gland en feu, le cerveau en ébullition …
Il se relève et me propose de le suivre dans le côté « Dame ». Ce n’est pas que l’envie me déplaise, mais cela fait trop longtemps que je suis parti, et ma copine va commencer à se poser des questions.
Je refuse l’offre gentiment. L’endroit ne me plait pas, trop de gens coté « Dame » pas assez discret.
Je lui demande s’il est possible de se revoir ailleurs, et il me fixe rendez-vous le lendemain au WC de la mairie, endroit plus tranquille.
Je suis reparti retrouver ma copine, dans le magasin. Elle commençait à trouver le temps long.
Le lendemain je suis allé à l’heure fixée au rendez-vous, mais il n’y était pas. La différence d’âge à du y être pour beaucoup, comment faire confiance à un môme de 20 ans quand on a l’âge d’être son père ? Peut-être a-t-il cru à un piège, je ne sais pas, mais le fait est qu’il n’y était pas… Dommage.
Aujourd’hui j’ai 56 ans et je regrette de ne pas l’avoir suivi, un suivi avec ce monsieur n’aurait pas été pour me déplaire …Dommage
Juste pour info. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais je ne suis pas allé pisser avant un sacré moment. J’ai attendu d’être rentré à la maison…
Moi aussi j’adore sucer des bites, vivement la fin de l’épidemeie que je puisse retourner au sauna en sucer une dizaine
Les histoires dans les urinoirs sont un classique de la littérature gay. Celle-ci sent le vécu (ou plutôt le vécu arrangé) Assez intéressant quand on a l’âme bitophile