Mademoiselle de Saint-Hubert
5 – Lune de miel
Par Ysan
Rappel des chapitres précédents :Ysan c’est moi, quarante ans, artiste peintre mondialement connu. Je vis à Paris dans un vaste loft dominant le Bois de Boulogne, c’est là que je travaille. Fatima est ma servante, superbe ivoirienne à la beauté sculpturale, au fil des ans elle est devenue ma confidente et ma complice mais persiste à m’appeler » maître » Les plus jolies femmes voulaient toutes poser nues pour moi, je collectionnais les maitresses. Cette vie facile dans l’aisance et les plaisirs a basculé le jour où mon galeriste m’a mis en contact avec la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois Colombe, une demoiselle d’une trentaine d’années image du puritanisme le plus austère. Passionnée de peinture, elle avait acheté plusieurs de mes toiles mais consacrait l’essentiel de son temps et de sa fortune à la gestion d’un orphelinat en Afrique noire. Pour financer son action caritative, elle avait décidé d’organiser une importante exposition de peinture. J’avais accepté de m’occuper de tout avec le sentiment de pouvoir enfin faire œuvre utile. Au cours d’un long périple en Europe et aux Etats-Unis j’avais réussi à convaincre les musées et les collectionneurs de nous prêter les toiles correspondant au thème tragique qu’elle avait choisi : » les calvaires du genre humain « . A mon retour la jeune comtesse était ravie du succès de mes démarches. Nos relations sont devenues plus intimes, elle faisait assauts d’élégance et de coquetterie. Un nouveau pas a été franchi quand elle a acceptée de poser nue. Grace à la complicité de Fatima j’ai pu ensuite l’initier aux jeux de l’amour. Le vernissage de l’exposition fut un grand succès et le soir même Solange m’offrait son pucelage. Nous avons décidé de partir en amoureux vers Venise
Le lendemain, avant le départ pour Venise, j’ai tenu à vérifier le contenu de ses bagages. Elle avait prévu d’emporter plusieurs pantalons que je n’ai pas acceptés. Ce voyage initiatique devait la conduire vers une soumission complète et permanente à tous mes désirs, elle ne pourrait mettre que des minijupes ou des robes afin que je puisse la prendre à tout moment et n’importe où sans déshabillage. Par contre elle avait mis dans ses valises un bel assortiment de dessous : guêpières, portes jarretelles, nuisettes à frous-frous… une vraie panoplie de stripteaseuse. Je l’ai félicité pour ses choix.
Nous sommes partis par le chemin des écoliers, fuyant les autoroutes. Premier arrêt à l’orée d’un bois, Solange cherchait un coin isolé pour faire ses besoins. J’ai exigé qu’elle s’accroupisse devant moi :
– Ysan, mon chéri, je n’oserai jamais faire mes besoins si tu me regardes.
– Et bien tu vas devoir t’y habituer. N’oublie pas que maintenant c’est moi qui décide.
Elle s’est exécutée en bougonnant. Le spectacle était très excitant, je la découvrais dans ses occupations les plus intimes de femme. Quand elle a voulu remonter sa culotte je l’ai arrêtée
– Non Solange, enlève ta culotte. J’exige que tu restes cul nu pendant tout notre voyage. Je veux pouvoir te pénétrer à ma guise, n’importe où et à tout moment je te l’ai déjà dit avant notre départ.
– Mais Ysan, avec mes minijupes tout le monde va voir mes fesses et mon pubis épilé.
– Si j’ai envie de t’exhiber c’est moi qui décide. Puisque tu contestes tu vas tout de suite mettre une tenue encore plus érotique, les voyeurs seront ravis, prends dans la valise des bas et un porte-jarretelles.
Une nouvelle fois elle s’est exécutée en bougonnant. La voir, jupe relevée enfiler ses bas et attacher ses jarretelles dans ce sous-bois bucolique était pour moi une vision exquise, mais j’ai trouvé qu’elle n’y mettait pas suffisamment de bonne volonté et méritait une punition. L’obligeant à se courber, j’ai bloqué son buste sous mon bras gauche. Jupe relevée, ma main droite lui a infligée une sévère fessée. Je voyais son charmant petit cul rougir sous les coups puissants. Elle pleurnichait et gémissait :
– Ysan, je te demande pardon, je serai plus docile à l’avenir, mais j’ai mal, je suis meurtrie, tu vas abîmer ma croupe et elle ne t’excitera plus.
– Solange tu as mérité cette punition. Il ne suffit pas de me dire Ysan fais-moi tout, tu dois accepter ta condition d’esclave et trouver ta jouissance dans la douleur.
– Oui mon chéri, fais-moi mal ! Fais-moi mal ! Je dois l’accepter c’est bon de souffrir.
Tout ceci m’avait terriblement excité, avant de repartir je l’ai prise sauvagement, allongée sur le capot de la voiture. Notre voyage c’est poursuivi, ponctué de haltes amoureuses dans les hôtels ou en pleine nature. Au troisième jour nous sommes arrivés à Milan.
Au prétexte de lui faire visiter à pied la vielle ville nous sommes passés dans une petite rue où se trouvait un grand sex-shop. Entrés dans la boutique, Solange était émerveillée, une vraie petite fille dans un magasin de jouets. Elle voulait tout voir, tout comprendre. Je lui donnais des explications et l’ai poussée à prendre des initiatives :
– Maintenant ma petite Solange tu vas faire tes achats. Il te faut choisir une cravache puisque tu as pris goût à la fessée et deux vibromasseurs et n’oublie pas que derrière tu es plus étroite que devant. Pendant ce temps je vais aller voir d’autres objets intéressants qui sont au fond du magasin.
– Je t’en supplie Ysan, ne me laisse pas seule au milieu de tous ces hommes qui me regardent.
– Ils ne vont pas te violer en plein magasin, au pire te mettre la main aux fesses et tu devras les laisser faire.
Dès que je me suis éloigné plusieurs hommes se sont approchés d’elle intrigués par cette jeune femme en minijupe. De loin j’observais la scène, les plus hardis lui caressaient les fesses, Solange toute rougissante se laissait faire et consciencieusement choisissait ses vibromasseurs et la cravache. Moi j’ai eu vite trouvé ce que je cherchais : une poire à lavement des boules de geisha et un plug de bon diamètre. Quand nous sommes sortis du magasin elle voulait savoir ce que j’avais acheté, je me suis bien gardé de lui dévoiler mes intentions.
En fin d’après-midi nous sommes arrivés à Venise ou j’avais retenu une chambre au Danielli. Je me suis empressé de raconter à Solange que cet hôtel avait abrité les amours contrariées de George Sand avec Frédéric Chopin très malade et piètre amant. Le médecin qui venait soigner le musicien était par contre un très bel homme dont la romancière est tombée follement amoureuse. A chaque visite, il la sodomisait dans le vestibule, à deux pas du malade. Elle refusait de se faire prendre autrement, la peur de se retrouver enceinte.
– Alors, mon chéri, je vais peut-être avoir l’honneur de subir ici le même sort que George Sand. J’ai tellement envie que tu me fasses tout, que tu me sodomises !
– D’abord, il faut que tu oublies ton vocabulaire de bourgeoise, je ne vais pas te sodomiser, je vais t’enculer. Encore faut-il que tu sois prête à prendre ma bite. Pour commencer déshabilles toi et essaye les vibromasseurs que tu as achetés.
Solange s’est lentement dévêtue devant moi ne gardant que les escarpins, bas et porte jarretelle, comme elle en avait pris l’habitude. Lentement elle a introduit le plus gros vibromasseur dans sa chatte, l’opération a été plus douloureuse pour rentrer l’autre dans son petit trou malgré le gel que le vendeur du sex-shop lui avait conseillé. C’est moi qui ai mis les deux engins en route. Solange était en transe, pour compléter mon plaisir j’ai commencé à la cravacher puissamment :
– Jouis petite salope avec tout le matériel que tu as acheté
– Ysan tu es sévère avec moi, j’ai mal mais je jouis. Fais-moi tout ! Je t’en supplie encule moi ! Encule-moi !
– Non pas maintenant, je m’arrête, vas t’habiller pour descendre au restaurant
Obéissante elle s’est dirigée vers le dressing pour en ressortir dans une robe très élégante. Je l’ai félicité tout en relevant sa jupe. Elle avait parfaitement respecté la règle: porte jarretelles mais pas de culotte. Sans lui donner la moindre explication j’ai enfoncé les boules de geisha dans sa chatte et planté le plug dans son petit trou. Surprise, elle a eu un soubresaut mais a subi sans rien dire
Tenue élégante, bijoux scintillants, perchée sur ses talons aiguilles et ondulant de la croupe, Solange a fait une entrée remarquée dans la salle de restaurant. Tous les hommes auraient bien fantasmé s’ils avaient pu voir ce qu’elle portait dans l’entrejambe et le fondement. Assise, le plug l’obligeait à rester bien droite, reins cambrés et poitrine arrogante :
– Es-tu bien sur cette chaise ma chérie ? Tu ne souffres pas trop ?
– Je suis très bien et quand je marchais ce que tu m’as mis me procurait des sensations délicieuses, mais tu avais acheté trois objets, qu’a tu fais du troisième ?
– Solange tu es trop curieuse, tu verras quand nous remonterons dans la chambre
De retour dans la chambre, c’est moi qui l’ai déshabillée lui laissant uniquement les bas et son charment porte jarretelles en dentelle noire. A ma demande et docilement elle s’est positionnée en levrette au bord du lit. J’ai remplacé le plug par la canule de la poire à lavements. Elle gémissait sous l’effet des jets puissants et chauds qui inondaient son ventre, mais la séance a été brève :
– Maintenant tu vas aller te vider aux toilettes et crème ton œillet avant de revenir. Saches qu’à l’avenir tu devras prendre seule ton lavement quand j’aurais envie de t’enculer et je n’accepterais que ma queue soit souillée par tes excréments. La sanction sera de vingt coups de cravache et l’obligation de me nettoyer avec ta langue.
J’ai trouvé amusant de la voir, très digne, marcher vers la salle de bain toujours perchée sur ses talons aiguilles, bas, porte jarretelles et la poire à lavement plantée entre les fesses. J’en ai profité pour me déshabiller rapidement et poser un coussin au milieu du lit. A son retour, sans rien dire, elle s’est allongée à plat ventre sur le coussin, les reins bien cambrés. Solange n’avait pas oublié le temps où je la faisais poser dans cette position pour ma toile ?esclave préparée pour recevoir son maître? (chapitre 2). Aujourd’hui ce n’était plus de la fiction. Des deux mains elle écartait ses globes fessiers. La chevauchant j’ai pointé ma grosse bite sur son petit œillet :
– Ysan, mon chéri, je sens ton gland, vas-y ! Forces moi ! Encules moi ! Encules moi !
– Tu vas souffrir Solange mais il le faut, je te veux toute à moi. Détends-toi, détends-toi !
– Oh ! Tu es gros ! J’ai mal ! J’ai mal ! Mais c’est bon ! C’est bon ! Défonce-moi !
– Maintenant tu es bien prise, jouis dans ton cul petite vicieuse !
– Oui je suis une pute, une salope, prends ton plaisir dans mon ventre Ysan. Oh ça y est tu gicle ! Ton jus me calme, c’est bon ! C’est bon !
J’avais enfin atteint mon objectif, sodomiser Solange et la soumettre à tous mes désirs. Notre séjour à Venise s’est poursuivi dans une débauche de plaisirs. Toujours en minijupe, perchée sur ses hauts talons, porte jarretelles et sans culotte, elle était en permanence à ma disposition. Je la baisais, je l’enculais n’importe où. Je l’obligeais à me pomper dans les lieux les plus insolites au grand bonheur des voyeurs. Quand j’étais épuisé, je bourrais son cul et son con avec les vibromasseurs, le plug ou les boules de geisha. Je cravachais sa croupe déjà bien meurtrie Elle hurlait, gémissait, dans un état d’excitation permanente. Un soir où nous faisions une promenade nocturne en gondole, je la pelotais aux vues du gondolier très excité par ce spectacle. J’ai demandé à Solange de lui faire une pipe pour le soulager. Elle s’est exécuté docilement, mais s’est permis de recracher tout le foutre ce qui lui a valu trente coups de cravache dès notre retour à l’hôtel.
Je suis sans doute un bon pygmalion, mais j’avais une élève particulièrement douée qui jouit aussi bien par devant que par derrière, suce à merveille, possède un vraie talent de stripteaseuse, et accepte avec délice toutes les soumissions : la cravache, les attouchements d’inconnus dans le sex-shop, et maintenant pomper notre gondolier.
Notre voyage s’est ainsi terminé en apothéose, mais le moment était venu de rentrer. Nous sommes arrivés à Paris le jour de la cérémonie de clôture de notre exposition. Le temps de se changer et Solange en tailleur strict mais élégant accueillait ses nombreux invités sur les marches du Grand Palais : un mot aimable pour chacun, long discours de remerciements, distribution de mes toiles aux généreux acquéreurs, les enchères avaient atteint des sommets.
Ainsi, en moins d’une heure, ma petite pute en minijupe, mon esclave docile, ma chienne en chaleur était redevenue la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois Colombes, présidente d’une très importante association caritative. Métamorphose étonnante, j’étais admiratif.
Le lendemain matin, au réveil, Solange est venue se blottir contre moi. C’était son comportement habituel quand elle avait quelque chose d’important à me dire
– Ysan, mon chéri, j’ai fait un rêve fou. Tu me promenais dans un immense château. J’étais entièrement nue et une cravache à la main, tu me tenais en laisse. Il y avait des hommes partout. Ils tournaient autour de moi, me caressaient, me palpaient, m’embrassaient me mordaient les seins et tu les laissais faire. Les plus hardis m’enfilaient debout, un par devant, un autre par derrière et quand ils sortaient d’autres prenaient leur place. Tous ces hommes en rut s’enculaient entre eux et tu m’obligeais à m’agenouiller pour sucer des bites couvertes d’excréments. Si j’essayais de me rebiffer tu me cravachais sévèrement pour le plus grand plaisir de tous les voyeurs. Je pleurais, je gémissais de douleur mais aussi de plaisir. Le sperme coulait de tous mes orifices. J’étais dans une sorte d’orgasme permanent. Quand je me suis réveillée, je mouillais abondamment.
– Ma petite Solange je trouve ton rêve très intéressant et je vais m’occuper de satisfaire ton fantasme. Pour l’instant il faut que je rentre chez moi, après quinze jours d’absence j’ai beaucoup de choses à faire. Je te téléphone ce soir.
Quand je suis arrivé chez moi, Fatima m’attendait avec impatience. Elle voulait tout savoir sur mon voyage en Italie. Il me fallait satisfaire sa curiosité. Je lui ai tout raconté dans le détail : le dépucelage de Solange, sa première sodomie, l’épisode du sex-shop, la fellation au gondolier et bien d’autres aventures. Elle m’a asphyxié de questions sur les réactions de mademoiselle Solange ? : Si elle n’avait pas trop souffert la première fois, si elle avait bien joui par la suite, si je n’avais pas été trop sévère avec elle… etc… etc…
Pour terminer, j’ai raconté à Fatima le dernier rêve de Solange, en lui expliquant que pour satisfaire ce fantasme j’avais besoin de son aide. Très fière de l’importance que je lui donnais, elle a eu vite trouvé la solution : faire venir quatre ou cinq de ses amis africains et leurs livrer Solange. Quelques coups de téléphone et la séance était organisée pour le lendemain dans l’après-midi. J’ai jugé intéressant d’associer Katy à la fête. Je le lui avais promis depuis longtemps (voir chapitre 3). Elle a été ravie par ma proposition. Tout était organisé, il ne me restait plus qu’à prévenir la principale intéressée. Je lui ai téléphoné dans la soirée :
– Solange, j’ai trouvé une opportunité pour te permettre de réaliser ton rêve. Sois demain chez moi en début d’après-midi en escarpins, bas noirs et porte jarretelles assorti. Pour préparer ce qui t’attends, mets dès ce soir le gros plug que je t’ai laissé.
– Mais quelle robe veux-tu que je mette ? Je suis inquiète, explique moi ce que tu as prévu, je t’en supplie.
– Tu n’as pas à mettre une robe, je veux que tu arrives en bas noirs et porte jarretelles sous ton manteau de fourrure, et tu devras garder le plug.
– Ysan je ne vais pas oser prendre un taxi toute seule dans cette tenue
– C’est un ordre et ne discute pas !
– Ne me gronde pas mon chéri, je vais t’obéir.
Solange est arrivée à l’heure, un peu angoissée et surprise de voir Katy avec nous. L’esthéticienne s’est empressée de lui retirer son manteau et l’a conduite vers la salle de bain pour les derniers préparatifs : retirer le plug, lavement et surtout bien lubrifier son petit trou qui allait beaucoup servir. C’est là qu’elle a expliqué à Solange le programme que nous avions prévu.
Quand elles sont ressorties de la salle de bain Solange avait le rouge aux joues et Katy arborait un sourire radieux. Elle avait dû se permettre quelques privautés qui semble-t-il n’avaient pas déplu à ma petite comtesse.
Entre temps les amis de Fatima étaient arrivés. Ils étaient cinq. Elle les avait installé dans mon atelier en leurs distribuant des photos très suggestives de la charmante poupée que nous allions leurs livrer. Solange informée par Katy savait maintenant ce qui l’attendait.
Depuis fort longtemps, j’avais fait installer sur un mur de mon atelier un grand miroir sans tain. Quand une grande bourgeoise ou une actrice célèbre pausait nue, j’invitais quelques vieux messieurs vicieux. Ils s’installaient derrière le miroir et profitaient du spectacle qui se terminait souvent par une partie de jambes en l’air. Aujourd’hui c’est moi qui allais m’installer derrière le miroir en compagnie de Katy et Fatima.
Solange a fait une entrée très digne dans l’atelier, maîtrisant parfaitement son angoisse profonde. Elle me faisait penser aux jeunes vierges livrées aux fauves dans les arènes de la Rome antique. Perchée sur ses talons aiguilles, les bas noirs sous tendus par le porte-jarretelles affinaient ses jambes en fuseaux, pubis parfaitement épilé, petits seins arrogants, les reins bien cambrés, en ondulant de la croupe elle est venue provoquer les cinq males en rut. Cinq colosses noirs entièrement nus, montés comme des taureaux et fascinés par le morceau de choix que nous venions de leurs livrer.
Le plus hardi, un gaillard de deux mètres, s’est levé pour serrer Solange dans ses bras. Il a plaqué ses grosses lèvres pulpeuses sur sa petite bouche ouverte qui semblait apprécier ce baiser fougueux. Soulevée comme une plume, cuisse écartées, Solange c’est retrouvée empalée sur une queue énorme. Un comparse c’est alors empressé de venir la prendre par derrière. Ses pieds ne touchaient plus le sol, elle était maintenue en l’air, embrochée entre ses deux amants qui la besognaient en cadence. Pour la première fois, elle subissait une double pénétration. A travers la mince cloison j’attendais ses petits cris et ses gémissements de plaisir quand sa voix n’était pas couverte par les vociférations des trois spectateurs ou les rugissements des baiseurs. Ils ont su faire durer leur plaisir un bon quart d’heure. Au final, ils ont joui en même temps abandonnant Solange retombée au sol.
Epuisée, elle n’a eu droit à aucun répit. Immédiatement les deux suivants l’ont prise en main et leur plan était prévu d’avance. L’un s’est étendu sur le canapé, obligeant Solange à le chevaucher pour s’empaler sur sa bite turgescente. Il l’a ensuite attirée vers lui, ainsi la croupe dressée de ma petite comtesse était offerte à la sodomie de l’autre. Pour la seconde fois en moins d’une heure elle subissait une double pénétration.
Le cinquième larron était le plus fortement membré de tous. Patiemment il attendait son tour en sirotant un whisky. Dès que Solange a été disponible il ne lui a même pas laissé le temps de reprendre ses esprits. Docilement elle a pris la position en levrette qu’il lui imposait. Les reins bien cambrés, elle s’attendait à subir une nouvelle sodomie. C’est dans la chatte qu’il lui a enfoncé son énorme queue. Après quelques coups de butoir puissants il est ressorti pour cette fois l’enculer, elle a poussé un cri de surprise. Mais là aussi, il ne s’est pas attardé. Quand le gland turgescent a franchi en sens inverse le petit œillet fragile de Solange elle a hurlé de douleur. Sans pitié le monstre c’est alors lancé dans une succession de pénétrations en alternant le cul et le con. Les quatre spectateurs applaudissaient à ces prouesses et Solange subissait en gémissant; enfin soulagée quand il a déchargé sur ses reins.
Mais le supplice de ma petite comtesse n’était pas terminé pour autant. Ces hommes jeunes et vigoureux ont vite retrouvé toute leur virilité. A quatre pattes elle devait aller de l’un à l’autre pour les sucer. Elle a encore été prise maintes fois par devant, par derrière. Il lui a fallu plus d’une heure pour les rassasier. Ils l’ont enfin délaissée, préférant s’intéresser au whisky.
Fatima est alors rentrée dans l’atelier et avec son autorité habituelle leurs a signifié la fin des réjouissances. Ils se sont rhabillé et sont partis. Quand je suis entré à mon tour, Solange était assise sur le canapé, épuisée, meurtrie mais fière d’avoir pu réaliser son fantasme. Katy s’est assise auprès d’elle pour la caresser doucement tout en essuyant le sperme qui souillait son visage et son corps. Et puis, spontanément, les deux jeunes femmes se sont allongées tête bêche pour s’adonner au plaisir saphique. Le spectacle était excitant, Fatima l’a bien compris, à genoux devant moi elle m’a sucé goulûment et j’ai vite joui. Nous avons terminé dignement cette après-midi mémorable en buvant du champagne.
Que de chemin parcouru par Solange depuis notre première rencontre. Elle était maintenant une jeune femme parfaitement épanouie, ouverte à tous les plaisirs de l’amour et prête pour de nouvelle aventures avec moi ou sans moi. J’avais terminé mon rôle de Pygmalion dominateur.
FIN
moi aussi j’aime bien sucer des bonnes bites de blacks