Gourmandises 3 – Prostitution au bureau par Jerema

 

 

Dix-huit mois, une longue période pendant laquelle j’ai dû me résoudre à oublier Marie, l’énigmatique Marie. Une promotion assortie d’une mutation temporaire sur un site au nord de la France, avec pour mission le redressement de l’activité de cette filiale déficitaire.

Objectif atteint, je récupère mon poste et l’espoir de renouer une nouvelle liaison avec celle qui hante souvent mes nuits, cette jeune femme de trente-deux ans ; elle pourrait être ma fille me dis-je avec une pointe de désapprobation. Quel bonheur, quel mystère qu’elle ait pu être ma maitresse et je n’ai qu’une envie, la retrouver.

Séduisante et tellement désirable, voilà comment Marie m’apparaît ce lundi. Je ne manque pas de le lui rappeler et de lui exprimer un attachement des plus empressé.

Je l’ai senti distante, fuyant toute allusion au passé et cela m’a blessé. Orgueilleux, me dis-je, tu n’es plus un jeune homme !

La reconquérir, tel a été mon chalenge de tous les instants. J’ai usé de tous les stratagèmes, saisi toutes les aubaines à lui réveiller, par bribes, les merveilleux instants de notre relation amoureuse. Je l’ai acculée jusqu’à la faire rougir et bégayer de confusion jusqu’à ce jour où, une pointe de provocation dans sa voix, elle me dit :

– Je m’étais enflammée à l’époque, à refaire, ça te couterait bien cher tout cela !
– Ah oui ? Voyez-vous ça et combien tes prestations ma belle ?… T’es pas sérieuse !
– Vu ton âge, je crois que ce privilège mériterait de grosses récompenses, cela s’appelle : « du gagnant-gagnant » ! Hé oui, ma jeunesse a un prix mon cher !

Pour une claque, c’est une claque ! Une déconvenue qui me laisse pantois et sans riposte. Je maugrée et disparais dans mon bureau, où calmement je juge la situation : et bien soit ! je vais me payer une Pute, une Call Girl de luxe et ce deal inattendu finit par me galvaniser.

Monnayer ses faveurs suivant l’acte, la durée, les fantaisies, une suite de scénettes s’incrustent dans mon esprit libertin.

Faire l’amour ici, sur mon lieu de travail, avec Marie, je ne pense plus qu’à ça et cette envie me taraude les méninges. Mon bureau est assez spacieux : une table en bois blond montée sur quatre pieds ronds en aluminium, un fauteuil en cuir noir, réglable en hauteur, aux accoudoirs élimés, deux autres chaises noires pour les clients et même un petit divan en alcantara beige clair règnent sur une épaisse moquette de couleur anthracite. Deux meubles de rangement en bois blond aussi occupent également l’espace. Les murs sont peints en blanc, sauf un coté qui lui, est lambrissé. Des spots intégrés dans un faux plafond diffusent un éclairage feutré mais ciblé.

La large façade côté porte est entièrement vitrée et possède un store occultant orientable préservant l’intimité des lieux. L’ensemble est cossu, reposant.

Faire l’amour à Marie, ici même, à l’heure du déjeuner, seul instant imaginable si tant est que cela le soit, voilà mon obsession.

Non, pas vraiment l’amour, pas que cela, je veux qu’elle pisse dans ma bouche, je veux la boire, ici, sur la moquette. Cette idée s’est ancrée en moi et me fascine terriblement, depuis mon retour. Je me confie à Marie, je lui décris mon désir dans un mail détaillé. Deux interlignes et en caractères gras : prix de la prestation.

Dès lors, l’index posé sur la touche « envoi », un seul geste à faire. Me voici soudain fébrile, indécis, pendant de longues secondes ; mais mon doigt, aspiré par la touche du clavier, valide irréversiblement ma requête. Une bouffée de chaleur m’envahit, de délicieux picotements me parcourent l’échine, une joie confuse m’étreint.

Déjà 17 h 20, Marie part dans quelques minutes et je sais qu’elle regarde toujours sa boite mails avant de fermer son écran. J’attends avec impatience cet instant. 17 h 35, Marie claque la porte de son bureau et s’éclipse sans un mot. Rien dans ma boite mails, la déception m’envahit.

Il est 19 h 30, la journée est terminée, je rentre à mon domicile en écoutant distraitement France-infos. La mélodie de ma messagerie atténue le volume sonore de la radio, je n’y prête guère attention sur le moment. Et si c’était Marie, me dis-je brusquement. Je saisis mon portable, sélectionne : messagerie -nouveau message -lire. Je reste accroché à la lecture de ces quelques mots : impensable… mais qui sait, espèce de vieux pervers… demain peut-être ! 300€.

Mon cœur bat la chamade, mon sang bout dans mes veines, un sentiment étrange me submerge. La nuit sera agitée, empreinte de rêves prémonitoires.

Le lendemain, 9 heures, Marie m’apparaît, ouvre la porte de son bureau, s’installe sur son fauteuil et pose négligemment au pied de son fauteuil son sac à mains. De l’échancrure de celui-ci émerge le goulot d’une grande bouteille d’eau minérale. Elle l’extrait et la pose à côté de l’écran de son ordinateur, qu’elle allume machinalement.

Je suis dans l’encablure de sa porte :

– Bonjour Marie, je t’offre le café ? Nos regards s’entrechoquent avec insistance et sans un mot nous nous dirigeons vers la machine à café. Je lui emboite le pas et ne peux m’empêcher de mater son cul, qui se trémousse voluptueusement.

L’élégance vestimentaire de Marie m’émoustille. Elle porte un tailleur couleur chocolat sur un chemisier crème, dont la transparence autorise toutes les suggestions. Le galbe de ses jambes gainées dans des bas de couleur chair s’étire vers des chevilles fines et fragiles coincées dans de petits talons hauts. Les yeux toujours rivés à ses fesses je m’interroge : bas ou collants ?

La matinée file à toute vitesse et bientôt Marie et moi nous retrouvons seuls à travailler, il est 12 h 30 et l’activité à ce moment est figée. Je guète le moindre mouvement, le moindre son de voix. Silence complet, seule la radio diffuse son ronron habituel.

Marie est campée devant l’entrée de ma porte, en jupe et chemisier. Elle me dit suavement :

– Tu déjeunes ici ? Ses joues s’empourprent.
– Oui, je t’invite. Entre et ferme la porte s’il te plait.

Elle obéit, je me lève, verrouille l’accès et actionne le rideau occultant qui nous isole du monde extérieur.

Je la saisis par les hanches et l’attire à moi. Nos corps se soudent l’un à l’autre et nos bouches s’activent dans un baiser ardent. Mes mains glissent sur ses fesses que je palpe avec frénésie, je sens mon sexe durcir contre son ventre. Ma bouche va au creux de son oreille ;

– J’ai soif de toi… je veux te boire, là, maintenant…

Je la repousse, ôte ma veste et desserre le nœud de ma cravate. Marie, inquiète, scrute à travers les fines lamelles du store. Rassurée, elle se dévêtit. Le crissement de la fermeture éclair de sa jupe résonne dans le silence feutré de la pièce. Le bout d’étoffe choit à tire-bouchon sur ses pieds. Ses jambes sont gainées de bas accrochés à un porte-jarretelles noir. Une culotte de dentelle transparente, noire aussi, glisse le long de ses jambes et rejoint la jupe que Marie enjambe avec élégance. Elle s’en saisit et les dépose avec nonchalance sur le petit divan.

– Je te préviens j’ai très envie ! Me dit-elle dans un souffle.

Je repousse la chaise derrière le bureau et m’allonge derrière celui-ci, à l’abri des regards indiscrets, nous protégeant d’une éventuelle présence fortuite.

Marie s’accroupis sereinement, les jambes écartées, de part et d’autre de ma tête posée à même la moquette. L’œil attentif, elle cherche une position confortable. Ses fesses ondulent à quelques centimètres de mon visage. La chatte de Marie se fige à hauteur de mes lèvres déjà grandes ouvertes.

Ce magnifique panorama me remplit d’émoi ; je savoure le spectacle merveilleux de tous ses appâts. De cette vision en contre-plongée, je me sens infiniment petit entre ses cuisses ouvertes. Mes mains se plaquent sur ses fesses, sa peau est douce et tiède, mon cœur cogne fort dans ma poitrine, j’ai le souffle court.

Les mains de Marie glissent vers son bas ventre, puis de deux doigts habiles écartent les grandes lèvres de son beau coquillage. Un instant nos regards s’accrochent, se sondent mutuellement et celui de Marie, tel un livre ouvert, me délivre toute l’envie qu’elle a de ce qui va suivre.

– Ça vient, susurre-t-elle !

Un jet mince et tiède jaillit soudainement de sa source naturelle, se déverse entre mes joues, remplit ma bouche lentement ; un filet d’urine coule à la commissure de mes lèvres, roule le long de mon cou, et s’étale sur mon torse.

Marie contient son envie ; je lampe à petites gorgées son pipi dont j’avais oublié le goût. L’âcreté m’étonne mais, bien vite, mes papilles s’apprivoisent. Je bois lentement, la bouche fermée, les sens à fleur de peau. Je me gargarise un court instant et avale une dernière gorgée en claquant la langue de satisfaction. Les yeux dans les yeux on se toise à nouveau, je lui intime une nouvelle miction :

– Encore, j’en veux encore…

Marie se soulage à nouveau, un jet puissant gronde et me submerge. Je bois à la régalade, le bruissement de ce ruisseau tumultueux, dévalant les parois abruptes de ma gorge noyée donne un air incongru à cette scène irréaliste et obscène.

Les yeux fixés sur son bas ventre Marie, l’effrontée, pisse dans ma bouche conquise avec une maitrise parfaite. Entre deux ondées elle me concède quelques secondes de répit, le temps de la boire et de reprendre mon souffle. Son ventre corrige l’angle du jet qui faiblit à la fin de chaque averse, lui évitant de sortir de ce lit naturel qu’est devenue ma bouche ainsi immergée

Je m’exécute avec application. Le goût acre et écœurant des premières gorgées de ce breuvage interdit se dissipe et me ravit d’une joie honteuse que j’aime exhiber ; j’exulte mon extrême satisfaction en buvant goulûment les flots d’urine chaude qui déferlent en vagues successives au fond de mon ventre. Je grogne de plaisir sauvage, et l’indécence de cet acte pervers me fait frissonner de satisfaction.

La miction de Marie est lente, interminable. Le poids de son corps pèse sur mes bras soutenant ses fesses et m’engourdit les muscles. Elle se soulage complètement, pas une goutte de son précieux nectar ne se dérobe à ma gloutonnerie. Le flot se tarit, un filet de pipi s’écoule mollement de sa chatte trempée d’où flotte une pesante odeur d’urine fraiche. Je respire profondément, à pleins poumons cet air douceâtre qui finit de m’exciter au plus haut point ; ma verge est raide et douloureuse. Soudain Marie plaque son sexe entre mes lèvres et m’intime de la lécher :

– Fais-moi jouir maintenant ! Oui, suces moi la chatte…

Je m’exécute, je gobe son intimité avec voracité et la mâche avec application telle une huitre bien grasse, j’aspire, je suce et me repais de tous ses sucs d’urine et de mouille mélangés.

Marie gémit de bien-être, elle frotte sa chatte trempée sur mon visage, remonte ses fesses dont le délicat joyau cherche lui aussi un peu de tendresse ; ma langue dardée le câline délicatement et le tapisse d’une salive visqueuse.

Je le sonde à présent avec douceur, sa paroi anale m’aspire, le goût poivré de son anus se mélange aux sucs de pipi et de mouille qui, bientôt, enveloppent ma bouche contrite.

Soudain un portable gronde faiblement dans le sac à mains de Marie posé sur mon bureau. Surpris, nous sursautons. Marie, déséquilibrée, libère ma bouche prisonnière, tombe à la renverse et se retrouve assise sur ma poitrine les mains plaquées au sol. L’instant de panique dissipé, elle se remet debout et se dégage de moi. Elle fouille dans son sac duquel elle extrait un petit téléphone rose :

– Oui, allo…non, je ne trouvais pas mon téléphone…

Sa voix, palpitante et hésitante, trahit quelque peu son désarroi.

– Non, je ne suis pas rentrée, j’avais un travail urgent à terminer… mais non je ne suis pas essoufflée…. pourquoi le serais-je … ok on se retrouve chez ta mère ce soir à 19 h… bises, à ce soir conclut-elle tout en tirant le fauteuil de sous le bureau.

Ce moment d’adrénaline passé, elle s’affale sur l’assise froide du cuir, les bras ballants de chaque côté des accoudoirs. Elle se ressaisit lentement, pivote sur elle-même, me fait front, les jambes tendues et grandes ouvertes.

Je me traine à genoux, lui enserre les chevilles et lui remonte les jambes, les genoux à hauteur des seins. Son corps glisse mollement, ses fesses me toisent fièrement et ma tête plonge entre ses globes charnus. Ma langue la perfore d’un coup, profondément, mes lèvres soudées à sa fragile corolle exercent de fortes succions, mastiquent, mâchent cette chair délicate. Marie, les mains nouées autour de mon cou m’attire à elle, son bassin se propulse en avant, son rectum se relâche, elle pousse si fort que je me sens aspiré au plus profond d’elle. Elle se contracte à m’en faire mal, me libère pour mieux me reprendre.

Elle me tient toujours prisonnier, d’une main seulement, l’autre est au creux de ses cuisses et s’active sur son bouton tout gonflé. Puis je vois ses doigts glisser dans sa fente baveuse et son pouce masser son clito avec vigueur. Elle se masturbe et moi le nez collé entre sa chatte et ses doigts, je contemple le spectacle avec bonheur.

Je ne sais plus si c’est moi qui l’encule ou si c’est son cul qui me bouffe la langue mais je ne peux m’échapper de son emprise douloureuse. Marie adore cela, elle gémit, râle, m’invective vertement…

– Oh oui, c’est bon !… oui, ta langue dans mon cul, enfonce la, oui comme ça, encore, plus profond… hum, là, je la sens bien ! J’aime ça… ta langue dans mon cul… oh oui… je vais jouir !

Elle jouit violemment et ses râles rythment les borborygmes grossiers qui sourdent dans ma bouche. Je m’attarde avec délice, me repais goulûment, bercé par le souffle court et rauque de Marie qui se trémousse de plaisir. Je me baigne dans sa jouissance. J’attends qu’elle me repousse.

Elle y consent enfin et me libère de l’étreinte de ses mains nouées autour de mon cou. Je me relève et m’étire douloureusement les cervicales endolories.

Je me sens bouffi, le visage trempé, les mains moites. Ma chemise est poisseuse et me colle à la peau…

– Merde!…. Dans quel état tu m’as mis dis-je à Marie en la regardant bien dans les yeux…! Elle s’approche, me hume tout en me tendant un Kleenex :

– Ça devrait aller, par contre avec ta femme, il y a danger vieux goujat, tu transpires mon pipi, susurre-t-elle dans un sourire convenant. Ce disant elle dépose un bisou furtif sur mes lèvres et dans une grimace non feinte, me dit vertement :

– Là, tu sens vraiment le cul !

Elle éclate de rire contenu tout en se dérobant.

Je la retiens par un bras et je dirige sa main vers mon entrejambe terriblement gonflé ;

– Tu ne vas pas me laisser comme ça, tu vas me sucer et je jouirai dans ta bouche petite salope ; j’en ai trop envie lui dis-je en l’entrainant vers le fauteuil de mon bureau.

Elle résiste, bien qu’elle aime ça aussi, du moins elle aimait auparavant. Soudain une pensée tilte dans mon esprit, l’enveloppe contenant les 300€ est là, bien en évidence sur mon bureau, je la lui tends et lui profère :

– Le prix de ta prestation, à ce prix-là tu peux me sucer !

Je défais mon pantalon jusqu’aux genoux et fais glisser mon caleçon. Je m’assieds, les fesses au bord du fauteuil, la queue bien raide en attente de la divine caresse. Marie s’agenouille, cale ses bras sur mes cuisses et se saisit de ma verge noueuse. Son nez me caresse le gland, le hume avec délicatesse puis le couvre de baisers furtifs, qu’elle alterne avec de petits coups de langue dardée sur le méat.

Je ferme les yeux et me dis que l’argent décuple les aptitudes.

J’adore quand elle s’occupe ainsi de ma bite et le lui fais savoir en l’encourageant du geste et de la voix :

– Oui c’est bon, tu l’aimes ma queue, vas-y, régale toi, suce moi maintenant… oui, comme ça… avale la, toute entière… ah oui… c’est bon…!

Une chaleur humide et collante m’enveloppe, mes doigts se nouent derrière sa tête, mon bassin se projette en avant et lui imprime la cadence ; je me fonds au fond de sa gorge et Marie me pompe avec application.

La musique succède aux informations du journal de treize heures et me remet dans le contexte du moment. Soudain je perçois des bruits de pas sur le carrelage, non loin, qui se rapprochent puis s’immobilisent d’un coup. Une brusque montée d’adrénaline me submerge, je me fige aussitôt. Marie lève les yeux, j’ai l’index sur les lèvres lui enjoignant le silence absolu, elle se tétanise, ma queue entre les lèvres. Le démarrage de l’imprimante me rassure, elle crache quelques feuilles puis se tait, les pas feutrent à nouveau devant mon bureau puis s’éloignent rapidement.

Je redonne le rythme à Marie qui s’active de plus belle, avec voracité et l’envie d’en finir au plus vite. Elle m’aspire me pompe, me doigte subitement le cul, sans ménagement. Je suis au bord de la jouissance.

J’explose d’un coup, avec force ; je me vide totalement dans sa bouche prisonnière.

– Ah c’est bon… je jouis… tu me suces trop bien… ah oui, avale tout !

De longs spasmes secouent ma bite turgescente qui explose sa lave brulante au fond de la gorge de Marie, qui avale mon sperme avec peine, les joues gonflées, la bouche grimaçante.

Je suis vidé, épuisé, lové dans cet écrin chaud et soyeux, les doigts noués dans son ondulante chevelure ; je dégonfle peu à peu entre ses lèvres pulpeuses qui me tètent tendrement le gland quelques secondes encore. J’en frissonne de plaisir.

Ça a été la plus merveilleuse journée de la semaine et je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer, de connaître de nouvelles émotions, d’aller au bout de mes fantasmes.

À suivre.

Jerema.

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5 réponses à Gourmandises 3 – Prostitution au bureau par Jerema

  1. Sonia Kubler dit :

    J’adore ce texte. Le sujet abordé est innovant et excitant. Je sais que de tel situations/relations existent mais la fille a intérêt à se montrer discrète, sinon les imbéciles on tot fait de bâtir une réputation. Bravo Marie, ne te dégonfle pas.

  2. Regnaud dit :

    Ce texte est une merveille, un condensé de (presque) tout ce que j’aime lire sur ce site.

  3. pluviose dit :

    Un joli pied de nez au politiquement correct (et au sexuellement correcte en prime) J’adore cette série, dommage que le rythme de parution soit si étalé dans le temps mais Jerema fait parti des valeurs surs de ce site.

  4. Tonton dit :

    J’ai aussi connu une collègue au bureau qui pour décourager les mecs trop entreprenants leur proposait une prestation payante. J’avoue m’etre laissé tenter et je ne l’ai pas regretté.

  5. Azrael dit :

    très bon récit excitant et fort joliment écrit, Félicitations

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