Une soirée réussie !
4 – Saut d’homme
par Bibi_01
On y retourne ! Enfin… c’est souvent moi qui me retourne !
Patrick m’attend chez lui ce soir. Il m’a expliqué comment m’y rendre, et a rajouté que ce serait beaucoup plus confortable que la table de son arrière-boutique.
Il habite une résidence de standing sur les contreforts de la ville, à quelques kilomètres du centre. Disons 10 minutes. Interphone pour accéder au parking, puis je prends l’ascenseur pour le 5ème étage. C’est avec un large sourire qu’il me reçoit, s’inquiétant d’abord de savoir si j’avais trouvé facilement l’immeuble. Frais douché, il est en peignoir de bain, toujours aussi charmant, sentant l’eau de toilette.
L’appartement est très harmonieusement meublé, bien que très épuré; deux grands canapés en cuir disposé en angle autour d’une très confortable table basse, le tout en regard de vaste baies vitrées ouvrant sur un balcon terrasse. Et en toile de fond, toute la ville illuminée de tous ses feux. Le rêve. L’éclairage n’est constitué que de lampes indirectes, très tamisé donnant une tonalité très cosi à cette vaste pièce à vivre.
Pat prend ma veste et me demande si je désire boire quelque chose en m’invitant à prendre place dans le canapé. “Un Whisky sec m’ira très bien, s’il te plaît. Au fait, évite de prendre un Martini, dans l’absolu !” “Même pas mal, je n’ai pas de pantalon !” Me rétorque-t-il.
Je suis content de le revoir, et constate avec plaisir qu’il est naturellement zen. Les verres arrivent, et il s’assied sur l’autre canapé, juste en face de moi. Tout aussi naturellement, son peignoir est entrouvert, offrant sa magnifique queue à ma vue. Je ne peux m’empêcher un petit commentaire, ce à quoi il me rassure en me disant que nous sommes suffisamment intimes pour ne pas nous gêner ! Profitant de cela, il me tend un petit sac en papier. Je l’ouvre et en sort des préservatifs XXL et un tube de gel. Le ton est donné, mon cul ne l’a pas déçu : “Tu as peur que je tombe enceinte ?” “Non, mais tout de même, par respect pour toi, je ne veux pas que tu es peur, bien que je n’aime pas les capotes, mais…”
Sa queue lourde s’expose devant mes yeux, et le souvenir des moments passés il y a 6 jours, combiné à l’alcool, me donne des chaleurs. Je lui explique alors qu’aucun autre homme ne m’a jamais pris sans protection, et que je n’ai pas été raisonnable l’autre soir. Mais aucun mec encore ne m’a fait prendre un pied pareil, tout en me respectant, et que j’ai vraiment envie de renouveler cette heureuse expérience dans ces conditions ! Il me répète que lui n’a rien, ni rien fait depuis qu’il a plaqué “Aspro”. Il est franc, simple, et j’apprécie. “Après ce délicieux Whisky, je sucerais volontiers ta queue, Patrick. J’en rêve depuis que je l’ai quitté l’autre soir !”
Sans hésiter, il ouvre son peignoir et avance son bassin pour s’asseoir sur le bord du canapé, tout en repoussant la table du pied. Sa bite est toujours aussi grosse déjà au repos, mais un détail à changé : il s’est complètement rasé. “Surprise.” Sourit-il. “Déshabille-toi, je veux te voir nu avant de sentir ta bouche. Je m’exécute rapidement, avant de m’accroupir entre ses jambes pour embrasser son gland. “Moi aussi j’ai une surprise. Tu verras.”
Ma main gauche soupèse ses lourdes couilles toutes lisses tandis que la droite enserre la base de sa verge et la plonge contre mes lèvres entrouvertes, décalottant son prépuce en l’avalant; Je connais mon monstre et sais mieux m’y prendre, d’autant plus qu’il n’y a plus l’effet de surprise. Rapidement, sa hampe gonfle et s’allonge sous mes coups de gueule. Je n’oublie pas de gober les testicules, et Pat avance un peu plus son bassin, posant un pied sur la table, offrant ainsi la naissance de ces fesses musclées. Soulevant ses bourses de ma main, je me surprends à lécher son scrotum, puis ma langue pointe délicatement son anus. Un petit râle d’appréciation me fait comprendre qu’il apprécie cette attention. Je me permets d’insister alors, et ce faisant, vois ses doigts se saisir de sa queue pour entamer un long branle. Ses couilles reviennent longuement dans ma bouche, mon majeur pénètre son petit trou par petites poussées. Il se contracte sur mon doigt tout en envoyant sa main derrière ma nuque afin de m’obliger à revenir pomper sa queue, qu’il me présente de l’autre main. “Oh, que tu es doué pour exciter, toi ! Suce-moi fort, là, j’ai envie que tu m’aspires, que tu me gobes, oui, comme ça !” Je relâche ma mâchoire un max tout en activant le mouvement, désireux de lui donner satisfaction. Mon doigt remonte fortement le long de sa prostate que je sens bien gonflée. Puis de nouveau ses couilles, que je trempe de salive, ne sont pas épargnées. Il se branle toujours, commence à souffler, alors je lui mets mon deuxième doigts au cul. Ses burnes remontent instantanément, et sa main branleuse me représente son gros gland gorgé à sucer. “Tu veux jouir maintenant ? Tu veux te vider entre mes lèvres ? Tu veux me nourrir ?” N’attendant pas sa réponse, je le reprends profondément en bouche, et le pompe furieusement en remplaçant sa main par la mienne. Il projette son pubis au devant de mes succions, mes doigts fouillent largement son cul serré, et ma main tire sur son frein avec force à chaque descente de mes lèvres.
“ Je vais cracher ! “ hurle-t-il les dents serrées. Mes yeux se plantent dans les siens au même instant que mes doigts dans son cul; j’appuie alors fortement sur sa prostate en branlant son énorme mandrin comme un forcené, mes lèvres serrées juste derrière son gland, et une violente giclée de foutre est catapultée directement contre l’arrière de mon palais. Sans cessé de le branler, j’avale cette rasade juste avant qu’une deuxième remplisse de nouveau ma bouche. Il crie son bonheur en donnant des petits coups de bassin à chaque décharge, vidant ses vésicules séminales en 6 puissants jets d’un foutre onctueux dans ma gorge. Il sourit de me voir les yeux rieurs, la mine réjouit, la bouche toujours pleine de mon biberon favori. J’aime sucer un homme, j’aime les grosses queues, et j’aime le foutre. Avec lui, je ne peux qu’être aux anges.
Après avoir délicatement retiré mes doigts de son fondement, je dépose son sexe partiellement débandé sur son ventre, et embrasse ses lourds testicules. “Apéritif délicieux, j’en reprendrais presque une autre tournée de suite !” Lui dis-je en me léchant les lèvres.
“Comment peut-on autant aimer le sexe que toi ? Ma première femme, que je croyais insatiable, est une petite joueuse à côté de toi !” “Te plains-tu de mes excès ?” Questionnais-je ? Ses sourcils se soulevèrent en signe de négation, non, il ne semble pas en souffrir.
Le temps d’une cigarette, je lui tourne le dos (même pas peur), et face à la baie vitrée, nu comme un ver, je contemple la ville. Le panorama est splendide, une mer de lumière s’étale sous mes yeux, dont certaines scintillent; c’est une vue merveilleusement vivante, divertissante.
“C’est pour cette raison que j’ai choisi cet appartement, je l’ai trouvé lumineux et la vue reposante.” Il se tient à quelques pas de moi; dans la vitre, son lourd barreau à demi mou pendant sur ses non moins grosses couilles se reflète, c’est aussi captivant que la ville illuminée.
“Est-ce que l’on t-a déjà dit que ton cul était bandant ?” Continue-t-il. “Tu es un beau mec, ton corps est splendide, tu baises comme un Dieu, et ton cul est un chausson fourré. J’ai encore envie de toi.”
Sa main se pose sur mes fesses, l’autre saisi ma queue et mes couilles, plaquant son sexe contre ma hanche pour me faire sentir sa virilité grandissante … je ne veux pas le faire attendre, et suis impatient d’être investit. Ses doigts parcourent mon sillon, le temps que son majeur me fouille délicatement.
Là, le regard dans le vide, sa présence contre moi, son doigt… tous les éléments sont réunis pour que je me sente sur un petit nuage, détendu et serein. “Tu sais, dis-je en saisissant l’objet contondant contre ma cuisse, je ne suis pas homo, et j’adore les femmes. Mais les queues me fascinent, je suis fait ainsi, je n’y peux rien. Je ne vais jamais t’embrasser, te dire des mots d’amour, ou te demander de vivre ensemble. Mais en revanche, ma bouche et mes fesses te seront dévoués. Tant que tu me respecteras, tu feras de moi ce que tu veux, et je ferais tout pour te donner le meilleur de moi-même… alors… encule-moi maintenant s’il te plaît, rempli-moi de toi, de ta grosse queue.”
Glissant à genoux derrière moi, ses dents mordent mes fesses de multiples fois en enserrant mes hanches de ses puissantes mains. Sa langue remonte ma raie; afin de m’offrir à sa langue, je me penche en avant, plaçant mes mains contre la baie vitrée. “Hummmmm, tu t’es rasé ? Intéressant !” Sa langue trouve son chemin et pointe la rosette qui déjà réagit, s’ouvre. Je suis tellement à l’aise, j’ai tellement envie et besoin de me faire mettre… que mon ventre est hyperlaxe, voir demandeur.
Dans la vitre, je vois sa main branler méticuleusement sa verge. “J’adore quand tu me suces l’anus, j’en tremble, c’est bon !” Patrick aime autant mon cul que moi sa queue ou son sperme, et c’est avec rage qu’il me fouille de sa langue polissonne ! Des fesses, je le repousse et le fait tomber le dos sur la moquette en l’accompagnant, pour me jeter sur sa queue. Mes mains prennent ses lourdes couilles et sa bite en lasso comme s’il s’agissait d’une bouteille et je le pompe le plus fort possible. Comme par magie, est-ce cet état de relaxation, de sérénité, mais ma bouche s’écarte suffisamment pour avaler son membre, et l’énorme gland se retrouve tout au fond de ma gorge, ses burnes à quelques centimètres de mon nez. Refoulant un haut le cœur, je tente néanmoins de conserver la posture et fais coulisser sa puissante hampe entre mes lèvres. Instants divins, j’ai l’impression de maîtriser un bolide, et le suce avec concentration. La vitre renvoie l’image de mes lèvres distendues, et ce que je vois ma comble. Le faire jouir ainsi sera possible maintenant par ma bouche, et ne m’en priverai pas. Mais là, son ardeur à me bouffer le cul me rappelle que ce côté là de moi le réclame aussi. “Ah, deux hommes de ce calibres !” Ne puis-je m’empêcher de penser secrètement.
Je laisse son gourdin sortir de ma bouche pour lui signifier que je suis prêt à le recevoir. Nous nous dirigeons vers le canapé, et Patrick se saisit des capotes. Je le laisse se battre avec son plastique, préférant de loin jouer avec ses belles couilles toutes lisses que je gobe bruyamment. Luisant comme un godemiché, sa queue est encore plus impressionnante sous cellophane que nature. Il a réussi à plastifier le monstre, j’en suis un peu déçu, j’aurais préféré un échec, mais n’en dis rien. Je le suce encore un peu, et le goût n’est vraiment pas sympa, ni la glisse, du reste. “Donne-moi ton petit, que je te remplisse comme tu aimes !”.
Afin d’être plus offert, je me mets à genoux en travers du canapé, les pieds par dessus l’accoudoir, et la tête sur les coussins. A l’aide du gel il s’enduit la queue, puis en dépose dans ma raie une bonne quantité. Mes mains écartent mes fesses au maximum pour ouvrir mon trou à son dard qu’il vient appliquer. “Tu m’as dépucelé l’autre fois, entre en moi comme chez toi, je te livre mes reins, fait moi jouir s’il te plaît.” Et son gland s’insinue dans mon cul avec douceur. Le gel facilite la progression, et le sentir glisser par petites vagues me donnent des sensations incroyables. “ Mon cul te réclame, tu le sens t’aspirer ?”
Pat est concentré à ne pas me décevoir, conscient que trop de témérité pourrait si facilement me déchirer. Il préfère jouer la prudence et la patience. Il m’a plusieurs fois expliqué sa frustration de ne pas pouvoir s’introduire facilement, et d’avoir essuyé tant de défaites, qu’avec moi, il tient… à ménager sa monture. “Tu es bien, je ne te fais pas mal ?” S’inquiète-t-il. “Tu ne te rends pas compte des sensations que tu m’offres, je n’ai jamais rien ressenti de tel, encule-moi encore, écrase tes couilles contre moi, remplie-moi le cul, j’adore ta queue, quand tu es en moi. Prends-moi… ne me fais plus attendre !”
Toujours par petits va-et-vient, ma rondelle cède, complètement sous le charme de son imposant visiteur. Ma main passe entre mes jambes pour lui agripper les couilles et lui faire comprendre qu’aucune marche arrière n’est possible. Je souffle fort sous la pression, pousse très fort sur sa queue; je ne suis pas inquiet, j’ai fait un lavement en prenant ma douche afin de ne pas “vivre de grand moment”.
“J’aime ton cul, j’aime me sentir serré… c’est tellement rare ! Je vais te faire bouger, tu vas aimer. Tu m’as bien vidé les couilles, je tiendrai le temps qu’il faudra pour te combler comme tu le mérites.” Ses couilles sont contre moi, et franchement, la pression est à son paroxysme. Mon ampoule est dilatée à exploser, et c’est à chaque fois cette sensation de distension qui se transforme… en pur plaisir. Des contractions de sa hampe me font vibrer, je ne suis plus qu’une masse nerveuse au service de notre plaisir.
Il vient se pencher sur mon dos, m’enserre dans ses bras, et me murmure à l’oreille : ”Redresse-toi, petit enculé, je veux que tu t’assois sur moi, tu vas danser pour moi.” Je m’en remets à lui, il est mon objet de plaisir. Ses deux mains m’agrippent alors sous les cuisses, et, bien qu’il reste planté en moi, nous nous retrouvons par miracle lui assis sur le canapé, et moi le chevauchant. Plus empalé que cela n’est pas possible, et je prends appui sur mes bras pour soulager mon fondement, entamant quelques ondulations. Ses mains passent sous mes fesses, il m’accompagne dans cette danse en me parlant crûment, me rappelant de quoi j’étais capable. La vitre, telle un miroir, me permet d’être également spectateur de mes sensations, me montrant sa formidable barre lubrifiée pourfendre mes fesses. Terriblement excitant de baiser devant un miroir.
Nos souffles s’accélèrent, le rythme s’endiable, mon cul avale cette sodomie avec de plus en plus d’appétit, je ne me reconnais plus tant je suis réceptif… et communiquant. Je ne me suis jamais senti aussi à l’aise avec un amant, et n’ai jamais autant exprimé, verbalisé mon ressenti. Je ressens le besoin de lui parler. “Ce que tu me baises bien, j’aime comme tu me baises le cul ! Je n’ai pas mal, je ne fais qu’en jouir ! Baise- moi, continue, oui, encore ! Enfonce-toi bien profond ! Tu sens comme j’aime, hein, tu sens comme je suis ouvert pour que tu m’encule ? Viens, vide tes couilles dans mon cul !”
Pat s’exécute. Je place mes pieds sur ses genoux, mes bras toujours en appui, il donne des coups de reins de plus en plus forts. Il jouait la longueur, faisant glisser toute sa hampe dans mon mignon, mais maintenant, il me propulse 10/15 centimètres d’une queue monstrueuse, dure, qui tape au fond de mon rectum ! Ses couilles se soulèvent à chaque poussée. En transe, nous nous accordons à chaque assaut, je suis impressionné de notre état fusionnel depuis la première fois. Ma queue, demi-molle, tressaute à chaque coup de boutoir, ma vessie et ma prostate m’annonce qu’ils ne comprennent plus ce à quoi nous jouons, et au même moment, mon sperme s’écoule sur ses cuisses et ses bourses en longues traînées. Je hurle ma jouissance, ce qui déchaîne Patrick, qui à son tour éructe un son étrange que seul un homme en plein orgasme n’arrive à produire. “Oui, remplie-moi de foutre, jouis fort en moi, comme ça, oui, c’est boonnnnnn!” Sa queue est le piston d’un moteur tournant à plein régime, il m’encule comme un forcené en balançant le jus de ses couilles dans mon cul comme un fou, hypnotisé par le plaisir.
Epuisé, mes bras ne me portent plus et je m’écroule sur lui. Nos souffles sont courts. Je repose mes pieds de part et d’autre des siens. Mon cul est en feu, mon ventre est un maelstrom de sensations étranges, ma tête tourne. Je lui dis qu’il est fou, qu’il va nous tuer à nous faire jouir aussi fort ! Ce à quoi il répond qu’il n’en sait plus rien, qu’il est déjà mort, et que pour l’instant, plus rien n’a d’importance.
5 minutes plus tard, ma rondelle me chauffe terriblement, c’est le désagrément de la combinaison préservatif-gros diamètre-rythme endiablé. En tenant bien la capote sur sa queue pour ne pas la laisser glisser, je me relève tout doucement. Prouesse technique, le latex a résisté à la pression de ses assauts. Une énorme boule de sperme, tel un grelot, pendouille au bout du gland. Je tombe à genoux entre ses jambes, son sexe toujours dans ma main, et lèche ses couilles pleines de mon foutre. Patrick sourit : “Nettoie-moi, j’aime ta langue.”
Avec application, je lape toute cette semence, puis embouche son gland et le réservoir de la capote. Mordant le réservoir, je déchire facilement le latex. Lentement, je retire le préservatif du gland vers la base de sa hampe, et dispose d’un coup de tout le délicieux foutre que la capote libère dans ma bouche en se retirant. Je n’ai jamais eu autant de sperme à disposition en une seule prise, c’est comme si deux hommes s’y étais mis. Je le savoure et l’avale par petite gorgée avant de nettoyer le gland et la hampe de mon étalon, comblé.