Je suis une femelle salope
27 – Un plaisir oublié
par francoislave
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES
Hier je me suis livré à une de mes activités favorites, que j’avais négligée depuis plusieurs mois : le lavement.
Pour cela, j’utilise un pulvérisateur de jardin, acheté spécialement pour cela, et que je rince en plus soigneusement avant chaque utilisation. Il contient 5 litres, le niveau est gradué et facilement visible et, de plus, la pression du jet est peu violente même en pompant fortement. En somme, l’idéal pour d’administrer un lavement sans risque pour l’organisme.
Je commence donc par un rinçage de l’engin puis je le remplis de 3 litres d’eau. Ensuite je rajoute une grosse dose de savon liquide bio, une grosse dose également d’huile de paraffine et je complète avec un demi-litre de lait.
Ensuite, comme le soleil tape dur ce jour, je laisse une bonne demi-heure le pulvérisateur au soleil pour réchauffer mon mélange. Pendant ce temps, je m’habille en conséquence : jean, T-shirt et slip serré, chaussures montantes imperméables.
Une fois l’eau réchauffée, je vais dans le jardin, à un endroit pas trop exposé aux voisins, j’enduis le bout du tube du pulvérisateur de lubrifiant, je baisse mon jean et mon slip et je m’introduis le tuyau dans l’anus, suffisamment profondément pour éviter les reflux de liquide.
Je m’agenouille et je commence à pomper. Très vite je sens le liquide me remplir, le niveau dans le réservoir baisse à vue d’œil. Je contrôle avec la main qu’il n’y a pas de fuite, j’ai beau serrer les fesses, on ne sait jamais ; mais tout va bien.
Le niveau est à présent à 2 litres, je commence à ressentir des douleurs dans le ventre, l’eau me remplit peu à peu. J’arrête de pomper quelques instants puis reprends.
Le niveau est à présent à 1 litre, la gêne est de plus en plus forte, je me masse le ventre et je pompe les dernières gouttes du lavement.
Je suis à présent bien rempli, plus de 3,5 litres. J’ai du mal à me retenir de tout relâcher mais ce n’est pas le moment.
Je retire doucement le tuyau de mes fesses, par chance je réussis à ne pas rejeter de liquide pendant l’opération, puis je me relève doucement, remonte slip et pantalon, serre le ceinturon et marche lentement vers le centre du jardin, un peu courbé tant les contractions sont fortes.
Je me redresse, attend quelques instants puis je lâche les vannes. En plus du lavement, j’ai une envie pressante de faire pipi depuis le début, m’étant retenu depuis des heures d’aller aux toilettes.
Un flot de liquide mêlé de matières sort de mes fesses, remplit le slip et coule le long de mes jambes, directement dans mes chaussures. Je suis aux anges.
Je ne contrôle plus du tout le flot qui sort de mes fesses, je vois à présent de la matière couler de mon pantalon sur mes chaussures, à présent bien remplies de liquide et qui débordent.
Mon slip est plein, mon pantalon est trempé et je me vide toujours. C’est délicieux, j’avais presque oublié cette sensation de plaisir mêlée de honte, quelqu’un pourrait sonner à cet instant……..
Maintenant, le flot s’est interrompu et il faut que je pousse pour en faire sortir de mon ventre. Ce sont surtout des selles qui viennent, accompagnées d’un peu de liquide, je suis en train de me nettoyer l’intestin, parfait car je dois me faire sodomiser par un mec cet après-midi, je serais tout propre pour l’accueillir en moi.
Une odeur assez forte commence à monter vers mes narines, mon pantalon est devenu bien pesant contre mes jambes, mes chaussures sont pleines « d’eau », je sens que mon slip est bien rempli.
Je pousse encore, je me vide peu à peu puis décide de conclure cette séance par une bonne masturbation. Pour cela, je reviens dans la maison, prends en passant mon gros gode et une boîte de lubrifiant puis me rends dans la douche.
J’ai la chance d’avoir une cabine de douche assez vaste, cela tombe bien. Je retire précautionneusement mes chaussures, les vide puis le pantalon et le slip. Ils sont tous deux remplis de merde, mes jambes et mes fesses aussi bien sûr. Je nettoie au jet mes vêtements et les jette ensuite sur le plancher, hors de la cabine de douche.
J’enduis le gode de lubrifiant et le place au milieu de la cabine. Ce gode est mon préféré, c’est un Anal Large Rocket, une espèce de fusée bleue dont le gland en forme d’ogive fait un bon 8,5 cm de diamètre et le corps lui-même environ 8 cm. Il est très lourd avec un pied si large que bien que dépourvu de ventouse, il reste stable sur le sol pendant la pénétration, même si celle-ci est rapide.
Je m’accroupis au-dessus du gode et je m’empale lentement dessus. Je le fais tellement souvent que la pénétration se fait sans trop d’effort et d’une seule poussée.
Bientôt il est presque complètement en moi et j’en gémis de plaisir. Depuis le début, je me branle en imaginant qu’un mec pourvu d’une énorme queue me laboure le fion, et d’ailleurs je l’encourage de la voix.
La sensation lorsque le gland rentre complètement en moi, lorsqu’il passe le sphincter, est toujours aussi extraordinaire, je me sens rempli, rassasié, je ne suis plus qu’une pute, un garage à bites comme j’aime à me le répéter.
J’entreprends des va-et- vient de plus en rapides sur le gode. Je suis à présent bien ouvert, le gode sort de mon anus puis rentre sans pratiquement d’efforts, je ne touche plus à ma queue, me concentrant sur le pilonnage de mon ventre, de temps je me relève, je sens mon trou du cul qui reste ouvert, puis je redescends sur le gode et me le rentre à fond d’un seul mouvement. Si un mec était allongé sous moi avec la queue dressée, je le ferais jouir en quelques instants de ce traitement.
La jouissance n’arrivant pas, je me relève à nouveau, m’allonge sur le dos et je rentre le gode à nouveau. Malgré sa taille respectable, je n’ai aucun mal à me pénétrer bien à fond. Je me gode tout en me branlant mais rien ne vient. Je suis complètement ouvert, je me sens pute, ma queue me fait mal à force de la branler mais rien ne vient.
Je me redresse, replace le gode sur le sol, remets un peu de lubrifiant et je reprends ma chevauchée vraiment fantastiques.
A présent je hurle plus que je ne dis des encouragements à mon mâle imaginaire, je me branle furieusement, je vais de plus en plus vite, de plus en plus profondément sur la bite bleue, et enfin, le soulagement arrive, je sens la vague de l’orgasme qui monte peu à peu et je me mets à hurler de bonheur, sans pouvoir me contrôler ; heureusement que les voisins sont tous à leur travail sinon ma réputation en prendrait un sacré coup.
Après un temps de repos, je me relève en expurgeant le gode de mes fesses, je me lave et retourne à des occupations plus classiques.