Je suis une femelle salope
8 – Partouze
par francoislave
Comme je l’ai raconté précédemment, je suis bi, passif et soumis. J’ai l’habitude de rencontrer des hommes actifs pour les sucer et qu’ils me prennent comme une femelle. C’est d’ailleurs comme cela que je me présente : femelle en chaleur pour suce, caresse et sodomie. J’avais rencontré M plusieurs fois déjà et nous nous étions bien entendu : Il me faisait déshabiller devant lui, puis je le suçais longuement, je le caressais, et généralement la séance se terminait par une bonne levrette, chose que j’apprécie énormément. Il m’avait même fisté la dernière fois et j’avais hurlé de plaisir tandis qu’il me pilonnait et que je me branlais, couché sur le dos devant lui. Il m’avait parlé de quelques amis à lui amateurs eux aussi de lope sexuelle et j’avais dit être intéressé.
La semaine dernière, j’ai reçu un SMS de sa part me proposant une rencontre à plusieurs. Inutile de dire que j’ai immédiatement répondu favorablement et que les jours qui ont précédé le rendez-vous n’ont fait que porter mon excitation à son comble.
Le jour arrivé, je me rends chez lui, pavillon en ville, quartier bourgeois, tout excité à l’avance. Je sonne à l’interphone, une voix grave me répond, sa voix !
– « Oui, qui est là ? »
Je me présente :
– « François la salope, Maître ».
Un instant puis le portail s’ouvre, je rentre dans le jardin et fais quelques pas pour arriver à la porte d’entrée, entrouverte ; je la pousse et me trouve face à mon amant/dominateur, un homme d’une soixantaine d’année, cheveux gris, costume gris bcbg.
– « Bonjour Maître…. »
D’un ton sec, il m’ordonne de me déshabiller là devant lui. Je m’exécute sans un mot et suis bientôt nu comme un ver devant lui. Il me détaille du regard, tourne autour de moi, me palpe les fesses, passe une main sur mes seins, donne une petite tape sur mon sexe puis me saisissant la queue d’une main, il m’entraîne dans le salon.
Je commence à trembler, comme à chaque rencontre, de peur et d’excitation à la fois, car quelquefois il agrémente les séances de fessées cuisantes.
Il me fixe un collier au cou puis un autre autour de chaque poignet puis, à l’aide d’une petite chaîne, il relie les colliers des poignets à un crochet au plafond. Je suis ravi, j’adore être à sa merci. Une fois attaché au plafond, il retourne vers la table et saisit un martinet. Il revient vers moi et me caresse les fesses avec le martinet, tout doucement. Lorsque il passe les lanières dans ma raie, je ne peux m’empêcher de ronronner de plaisir tant j’aime qu’on me caresse à cet endroit. Il continue le va-et-vient sur mon petit trou puis sans prévenir commence à me fouetter sur les fesses. Je crie de surprise ce qui a pour seul résultat de le faire taper plus fort. Il s’arrête soudain et m’ordonne de compter les coups.
– « Un, deux, trois…….trente….., soixante….. »,
Je gigote sous les coups de martinet, d’un pied sur l’autre, les fesses me chauffent, bien que j’en aie l’habitude avec lui.
– « Alors petite tapette, t’es vraiment une lope, une vraie femelle.
Il me détache du plafond et m’ordonne de me mettre à genoux devant lui. Il ouvre sa braguette, me présente une queue de belle taille et m’ordonne :
– « Suce salope ! ».
J’entreprends de lui caresser la queue, lui lèche les couilles, passe ma langue le long de son membre, il semble apprécier et quand il est bien raide, je lui enfile une capote.
– « Suce moi encore salope et ne discute pas ».
Justement j’en avais envie car la sucette j’adore.
Au bout d’un moment, quand il est bien raide, il me repousse et va ouvrir la porte :
« Vous pouvez venir vous deux ».
Je suis aux anges, deux hommes pénètrent dans la pièce, qu’il me présente comme G et Y. Ils me saisissent chacun par un bras et me font agenouiller à nouveau. M présente sa queue à nouveau contre ma bouche et me l’introduit à nouveau jusqu’au fond de la gorge, j’ai un haut le cœur mais je recommence à le sucer tellement sa queue est bonne. A présent, il me baise comme si ma bouche était un sexe. Je le sens prêt à venir dans ma gorge, d’un seul coup il se retire et je reçois plusieurs giclées de sperme sur la figure. Ils rigolent tous les trois devant moi, il faut dire que le tableau est parfait : je suis couvert de sperme……
Mais la séance n’est pas finie, ils me le font comprendre rapidement.
– « Debout ! » me dit l’un deux.
– « Non, non, mets toi à quatre pattes comme une chienne que tu es ! »
Et pour bien marquer mon état de chienne, M accroche une laisse à mon collier et me promène d’une pièce à l’autre.
– « Viens salope, grimpe sur le lit et cambre bien tes fesses, je vais t’enculer puisqu’il paraît que tu aimes ça ».
Je m’exécute et les fesses bien cambrées, j’attends la pénétration, avec peur car je ne me suis jamais fait partouzer mais surtout excitation car je suis quand même venu pour cela.
M se positionne derrière moi et me saisit aux hanches.
– « Oh mais c’est qu’elle a de belles poignées d’amour » rigole-t-il devant les deux autres,
Et d’un coup de rein, il m’encule jusqu’aux couilles, je pousse un cri mais la douleur se transforme vite en plaisir intense. G, qui s’est mis à poil, me présente sa queue à déguster, elle est moins grosse que celle qui me laboure mais très jolie quand même.
M continue à me bourrer encore plus fort tandis que Y me caresse le dos et les fesses ; comme j’adore les câlins, inutile de dire que je suis aux anges. Quelqu’un qui rentrerait dans le salon se croirait en plein film porno : je suis à quatre pattes, un mec qui me sodomise, un deuxième qui me caresse partout et un troisième qui va et vient entre mes lèvres. Sans parler de mes gémissements de plaisir.
M se retire et me présente sa queue à sucer. Elle est maculée, je n’étais sans doute pas très propre, mais je n’hésite pas longtemps et la nettoie soigneusement. Après tout, j’ai l’habitude de sucer mon gode après me l’être introduit dans l’anus.
– « Cochonne, tu aimes la merde ? Reprends-en donc un peu »
Et il m’enfonce un doigt dans le cul, le ressort et me le présente :
– « Allez, nettoie bien, régale toi ! »
Et je m’exécute presque avec plaisir.
Visiblement satisfait, il enfile une autre capote et replonge de nouveau entre mes fesses ; je l’encourage de la voix :
– « Oh oui, c’est bon, plus fort, encule-moi bien, je t’appartiens »
Y me redonne sa queue à sucer et je subis leurs assauts plusieurs minutes jusqu’à ce qu’ils jouissent presque en même temps, l’un dans ma bouche et l’autre dans mon cul. Jamais je n’avais eu autant l’impression d’être une pute, juste bonne à être tringlée.
G est jaloux, il grogne :
– « Et moi, et moi ? »
Et il me bascule sur le dos, relève mes jambes et m’encule dans un parfait missionnaire. Je le serre avec mes jambes, je hurle de plaisir, sa queue est beaucoup plus grosse et me laboure, limite douleur, mais c’est délicieux.
Lui est plus long à jouir et pendant qu’il s’escrime entre mes fesses, les deux autres me présentent leur queue à sucer à tour de rôle. Trois queues pour moi, le paradis !
Au bout d’un certain temps, G pousse un grand cri, se retire de mes fesses, ôte sa capote et crache son foutre sur mon ventre. Pour lui plaire et aussi pour mon plaisir, j’étale le sperme sur mon ventre et ma poitrine.
Comme ils font mine de s’éloigner, je supplie :
– « Maître, vous deviez me fister, je n’ai pas joui, s’il vous plaît, prenez moi avec votre main…. »
Ils rigolent tous les trois,
– « Dis donc, tu l’as trouvée où cette salope ? »
– « Oui, en effet, y’en a pas beaucoup comme elle, elle se fait défoncer le cul et elle en réclame encore.. »
– « Attends petit enculé, tu vas l’avoir ma main dans ton cul, et tu t’en souviendras ».
M me fait coucher sur le dos, jambes relevées et ordonne aux deux autres de m’immobiliser en me tenant les bras. Il me tartine le petit trou avec de la graisse, soigneusement, me lubrifie l’intérieur avec un doigt puis quand il juge que c’est ok, il pose le pot de lubrifiant, enfile un gant et m’introduit un doigt dans le cul. Il fait quelques va-et-vient puis ajoute un deuxième doigt. Je gémis de plaisir, il en met un troisième et effectue des rotations qui me font gémir encore plus. Un quatrième doigt et quelques va-et-vient plus tard, il retire sa main un instant puis repart à l’assaut avec les cinq doigts, en tournant sa main lentement, je sens mon cul à la limite de la déchirure, il a de grosses mains le salaud, je hurle :
– « Stop, j’ai mal, arrête-toi un instant.., ne bouge plus »
Il arrête de bouger mais reste en place, me dilatant l’anus au maximum. Je demande aux deux autres de me lâcher et respire un grand coup ; je pousse comme pour aller à la selle et peu à peu sa main rentre complètement dans mon anus. J’ai un peu mal mais en même temps la sensation d’être rempli est fantastique ; c’est le bonheur du fist, sentir une main dans son ventre, être dilaté à l’intérieur au maximum. Je reste un instant immobile puis, en commençant à me caresser la queue, je l’implore :
– « Défonce-moi la chatte avec ta main »
Il ne se fait pas prier longtemps et commence à me pilonner le cul avec sa main pendant que je me branle.
Les deux autres se sont placés de chaque côté de lui et regardent avec admiration et cris d’encouragement sa main aller et venir entre mes fesses.
Au bout de quelques minutes, je sens que je vais venir, j’accélère le mouvement et lui demande d’en faire autant. Je jouis en hurlant et il retire sa main lentement.
– « Petite salope, cochonne, tu ne peux même pas te retenir ! »
Je suis tellement ouvert que je me suis vidé devant eux sans même m’en rendre compte. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que ma rosette reprend un aspect à peu près normal et se referme.
Je croyais que c’était fini mais non, eux ont décidé de s’amuser encore avec moi. Y se tourne et me présente son cul :
« Lèche-moi le trou du cul s’il te plaît ! »
Docilement, je m’exécute, il sent un peu mais c’est supportable, je lèche sa rosette, consciencieusement, lentement, j’y prends même un certain plaisir. Quand j’ai fini, G, pour ne pas être en reste, me présente à son tour ses fesses et m’enjoins de le lécher aussi ; là par contre, l’odeur est nettement plus forte, il s’est visiblement essuyé rapidement et j’ai même droit à quelques restes de matières. Tant pis pour moi, j’ai reçu un ordre, j’obéis et nettoie son trou. Je pensais que M allait venir à son tour car il est friand de cette caresse mais non, il s’est rhabillé.
Je me dirige vers mes vêtements posés en tas par terre dans un coin mais M me rappelle vers lui :
– « A genoux et suce moi encore ! »
J’obéis et très vite sa queue reprend une vigueur certaine.
– « Mets moi une capote et tourne toi, à quatre pattes, ta chatte est trop accueillante ! »
En position devant lui, il m’encule brutalement mais je suis tellement dilaté que je le sens à peine. L’enculade est plus mentale que physique, il pourrait me rentrer une bouteille que je la sentirais à peine.
Quand il a fini sa petite affaire, G et Y se succèdent dans mon cul et jouissent à leur tour. Je ne suis vraiment qu’un abreuvoir à bites.
Ensuite, nous nous allongeons tous les quatre sur le divan et nous caressons et nous embrassons à bouche que veux-tu pendant un temps qui me semble trop court. Mais l’après-midi est déjà bien avancée et M me fait comprendre qu’il est temps de prendre congé.
francoisalbertbi@yahoo.fr