En ce début d’année, j’accompagne une dame aux sports d’hivers… Mais il n’est point prévu que je dévale les pentes enneigées des pistes bleues, rouges ou mêmes noires de cette station renommée des Alpes françaises ! Je suis en effet la soubrette (mâle, si peu…) de Maîtresse Clara. A cet effet, il y a belle lurette que j’ai abandonné mes habits d’homme et je ne dispose d’ailleurs que d’une garde-robe féminine en rapport avec mon statut de domestique. Je n’en voudrais nulle autre…
Le trajet en voiture s’est déroulé sans aucun problème. Afin d’éviter les embouteillages, j’ai conduit de nuit en permettant à Maîtresse Clara de se reposer paisiblement. Le petit chalet est remarquablement bien situé, « aux pieds des pistes », comme on dit couramment dans le langage des initiés… L’endroit est encore fort boisé et évoque sous certains aspects le cliché de la carte postale des vacances en Montagne…En pratique, nous occupons du rez-de-chaussée d’un chalet qui dispose d’un autre appartement situé à l’étage. Cette partie du bâtiment sera occupée d’ici quelques jours par une amie de Maîtresse Clara. Je n’en sais malheureusement pas plus pour l’instant …
– Mmmmhhhhhhhh, Maîtresse Clara s’étire comme une chatte qui émerge du royaume de Morphée. Elle redresse lentement son siège et contemple le paysage.
– Stéphanie (c’est moi, j’avais oublié de le signaler…), tu sors les bagages et prépares mon petit déjeuner ; je vais prendre une douche !
Après une nuit sans sommeil, 95O kilomètres au volant d’une voiture et des chaussures à talon, il n’est guère facile de se déplacer avec des valises sur un trottoir enneigé ! Ma démarche est incertaine, quasi ébrieuse et je dois faire tous les efforts du monde pour ne pas m’étaler dans la fine couche de poudreuse qui recouvre une autre couche constituée de glace. Trois trajets sont nécessaires pour effectuer cette mission à bien et il reste encore les skis à ranger !
– Je peux vous aider Madame ?
Oups, qui c’est celui-là ? Je tire sur ma petite jupe qui a une méchante tendance à remonter sur mes hanches, réajuste mon chemisier blanc et met de l’ordre dans ma chevelure défaite.
– Euh, oui ! enfin non, merci ! Mais…
Ma surprise est telle que je bafouille comme une première communiante ! Le temps de remettre mes habits et (surtout !) mes idées en place, je me rends compte que ce chevalier servant est un moniteur de ski de la station. Il en exhibe d’ailleurs tous les stigmates : teint caramel avec un sourire type pub pour dentifrice super blancheur, tenue de ski rouge officielle et tous les insignes qui vont avec… Il s’empare prestement de la paire de skis et les dépose à l’entrée du chalet. Ce n’est pas difficile avec des boots !!
– Voilà gente demoiselle, dit-il en me gratifiant de son large sourire carnassier et en me donnant une petite tape amicale sur les fesses avant de regagner la route…
Un rien abasourdi par l’audace de l’énergumène, je retourne prestement l’intérieur de l’habitation que je découvre pour la première fois. C’est alors que je perçois, s’échappant des vapeurs d’eau, le bruit de la douche ainsi que la voix de Maîtresse Clara.
– Stéphanie, apportes moi mes affaires de toilette et de quoi me changer, au galop !
Voilà un ordre qui ne supporte aucune contestation ! Je m’empare de la trousse de toilette et en dispose tous les éléments sur le pourtour du lavabo.
– Avec qui parlais-tu ?
Re oups ! je ne pensais pas avoir été entendu !
– Un moniteur de ski m’a aidé à porter vos skis, Maîtresse.
– Ben voyons, je ne peux pas te laisser 5 minutes toute seule, il faut que tu dragues un mono ! On aura tout vu ! Viens me sécher le dos.
Maîtresse Clara sort de la douche, exhibant sa superbe nudité. Je prends une serviette de bain et commence à éponger le dos de ma Maîtresse. Je pose d’abord la serviette sur ses omoplates avant de descendre dans le creux de ses reins et puis sur ses fesses.
– Petite vicieuse, j’ai dit mon dos, pas mes fesses !
Et elle me repousse sans ménagements en me reprenant la serviette des mains. J’avais échappé de justesse quelques minutes auparavant à la chute dans la neige mais le carrelage de la salle de bain m’aura donc été fatal ! Je me retrouve en effet les quatre fers en l’air, dans une position tout ce qu’il y a de plus grotesque, avec des habits trempés et on voit même mon sexe qui s’est échappé de mon mini slip de dentelle…
– Ah et bien elle est belle comme ça ma petite dragueuse de moniteur de skis !
Je tente de me relever…
– Reste comme ça, ne bouges surtout pas !
Je pense que la moindre nouvelle initiative de ma part serait mal venue ! Maîtresse Clara fait un pas en ma direction et se place à la verticale au dessus de moi, en écartant un peu les jambes. Elle plie progressivement les genoux et je distingue clairement, sous sa petite touffe rectangulaire de poils pubiens, sa vulve qui s’ouvre au fur et à mesure qu’elle s’approche de mon visage. Le contact avec ses muqueuses intimes ne tarde pas à se faire et d’instinct, j’ouvre la bouche et commence à lécher l’entrée de son vagin.
-Tu as de la chance, je me suis déjà lavée ce matin, par contre, j’espère que tu as très soif parce que je n’ai pas encore fait pipi… !
Après un court moment qui me semble une éternité, je sens son urine couler dans ma bouche. Je me concentre et tente de synchroniser ma respiration avec l’absorption de son divin liquide. Tout ceux (et celles !) qui ont déjà pratiqués « la chose » savent que ce n’est pas une tâche aisée. Sa pisse du matin a un goût fort et pique un peu mais se révèle définitivement trop abondante que pour être absorbée dans sa totalité. Ma chemise et même ma jupe sont par conséquent encore un peu plus mouillées qu’elles n’étaient quelques minutes auparavant…
– Ah, ça fait du bien ! Énonce-t-elle en me balançant quelques dernières rasades sur la face.
Il est inutile de préciser que je n’en mène pas large ! Je ne vois plus très claire car j’ai reçu quelques projections d’urine dans les yeux. Je distingue malgré tout ma Maîtresse prendre un morceau de papier de toilette et se frotter la vulve avant de me le mettre en bouche… La boucle est bouclée !
– Puisque tu es si sale, petite traînée, tu vas rester à poil jusqu’à nouvel ordre.
Je me débarrasse de mes habits, les rassemble et les fourrent dans le bac à linge sale ; j’éponge le sol en faisant disparaître les dernières traces de cette activité fort humide. Les sous-vêtements de ma Maîtresse suivent le même chemin et cette salle de bain reprend enfin une allure de …salle de bain.
Effectuer mes charges domestiques en tenue d’EVE n’est pas pour me déplaire même si j’apprécie à leur juste valeur mes habits féminins ; avec un petit faible pour la ficelle du string quand elle frotte contre mon anus…. Non, le problème qui se pose quand je dois officier tout nu, c’est l’état de mon sexe et le fait que je ne peux dissimuler une érection (ou bien l’absence d’érection) ! Une petite culotte ou même un string, combinés à une jupe (aussi courte soit elle !) offre toujours une certaine couverture dans ces circonstances. Quoi qu’il en soit, je n’ai guère le choix et m’occupe ensuite de préparer le petit déjeuner que Maîtresse Clara va prendre dans le salon. Moyennant un petit supplément, la société qui loue l’appartement met à la position de ses clients quelques produits de première nécessité. Je profite la chose pour confectionner, nu dans la cuisine, le petit déjeuner. Une fine odeur de café embaume le logis ; le soleil est déjà haut dans le ciel et inonde la pièce d’une magnifique lumière. Maîtresse Clara a revêtu un peignoir de bain et s’est installée dans un divan. Une fois le plateau déposé sur la table basse, je me redresse et ne peux dissimuler mon sexe qui a adopté une position plutôt horizontale. N’étant pas autorisée à disposer, je demeure à ses côtés, adoptant une position fixe, quasi militaire, avec les bras dans le dos. Un ange passe ; un peu de temps aussi ; elle savoure son p’tit dèj’, tout simplement et moi j’attends la suite, n’étant pas maître des événements ni du programme qui ne tarde pourtant pas à suivre… De je ne sais où, Maîtresse Clara sort une cravache.
– Bien, bien, ne bouges pas !
Elle approche l’extrémité de l’engin et s’arrête à quelques millimètres du bout de mon sexe. Elle est très forte à ce petit jeu qui s’avère épuisant pour celui qui ne peut dominer ses nerfs ! La cravache finit tout de même par s’abattre sur mon gland qui vacille à chaque stimulation. Les frappes partent tantôt du haut tantôt du bas. Mon clitoris devient plus rouge et gonflé tandis que quelques étages plus haut, je serre les mâchoires sans broncher et regarde fixement devant moi. Le corps de la verge devient rapidement strié de rainures écarlates.
– Passons aux choses sérieuses Stéphanie. Tu vas prendre ce plug et te le mettre dans le cul, exécution !
Alors lui non plus, je ne sais d’où il sort ! Toujours est-il qu’il est bien là, en vrai, ce pénis artificiel en résine synthétique rouge et qu’il a une belle taille (on dit un beau diamètre…).
– A sec, Maîtresse ?
Je prend un risque certain en posant la question et m’en rends compte trop tard ! La réponse s’avère aussi déconcertante qu’inattendue !
– Il reste un peu de margarine sur mon plateau, t’as qu’a l’utiliser comme lubrifiant.
Je badigeonne avec application l’extrémité de cette pine artificielle en vidant le petit pot de margarine. Dans les circonstances actuelles, le gaspillage n’est pas de mise !
– Mets toi sur cette table et fou toi ce plug dans le cul.
Je grimpe sur la table, me place en position accroupie tandis que Maîtresse Clara glisse le plug lubrifié à la margarine sous mon postérieur.
– Vas y, je vais immortaliser cet instant !
Elle s’empare de sa caméra vidéo et actionne la touche PLAY. On croirait presque qu’il s’agit d’un remake du dernier tango à Paris !!
L’extrémité du plug entre en contact ma corolle anale qui se laisse distendre de façon passive dans un premier temps. Ensuite, je m’empale un peu plus sur ce membre en me laissant descendre sur toute sa longueur. La gêne initiale est alors remplacée par une sensation de plénitude que beaucoup d’amateurs de sodomie décrivent dans leurs récits. Rien de cette intrusion profonde dans mon rectum n’échappe à Maîtresse Clara et à son précieux caméscope.
– Je m’en vais, tu rangeras mes affaires puis tu iras faire des courses et tu prépareras le dîner.
Maîtresse Clara quitte le salon, revêt sa tenue de ski et s’en va… Je mange les restes de son petit déjeuner, hormis la margarine que j’ai déjà consommé de plutôt non usuelle !!
Je pense que je me suis alors endormi sur le divan, avec le plug inséré dans mon fondement…
A suivre, si vous le désirer…
Stéphanie
Le style est plaisant et ce qui est raconté l’est aussi.
Un plutôt bon début, voyons la suite 😉