Nouvelle année
7 – Viviane et Pierre
par Lovelace
La journée de mercredi s’est passée dans le calme, le repos était nécessaire. Jeudi matin, réveil dans la blancheur. Il a dû neiger toute la nuit car la couche ouatée, dans le jardin, est d’une épaisseur rarement égalée dans la région. Les arbres sont, eux aussi chargés d’une masse cotonneuse, et les branches retiennent des stalactites de glaces qui brillent dans le soleil matinal comme autant de guirlandes de noël. Tout est silencieux comme si les bruits de la nature étaient absorbés par cette couche immaculée. C’est d’une beauté à couper le souffle.
Je ne peux résister à l’envie d’écouter de la musique classique et j’opte pour le concerto pour violon de Brahms. La musique rend encore plus féerique le panorama. J’ouvre une baie vitrée et suis surpris par la douceur apparente de l’air; le thermomètre affiche pourtant deux degrés sous zéro et, malgré que je ne porte qu’un kimono, je ne ressens pas le froid. La neige tiendra, c’est sûr !
Alice me rejoins, un mug de café dans chaque main. Elle m’en tend un et reste à côté de moi. Je la prends par les épaules et nous restons ainsi, silencieux, admirant le spectacle de la nature qui s’offre à nous, accompagné par la plainte du violon de Itzhac Perlman.
Le temps nous incitant à la langueur, nous en profitons et nous laissons bercer dans cette douceur extrême, jusqu’à l’arrivée de Lucie et Yann.
– Anne et Mick ne sont pas là ?
– Ho ! Ils ont dû aller se balader, Anne est une lève tôt. Le temps est propice.
– C’est vrai ! Quelle lumière ! Et cette blancheur, c’est magnifique !
Je rallume le feu dans la cheminée avec le reste de braises d’hier soir et nous nous installons devant la flambée.
À onze heures, la cloche de l’entrée retentit. Viviane et Pierre arrivent.
Nous tombons dans les bras les uns des autres, heureux de nos retrouvailles. Le calme est terminé, les conversations vont bon train, des cris de joie et des rires fusent, ponctuant les anecdotes que nous nous racontons.
Nos jeunes tourtereaux arrivent sur ces entrefaites. Le calme revient un court instant mais les discussions repartent de plus belle. Finalement, les voix s’adoucissent peu à peu. Alice et Anne débarrassent Pierre et Viviane de leurs manteaux. Alice les conduit à leur chambre déposer leurs affaires. À leur retour, nous nous installons au salon. La joie des retrouvailles perdure tout au long de l’apéritif, comme si nous ne nous étions pas vus depuis des années !
À treize heures, nous décidons tout de même de passer à table. Au menu, crevettes et avocat sauce cocktail, assiette d’huîtres et petits homards à la nage. On termine par un plateau de fromages et une coupe colonel pour aider à la digestion !
– Qu’est-ce qu’on est sage ! S’exclame Viviane une fois que nous sommes installés au salon pour prendre le café.
– C’est vrai. On s’est pas vus depuis six mois et on n’a pas parlé une seule fois de cul ! Répond Lucie.
– Il faut croire que nos sexes ne sont pas les seuls à compter ! Dis-je. Notre amitié n’est pas qu’une histoire de fesses !
– D’autant qu’on aura tout le loisir de se rattraper la nuit prochaine. Reprend Pierre.
– L’un n’empêche pas l’autre. Mais si on se faisait un petit tournoi de tarot ? Après tout on est huit, on peut faire deux tables !
– Tiens ! En voilà une bonne idée. Et on le joue comment ?
– On fait deux tables, une de filles, une de gars, finale sur les quatre meilleurs. On part avec 500 et pour se recaver on donne ses fringues à la banque.
– Comme un strip poker, en sorte ?
– Tout à fait !
– Banco, allons-y !
Je ramène les jeux de cartes et les jetons et nous nous installons, les quatre filles d’un côté, nous de l’autre. Au cours du premier quart d’heure, nous concernant, le calme règne, personne ne flambe. Par contre du côté de la table féminine, ça rigole beaucoup et ça joue, peut-être un peu trop. En un quart d’heure, Viviane est torse nu et Anne n’est pas loin de la suivre.
Au bout d’une heure de jeu, seule Lucie porte un vêtement, Viviane et Anne sont totalement nues et Alice ne porte plus que ses chaussures !
À notre table, Mick est à poil, Yann résiste, Pierre et moi n’avons rien perdu. Nous nous acharnons sur Yann qui finit par rejoindre les autres perdants au bout d’une vingtaine de minutes supplémentaires.
– Alors les filles, qui sont les finalistes ?
– Lucie et Alice !
– Et bien la finale sera donc entre vous et Pierre et moi. Dis-je.
Nous nous installons, Anne et Mick, grands perdants, sont chargés de nous apporter des boissons. Viviane commence à s’impatienter.
– Dépêchez-vous de terminer cette finale ! Maintenant que je suis nue, je commence à me chauffer, surtout à la vue de belles queues ! Yann je connais déjà, mais le jeune Mick, je découvre ! Et une jeune et jolie bite comme ça, ça me tente ! Alors de grâce, ne faites pas durer.
– T’inquiète pas ! On va te torcher ça vite fait. Dit Pierre.
– Prétentieux ! C’est compter sans nous. Vous allez voir !
La partie commence et, d’entrée Alice nous plante une magnifique garde contre et la réussit ! Le ton est donné. Les tours s’enchaînent, seules les gardes sont jouées. Les cagnottes fondent comme neige au soleil. Lucie est la première à plat et retire son chemisier pour reprendre une cave. Au bout d’une quinzaine de minutes, il ne lui reste que les chaussures et, moi, je m’accroche à mon pantalon de kimono. Dix minutes de plus et l’affaire est bouclée ! Alice est la grande gagnante. Pierre a gardé son pantalon, mais Lucie et moi sommes nus comme des vers.
Pendant que la partie se terminait, les autres ont pris les devants en nous regardant jouer. Anne caresse les fesses de Yann qui l’enlace en lui tenant un sein et Viviane caresse nonchalamment la queue de Mick qui grandit à vue d’œil.
– Bon et bien qu’est-ce que j’ai gagné, moi ? Demande Alice.
– Que veux-tu ?
– Je vous veux tous ! Répond-elle.
– Pas de problème, par qui veux-tu commencer ?
– Le deuxième meilleur, bien sûr ! Pierre !
Ce dernier retire ce qui lui reste de vêtements et expose son gros chibre. Alice s’en saisit et entame une fellation en règle, tenant d’une main la queue encore molle et de l’autre lui caresse les couilles.
Pour ma part, je soulève Lucie en la prenant par les fesses et la dépose sur la table pour lui bouffer la chatte. La partouze est lancée !
Yann est couché, Lucie sur lui en soixante neuf, Viviane, à genoux avale avidement le sexe de Mick. Les exclamations, les propos salaces et les onomatopées de tous genres vont bon train.
Alice se fait lécher par Pierre dont l’érection est totale. Il se redresse et remplace sa langue par son énorme bite et empale ma chérie qui défaille devant cette introduction gigantesque. Pierre a enfilé les vingt cinq centimètres de chair et ses couilles claquent sur les fesses d’Alice.
– Hoo ! Ouiiiiii Vas-y Pierre, bourres-moi bien ! Là, ouiiiii, putain que c’est booon !
– Haa ! Tu aimes ça hein ? Te faire défoncer, ça te plait ? Salope !
– Ouiiiiiii J’adore ! Elle est bonne ta bite, enfonces-la bien, comme ça voilà, à fond ! Je sens tes couilles, humm !
– Tournes-toi, je vais te la mettre de l’autre côté.
– Yess ! Oui, encules-moi, éclate-moi la rondelle ! Fais-moi jouir du cul !
C’est comme ça jusqu’à ce qu’elle jouisse, et ce ne sont pas les seuls. Les mêmes propos se tiennent chez les quatre couples. Ça crie dans tous les coins. Les duos se défont au fur et à mesure des orgasmes.
– À toi, mon chéri, viens m’exploser le con ! Me lance Alice.
– J’arrive, dis-je en abandonnant Lucie dont la chatte est luisante de foutre.
Je suis immédiatement remplacé par Pierre.
– Houaouu ! J’avais oublié comme elle est grosse ! Lui dit-elle.
– Je crois me souvenir que tu aimes les gros obus, non ?
– J’adooore ! Vas-y, baises-moi, bien à fond !
Alice est détrempée. J’ai l’impression de plonger dans du beurre ramolli ! Je m’active rapidement et assez sauvagement. Puis, je lui soulève les fesses et change de trou. Je l’encule sans ménagements, elle à été largement dilatée par Pierre. La position dans laquelle je me trouve étant favorable, je m’amuse à passer d’un trou à l’autre.
– Hoo, oui ! Comme ça, vas-y c’est bon ! Défonces-moi tout, tu vas me faire jouir, n’arrêtes pas, j’aime !
J’appelle Yann pour qu’il vienne prendre ma place. Je vois que Mick a également fini de besogner Anne, je l’appelle aussi.
Je me retire et Mick envahit le cul béant d’Alice alors qu’elle chevauche Yann.
Pour ma part, je rejoins Viviane, j’ai envie de lui manger la chatte et sucer son gros clito. Comme je suis à genoux, la tête entre ses cuisses, Anne se place derrière moi et tout en me branlant d’une main, me lèche la raie du cul et m’applique une feuille de rose.
Nous sommes tous en transes, et la soirée ne fait que commencer !
Sans se concerter, nous décidons de faire une pause, bien que nous ayons la bite en feu, des sensations de décharges électriques dans tout le corps et juste envie de décharger ce trop plein d’excitation qui nous habite !
Le seul à fonctionner un peu différemment est Mick ! Lui s’est, vidé les burnes dans le cul d’Alice et arbore un air repus, comme les filles du reste, qui ont déchargé plusieurs fois au cours de cette première passe d’armes ! Il détonne du reste un peu, la queue pendante alors que nous arborons tous une super érection !
Nous allons nous détendre dans le SPA avec délectation. Les remous nous font du bien et délassent merveilleusement bien les zones qui ont été les plus actives !
Alice propose de chauffer le sauna s’il y a des volontaires. Mick et Anne sont partants; les autres préfèrent continuer de se faire masser par les bulles.
Alice, Anne et Mick s’enferment dans la cabine, Viviane en profite :
– Il est pas mal le jeune Mick et vaillant avec ça ! C’est une bonne recrue. Il sort avec Anne ?
– Oui. Quand tu penses que ce gars là était quasiment vierge il y a un mois, c’est énorme les progrès qu’il a fait.
– Je ne te crois pas ! Il baise super bien ! Et cette queue ! Humm, j’en ai encore l’eau à la bouche.
– Et en plus, en parlant de queue, nous l’avons amené à la bisexualité. Tu verras, Pierre il suce très bien et n’est pas serré du cul !
– Je confirme, dit Yann ! J’y ai goûté avant-hier et c’était pas mal du tout !
– Arrêtez de parler de cul ! Lance Lucie. Ça réveille ma libido. Déjà que les bulles me chatouillent la rondelle et la chatte, si vous en rajoutez, je vous saute dessus !
– Moi aussi, dit Viviane. J’ai le con qui baille de faim !
Pendant qu’elles devisent sur l’état de leur anatomie, Lucie a pris en main le tuyau de Pierre et le masse. Le gros gland apparaît à la surface de l’eau, Lucie se penche et le gobe. Mais là, surprise ! Pierre qui se retenait depuis un petit moment, se relâche et un long jet d’urine éclabousse le visage et emplit la bouche ouverte de Lucie !
– Salaud ! S’écrie-t-elle, surprise par la soudaineté de l’action.
Tout le monde éclate de rire, Pierre qui visiblement avait une grosse envie, saisit son sexe à deux mains et d’un mouvement circulaire nous arrose tous de sa douche dorée.
– Ça t’apprendra à vouloir te servir d’outils dont tu ne maîtrises pas le fonctionnement !
– Je vais te montrer, moi si je connais pas ! Répond-elle en saisissant la base du pénis. Elle l’étrangle entre ses doigts et coupe ainsi le jet.
– Aïeee ! Sale garce ! Ça fait mal !
– C’est fait pour, connard ! Fallait pas vouloir jouer tout seul !
Sous la douleur la queue a perdu de sa superbe et flotte mollement à la surface de l’eau, bringuebalée par les remous.
– Visiblement, Lucie, tu n’aimes pas les surprises ! Lui lancé-je.
– Si, bien sûr ! Et j’ai bien aimé celle-là; j’ai voulu jouer aussi !
– En tout cas, on s’est bien marrés ! Lance Viviane, hilare. Et puisque tu aimes te faire arroser, je vais t’en donner aussi !
Elle se lève, tire sur sa vulve, ce qui fait ressortir encore plus son gros clitoris et écartant bien les lèvres, laisse sortir un jet puissant qui asperge le visage de Lucie.
– Humm ! C’est chaud, c’est bon ! Lance cette dernière.
– Tu aimes ça, salope, te faire pisser dessus !
Lucie se masse un sein et se branle de l’autre main tout en se délectant de la douche dorée. Une fois la source épuisée, elle s’assoit sur le rebord du SPA, écarte largement les jambes et appelle Viviane.
– Viens, bouffe-moi la chatte, fais-moi jouir, j’ai envie de toi !
Viviane ne se fait pas prier et se précipite entre les cuisses ouvertes. La scène nous excite terriblement et je ne peux résister à son cul qui semble appeler au secours ! Je me place devant la rondelle ouverte et enfonce mon gland dans le divin orifice.
– Hooo ! Ouiiiiii ! Prends-moi le cul, vas-y à fond, défonces-moi, c’est bon ! S’écrie-t-elle.
Du coin de l’œil, je vois que les deux autres ne sont pas en reste. Yann a saisit la queue de Pierre et s’active à lui redonner de la vigueur. Pierre sort de l’eau, s’assoit sur le bord et Yann s’empale sur le vit tendu. Il fait l’ascenseur sur le long chibre tout en se massant la queue. Lucie l’a vu également :
– Tu aimes te faire enculer, mon cochon ! Te faire éclater la rondelle par un gros chibre, pédé va !
– Tu te fais bien gouiner, toi !
– Putain, tu m’excites ! Je sens que ça vient, hooo, ouiiiiiiii, je jouiiiiis !
Viviane se redresse légèrement le menton luisant de foutre et tourne la tête pour regarder la scène des deux mecs.
– Non de Zeus, ça m’excite aussi ! Allez, Bernard, plus fort, défonces-moi bien, fais-moi jouir !
Lucie s’approche des deux mâles et pompe la queue de Yann tout en malaxant alternativement les deux paires de couilles.
À ce moment, la porte du sauna s’ouvre et nos trois compères en sortent, tout chauds.
– Hé bien ! On s’emmerde pas ! S’écrie Alice.
– Vous faisiez quoi dans le sauna ? Vous comptiez les planches ? Demandé-je.
Tout le monde se marre et du coup, nous nous relevons, nous finirons plus tard !
– J’ai le cul en feu ! Lance Yann.
– Tu m’étonnes, avec ce que tu viens de te mettre !
– C’est vrai qu’il est impressionnant. Dit Mick. J’avais jamais vu ça, même au ciné !
On passe un peignoir et on retourne au salon. Je ranime le feu dans la cheminée et, installés dans les fauteuils, un verre à la main, nous reprenons notre conversation interrompue.
– En tout cas moi, j’aimerai bien en avoir aussi ! Reprend Alice.
– Pourquoi, il ne s’est rien passé dans le sauna ?
– Si peu ! En fait, Mick m’a bouffé la chatte pendant qu’il prenait Anne. Tu vois, rien de transcendant !
– Et tu voudrais du solide, maintenant ?
– Exactement ! J’ai des orifices à remplir !
– Montres les nous que l’on puisse estimer la taille des bouchons !
Alice se lève et se plante de dos devant nous, se penche en avant et écarte ses fesses à l’aide des mains, nous exposant son œillet et sa vulve. Elle pousse pour les ouvrir le plus largement possible.
– Hou, la ! Je sais pas ce que vous en pensez, les gars, mais à par Pierre, je ne vois pas qui va pouvoir remplir ces gouffres ! Moi, j’ai pas le gabarit ! Lance Yann.
– Ou alors, il va falloir s’y mettre à plusieurs ! Réponds-je.
– Et si on s’en mêlait, nous ? Demande Viviane.
– Où elle est ta bite ?
– J’ai pas de bite, mais j’ai des mains !
– Ha, non ! Je veux du vrai ! De la bonne queue bien bandée ! Intervient Alice. Et n’exagérez pas, je ne suis pas si avachie que ça ! Bande de salauds !
– T’inquiètes pas chérie, on va t’en donner du plaisir. On plaisantait. Allez, les filles, chauffez la un peu, le temps qu’on se mette en forme !
Anne et Lucie ne se le font pas dire deux fois. Lucie s’occupe du haut, embrassant à pleine bouche Alice, tout en lui caressant les seins. Anne, se focalise sur le bas, léchant et suçant l’entre-jambes, tout en lui caressant les fesses.
Pendant ce temps, nous, les mecs, admirons cette scène en nous branlant afin d’obtenir la rigidité nécessaire pour répondre à la demande d’Alice. Le premier prêt, comme d’habitude est Mick. Il s’allonge devant elle et propose sa queue. Avide, elle s’assoit dessus et commence sans tarder un petit galop. Yann, qui a atteint une érection suffisante, vient se placer derrière et l’empale. Il ne reste plus qu’un orifice pour deux queues, aussi, nous nous présentons Pierre et moi devant sa bouche avide. Elle happe alternativement nos bites alors qu’Anne et Lucie de chaque côté, caressent chacune un sein. Seule, Viviane, restée assise dans un fauteuil, se masturbe en regardant se dérouler ce gang bang. Au bout de quelques minutes, nous décidons, juste avant qu’elle ne prenne son pied, de changer les positions de chacun. Pierre s’allonge à son tour, Alice s’encule avec le gros chibre et je la prends devant. C’est au tour de Mick et Yann de se faire sucer. Elle le fait à bouche que veux-tu, léchant, suçant. Elle en bave ! La salive coule le long de son menton et goutte jusqu’à ses seins. Les filles la récupèrent et l’utilisent pour humidifier les tétons qu’elles malaxent entre leurs doigts.
Alice se pâme, elle gémit, se tortille tant qu’elle peut et, dans un long râle, se laisse submerger par le plaisir qui la secoue de la tête aux pieds.
Mick, impatient, se tourne vers Viviane qui l’accueille, jambes ouvertes, la chatte détrempée par sa longue masturbation, contente de se faire mettre par cette jeune bite raide comme du bois. Du coup, Yann qui a la voie libre, se place de face à Alice et, lui tenant la tête, lui baise la bouche jusqu’à la jouissance. Alice, cochonne, n’avale pas et laisse s’écouler le sperme que lèchent Lucie et Anne. Pour ma part, j’accélère mon mouvement d’avant en arrière et me déleste dans la chatte en même temps, ou presque, que Pierre qui se vide les couilles dans le cul ravagé. On se retire et laissons les filles nettoyer les orifices béants qui dégorgent du sperme dont ils ont été remplis.
Tout le monde a trouvé son compte dans cette scène et, c’est le visage épanoui, que nous trinquons au plaisir !
Décidemment cet auteur est un très bon narrateur de partouze. Des récits comme celui-ci, j’en redemande !