Melina, travesti amateur
11 – Dimanche à Rennes
par Mélina
Bonjour mes chéries et chéris
Je vous envoie le compte rendu de ma journée de dimanche à Rennes
Ce dimanche de février, je me suis rendue à Rennes pour le tournage d’une vidéo. J’avais reçu sur mon mail, une annonce qui cherchait des soumis et soumises. Il y avait une adresse, ainsi que les photos de Raphaëlle une très belle transsexuelle et d’Estelle son amie, (une « vraie » femme celle-ci !) Mignonnes à croquer ! Je les contactais et leur proposais de tourner avec elles. Elles acceptèrent et nous prîmes rendez-vous pour ce dimanche à 13 h 00. Heure d’arrivée de mon train à Rennes.
Donc, le matin, je me lève avec fébrilité, prends une douche, passe ma guêpière mauve et mes bas. M’enfile un plug pour avoir le cul bien ouvert en arrivant à Rennes et surtout pour apprécier les mouvements du train. Mets mes vêtements d’homme par-dessus et prends mon sac avec mes affaires.
Le voyage dure plus de deux heures avec un changement au Mans. M’ennuyant dans le train, je décidais de commencer à me préparer, malgré mes voisins. Je sortis tranquillement mes affaires de maquillage et commençais à me vernir les ongles d’un beau rouge bien voyant. Puis, je me mis du fond de teint. La tête de mes voisins ! Surtout d’une femme âgée, mais personne ne m’a rien dit ! Ils n’ont sûrement pas osé. Je mis mon collier de perles, mes bagues, je retirais mes chaussures d’hommes et mis mes bottes à talons. Pour cela, je relevais très haut le bas de mon pantalon pour qu’ils puissent voir mes bas. J’enfilais mes bottes, rangeais mes chaussures dans mon sac. Puis, je sortis mes prothèses mammaires et les glissais dans le soutien gorge de ma guêpière. Il n’y avait pas un mot de mes voisins, mais ils ne me quittaient pas des yeux. Je sortis ma perruque, la coiffais et la remis en place dans mon sac ! Je ne connais pas assez la gare de Rennes pour y arriver en fille.
La dernière demi-heure fila ainsi très vite et on arriva enfin à Rennes. Je me levais et les quittai la première, je suppose qu’après ils osèrent me critiquer, mais je m’en fous.
A la sortie, je cherchais la société de location de voiture, car c’est là que nous avions rendez-vous, quand j’entendis une voix derrière moi m’appeler, je me retournai et vis Raphaëlle, nous nous fîmes la bise tout de suite et elle m’emmena vers Estelle qui attendait dans le hall. La, aussi nous nous fîmes la bise. Puis, direction leur voiture et leur appartement pour le film.
Chez eux, je me rendis de suite dans la salle de bain pour finir de me préparer. Je sortis un petit ensemble de soubrette (robe très courte noire et tablier blanc) que je passais sur ma guêpière. Je finis de me maquiller, mis ma perruque et je les rejoignis ainsi.
Elles m’expliquèrent en gros le scénario du film et me demanda si on pouvait y aller. Etant venue pour cela, j’acquiesçai immédiatement.
Elles s’installèrent dans le salon, et commencèrent à regarder un film de cul. Puis, Estelle m’appela pour me commander à boire. Je pris leur commande, les yeux baissés et sortis pour prendre le plateau de boissons.
Je les servis et malencontreusement, lors du versement des glaçons dans les verres, j’en reversais sur le plateau. Raphaëlle m’engueula, me disant que je n’étais bonne à rien et que je méritais une punition pour mon incompétence. Ce qu’Estelle trouva très bien. Elles me firent mettre à genoux et attendre qu’elles aient bu leurs verres. Puis, Estelle m’ordonna de débarrasser le plateau et de retirer la table. Ce que je fis immédiatement en tant que soumise.
Ayant retiré la table, Maîtresse Estelle me fit mettre à genoux contre un fauteuil, me fit me pencher dessus et tendre mes fesses. Elle s’approcha de moi et commença à me fesser, Raphaëlle regardant. Puis, elle prit un fouet et me fouetta pour m’apprendre à ne plus renverser les affaires. Je méritais amplement cette punition.
Raphaëlle m’ordonna de retirer ma robe et d’être juste en guêpière. J’obéis en soubrette soumise. Je laissais glisser ma robe et apparut en guêpière. Je me remis en place sur le fauteuil. Puis on m’ordonna de retirer mon string et je le fis. Celui-ci glissa lentement afin de libérer ma bite. Estelle vint vers moi et tira sur mes couilles tout en me branlant violemment. Ce n’est pas une timide !
Je ne bougeais pas, de peur de prendre des coups plus forts. Estelle me fit lever la tête et elle me mit un collier de chien avec une laisse. Et me refit prendre la même position. Le buste couché sur le fauteuil et mon cul cambré.
Elle commença à m’introduire un doigt dans mon petit cul de salope en le faisant aller et venir. Comme on ne m’avait pas spécifié de prendre de lavement préalable, son doigt ressorti maculé de ce que vous imaginez. Elle me demanda de le lui nettoyer, ce que j’acceptais de faire avec empressement. Lécher du caca ne me dérange pas quand je suis bien excité. Elle s’empara d’un gode et me l’enfonça dans le cul. J’entendais Raphaëlle dire que j’étais une salope et que j’aimais cela. Il est vrai que puisque Estelle me le permettait, j’allais au-devant des coups de gode ! Elle me l’enfonçait entièrement, tout en me fessant régulièrement. A la sortie je dus évidemment procéder au nettoyage de l’objet jsuq’à ce que toute trace de merde eut disparue. Puis, Raphaëlle voulut prendre sa place, et elle prit un gode plus gros et là elle me fit mal, car il était vraiment gros, je ne pouvais pas le prendre dans mon cul ! Alors, elle reprit le fouet, et me fouetta pour l’avoir indisposé.
Elle m’abandonna pour discuter de mon cas avec Estelle, qui se mit à rire. Et elles amenèrent un banc bas en skaï. Estelle tira sur la laisse pour que je m’installe à quatre pattes comme une chienne sur ce banc. Le collier me serrant la gorge, je ne pus qu’obéir.
Installée à quatre pattes, j’attendais. Je les entendais murmurer derrière moi et rire. Cela ne présageait rien de bon. Estelle vint m’attacher les poignets et les chevilles. Je ne pouvais plus bouger. Elles me mirent des pinces aux seins et immédiatement je sentis une vague de jouissance m’envahir. Raphaëlle s’amusa à tirer dessus pour que je pousse des petits cris de douleurs, cela l’amusait beaucoup. Elles me laissèrent ainsi le temps de boire un verre tout en discutant comme si je n’étais qu’un meuble, qu’elles frappaient de temps en temps avec leur fouet ou martinet pour me rappeler que j’existais.
Au bout de quelques temps, elles s’installèrent autour de moi, je ne voyais que leurs jambes gainées dans leurs bas. Je ne pouvais la redresser à cause de la laisse.
Raphaëlle me frappa, mes fesses me brûlaient, mais j’étais bien. Alors elle vint vers ma tête, me dit de la lever et je vis son string près de moi. Elle le fit glisser lentement et là, merveille j’aperçus son longue verge ! Elle était belle et bien raide. J’ouvris la bouche et le suçais lentement. Je l’entendis dire à Estelle que je suçais bien et que j’étais vraiment une vraie salope, ce que ma maîtresse approuva. Mais, elle se retira avant que je puisse avoir son sperme en bouche ! Ce que je regrettais bien entendu.
Soudain, une chaleur me brûla les fesses, elles faisaient fondre des bougies sur moi. Et elles m’en mirent sur tout mon cul, et dans ma raie. Je gigotais comme une damnée tout en criant. La cire m’envahissait et je sentais une onde de plaisir prendre son envol à chaque coulée chaude sur moi, cela, je ne leur dis pas de peur qu’elles arrêtent car c’était une punition, pas une récompense. Mais je jouissais ainsi, je prenais mon pied. Soudain, Raphaëlle se rendit compte que mes plaintes n’avaient pas un accent vraiment sincère et elle arrêta cette » punition » pour me frapper avec son martinet, ce qui eu pour effet de faire disparaître la cire de mon corps. Système ingénieux, n’est ce pas ?
De colère, Estelle prit la laisse, retira les chaînes de mes menottes et me traîna en travers du salon comme sa chose. Puis, elles eurent une idée et m’emmenèrent à la salle de bain.
Dans la salle de bain, Estelle me fit m’installer à genoux dans la baignoire. Elle me fit mettre les mains derrière le dos et me les ficela avec une corde. Puis, elle me fit me mettre sur le dos, mes bras me gênaient, mais je n’avais rien à dire. Elle me fit relever les jambes et avec la corde m’attacha les genoux et les chevilles. Là, je ne pouvais bouger. J’étais vraiment à sa disposition.
Alors, elle vint se mettre sur la baignoire, et me fit voir sa belle chatte. Elle l’approcha lentement de moi, mais sadique s’arrêta à quelques centimètres de ma bouche pour que je ne puisse la lécher. Je tirai la langue dans l’espoir de la toucher, mais non, ces deux centimètres représentaient des immensités que je ne pouvais franchir. Je ne pouvais qu’admirer ses belles lèvres, son clito apparent.
Soudain, je vis sa chatte trembler et s’ouvrir, et un long flot de pisse vint m’inonder le visage, ma bouche était ouverte pour accueillir ce divin nectar, mais il y en avait tant que cela débordait et que je la sentais couler sur moi. J’étais heureuse. Mais comme toute bonne chose, ce jet commença à s’amoindrit et se tarir. J’étais désespérée, alors Raphaëlle ne voulant pas être en reste, pris la place d’Estelle et elle aussi m’éclaboussa de sa pisse. Autant celle d’Estelle était claire, faut dire qu’elle avait bu presque une bouteille d’eau, celle de Raphaëlle était plus musquée, plus forte. Je l’appréciai, elle aussi. Elle dirigea son jet dans ma bouche, c’était plus facile avec sa biroute et m’arrosa tout le buste.
Lorsqu’elle eut fini de me pisser dessus, elle proposa à Estelle de me détacher les mains pour que je ne sois pas trop ankylosée. Celle-ci accepta et me libéra les mains, tout en m’interdisant de défaire mes autres liens. Et sortir de la salle de bain.
Moi, je baignais dans leur pisse, je sentais la chaleur de cette pisse sous mon dos et ayant les mains libres, je commençai à me branler en pensant à elles, tout en m’enfonçant un doigt dans le cul. Je ne faisais plus attention à ce qui m’entourait, j’étais bien à me branler dans leur pisse, lorsque j’entendis Estelle appeler Raphaëlle tout en disant que j’étais entrain de me branler sans ordre. Celle-ci, me traita de chienne, de ne pas respecter ma maîtresse, mais Estelle se plaça au bout de la baignoire, écarta ses cuisses et me montra sa chatte que j’aurai aimé lécher. Elle m’ordonna de continuer à me branler et de jouir sur moi. Mais, malheureusement, je ne pus jouir. Raphaëlle s’énerva, me traita de conne, d’incapable et proposa à Estelle, puisque je n’étais pas capable de jouir en regardant la chatte de ma maîtresse de me rattacher et de m’oublier dans la baignoire.
Estelle, vexée, accepta avec plaisir cette punition. Elle me fit remettre genoux et me lia de nouveau les mains dans le dos en me disant que je n’en avais pas besoin puisque je ne savais pas me branler correctement en l’admirant. Je sentais sa colère. Les mains liées, elle me repoussa dans la baignoire de façon à ce que je me retrouve en position couchée. Puis elle me souhaita une bonne nuit en quittant avec Raphaëlle la salle de bain, tout en éteignant la lumière et en fermant la porte.
C’est malin !
Elles m’abandonnèrent à mon triste sort pendant une bonne heure, puis enfin la porte se rouvrit et elles vinrent me délivrer, car j’avais mon train à reprendre pour retourner sur Angers.
Je pris une douche, car je sentais la pisse, me changeai et elles me déposèrent devant la gare. Nous nous refîmes la bise et je les quittai à regret.
Maintenant, j’attends avec impatience la copie du film pour rêver à nouveau d’elles.
Bisous
Mélina
Tiens, une collègue ! Bonjour ma poule !
Elle a fait fort, la Mélina cette fois çi. Au fur et à mesure des chapitres, elle se lâche et je trouve qu’elle se lâche très bien ! ☺
Comme le dit lui-même l’auteur ça ressemble plus à un compte-rendu qu’un récit