Confessions bitophiles – 3 – (texte_collectif)

 Confession bitophiles – 3 – (texte collectif)

Un couple d’amis par Gédéon

Depuis quelques temps, je passais de longs moments sur le net, à chercher des photos et des vidéos de trio bi. J’étais fasciné par la queue d’un type dans l’anus d’un autre, devant sa femme.

J’avais tenté les dominatrices professionnelles, et je m’étais fait goder. Aussi un transsexuel, qui m’avait bien enculé. J’ai même tenté le sauna, où là, c’est un mec qui m’a demandé de le prendre, ce que j’ai fait.

J’avais l’habitude de tout raconter à mon meilleur pote, lui seul savait mes petites perversions.

Un soir qu’il m’invitait à manger chez lui, comme ça arrivait régulièrement, je le trouvais bien fatigué. Alors que je lui en faisais la remarque, il me répondit qu’il travaillait trop, et qu’il me laissait ranger le couvert avec sa femme, lui allant se coucher.

Sa femme… 15 ans qu’elle me draguait, presque ouvertement devant lui, sans qu’il ne s’en rende compte. Elle était sexy ce soir là. Et est arrivé ce qui devait. Je la pelotais en l’embrassant sur la bouche, elle un peu effarouchée au début, puis se laissant aller. Je crus qu’elle éteignait les lumières pour plus de sécurité. Elle se rapprocha de moi, et me posa d’autorité un bandeau sur les yeux.

Je sentis mon pantalon tomber à terre, retiré complètement. Elle me dévêtit complètement, en quelques minutes, je me retrouvais nu dans leur canapé. Et là, je sentis sa langue sur mes bourses, puis sur ma queue. Un délice. Je ne tardais pas à bander. Elle me suçait bien, la salope. Je bandais d’autant plus que je pensais à mon pote qui dormait à côté. La situation me gênait vis à vis de lui, mais m’excitait davantage.


Alors que ma queue mouillait de plaisir, raide comme un I, je l’entendis se lever, allumer la lumière et revenir à moi en m’arrachant le bandeau. Surprise, c’était mon meilleur pote qui me suçait.

Elle expliqua que son mari lui avait tout raconté, et que comme il était facilement soumis, elle allait jouer avec nous deux ensembles. J’étais confus, honteux, mais ne débandait pas. Elle fit mettre son mari à quatre pattes, et m’ordonna de l’enculer à sec, ce que je fis avec une étrange facilité. Il avait l’habitude de se faire péter la rondelle…

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Manon et Eric par Camille

J’étais mal remis de mon divorce. Au boulot une femme me plaisait beaucoup, Manon, elle était gentille avec moi mais repoussait mes avances. Une fois sans doute pour me refroidir, elle me dit qu’elle et son mari étaient libertins et bisexuels. Loin de me braquer, je fantasmais au contraire sur une possible rencontre. Je continuais donc à poursuivre Manon de mes assiduités.

– si t’es libertine, pourquoi tu ne veux pas de moi ? si je ne suis pas ton genre de mec, dis-le-moi carrément, je te fouterai la paix.

– t’es trop sentimental, mon gars, moi quand je baise c’est juste physique, quand il commence à y avoir des sentiments c’est dangereux, et d’abord j’aime mon mari.

– Ah bon !

– Si tu veux me baiser ce sera devant mon mari, et vu ses orientations sexuelles tu prends un risque.

Alors je lui répondis que je voulais bien prendre ce risque. Je fus invité chez eux, on a d’abord diné, je me souviens qu’i m’avait fait un soufflé au fromage et une mousse au chocolat. On a bu l’excellent bordeaux que j’avais apporté, et au moment du café, Eric, le mari s’est levé et s’est approché de moi puis a baissé son pantalon. Et m’a demandé » de lui sucer la bite. Court moment de panique mais Manon m’encourage du regard alors j’ai pris la bite et je l’ai sucé. C’était doux, chaud, délicieux, je me suis régalé, après il m’a sucé la sienne. Il a voulu m’enculer mais il n’est jamais réussi à passer, le chemin était trop étroit.

Après j’ai baisé Manon comme il se doit.

Le temps a passé, j’aime toujours les femmes et je vis en ménage avec une fille formidable, mais de temps en temps je m’arrange pour me rendre dans des endroits où il y a de la bite à sucer, c’est tellement bon. Je me fais aussi enculer, depuis le temps le chemin est ouvert !

Bisous sur la bite à tout le monde

Camille

Je suis bitophile par Pascal

Tout d’abord (ça a déjà été dit, mais tant pis !), félicitations et merci pour ce site. Que c’est bon de savoir que d’autres hommes, hétéros, ont des penchants « hors normes » et qu’on n’est pas unique.
Comme tant d’autres, je suis follement attiré par un sexe masculin.
D’abord le mien, que je peux à loisir, voir et caresser. Quel plaisir de faire glisser le prépuce et de caresser le soyeux du gland, légèrement, puis de plus en plus, lubrifié par l’excitation grandissante !
Je ne résiste pas, non plus, au plaisir de l’admirer dans une glace. Pourtant sa taille n’a rien d’exceptionnelle (16*4, dans la moyenne, je crois), mais je l’aime bien. Un énorme regret, ne pas arriver à pratiquer l’auto-fellation ! Que j’aimerais pouvoir y glisser la langue pour lécher ma mouille, mais des problèmes de dos m’interdisent cette petite gymnastique. Je me contente d’y passer mes doigts que je lèche ensuite avec un plaisir immense.

Pour apporter ma contribution à ce forum, je dirai que j’ai connu 4 expériences avec d’autres hommes, où nous n’avons pratiqué que masturbation et fellation, jamais de sodomie. A chaque fois, c’étaient des rencontres via le web, Au début, j’avais très peur de tomber sur des détraqués qui auraient pu vouloir « casser du PD » et m’attirer dans un traquenard mais je crois, qu’en fait, beaucoup d’hommes sont dans mon cas et le web est une énorme source de bonnes rencontres, sans histoire, chacun sachant ce qu’attend l’autre.

Voici, très rapidement, comment ça s’est passé :
La première rencontre a été, pour moi, très décevante. Il était + vieux que moi (au moins 10ans de +) et n’a cherché que son plaisir. Comme j’avais dit que mon rêve était de sucer une queue, c’est ce que nous avons fait. Nous nous sommes déshabillés, lavés au lavabo de sa salle de bains, puis il est resté debout devant moi avec sa queue molle, pas franchement attirante. Comme, arrivé à ce stade, je n’allais pas me dégonfler, je me suis agenouillé devant lui et ai pris sa bite dans ma bouche. Je me souviens que je n’ai tout de même pas hésité à le faire. Je l’ai sentie grossir dans ma bouche, ce qui m’a fait bander mais, après quelques va et vient, il a vite joui. Je ne m’en suis pas vraiment rendu compte, à part ce goût âcre dans ma bouche et sa queue qui ramollissait très vite. Je me suis branlé et ai joui sur le carrelage de la salle de bains. On s’est rincés, rhabillés puis il m’a déposé à la station de métro où on s’était donnés rdv.
Décevant, lui était content, mais je n’ai pas donné suite.

La seconde a eu lieu le surlendemain et, malgré ma déception, je n’ai pas hésité. Faut dire qu’après échange de plusieurs mails, le contact avait été sympa et le feeling était bon. Nous avions longuement échangé nos fantasmes respectifs et j’étais très excité à l’idée de le rencontrer.

Je suis donc allé chez lui et c’est un homme plus jeune que moi qui m’a ouvert la porte, en jogging.
Après m’avoir fait entrer dans son salon et échangé les banalités d’usage, il m’a vite dit  » bon, on ne va pas rester plantés là !  » et s’est approché et m’a tout de suite caressé à travers mon pantalon. J’ai immédiatement bandé et ai également posé la main sur son sexe. Il a alors baissé rapidement son jogging sous lequel il était nu. Sa queue était superbe ! Plus longue et grosse que la mienne (environ 20cm) et, surtout, arquée vers le haut (la mienne est droite et reste à l’horizontale quand je bande alors que la sienne était nettement dirigée vers le haut, superbe, je vous dis !).

Je l’ai caressée avec plaisir tandis que lui, après avoir défait ma braguette, me faisait de même puis, nous tenant chacun par la queue, il m’a entraîné vers sa chambre. Il s’est alors assis au bord du lit pour ôter son jogging et je n’ai pu résister au plaisir de m’agenouiller entre ses jambes pour, d’abord lécher sa queue et ses couilles, m’attardant sur le frein du prépuce et son gland déjà bien humide, puis la prendre dans ma bouche. Génial, quel pied ! Rien que de décrire cette scène, j’en rebande énormément et mouille mon caleçon.
Puis, il s’est allongé et m’a demandé d’en faire autant et, après nous être frottés l’un contre l’autre, avons fait un 69. Nous nous retenions au maximum pour faire durer le plaisir mais l’excitation était telle qu’en moins d’1/4h, il a joui dans ma bouche (là, je m’en suis bien rendu compte, vu la quantité de sperme qu’il a lâchée), puis j’ai joui également, sur son visage et dans sa bouche. Divin !
Ensuite, nous avons discuté tranquillement assis sur son lit, sans aucune gêne, puis je suis reparti. Je me souviens avoir été surpris de ma réaction, calme et sans honte, alors que je venais de bafouer pas mal de tabous. Je n’en revenais pas, ne repensant qu’au plaisir que j’avais pris.
J’aurais bien voulu le revoir mais lui ne l’a pas voulu. J’en ai été un peu vexé, craignant l’avoir déçu, ou qu’il ait trouvé ma queue trop petite (par rapport à la sienne), mais il m’a expliqué qu’il éprouvait des remords vis à vis de son épouse. J’ai eu du mal à le croire, jusqu’à ce que je ressente la même chose lors de ma 4ème et dernière expérience.

Auparavant, il y en a eu une 3ème, dans un sauna parisien, où m’a entraîné mon partenaire rencontré également sur le web. Au début, je me souviens avoir été gêné par la proximité de tous ces mecs en train de se branler dans les couloirs, ou sous la douche. Seuls lers sexes m’excitait mais je trouvais l’ambiance très malsaine. Mon compagnon voulait aller dans une grande pièce très sombre où l’on entendait et devinait plusieurs hommes. J’ai eu peur et ai refusé et nous nous sommes isolés.
Expérience amusante, très décontractée, mais pas follement excitante. D’ailleurs, je n’ai pas recommencé. J’ai regretté, ensuite, ne pas être allé dans l’autre pièce où cela aurait été certainement plus excitant de sentir, toucher et sucer des queues anonymes, vu l’obscurité de l’endroit . Mais, certainement, plus risqué et, tout compte fait, je ne regrette rien.

Ma 4ème, et dernière expérience, remonte à 3 ans maintenant et a eu lieu peu de temps après les précédentes.
Elle ressemble beaucoup à la seconde et, même si j’en ai tiré moins de plaisir, l’expérience a été si agréable que nous nous sommes revus une seconde fois.
La 1ère fois, nous avons rapidement fait un 69 et avons joui tous les 2 très rapidement. Je dois dire à ce sujet que je ne raffole pas du sperme. J’avale de temps en temps le mien car cela m’excite mais reste un arrière-goût qui me gêne un peu. Ce que j’aime beaucoup, par contre, c’est que ma femme garde mon sperme dans sa bouche, puis qu’elle m’embrasse. Quel est votre avis sur ce sujet ?
La seconde fois, nous avons fait plus durer les choses et, après masturbation et 69, avons voulu essayer la sodomie. Je me souviens qu’il était allongé sur le dos, les jambes relevées et, si sa queue bien raide, m’excitait énormément, ses fesses et son anus poilus me coupaient l’envie. Et c’est là que mes scrupules vis à vis de mon épouse ont commencé à m’assaillir et à me couper l’envie. J’aurais aimé qu’il essaie de me sodomiser mais lui a réagi de même. En fait, on aurait tous les 2 voulu découvrir le plaisir de se faire enculer, mais le faire à un autre homme nous déplaisait. Du coup, cette fois-là, je n’ai même pas joui.
C’est comme ça que se sont terminées mes expériences en ce domaine. Depuis 3 ans, je n’ai jamais réitéré, mais j’en garde un très agréable souvenir et regrette parfois de ne pas avoir continué.
Quand j’y repense, je me dis que j’étais inconscient de ne prendre aucune précaution. Bon, les hommes que j’ai rencontrés étaient dans ma situation, mariés et voulant simplement découvrir de nouveaux plaisirs. Donc, à priori, sains. De plus, j’avais lu qu’il n’y avait (pratiquement) aucun risque à pratiquer la fellation. C’est vrai que je n’ai rien attrapé.

Pour conclure, je voudrais aborder le problème de la culpabilité, évoquée rapidement précédemment.
Concernant ma sexualité, comme ma femme m’attirait toujours autant, je n’ai pas été très inquiet et me suis vite accepté comme bisexuel. Votre néologisme  » bitophile  » découvert sur ce forum me plait mieux, c’est vrai. Car je n’ai toujours été attiré que par le sexe de mes partenaires que j’ai toujours refusé d’embrasser.
En fait, ma seule culpabilité était vis à vis de mon épouse que je trompais, pour la 1ère fois en 24 ans de mariage (je vous surprends, en disant cela. Je vous assure que c’est vrai !) avec. des hommes ! Je me disais que si elle apprenait cela elle aurait énormément de mal à l’accepter. Et c’est pour cette raison que je n’ai pas continué.
Quand j’y repense aujourd’hui, je suis partagé entre l’envie de connaître à nouveau ce genre d’expérience, voire de découvrir la sodomie, et celle de rester fidèle à mon épouse.
Pascal
Ma 4ème, et dernière expérience, remonte à 3 ans maintenant et a eu lieu peu de temps après les précédentes.
Elle ressemble beaucoup à la seconde et, même si j’en ai tiré moins de plaisir, l’expérience a été si agréable que nous nous sommes revus une seconde fois.
La 1ère fois, nous avons rapidement fait un 69 et avons joui tous les 2 très rapidement. Je dois dire à ce sujet que je ne raffole pas du sperme. J’avale de temps en temps le mien car cela m’excite mais reste un arrière-goût qui me gêne un peu. Ce que j’aime beaucoup, par contre, c’est que ma femme garde mon sperme dans sa bouche, puis qu’elle m’embrasse. Quel est votre avis sur ce sujet ?
La seconde fois, nous avons fait plus durer les choses et, après masturbation et 69, avons voulu essayer la sodomie. Je me souviens qu’il était allongé sur le dos, les jambes relevées et, si sa queue bien raide, m’excitait énormément, ses fesses et son anus poilus me coupaient l’envie. Et c’est là que mes scrupules vis à vis de mon épouse ont commencé à m’assaillir et à me couper l’envie. J’aurais aimé qu’il essaie de me sodomiser mais lui a réagi de même. En fait, on aurait tous les 2 voulu découvrir le plaisir de se faire enculer, mais le faire à un autre homme nous déplaisait. Du coup, cette fois-là, je n’ai même pas joui.
C’est comme ça que se sont terminées mes expériences en ce domaine. Depuis 3 ans, je n’ai jamais réitéré, mais j’en garde un très agréable souvenir et regrette parfois de ne pas avoir continué.
Quand j’y repense, je me dis que j’étais inconscient de ne prendre aucune précaution. Bon, les hommes que j’ai rencontrés étaient dans ma situation, mariés et voulant simplement découvrir de nouveaux plaisirs. Donc, à priori, sains. De plus, j’avais lu qu’il n’y avait (pratiquement) aucun risque à pratiquer la fellation. C’est vrai que je n’ai rien attrapé.

Pour conclure, je voudrais aborder le problème de la culpabilité, évoquée rapidement précédemment.
Concernant ma sexualité, comme ma femme m’attirait toujours autant, je n’ai pas été très inquiet et me suis vite accepté comme bisexuel. Votre néologisme  » bitophile  » découvert sur ce forum me plait mieux, c’est vrai. Car je n’ai toujours été attiré que par le sexe de mes partenaires que j’ai toujours refusé d’embrasser.
En fait, ma seule culpabilité était vis à vis de mon épouse que je trompais, pour la 1ère fois en 24 ans de mariage (je vous surprends, en disant cela. Je vous assure que c’est vrai !) avec. des hommes ! Je me disais que si elle apprenait cela elle aurait énormément de mal à l’accepter. Et c’est pour cette raison que je n’ai pas continué.
Quand j’y repense aujourd’hui, je suis partagé entre l’envie de connaître à nouveau ce genre d’expérience, voire de découvrir la sodomie, et celle de rester fidèle à mon épouse.
Pascal

Pascal

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11 réponses à Confessions bitophiles – 3 – (texte_collectif)

  1. Basileus dit :

    Ça y est j’ai franchi le pas avec le voisin. J’ai avalé un verre de whisky pour me donner du courage et je lui ai sucé la bite et j’avoue avoir aimé ça. Quelle sensation, quelle excitation de sentir ce membre de chair en bouche !
    Maintenant le stade suivant ce sera la sodomie, je me sens prêt pour ça. J’en ai déjà des frissons rien que d’y penser. Je vous raconterai 😊

  2. Marcadet dit :

    Ce soir on réveillonne avec un couple d’amis très coquins, ces dames vont se gouiner et moi je sucerais la bonne bite de l’invité avant de me faire sodomiser devant ces dames, elles adorent regarder ça et moi ça me fait un bien fou ! Ensuite ce sera huitres et rôti de biche. Quant au Champagne, nous le boirons à la source

  3. arkansas dit :

    Sucer une bite ou se faire sucer la bite ?
    That is the question
    Vous me dire on peut faire les 2… Mais allez faire un 69 dans une cabine de sex shop, vous ?

  4. Hansen dit :

    c’est beau une bite décalottée, j’adore son gland brillant, ce coté nonchalant dans la raideur. Ma bouche gourmande en salive d’envie

  5. Misengain dit :

    Je suis un homme bitophile. Où peut-on sucer des bites tranquillement à Paris ?

    • Verdu dit :

      Dans les sous-sols ou arrières salles de projections de certaines sex shops (Rue Saint Denis ou Montparnasse)
      Mais le mieux ce sont les saunas gay comme le Euro Man’s club, 10 rue Saint-Marc 75002.
      J’y vais régulièrement et il y a toujours de bonnes bites à sucer !

  6. Serge_sodo dit :

    Pour avoir pas mal trainé ma bosse (j’ai maintenant dépassé la 50aine) je me suis rendu compte que le fantasme de beaucoup de femmes était de voir deux mecs se faire des trucs. Avec ma compagne actuelle nous sonne très complices, nous recevons beaucoup pour de motifs professionnels. Parfois l’invité nous branche, ma compagne chauffe ‘invité et quand la soirée devient chaude, elle parles de son fantasme. Ça passe ou ça casse. Ella est assez fine psychologue pour ne pas se lancer dans des râteaux et « ça passe assez souvent. Elle m’en a fait sucer des bites !

  7. radeker dit :

    Plus court nous avons :
    – Le ticket de métro
    – le timbre poste
    – le confetti

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