Je suis une femelle salope
20 – Enculade
par francoislave
Nouvelle enculade chez mon mec de Meaux.
J’arrive chez lui tout excité car nous ne nous sommes pas vus depuis près de deux semaines et je suis en manque de queue, même si mes godes compensent en partie : rien ne vaut une belle queue, souple et chaude.
J’arrive donc et me déshabille immédiatement devant lui. A son air et comme il reste habillé, je devine qu’il a préparé quelque chose de spécial.
En effet, comme je m’approche de lui pour l’embrasser, il me colle à lui et me crochète le petit trou avec ses doigts. J’aime beaucoup et me serre contre lui, levant une jambe pour enserrer la sienne et lui faisant pleins de bisous dans le cou. Il me travaille le trou du cul à sec, c’est douloureux et en même temps très bon, je le serre plus fort dans mes bras et grogne des encouragements.
Puis il me fait mettre à genoux devant lui et dégage sa queue, déjà bien droite.
Je la lèche amoureusement, lui titillant le gland et l’orifice de l’urètre, caresse toujours appréciée des mecs, moi y compris.
Ma langue descend vers ses couilles que je gobe complètement l’une après l’autre, puis je remonte et enfourne sa queue jusqu’au fond de ma gorge, limite suffocation. Il me prend la tête dans ses mains et me maintient ainsi, la queue engloutie. J’adore.
Je commence à le sucer, alternant mouvements rapides et mouvements lents, je déguste sa queue comme une friandise, j’insiste sur son urètre, je lèche bien le gland, puis je fais un mouvement de rotation sur sa queue dans ma bouche.
Je suis aux anges, lui aussi, je me recule pour contempler le beau fruit, et aussi car j’ai un peu peur qu’il jute dans ma bouche. Il est clean mais je préfère éviter tout risque, même avec lui.
Il me rassure d’un regard et j’enfourne à nouveau sa bite, à présent dure comme la pierre et dressée à l’horizontale. D’une poussée, il me fait mettre à quatre pattes et s’accroupit au-dessus de moi. Ses doigts me pénètrent brutalement, toujours à sec, je gémis :
« Mouille-moi s’il te plaît ! »
Il retire ses doigts et les mouille puis me pénètre à nouveau, toujours brutalement, me faisant bien sentir ma condition de salope à sa disposition. En passant, il me claque vigoureusement les fesses. Vu son gabarit, je vous prie de croire que sa fessée n’a rien de d’anodine. Mais j’aime aussi.
Il m’écarte bien la rosette et de temps en temps me claque les fesses, toujours accroupi au-dessus de mon dos. D’un coup, il retire ses doigts et se déshabille. Il enfile une capote et se place derrière moi. D’une poussée, il m’encule, toujours à sec.
« S’il te plaît, laisse-moi la sucer pour mouiller mon cul, tu me fais mal »
Rien n’y fait, il continue son quasi viol mais comme je mouille peu à peu du cul, la pénétration se fait moins douloureuse, et même me fait hurler de plaisir.
Il me prend comme jamais il ne m’avait pris, brutalement, me crochant les hanches avec ses mains, tapant violemment contre mes fesses lorsqu’il est bien à fond en moi.
J’accompagne à présent ses mouvements, me cambrant et plaquant mon cul contre son ventre.
Tout d’un coup, je sentais son plaisir monter, il donne un grand coup de reins et m’enfourne bien à fond en criant. Je comprends qu’il est en train de jouir dans mon ventre, je crie mon bonheur.
Il reste à présent immobile en moi, sa queue encore bien gonflée, et je lui caresse les cuisses pour le remercier.
Enfin il se retire et je reste quelques minutes à genoux, récupérant, offrant le spectacle d’une salope bien satisfaite par son mâle. Dommage qu’un autre mec ne rentre pas à ce moment-là dans la pièce et n’investisse mon cul à son tour.
Je suis vraiment devenu un trou qu’on remplit à sa guise, une femelle perpétuellement en chaleur.
Et j’aime ça !