Initiation entre filles
par Mondoi
Avant les vacances, une copine de chambre au Crous de ma fac avec qui je m’entends très bien, m’a demandée un conseil.
Nous sommes assez proche et n’avons presque pas de secrets l’une pour l’autre, pendant une discussion sur la sexualité, elle m’a avouée n’avoir jamais utilisée un gode ou un vibro et m’a posée plein de questions autour de ce sujet, taille, texture, plaisir, etc…
Elle m’a dit qu’elle serait gênée d’aller en acheter un dans une boutique spécialisée et ne se voyait pas en commander un sur le net, elle avait trop peur que quelqu’un lui ouvre son colis à la livraison, bref, elle avait des envies mais n’osait pas les assumer, elle tournait autour du pot et a quand même finie par me demander si j’en avais un.
Je lui ai dis que oui et pas qu’un seul, elle était très intéressée et a voulu les voir, je lui ai dis que c’était très intime mais elle insistait, j’ai cédé à sa demande et lui ai montré mes jouets, enfin, deux de mes jouets car je n’avais pas envie qu’elle voit les autres, plus spécialisés cela aurait pu lui faire peur ou la dégoutter.
Comme je la voyais pensive en regardant mes objets, je lui ai proposé d’en garder un et de l’essayer seule quand l’envie lui prendrait, elle est devenue tout rouge en entendant ma proposition, a hésitée, puis a acceptée, optant pour le petit modèle de mes premières fois, que je lui est raconté d’ailleurs, l’autre gode lui paraissait trop gros, la semaine qui a suivie, elle ne m’a fait aucune confidence, elle était assez prude et je ne voulais pas la gêner avec des questions intimes, de mon côté, je me suis masturbée un soir en l’imaginant faire de même à ce moment là, cela m’a troublée, elle est mignonne comme fille, métisse aux yeux vert, seins en poire et fesses rebondies, mes tendances bi ont refait surface.
Au bout de quelques jours, elle est venue me rendre l’objet, je lui ai quand même demandé si elle avait trouvée cela agréable, elle m’a répondue attristée, qu’elle n’avait rien ressentie, même en mode vibreur et qu’elle se demandait si elle était normale ou si elle ne savait pas s’en servir, j’étais embêtée par sa confession et avais envie de lui venir en aide mais était-elle attirée par les femme, je ne le savais pas.
C’est elle qui a provoquée les choses en me demandant de lui montrer comment s’en servir, je suis restée sur le cul tellement sa demande était directe, je ne me doutais pas qu’elle ai pu avoir envie d’un échange physique avec moi, j’ai joué la surprise alors que ma culotte s’humidifiait.
Je lui ai dis que je voulais bien lui montrer parce qu’elle était mon amie mais que je n’étais pas lesbienne, elle m’a répondue qu’elle non plus ne l’était pas, que c’était seulement pour essayer, elle mentait, je pense et moi aussi, c’est souvent le cas entre femmes bi qui ne veulent pas l’avouer.
J’ai commencé mon cours d’éducation sexuelle en me déshabillant devant elle puis je me suis allongée sur le lit, elle est restée sur la chaise de mon bureau, attentive au moindre de mes gestes, je me suis caressée avec les mains d’abord, les seins, les cuisses, le ventre, je lui expliquais mes caresses en lui demandant si elle faisait pareil, elle répondait à mi-voix, comme une pucelle, qu’elle n’était plus, elle me l’avait dit, je me suis dis que c’était sans doute sa première fois avec une fille, moi je l’avais déjà fait et cela m’excitait de l’initier en m’exhibant devant elle.
Je l’ai regardée droit dans les yeux quand j’ai écarté les cuisses pour me toucher avec les doigts, je faisais des mouvements lents pour qu’elle voit tout, j’ouvrais ma vulve en écartant mes grandes lèvres, je faisais des commentaires sur la monté du plaisir, les parties sensibles, le clito turgescent, l’ouverture de la vulve et la sensibilité de l’anus, j’ai mis le vibro en route et je me suis masturbée devant elle comme je le fais quand je suis seule, je fermais les yeux pour mieux ressentir mes caresses puis les rouvrais pour regarder son visage torturé par l’envie de participer et la gêne d’avouer ses penchants lesbiens, j’ai relevé mes cuisses sous mes bras pour bien exposer toute mon intimité et les vas et viens du gode dans mon sexe, j’ai passé les doigts de ma main libre dans ma raie, un peu de mouille et hop, un doigt dans l’anus, avec explications sur le plaisir anal, elle a parue outrée qu’une fille se sodomise devant elle mais elle avait glissé une main entre ses cuisses qu’elle serrait, j’ai enfoncé le clou en remplaçant mon doigt par le gode et en me défonçant la rondelle sans pudeur, j’ai jouis au bout de quelques minutes, aspergeant le dessus de lit de quelques giclées.
Une fois que j’avais récupéré du passage à vide qui suit l’orgasme, elle m’a demandée:
– Tu voudrais bien le faire sur moi ?
– Oui, bien sur, je suis certaine que tu as la chatte en feu à présent, pas vrai ?
– Oui, je crois bien que je suis trempé.
– Fais voir, ai-je dis en lui remontant les cuisses sur les accoudoirs de la chaise.
Elle portait une jupe de lin que j’ai repoussée sur son ventre, une culotte de coton à petits cœurs masquait son pubis dont les poils frisotants débordaient sur les côtés, au milieu du tissu, une large tâche de mouille ornait le fond du slip, je me suis accroupie entre ses jambes, pour lui humer la motte d’abord, j’adore le parfum des femmes à cette endroit quand elles sont excitées, elle sentait bon, avec un petit « plus » discret que j’affectionne, une légère odeur de pipi mêlée à celle de sa vulve, j’ai embrassé le tissu au niveau de son sexe, jouant avec ses grandes lèvres, insinuant ma langue entre les petites puis j’ai saisis le vibro que j’avais nettoyé et passé à l’alcool à 90° après son passage dans mes fesses, j’ai mis le vibreur pour des préliminaires en surface, sans lui enlever sa culotte, rien que cela l’a fait geindre de suite, elle devait s’attendre à ce que je le lui mette directement mais je faisais trainer, allant de son clito jusqu’à l’anus en passant sur ses nymphes durcies par le désir, sa culotte était comme une serpillière, son jus n’arrêtait pas de s’écouler, elle gigotait sur la chaise en se caressant les seins à travers son chemisier.
– Sorts tes nichons, je veux les voir !!! Lui ai-je dis sur un ton autoritaire.
Elle s’est dépoitraillée en soulevant les bonnets du soutif, une paire énorme par rapport aux miens, avec des grandes auréoles brunes et de longs tétons, je n’ai pas résisté et je l’ai ai pris en bouche pour les téter tout en lui glissant ma main dans la culotte avec le vibro plaqué sur sa fente chaude et humide, elle murmurait des mots que je ne comprenais pas, dans sa langue natale sans doute.
– Hein…? Quoi…? Ai-je dis, tu aimes ce que je te fais…?
– Ouiiisss… a-t-elle dit dans un souffle.
– Tu en veux plus…Hein ?…petite cochonne…
– Ouiii… dedans…vient dedans… m’a-t-elle dit
Je me suis ragenouillé entre ses cuisses écartées pour lui enlever sa culotte trempée, je lui ai mangé la moule à pleine bouche, une superbe moule carmin, elle sentait tellement bon, puis je lui ai encore caressée le clito avec le vibro et l’anus avec un doigt, elle soulevait le bassin vers l’objet dans une muette supplication, je le lui ai rentré au ralentis en même temps que mon index dans son derrière et je l’ai masturbée avec douceur au début puis de plus en plus vite, elle poussait des petits cris à chaque vas et viens du vibro en elle mais aussi à chaque pénétration de mon doigt dans son anus, elle s’est remontée les genoux pour s’offrir encore plus, j’ai remplacé le vibro par quatre doigts et mon index par le vibro, elle à meuglée sous l’enculade et le début de fist puis m’a arrosée le visage en jouissant, secouée par des spasmes fantastiquement évocateurs de la puissance de l’orgasme qui la terrassait.
Elle à rouvert les yeux après avoir repris son souffle, j’étais encore à ses pieds, regardant les couleurs de sa belle fente de métisse et son trou de balle qui se refermait, elle me caressait les cheveux, l’air pensive, en tous cas comblée, je me suis relevée et je l’ai invitée à venir prendre une douche avec moi, elle a été d’accord de suite et une fois sous la douche, m’a avouée avoir mentis pour m’avoir, elle connaissait les godes depuis longtemps et savait s’en servir, par contre elle n’avait jamais eu de relation sexuelle avec une femme et m’avait choisie pour sa première fois, j’ai été touchée par son aveu et lui ai avoué ma bisexualité, elle m’a dit qu’elle sans doutait depuis longtemps et qu’il lui était arrivé plusieurs fois de se masturber en pensant à moi, elle m’a invitée dans sa chambre pour prolonger la soirée et je dois dire que j’ai pris du plaisir avec elle et que je lui en ai donné aussi, surtout pendant des soixante neuf de folie où l’on a fait tout ce qui est possible de faire (et même plus) et puis avec mes godes et son gode ceinture, j’en ai eu mal aux fesses pendant plusieurs jours, elle aussi d’ailleurs, quelle cochonne !