La Cascade à l’hôtel en Dominique
(La macédoine des races)
par Ondine
Bonjour, je m’appelle Ondine (Martiniquaise métisse de 30 ans, lesbienne)
Dans la première histoire mon mari a présenté notre couple, notre évolution et vous a raconté l’expérience dans le train avec cette étrangère sur laquelle j’ai flashée.
J’avais compris, après un petit échange verbal, que cette femme superbe, était hétéro mais pas insensible aux charmes féminins. Ne la sentant pas vibrer totalement sous mes premières caresses, j’avoue avoir saisi l’opportunité d’utiliser les attraits virils de mon mari pour accroître son désir sexuel, la faire craquer, abaisser ses dernières retenues et la mettre totalement à ma merci.
Je n’avais jamais imaginé, ni même aspiré ou envisagé, partager une partenaire sexuelle avec mon mari. Entièrement comblée par les rapports vécus avec mes amantes, Je ne pensais pas en tirer un avantage ou un plaisir quelconque. D’autant que lui même n’a jamais exprimé, ni manifesté, un attrait pour ce type de rapport.
Cependant après cette fête à » deux femmes – un homme » j’avoue avoir changé d’avis sur l’intérêt de la chose : J’avais toujours remarqué que les femmes bi ou hétéros avec lesquelles j’ai eu des aventures avaient, quelque part, une incompréhensible » froideur « . Je sentais chez elles une différence nette de comportement, de chaleur, d’investissement, de participation, de relâchement durant nos échanges sexuels en comparaison avec mes amantes lesbiennes.
(Je ne me l’expliquais pas car avec elles j’ai toujours décupler d’ingéniosité, de talents, d’intensité, d’originalité, d’innovation et variété pour les satisfaire, les faire fondre de plaisir. Ceci peut être pour les faire adhérer à la cause des lesbiennes ou les faire constater que les femmes lesbiennes savent autant, sinon plus, donner du plaisir à une autre femme qu’un homme.)
L’explication m’a été révélée, de façon étonnante et troublante, durant l’échange dans ce train.
Avec la participation de mon mari, la femme s’est offerte totalement, de plus à des inconnus, sans complexes ni retenu !
C’était la première fois que j’arrivais aussi vite avec une inconnue au summum de la conquête, du rapprochement des corps, de l’échange charnelle et de l’explosion sexuelle. La présence active de mon mari en a été la cause !
Cela a déclenché chez moi, après coup un sentiment à la fois d’impuissance, de jalousie et en même temps de possession de nouveaux pouvoirs pour assouvir ma soif de conquêtes féminines.
Elle semblait à la fois libérée, hyper chaude et vibrante, envahie brutalement par une bombe de désir et de luxure prête à exploser à tout moment. Elle fondait littéralement sous les caresses de mes doigts, mes seins, ma bouche et ma langue quand mon mari la prenait de sa bite provocante par sa dureté et sa taille.
Oui ! J’avoue que cela a été une grande révélation car j’avais rarement vue une femme sombrer à cette vitesse dans une excitation intérieure aussi effrénée et forte.
Pour les femmes bi et hétéro, le contact à l’homme est sûrement un catalyseur puissant durant les échanges sexuels. Nous pouvons donc exploiter ce fait nous les lesbiennes quant nous souhaitons conquérir une femme non lesbienne et avoir un rapport sexuel majeur et vraiment complet avec elle.
Aussi je me suis alors promise, quand le besoin se fera ainsi ressentir, d’associer avec » diplomatie » et comme ci de rien était, mon mari à mes » quêtes » féminines pour le sexe.
Par contre, pour mes rapports féminins de cœur et d’esprit je n’ai vraiment pas besoin de sa masculinité.
Cette fois donc je lui ai proposé d’écrire cette deuxième nouvelle, d’une part pour apporter mon grain de sel à l’expérience du train, d’autre part pour vous expliquer les raisons de mon changement, et puis enfin parce que l’aventure que je vais vous raconter me tiens à cœur pour l’intensité de ce feux d’artifice sensuel et la charge incroyable d’émotion qu’il a déployé !
Et puis, bien plus que lui, je pense que c’est moi qui aie ressenti le plus profondément le moment ! (Peut-être que lors de la prochaine nouvelle il vous en dira deux mots !)
En Martinique, en période de pleine lune et beau temps, pour les gens ayant envie de une aventure sexuelle originale, innovante, libérée de carcans et riche en surprises, toutes les occasions sont bonnes pour aller prendre un Bain de minuit à deux ou en groupes.
Après une soirée festive, ou au cinéma, en boite, en zouc, ou à l’occasion d’une drague, d’un flirt, d’ une virée folle entre copains et copines ou simplement d’une envie de variété, de piment, d’originalité dans la relation conjugale ou amicale.
Les couples insouciants ou peu fortunés et les groupes avec plusieurs hommes accompagnant les femmes s’arrêtent plutôt sur n’importe quelle plage ou crique et vont offrir la chaleur de leur corps déjà tout excités, à la tiédeur de l’eau de la mer.
Les couples de gens plus inquiets, timides ou ceux qui veulent passer incognito louent une chambre d’hôtel pour la nuit. Ils investissent alors les plages privées des hôtels sans retenus, rassurés par la discrétion, la sécurité, etc. .. garanties par l’hôtel
Les femmes lesbiennes, risquent en allant sur n’importe quelle plage, de se faire aborder dans l’eau ou sur le sable par des hommes machos, ou bien trop excités par ces ébats féminins ou encore dont la conviction de leur virilité leur monte a la tête.
Aussi en général elles envahissent les hôtels pour vaquer à leurs ébats sexuels sans gènes. D’autant que les femmes créoles, ne peuvent pas exprimer et vivre au grand jour leur nature lesbienne ou bi .
Ce sont plutôt les hommes antillais qui sont très hostiles à cette tendance qui fait surface de plus en plus autour d’eux !
Ils considèrent une lesbienne comme une femme sûrement un peu folle qui, par son attitude, révèle, de façon terrible et inacceptable, que la gente masculine, nombreuse et porteuse d’une virilité tant manifestée et offerte, serait tellement incapable de satisfaire sexuellement une femme, qu’elle se tournerait, par dépit, vers les faveurs d’une autre femme.
Ils en sont donc malades et souvent, malgré toutes sortes d’explications, ne comprennent toujours pas : comment une femme peut désirer et éprouver plus de plaisir avec une autre femme qu’avec un homme ?!
Ils se sentent relégués en dessous d’une femme ! sentiment rehaussé par le fait que, dans ces îles les hommes sont, en général, très machos, fiers de leur virilité, et convaincus que la femme est toujours inférieures et souvent un objet à la disposition de leur volonté et plaisirs divers.
Et comme sur une île, presque » tout le monde se connaît » et donc les » nouvelles » circulent à grande vitesse par le » bouche à oreille « , une femme dont on connaît la nature lesbienne est vite repérée, pointée du doigt et peut donc se faire rejeter à son travail, dans sa famille, par ses amis (es) etc..
Les hôtels peu fréquentés par les locaux, surtout hors périodes de vacances d’été, constituent un havre de paix et de liberté pour la gente lesbienne, gay et bi. Ils trouvent là une » main tendue » pour laisser libre cour à leur désirs inassouvis Et je peux vous dire qu’elles en profitent à fond et sans limites !!! (chambres – lieux de promenades- sauna privés- boites de nuit- piscine aux heures désertes ou en soirée- plage). évidemment sans trop s’afficher ouvertement dans les zones public de l’hôtel pour ne pas choquer la clientèle qui pourrait ne pas apprécier !!! Lors d’une autre histoire : » le Bain de Minuit Erotique Antillais » je vous raconterait un de ces Week-end de folie.
Je ne me prive pas de nombreux séjours, que j’appelle » séduction « , à l’hôtel ou même dans les îles anglaises juste à coté (Saint Lucie ou Dominique) pour aller vraiment au bout de mes aventures lesbiennes, pour débloquer mes partenaires trop peureuses, gênées ou intimidées.
En général çà marche et nous sommes toutes les deux ou trois émerveillées de notre séjour. Cela me coûte beaucoup car c’est moi qui invite et donc qui paye. Je peux encore assumer grâce aux revenus conséquents de notre ménage et le peu de charges familiales, alimentaire et de logement (pas d’enfants -une grande maison héritée de mes parents sur 6 hectares de terres à 3/4 cultivées avec verger, bétail, volaille et rivière)
Une seule fois c’est mon amante qui a payé tous les frais !!! Je me suis fait invitée par elle dans un hôtel de la place ou elle venait d’arriver, en voyage de noce avec son milliardaire d’époux américain (elle, une française qui travaillait aux États-Unis -désormais elle n’en avait plus besoin !! – : 28 ans et son » jeune » mari : 62 ans !!)
Elle était venue me consulter afin de connaître la médecine douce locale pour garder sa ligne et affermir ses seins, soit disant tombants, alors qu’elle n’avait que 28 ans !
Tout de suite j’ai flasher sur elle !! Féminine et féline à souhait dans sa robe moulante en satin rehaussée de volants, fines bretelles et empiècements en voile affolants imprimés léopard.
D’autant que j’ai vite compris qu’elle n’y allait pas de main morte pour me réussir à séduire, avec son regard langoureux adouci par le vert de ses yeux, sa voie suave, ses doigts comme des petites tiges de cristal qui allaient souvent ratisser sa chevelure blonde longue et abondante, ses jambes qu’elle n’arrêtait pas de plier et déplier suffisamment chaque fois pour me faire apercevoir la profondeur de son entre jambe.
Elle me regardait fixement tout en parlant.
Elle avait remarqué que mon regard passait alternativement de ses yeux vers ses jambes. Je perçu alors sur son visage un sourire dont le replis au coin des lèvres était celui de la séductrice ayant repéré et déjà frappé sa prochaine victime.
Enfin, elle immobilisa une jambe pliée, le mollet posé sur le genou de l’autre. Mais, à bien regarder, le nouveau spectacle était plus insupportable pour mes sens :
L’intérieur de ses cuisses, comme deux cavernes aux parois veloutées, semblait ferme. Sa jambe pliée et posée sur l’autre révélait, juste à la naissance de sa robe moulante alors remontée bien haut sur ses cuisses, sa peau tendue dont le teint doré à mourir tranchait avec un bas marron foncé se terminant à mi cuisse.
Et le clou du spectacle se produisit quand, écartant encore un peu ses jambes dans un mouvement anodin, je découvris, au fond de cette antre de rêve, une petite bande de tissu rouge comprimé entre deux délicats renflements roses parsemés de petits poils blonds frisés !!! Je ne sais combien de temps j’ai du rester paralysée par le spectacle des lèvres de sa chatte emprisonnant son slip rouge.
A-t-elle fait exprès d’élever un peu le timbre lancinant de sa voix pour me sortir de mon rêve ? mais, comme prise en flagrant délit, j’élevai d’un seul coup les yeux vers ses yeux d’un vert qui vous glace de candeur, pour constaté de nouveau son sourire, encore plus affirmé, marquant définitivement une victoire déjà assurée de son charme sur tout mon être.
Elle me parlait d’une voix feutrée et enveloppée, de sa ligne et de ses seins mais j’avoue n’avoir rien suivi de ses propos, à la fois troublée, charmée, attentive et fascinée par son jeu et sa féminité étalée et magnifiée jusqu’au bout des ongles !!!
J’ai eu une envie irrésistible d’en découvrir plus, d’admirer plus !!! Avait t’elle perçu mon désir impatient ou a-t-elle voulu me tester en déboutonnant lentement chaque bouton du haut de sa robe jusqu’ en dessous du nombril. Elle marquait un petit temps d’arrêt chaque fois qu’elle posait ses doigts sur le bouton suivant et me regardait en disant :
» Je vais vous les montrez, mes seins, et vous rendrez compte de visu !! » pour le premier bouton.
Puis » vous savez, je porte rarement de soutien c’est trop agréable de les laisser librement remuer sous le linge !! » pour le deuxième.
» De toute façon, avec l’humidité et la chaleur, je suppose que beaucoup de femmes doivent faire comme moi dans cette île !! » Pour le troisième.
» Et peut être même ne pas s’embarrasser de slip ou string !! » ajouta t’elle au quatrième.
Et » c’est pourquoi aussi que je veux qu’ils restent bien ferment et debout !! Dit t’elle en déboutonnant le cinquième.
A chaque regard vers moi, mon expression à la fois d’impatience et de confusion érotique ne devait pas lui échapper car ma respiration s’accélérait à tel point que mon torse se soulevait et s’abaissait de façon assez perceptible.
Et enfin » En tant que femme, je suppose que cela ne vous fait ni chaud ni froid de voir les seins d’une autre femme !!? Si cela vous gène faut pas hésiter à me le dire ! » Dit-elle en traitant le dernier bouton qui révéla un nombril délicatement et profondément taillé dans la vallée d’ange basanée de son ventre. Que n’aurais-je donné pour me précipiter vers lui et y introduire une langue caressante et fouineuse !! D’autant qu’il était décoré d’une perle se balançant au bout d’une minuscule chaîne prolongeant son piercing.
Ensuite, elle écarta, de part et d’autre, les deux pans de sa robe, libérant de l’étreinte du tissu ses deux seins, monuments de charme finement sculptés dans une chair vibrante et croquante.
Je ne pu m’empêcher d’ouvrir la bouche envahie par l’extase, regard paralysé sur ces deux monts dorés animés d’ondulations envoûtantes et apaisantes au dessus de la vallée lisse et soyeuse de sa poitrine!!
Elle avait peut être remarqué une lueur de désir dans mon regard puisqu’elle m’invita à venir vérifier la véracité de ses dires sur le caractère soit disant tombant de sa poitrine. De tous ses propos je n’entendais que des brides de phrases, mais celle qui libéra mon attente a retenti comme un ressort dans ma tête :
» Vous pouvez venir les toucher pour vérifier que je ne raconte pas des histoires !!! »
Me dit t’elle avec insistance.
La seconde qui suivi je mis debout comme un ressort et j’ai marqué un temps d’hésitation en réalisant que je m’étais levée vraiment trop vite ! Un sourire de conquérante dans le coin de ses lèvres me révélait qu’elle avait remarqué ma précipitation à venir vers elle.
Elle me savait totalement à sa merci. J’avais accroché à son hameçon et il lui suffisait maintenant de m’attirer à elle car l’effet puissant de sa séduction sur moi m’avait rendue sans force pour espérer encore lui résister. J’allais me laisser tirer vers elle, asservie à son charme déployé, comme droguée par son irrésistible charme féminin !!!
Je repris un peu mes esprits pour ne pas m’effondrer devant elle, prête à m’offrir toute entière à elle. Je voulais savoir d’où lui venait ce pouvoir puissant qu’elle exerçait sur moi.
J’ai fréquenté des femmes nettement plus séduisantes, bien faites et bien mises qu’elle ! Pourquoi elle alors ? Sans avoir réalisé que j’avais marché vers elle, je sortis de mes interrogations par le contact de mes mains sur les courbes chaudes et douces, oui, incroyablement douces, de ses seins.
Un premier jet de cyprine inonda alors mon slip me poussant à légèrement refermer mes cuisses de crainte que le liquide révélateur de mon excitation ne s’écoule le long de mes jambes ! Je savais que mes émissions intimes étaient souvent très abondantes.
Retenant à en souffrir mes mains pour ne pas caresser les massifs moelleux de ses seins. J’ai légèrement tremblé des doigts et, de peur peu être que je ne retire alors mes mains troublées, elle plaqua ses mains sur les miennes et se mit à faire mes mains soupeser ses seins d’un mouvement de haut en bas dévastateur sur mes nerfs.
Un frisson me traversa le corps libérant un deuxième jet de cyprine dans mon slip que je sentais maintenant gorgé de liquide chaud. Il ne fallait surtout pas que mon slip lâche son humidité le long de ma cuisse car ma jupe droite arrivant à mi cuisse, ne cacherais pas longtemps mon état.
Heureusement la femme relâcha mes mains que je m’empressai d’écarter de ces monts délicieux en détournant mon regard pour ne pas les re-plaquer tout de suite.
Me sentant affaiblie par tous ses efforts de retenu, par l’émotion et l’excitation qui me ravageait fortement en profondeur, je reculai et m’assit contre le bureau, un peu en retrait, à coté de ma » patiente » visiblement peu étonnée du trouble que j’avais beaucoup de mal à masquer.
Elle se leva immédiatement comme pour ne pas me laisser me refroidir et lança : » quant à ma silhouette, il faut trouver une solution car, mois après mois, je prend un peu plus de poids !! Regardez !! Ça s’arrondi là et là de plus en plus !! Bientôt je ne pourrais plus mettre mes petites robes comme celle que je porte !! Voyez !! Jusqu’à maintenant je peux encore la mettre ! Je peux encore la soulever comme ça pour remonter mes bas ou bien aller aux toilettes ! »
Joignant son geste à la parole, elle souleva sa robe jusqu’au dessus de son nombril (percé d’un petit délicat dauphin en or) révélant ses cuisses de gazelle somptueuses, son bassin dans toute sa splendeur !!! Je sentis mes jambes me lâcher devant l’intensité érotique du spectacle qu’elle m’offrait sans pudeur :
Un minuscule string rouge vif en maille satinée dont les lanières étaient enrichies de petites perles nacrées reluisantes, cachait mal la toison blonde de sa chatte dont les lèvres rose clair et les poils d’or jaillissaient de provocation dans son entrejambe, de part et d’autre de ce bout de tissus tentateur.
Elle a du certainement apercevoir que je n’ai pas pu m’empêcher de mordre d’extase ma lèvre inférieure.
Elle ne tarda pas à se retourner, sûrement pour assainir le coup de grâce à mon inertie. Elle me présenta ses fesses magiquement mises en valeur par la splendide » queue de baleine » rouge du string jaillissant hors de son sillon fessier en un somptueux papillon brodés.
» Et là aussi !! » dit t’elle, en passant ses mains caressantes sur les lobes de ses fesses, » il ne faut pas que je prenne un gramme de plus pour qu’elles restent fermes et toniques ! Regarde quand je me penche et me relève !! On ne voit pas un seul pli de graisse sous la peau !!! » Et elle fit alors ce qu’il ne fallait pas me faire !
Elle se pencha en avant et me présenta ses fesses et sa croupe d’enfer dans toutes leur largeur, la vulve et tout son entre jambe lancé vers l’arrière, vers moi. Ce fut le bourreau adoré de ma retenue !! L’affolante petite bande de tissu de son string plongeait entre les deux collines fascinantes de ses fesses, telle une invitation inouïe.
Sans réfléchir, pris par le vent de folie de l’excitation qui explosait par tous les pores de ma peau, par tous les muscles de mon corps, je me jetai d’un seul mouvement, la tête la première, au milieu des fesses de cette femme.
En même temps un nouveau jet abondant de cyprine vint surcharger mon slip, expulsé par mon vagin qui m’offrit immédiatement après une agréable contraction. Le trop petit bout de tissu de mon string plissée entre les lèvres de ma chatte était trop petit pour retenir ce trop plein de liquide gluant qui se mit à dégouliner sur la peau frémissante du haut de mes cuisses.
A peine le contact établi avec la chair douce et chaude de sa croupe que ma » maîtresse » se releva me laissant accroupie comme une chienne soumise à ses pieds!!
Et elle me lança : » eh bien !! Quel assaut !! Mais que t’arrives t’il soudain ?! »
Seul le tutoiement dans sa phrase me rassura sur la nature de sa réaction.
Je me relevais, fébrile, et repris ma pause, appuyée sur le bureau en disant : » à quel jeu joues tu ? Tu déploies ton charme à l’extrême au point de m’exciter au plus haut point et, quand je ne résiste plus, tu me jettes comme une chienne ! »
» Toi ! Excitée ! Tu m’étonnes ! Qui me le prouve ? Peut être n’es tu qu’une simple profiteuse qui cherche à avoir les faveurs d’une femme riche ?!! » Répondit t’elle
Certaine de la preuve que constituait l’abondance de l’émission de mon désir intime je lui lançai : » viens vérifier, tu es une femme, donc tu sais ou et à quel point on peut apprécier le désir véritable et non simulé d’une femme ! »
Elle s’approcha et plaça directement sa main sous ma jupe, entre mes cuisses resserrées pour conserver le jus abondant de chatte imprégnant toute ma peau largement jusqu’ en haut des cuisses.
Sa main, à peine arrivée en haut de mes cuisses, juste à l’entrée de ma jupe, fut retirée, baignée et reluisante de ma cyprine tiède.
» Incroyable dit t’elle je n’ai jamais senti une femme aussi humide !! Tu ne vas pas me faire croire que c’est moi qui t’ai fait cet effet là !!?? »
En disant ces mots elle remis sa main dans mon entre jambe et progressa dans l’antre humide jusqu’à toucher ma chatte sûrement brûlante sous ces doigts.
Elle était debout devant moi, sa poitrine provocante était exposée à peine à 5 cm de ma tête et son parfum m’envoûtait de nouveau.
Elle déplaça habilement le tissu de mon slip et se mis à jouer, d’une main trop lubrifiée, avec les replis de ma vulve. Cette main n’était pas celle d’une novice. Elle me rappelait plutôt celles d’une lesbienne expérimentée.
» Oui, dit t’elle, je suis maintenant convaincu que c’est pas du bleuf !! Ton minet est brûlant de désir !! C’est la première fois que tu as une pulsion pour une femme ?? »
» Mais non voyons !! Ça fait des dizaines, voire des centaines de fois !! Je ne compte même plus !! Je suis lesbienne !! Je pensais que tu l’avais remarqué en ma faisant tout ce jeu !!! » lui dis je.
Sans me répondre elle se jeta sur moi et plaqua sa bouche contre ma bouche.
Très rapidement sa langue envahie la grotte de ma bouche fouinant dans tous les recoins en furet rapide et doux ! Un frisson descendit le long de ma colonne et je passai, me laissant fondre, mes mains dans sa chevelure en lui rendant son baiser profond.
Elle déplaça sa bouche sur ma joue puis descendis sur mon cou, et s’attarda dans le creux sous le cou près de l’épaule (une de mes plus insupportables zones érogènes !!) pendant que sa main déboutonnait mon chemisier.
Un plaisir doux m’envahissait et je me reteins de ne pas gémir.
Mes mains pénétrèrent de nouveau ses cheveux parfumés pendant que sa langue descendit en serpent cajoleur vers le sillon en haut de mes seins.
Elle enleva mon soutien et ne tarda pas à prendre le bout de mes seins entre ses lèvres.
Elle remonta et approcha sa langue de ma bouche et je sortie spontanément la mienne pour que nos deux langues se titillent allégrement, mes seins plaqués, pressés, contre sa poitrine chaude et agréablement molle.
Mes muscles du vagin et de l’utérus se contractent d’excitation et de joie à l’idée des moments de plaisir et bonheur maintenant à portée de mains que l’avenir me permettrai de vivre avec cette fée que je croyais encore tout à l’heure hors de ma portée !! Un autre frisson plus violent me traversa la peau, et les pointes de mes seins se sont durcies contre ses mamelons.
Je pensais que j’allais me mets à éprouver pour elle le même sentiment passionné que j’ai éprouvé il y a deux ans pour cette pauvre Sainte-Lucienne, négresse travailleuse dans les champs de banane (mais très propre et élégante malgré sa condition !!) venue me consulter pour une allergie incurable à un engrais. Grande féminité, gentillesse terrible, le cœur sur la main, une finesse d’esprit et une curiosité renversante, une aura fascinante partout ou elle est !!! J’étais folle d’elle ! A plusieurs reprises je lui ai proposé de venir vivre avec moi. Je l’ai beaucoup aidée financièrement. J’ai même payé son billet pour l’Angleterre ou un membre de sa famille lui avait trouvé un travail dans une usine de conserve. Depuis, plus de nouvelle !!! J’en souffre car c’est l’une des seules femmes pour laquelle j’ai éprouvé vraiment un amour fort et durable.
» Elle s’écarta et me dit : » moi aussi, chérie, je suis lesbienne !! Je m’appelle Brigitte et toi »
» Ondine. Mais pourquoi t’es tu mariée et, en plus, avec un homme âgé !!? » Lui dis je.
Brigitte affirma : » Mon mariage n’est qu’un prétexte pour avoir tout ce que je veux. En contre partie je donnes à mon mari la jeunesse d’une femme et puis tout ce qu’il veut que je lui fasse. Un homme âgé est moins exigeant en amour, plus compréhensif, moins possessif et jaloux. Il sait que je suis lesbienne et il m’aime, c’est pour cela qu’il a voulu se marier avec moi ! Il n’aurait pas aimé une femme qui le trompe avec un homme. Avec une autre femme il accepte et aime même cela. Il m’a demandé d’assister à mes ébats de tant à autre. Il comprend qu’à mon age je veux encore jouir de la vie, donc il me laisse beaucoup de liberté que je passe avec mon amie et puis les femmes de mon choix. Toi tu m’as plu dès que je suis rentrée dans ton bureau ! Raison pour laquelle j’ai voulu savoir si je te plaisais aussi !!! »
» Tu sais je me trompe rarement, dès les premiers échanges de regard, je sais si une femme est lesbienne ou pas ! J’arrive à déceler le désir profond dans son regard ! Alors je passe à l’attaque pour confirmation. Et puis, de toute façon, que je la crois lesbienne ou pas, je passe toujours à l’attaque par une séduction innocente mais très érotique. Qu’il y ait des suites positives ou pas c’est pas grave parce que moi-même ça m’excite toujours un peu et puis les fois ou ça marche, comme aujourd’hui, tout ce que ça m’apporte au présent et à l’avenir et tout ce que je découvre remplacent toutes les fois ou ça n’a pas marché, rejet brutal ou pas !! »
Je répondit : » Tu sais moi aussi je me suis marié sachant très bien en moi que j’étais lesbienne mais c’étais pour la réputation, pour éviter critiques et rumeur ! Mais c’est pas plus mal car Elie est merveilleux, un ami et compagnon irremplaçable !! Tu sais Brigitte, concernant ta séduction de tout à l’heure, soit tu t’y es bien prise, ou bien il y a un courant qui passe fort entre nous, peut être plus que le sexe, ou alors tu as vraiment du talent, un don !! »
» Je te propose de vérifier cela parce que moi aussi j’ai envie de toi tout de suite !! » dit t’elle.
» Écoute, ici ce n’est pas possible j’ai des clients à coté, dans la salle d’attente, ils vont nous entendre et puis ce serait trop précipité. Avec toi j’aurais aimé prendre mon temps pour t’apprécier, me délecter de ton cœur, savourer ton corps lentement, tendrement. »
Ce fut elle qui semblait maintenant envahie par un trouble manifeste. Elle me proposa donc d’aller à son hôtel.
Mais ne connaissant pas vraiment ses intentions, craignant son mari, sa suite de serviteurs, au cas ou ils participeraient à nos ébats, et puis voulant garder, à partir de cet instant, une maîtrise de la situation jusqu’au bout, je lui ai proposé plutôt une île voisine, lui disant que c’est comme ça que les femmes procèdent ici pour protéger leur réputation, les rapports entre femmes étant mal vécus ici.
Brigitte n’a pas hésité une seconde à accepter mon invitation
Avertissant par téléphone son mari, elle prétexta qu’il lui fallait rendre visite à une guérisseuse en Dominique pour récupérer une plante très rare idéal pour la fermeté des seins. Son mari a accepté à une seule condition : Qu’elle se fasse accompagnée par un de ses gardes du corps et par sa » femme de compagnie » (comme la qualifie Brigitte !), une certaine Nadia. J’ais compris par la suite le ravissement soudain dans les yeux de Brigitte à l’annonce que son mari, non seulement acceptais, mais que Nadia serait de la partie. Car cette » femme de compagnie » assure bien plus que la compagnie de Brigitte, c’est son amante à tout faire qui participa en Dominique à tous nos ébats sexuels, pour mon immense plaisir (au sens propre et au sens figuré)
» Tu sais, me dit Brigitte en se rendant vers la porte de la salle d’attente, elle me suit en général partout, mais je n’étais pas sur que James accepterait qu’elle me suive en Dominique. Je ne suis pas encore habitué à cette aisance financière. » » Attends je vais te la présenter !! Je pense qu’elle va te plaire ! J’ais fait jouer les relations de mon mari pour trouver cette compagne lesbienne à mon goût ! » Rajouta t’elle en clignant d’un œil.
Elle sortie à peine quelques secondes et réapparu avec une magnifique négresse aux yeux clair dont l’intensité du regard vous glace le sang. Sa poitrine faisait éclater le décolleté ravageur de sa robe fleurie en stretch extensible qui suivait parfaitement toutes les rondeurs superbes de son corps.
D’ailleurs, à leur départ, quand elles se sont retournées pour se diriger vers la porte, je me suis délectée en admirant son cul large et bien maté mis en valeur par un bassin à la courbure très prononcée!!
La danse délirante des hanches et des fesses qui accompagna sa démarche, féminisée à l’extrême par des talons aiguilles, me remplit tellement d’extase que j’ai du m’asseoir pour récupérer. Mes jambes me lâchaient, assommée par l’énergie perdue pour contenir le désir.
Dans un film j’ai entendu un homme dire, subjugué par les charmes irrésistible d’une femme : » il faut que je me la fasse un jour!! « . Le même sentiment, je croit, avait du m’envahir ce jour là envers Nadia.
Avant de retourner à son hôtel juste pour prendre quelques effets pour 2 journées, Brigitte me demanda de lui indiquer un hôtel calme, retiré, tranquille, naturel, plutôt petit mais chic, avec un personnel discret et » compréhensif « .
Je lui indiquai un hôtel ou j’avais déjà séjourné à l’intérieur des terres, aux abords d’une des 125 rivières de l’île (Dominique est l’île plus irriguée des Antilles et le tourisme vert y est génial !!) avec cascade, piscine naturel, jardin paradisiaque, le tout dans un cadre et un mobilier coloniale. Elle me dit alors, pensive :
» Tu sais, à bien réfléchir, ce garde du corps va nous coller à la peau tout le temps !! Et puis sous son air soit disant froid et intéressé, il me semble bien voyeur !! Cette bosse inesthétique qui gonfle des fois sous sa braguette le trahit et m’agasse! Je vais proposer à James de venir, il va vaquer à ses occupations, faire son sport, visiter l’île avec son garde, car c’est un passionné de nature tropicale et puis nous aurons notre paix toutes les trois. Qu’en penses tu Ondine ? »
Je répondit : » Tu as raison, avoir un mec partout ou je suis et de plus avec souvent son membre dur trahissant son désir caché et brut de me pénétrer, comme cela, sans même présentation préliminaires, séduction, émotion, tendresse!! Très peu pour moi Brigitte !! Par contre pour ne pas paraître bizarre toute seule alors que toi tu es accompagnée, je vais inviter Elie à venir avec nous ! »
Elle téléphona de suite à James pour l’avertir du nouveau programme, puis à l’hôtel pour réserver pour 3 hommes et 3 femmes en rajoutant qu’elle souhaitait n’avoir aucun autres clients présents durant ce week-end et qu’ils seraient dédommagés grassement si ils acceptaient de quitter l’hôtel dès notre arrivée le lendemain matin!!!
Brigitte demanda également une réduction du personnel au strict minimum pour assurer le service. Elle fit préparer une suite avec un immense lit, beaucoup de fleurs, du voilages et linges de lit en satin ou coton couleur pastelle, et des miroirs au plafond surtout au dessus du lit.
Ayant compris qu’elle faisait nous préparer là un nid propice à nos futurs ébats et câlins nocturnes, je lui ait dit de rajouter à la liste un fond sonore avec des sons apaisants de la nature (vagues-oiseaux-cours d’eau etc…) et des diffuseurs d’arôme aux senteurs de Ylang Ylang, jasmin, santal et lavande musquée ( met une ambiance de détente, de bon état d’esprit,de bien-être, de bonne humeur, de fraîcheur et d’incitation à l’acte amoureux).
Je devais me charger d’amener les compléments alimentaires pour activer la libido féminine et dynamiser la sphère sexuelle des femmes.
Arrivés sur place le matin, nous avons rejoint nos 4 chambres : James et Brigitte, Elie et moi, le garde et Nadia ayant chacun une chambre individuelle. Ne sachant pas ce que me réservait Brigitte dans l’organisation de ce séjour, j’étais impatiente déjà de rejoindre la 5ème chambre que nous avions fait préparer pour nos moments intimes à trois. J’étais persuadée que ce serait le clou du séjour. Et bien quand Brigitte et Nadia me sont apparues, 1 heure après notre arrivée, sur la magnifique véranda riche en fleurs, orchidée suspendues aux poteaux, meubles anciens, perruches et perroquets, j’ais compris que la chambre ne serait qu’un des nombreux moments chauds du séjour !!!
En fait, à ce moment là également j’ai compris le stratagème de Brigitte : Un hôtel uniquement à nous 3 femmes pour prendre, durant tout le séjour, tous nos aises en terme de vêtement sexy n’importe ou, jouir de la liberté d’évoluer nues partout et donner libre cour à nos fantasmes sexuels.
Brigitte, avec une allure hautaine, s’est présentée sur la véranda totalement nue sous une robe en polyamide bleu turquoise tellement transparente que tous les détails de son corps magnifique m’étaient révélés magnifiés par les rayons du soleil. Et Nadia était en body string blanc transparent échancré au bassin et ouvert au niveau des seins présentant ainsi au grand jour le charme ravageur de son opulente poitrine et de sa croupe indescriptible.
La surprise et cette scène inouïe d’érotisme firent mon sang ne faire qu’un tour violant de ma tête vers mon bas ventre déclenchant un frisson d’extase. Heureusement que j’étais déjà assise ! Cet évènement restera toujours gravée dans ma mémoire comme l’un des plus inattendu, chaleureux et prometteur !!!
Nadia s’est assise comme moi sur une berceuse en bois et Brigitte sur un magnifique fauteuil Emmanuelle. Elle paraissait là telle une déesse dominatrice, et moi, de nouveau sous son charme oppressant et d’autant plus que je paraissais étrangement gênée et diminué par mon accoutrement devant le leur.
Et pourtant j’avais pris soin de bien choisir le linge à mettre pour cette première rencontre afin d’ être attirante et charmante : Un cache cœur cintré rose, on ne peut plus féminin, en dentelle avec large poignés fendue mettant avantageusement en valeur mes seins et ma poitrine, ouvert bien bas dans mon entre sein – et une jupe courte rouge, arrivant au dessus à ¼ de mes cuisses, avec dessus en maille filet arrivant lui à mi cuisse avec la taille élastiquée légèrement en V devant en dessous de mon nombril !! Un tel look dans d’autres circonstances aurait fait flasher puis craquer la plus froide ou timides des lesbiennes !! Mais là, Brigitte et Nadia m’avaient effacé, ternie, presque ridiculisé !!
» Je crois, dit Brigitte qui avait retrouvé sa voie feutrée et suave de mon bureau, que tu n’as pas bien compris l’objet de notre séjour ici, Ondine !!? …c’est notre week-end, totalement notre week-end !!! Durant ces deux jours tous nous est permis !! Sans limites ni gènes entre nous, Ondine !! Alors si tu acceptes les règles de ce jeu, va te changer, tu n’es pas du tout sur la bonne longueur d’onde, Ondine !! »
Je lui répondis : » Très bien Brigitte ! tu es forte, très forte !! J’avais raison de ne pas t’avoir sous estimé à mon bureau ! Ton bagage de séduction est renversant !! Je saurais me montrer à la hauteur !! Mon seul regret c’est que je ne pourrais pas rivaliser avec vous car vous avez prévu du linge sexy pour 48 heures jour et nuit, mais moi, seulement pour 2 nuits !! »
» Ecoute Ondine, nous ne sommes pas dans une rivalité, mais dans une liberté !! Mets ce qui te plais ou, ne mets rien !! La nudité n’est elle pas le plus beau vêtement ?!! Nous venons tous au monde nu !!! Mais l’homme est le seul être vivant a avoir jugé bon de se vêtir par pudeur ou tout autre sentiment déviant !! Mis a part pour lutter à l’extérieur contre le froid, les vêtements sont tous inutiles !!! Et puis même si tu n’as pas assez de vêtements pour décupler ton charme vers nous, peu importe, car notre amour et notre envie de toi sont déjà suffisamment puissants. C’est la raison pour laquelle nous cherchons à te séduire encore plus, te faire avoir autant envie de nous que nous avons envie de toi. Et tout ceci pour que cette fête de tous nos sens soit réussie !!! » Répondit Brigitte.
Je m’absentai 10 minutes pour revenir avec un superbe body collant blanc en dentelle extensible décolleté au dos et surtout ouvert à l’entrejambe. Je crois que l’effet sur Nadia et Brigitte a été plus envoûtant que je l’espérais car j’ais bien vu leurs yeux si charmants s’élargir, m’analyser de haut en bas et elles sont restées bouche bé durant bien 1 à 2 minutes. Surtout que je ne me suis pas gênée de légèrement entrouvrir mes jambes pour que mon coquillage de chatte rasée soit bien visible dans la fente de mon body !! Ayant déjà expérimenté l’effet dévastateur de ce body même sur les lesbiennes les plus aguerries, je pensais l’utiliser pour mettre le paquet en érotisme ce soir une fois dans la chambre nid ! Mais là mes plans sont modifiés ! Il fallait » frapper » fort dès le début !! Et en plein jour !!!!
Sortant de sa délectation contemplative Brigitte lança : » ma chérie, tu es délicieusement croquante !! Je n’en espérais pas temps de ta part !!! Tu as beaucoup de goût et de raffinement !! … merci !! Je crois que ces deux jours seront les plus agréables de ma vie !!! Allez, venez on va visiter la propriété avant de déjeuner. »
Au milieu des 3 jardins somptueux et riches de l’hôtel nous avons évolué ainsi vêtues, jouant comme des enfants, riant, blaguant, goûtant aux saveurs (fruits) et douceurs (plantes, fleurs, soleil, brise tiède, oiseaux, colibri etc…) de la nature tropicales.
Au travers de quelques haltes sur les bancs de jardins, les rochers aux abords des courts d’eau, ou simplement assises sur le gazon dense, j’ai pu apprécier, en plus du charme incontestable des corps de Brigitte et Nadia exposés sous tous les angles, également la candeur, l’insouciance et la douceur de leur âmes. Elles me sont souvent apparues, durant cette promenade, véritablement telles 2 fées étincelantes évoluant dans un paradis naturel hors du monde et du temps.
Le seul point qui nous rattacha à la réalité, fut, en passant sur un petit pont chinois en arc, la vue de James et Elie, les pieds dans l’eau, discutant tant bien que mal dans un anglais francisé, en regardant le fond de l’eau de la rivière ou déambulaient des poissons mulets ou lapia et des écrevisses insouciantes.
Dans l’hôtel le personnel étaient effectivement réduit puisque nous n’avons, durant tout le séjour, repéré seulement 6 personnes : La gérante, 2 femmes de ménages, un garçon pour servir les repas, boissons, collations et porter le petit déjeuner, un jardinier et un gardien.
L’hôtel est entièrement clôturé sur une dizaine d’hectare par une haute clôture électrifiée et la porte d’entrée blindée ouvre et ferme après contrôle du gardien. James a d’ailleurs été ravi par cette sécurité accrut au point qu’il a certainement donné » quartier libre » à son garde du corps.
Lors du repas, toujours avec nos mêmes vêtements, nous avons bien ressentis un relatif émoustillement compréhensible d’Elie, James et du serviteur dont la bosse, au niveau de son bas ventre, à chaque service plus grosse, révélait l’effet attirant sur ses sens de notre charme vestimentaire et corporel.
Elie et James ont planifiés une sortie à cheval dans les sous-bois de l’hôtel et nous, une sieste à mi-soleil sur des hamacs.
En progressant vers le jardin ou était les hamacs nous sommes passées près d’une étable ou James et Elie, guidés par une servante et le garde du corps, venaient de partir à cheval .
Nous avons distinctement entendu les cris de plaisir d’une femme venant de l’étable.
Nous nous sommes approchées sans bruit. Toutes les trois nous avons observés les assauts puissants du garde du corps pénétrant la chatte d’une servante couchée sur le dos sur une table. Sa jupe était relevée jusqu’au ventre et son corsage ouvert, les deux bonnets de soutien relevés pour libérer une poitrine de taille correcte malaxée sans ménagement par les mains de l’homme.
Visiblement il s’activait sur elle, introduisant son pénis à un rythme très soutenu et puissant au point, qu’à chaque coup de butoir, il propulsait la femme vers l’arrière. A chaque assaut, elle poussait un cri de douleur ou de plaisir, qui sait !? Peut être un peu des deux.
Un tel spectacle sexuel n’a rien pour apaiser un éventuel penchant voyeur d’une lesbienne, mais, c’est la dureté, l’inattendue et l’originalité de la scène qui fit que nous restâmes à regarder.
Au bout d’une minute d’assauts incessants, l’homme se retira, la bite gonflée et inclinée à 10 ou 11 h devant lui. Il retourna alors la femme comme un vulgaire sac et, attirant violemment le bassin à lui, enfourcha la femme d’un coup brusque.
Sans comprendre, nous vîmes le garde, suant de partout, cracher abondamment sur les fesses de la femme. Quand il pris la salive de sa main et l’amena vers le sillon entre les fesses, puis introduisit un doigt humide dans l’anus, que nous avons compris qu’il préparait une sodomie musclée.
Sans tarder, il s’écarta de nouveau, guida son pénis vers l’œillet anal et, poussant d’un mouvement sec, il fit pénétrer le gland. La femme, visage retournée sur les coté, poussa un cri rauque en faisant une grimace.
Insouciant de ce signe de douleur, l’homme repris son rythme infernal dans l’anus suffisamment dilaté pour n’offrir aucune résistance au va et viens.
Au bout d’une ou 2 minutes, à chaque remonté du pénis, on voyait distinctement un liquide visqueux marron et un peu rougeâtre qui s’échappait du trou anal et s’écoulait dans le sillon vers la vulve. Etait ce du sang ou des matières fécales, ou les deux ??!
» C’est pas toi, Nadia, qui aurait accepté çà bien que tu aimes l’anal avec un pénis, un gode ou des doigts !!! » dit Brigitte !
» Ah tu peux le dire ! Alors que c’est tellement agréable quand c’est fait en douceur tout en excitant le clito!! » Lança Nadia en me regardant fixement.
Elle avait remarqué que, chaque fois que l’occasion se présentait, j’avais du mal à détacher mon regard de son fessier renversant !? Et pourtant il le fallait pour ne pas être trop envahie de désir car ma chatte à l’air n’avait aucun tissu pour retenir toute émission importante de cyprine.
Et Nadia poursuivit en disant : « cette malheureuse n’a évidemment pas fait de lavement avant sa sodomie !!! Moi, dans mes effets de toilette, j’ai toujours ma poire pour me préparer l’anus quand je prévoit des d’ébats sexuels »
Pris de soubresauts répétés, le garde éjacula longuement, pénis planté bien fond dans l’anus, extirpant des cris plus stridents à la servante qui, relâchée, s’affaissa, exténuée et meurtrie.
La bite sortie de son antre badigeonnée de matières fécales masquant la blancheur de sa peau. L’homme essuya son membre avec le bas de la robe de la femme, remonta son pantalon et sorti de l’étable sans un regard pour sa victime et en lui disant » si tu ouvres ta bouche je te ferais renvoyer !! Tu entends !! « .
Brigitte, visiblement outrée, arrêta le garde à sa sortie et lui dit : » pas question !! Au contraire, c’est toi qui sera renvoyé pour ce viol, dés le retour de mon mari si 1) tu ne fait pas des excuses à cette femme, 2) tu ne la raccompagnes en la portant à sa chambre 3) tu payes ton viol en la dédommageant avec ton salaire du mois. Sinon j’appelle la police locale et tu te retrouves en prison ici pour des années !!
L’homme, plutôt surprit, répondit dans la foulée : » Ah non ! vous exagérez, madame, vous croyez que c’est facile de se retenir longtemps quand on est excité tout le temps par ce que vous nous montrez , vous, votre » femme à tout faire « , et vos amies. »
» Maîtrisez votre langage !! Sinon je vous fais renvoyer sans conditions, continua Brigitte. Et on ne vous montre rien du tout !! Et puis personne ne vous oblige à regarder !! Et puis si vous ne pouvez pas tenir, masturbez vous !!! »
La servante s’amena en vitesse et dit » mais non madame laissez le !! J’avoue qu’il ne m’était pas indifférent et puis je voulais bien qu’il me prenne mais, c’est vrai, j’aurais aimé autrement !! Vous savez : nous les femmes noires on aiment bien nos compatriotes, mais on à toujours un faible pour la peau blanche ou métis !! »
Brigitte se tourna vers Nadia et moi qui sommes deux femmes de couleur, en ouvrant grand les yeux d’étonnement.
Un rictus à la bouche et la tête remuant, je répondit : » ehhh il faut pas trop généraliser tout de même !!! » sachant très bien que cet tendance est malheureusement encore présente depuis l’esclavage. Quand un enfant de parents noir naît avec une peau clair on dit : » il a la peau sauvée » et un adulte a alors une » ti peau Ouayahaille » !!
Brigitte conclut en regardant le garde : » Bon !! Allez laisse tomber, je vais lui donner un pourboire important plus tard et, toi, tu remplaces la 3ème condition en te mettent au service de cette femme dès qu’elle te sollicitera pour la satisfaire mais avec douceur et tendresse. Okay ?? »
L’incident clôt, le garde raccompagna la servante en la portant.
Arrivées dans jardin aux Hamacs, Brigitte et moi nous nous sommes dévêtues, offrant nos corps nus aux rayons du soleil. Nadia a préférée s’installer à l’ombre, un roman à la main.
Brigitte entama la conversation, après m’avoir montré un des serviteurs de l’hôtel qui observait notre nudité étendue sur les hamacs, bercées, les jambes écartées pour bien bronzer nos parties intimes. Il se croyait totalement caché par une haie d’hibiscus, mais sa bite, masturbée par une de ses mains, nous apparaissait bien gonflée et prête à exploser à travers une partie éclaircie de la haie. Ce qu’elle ne tarda pas à faire en jet étonnamment long et puissant puisque le liquide blanchâtre a du retomber longuement à plus de 3 mètres sur le gazon au delà de la haie.
» Les hommes sont en général trop pressés de prendre » leur plaisir » avec une femme et souvent le plus directement que possible. » me dit t’elle avec conviction.
» C’est vrai !! Lui dit je, » et j’ai constaté que quand ils se préoccupent d’exciter une femme, lors de courts préliminaires, c’est en général pour qu’elle soit plus chaude, plus emplie de désir de leur bite, et plus disposée à se mettre totalement à leur merci afin qu’ils profitent d’elle par tous les organes et tous les trous !!! À croire qu’ils n’aspirent qu’à éjaculer !!! »
Tout en acquiescant de la tête elle repris en disant :
» C’est déplorable !! Nous avons pourtant tant de plaisir à prendre et à donner !! Si l’échange était au moins équitable !! Ils laissent effectivement rarement la volupté de la femme monter en prenant leur temps, en s’harmonisant à son rythme, à la montée nettement plus long et complexe du désir féminin. Chez nous les femmes, le désir sexuel est, en plus de l’attirance physique, est basé beaucoup sur l’ambiance, l’atmosphère, la fusion émotionnelle. »
Nous sommes restée un court instant perdues dans nos pensées ou devaient se télescoper des souvenirs de notre passé lointain ou, méconnaissant notre nature lesbienne, nous avions eu des expériences sexuelles hétéros. Cela est arrivé à presque toutes les lesbiennes qui, avant d’en être convaincu, d’abord se cherchent.
Et elle poursuivi en disant : » tu sais, j’ai l’impression que l’éjaculation de l’homme, constitue le but et la finalité de l’échange sexuel qu’il a avec une femme. »
» Je te comprends ! Lui dit je, je pense que l’homme utilise la femme, dont le corps est déjà pour lui un objet d’excitation, pour exciter ses propres parties intimes, assouvir son désir de domination et possession des femmes, et enfin éjaculer en un plaisir suprême pour ensuite retomber, comme vidé !! »
Elle rajouta alors avec interrogation : » Peut être l’homme aspire t’il, par la pénétration de notre vagin et aussi notre bouche et nos fesses, avec sa bite, sa langue, ses doigts, à retrouver le nid douillet des entrailles maternelles avec lesquelles il fusionnait avant la naissance ?!!! »
Surprise par cette conception, je lui demandai : » Et tu penses, que c’est pour cela qu’on a l’impression, nous les femmes que si il le pouvait, tout homme rentrerait dans notre chatte toute sa main et même tout son bras, toute sa bouche voire toute sa tête, toute sa bite avec les bourses ?!!! »
Elle me mit à réfléchir à la question. Et puis, elle répondit :
» Oui, je pense que les hommes arriveraient au summum de leur plaisir avec une femme si ils arrivaient à faire leur corps tout entier pénétrer dans son vagin, son ventre ? »
« Ah bon, repris je, tu penses, qu’inconsciemment, tout homme veut, par ses intromissions, retrouver la communion homme-femme originelle et surtout la fusion maternelle ??!. »
Elle ne tarda pas à répondre : » Oui ! Assurément ! Mais et c’est ce qui explique la fascination maladive qu’ils ont pour notre vagin, chemin vers le nid perdu. Dans une répétition insatiable de pénétration partielle, l’homme passera sa vie à ne jamais parvenir à reprendre le chemin inverse de son expulsion traumatisante du ventre féminin maternelle. Et ceci, malgré avoir aspiré et tenté de changer de femmes, aspiré et tenté d’avoir une bite plus longue, tenté et aspiré prolonger la pénétration… »
» Et nous lesbienne pourquoi, comme eux, avons nous cette fascination maladive pour le sexe féminin ? » lui demandai je.
» Effectivement , répondis t’elle, nous les femmes, comme les hommes nous avons perdu la fusion avec la chair féminine maternelle, mais, à l’inverse des hommes, nous n’aspirons pas à la retrouver puisque nous vivons à toute heure, depuis enfant, l’union avec elle par notre propre chair et nature féminine. »
« J’étais fasciné par la logique évidente de ses propos et encore plus en admiration par ce qu’elle rajouta :
» Tu sais, nous les lesbiennes, contrairement aux femmes hétéro ou bi, il y a quelque chose de fondamentale qui nous caractérisent : D’abord, nous trouvons le corps féminin esthétiquement et plastiquement plus agréable à regarder que celui d’un homme. Ses courbes variées, ses muscles mous et non saillants, sa chevelure en cascade, ses articulations délicatement sculptées,… tout est en arrondis, en volume, rien ne tranche avec l’harmonie de ses formes…. le corps féminin respire la douceur, la tendresse, la finesse, la délicatesse, la beauté brute (d’ailleurs dans la peinture, la photo, la sculpture, dans l’art en général, la femme, sous tous ses aspects est largement plus utilisée comme vecteur de beau, par exemple, les nus artistiques sont en très grande majorité féminin !!) .D’où la plus grande capacité d’une femme à donner du doux, du tendre, de l’harmonie à ses enfants, son partenaire masculin, à son environnement (fleur, décoration, maquillage, coiffure, haute couture a niveau lingeries…).
Elle continua sa plaidoirie en disant : » n’est ce pas que tu as déjà souvent entendu les lesbiennes affirmer, et même quelque femmes bi et hétéro l’ont aussi avoué : cela fait esthétiquement laid cette protubérance longue dans l’entre jambe d’un homme qu’est sa bite alors que le corps humain est plus beau avec un entrejambe comme celui d’une femme : aucune excroissance provocante qui tranche avec l’harmonie d’ensemble du corps féminin. »
» Enfin, poursuivit t’elle, en plus de l’évidence de la beauté et du charme esthétique de la femme , il est pour nous d’une part d’une évidence que l’esprit et le mental féminin est plus fin, chaleureux, équilibré, délicat, autonome ,mature et moins cartésien, moins carré….elle arrondi les bords, la femme. »
» D’autre part, rajouta-t-elle, il est aussi pour nous lesbienne d’une évidence que l’émotionnel féminin est plus sensible, désintéressé, humain, maternel, nourricier. La femme est Mère -Terre -Fée source inépuisable de Vies, Nourritures, Plaisirs, Bontés, Douceurs et Beautés. »
» C’est en fait, dit t’elle, la femme dans toute la dimension de sa féminité qui nous fascine, nous charme, nous attire. En plus la variété des bijoux, vêtements de dessus et dessous, coiffures, maquillage etc… donne aux femmes une longueur d’avance immense en matière de séduction et mise en valeur de leur corps. L’homme à coté nous parait bien terne et inutile à notre bien-être!!! Sauf peut être pour procréer !! »
Je répondit : » c’est vrai même en matière de sexe, nous savons nous satisfaire tellement à deux femmes, essayant toujours d’amener l’autre à l’orgasme par la patience, l’originalité, la variété, la connaissance des zones érogènes féminines et du savoir faire pour vraiment les exciter, et puis par un don total de soi à l’autre. »
Elle renchérit en disant : » A se demander que recherche les autres femmes dans leur relation sexuelle avec un homme !? »
» La bite ?!, dit t’elle, mais nous nous avons des godes chauds, longs, durs, lubrifiés, colorés, veineux et même doubles ou éjaculant !! »
» Après un rapport, lui dit je, l’homme est repus, comblé et souvent inerte, impuissant. Son pénis qui a du mal à se re-durcir avant des minutes, voire des heures, se souciant peu du charme, des attentes, des besoins et insatisfactions de la femme qui, le plus souvent, soit n’a pas atteints d’orgasme, soit a été placée loin du summum de son plaisir. »
» C’est très rare, dit t’elle alors, après une éjaculation, de voir un homme vouloir caresser sa partenaire, la câliner, continuer à vouloir l’exciter, lui donner du plaisir. Alors que la femme en a souvent encore besoin d’une part du fait qu’elle n’a souvent pas encore atteint son orgasme, d’autre part parce que douceur, tendresses, câlins doux, paroles chaleureuses, caresses sont la continuité rassurante et apaisante, pour elle, d’une communion qui se poursuit au delà de la pénétration et de l’éjaculation. »
Je rajoutai : « C’est vrai !! Les rapports, qui se résument à séduction-rapprochement-caresses-pénétration-éjaculation-séparation laisse toujours les femmes avec un sentiment non seulement de plaisir contenu ! »
Ce séjour m’a enrichie énormément, non seulement en introspection de la nature des sentiments et de la relation entre femme lesbienne, mais aussi en connaissance de l’intensité et du pouvoir du don de plaisir sexuel que deux femmes peuvent échanger, sans limites ni retenus, dans un environnement extrêmement érotique et envoûtant.
J’ai du m’assoupir car un baiser sur la pointe de chacun de mes seins me réveilla.
Brigitte et Nadia venaient d’offrir à mes mamelons leurs lèvres tendres. Je m’apprêtais, déjà toute émoustillée, à vivre un moment marquant quand Brigitte lança : » ll n’est pas loin de 16 h ! Allons se baigner à la cascade avant que le soleil ne décline trop ! »
Nadia se mit également en tenue d’Eve et, en courrant main dans la main nous avons vite rejoint l’immense bassin de près de 10 m de diamètre devant une superbe cascade. L’eau fraîche et limpide accueilli nos corps frétillants.
Après avoir barboté 5 à 10 minutes nous nous sommes toutes 3 rapprochées, enlacées seins contre seins, puis bouche conte bouche, et enfin langue contre langue.
Rapidement, échangeant toujours avidement langue et salive, nos mains sont devenues baladeuses et fouineuses vers dos, fesses, ventre, pubis et chatte.
Pendant que Brigitte abaissa sa tête pour happer tour à tour chacun de mes seins, je rendis la pareille à Nadia, moment que j’espérais impatiemment depuis 2 jours, en me penchant vers sa poitrine et en ramenant ses volumineux joyaux d’un marron nettement plus clair que le reste de sa peau. Sauf la large auréole autour des mamelons, très foncée et parsemée de minuscules renflements affolants.
Très vite, par le contact doux avec ces monts de délices et les élancement électriques de la succion et des léchons de Brigitte sur mes seins, mon bas ventre se contracta et je sentis nettement l’intérieur de mon vagin s’inonder et se réchauffer.
Je perçus une main, celle de Brigitte certainement, prendre place en bas de mon pubis et faire rouler, en un va et viens latérale rapide, mon bâtonnet sous la peau juste au dessus du clito.
Je fis de même après avoir posé ma main sur le pubis de Nadia., un de ses mamelons mordillé par mes dents.
Nos emportements lubriques furent interrompu par un voix de femme qui nous dit : « Mesdames, votre goûter est servi !! « .
C’était la deuxième servante de l’hôtel, une pure indou à la peau cuivrée, aux cheveux très long et d’un noir intense et brillant. Elle déposa sur une table en bois, aux abords des berges, un immense plateau avec jus, gâteaux, noix, etc… Elle entrepris de verser du jus dans les verres et resta debout a coté de la table, regard fixé vers nous.
A son expression, elle semblait soit intéressée, soit étonnée par nos jeux sexuels. Restait t’elle debout là pour nous admirer ou pour faire son service ? J’entrepris donc, pour en avoir le cœur net, de lui en envoyer plein la vue :
Je pris Nadia et Brigitte par la main et les ai amené juste au début de la berge en galets, à peine à 3 mètres devant la servante. Je fit étendre Nadia sur le dos et, me penchant sur elle, lui offrit une caresse experte de tout son corps avec ma langue, mes seins et mes mains. J’insistai évidemment sur ses seins, ses lèvres et son entrejambe. Pendant ce temps, le spectacle de mes fesses que je m’appliquais à onduler et balancer, ne devait pas laisser Brigitte indifférente, car elle plaça sa tête entre mes fesses et je senti la douceur de son nez et sa bouche contre mon oeillet et mon sexe. Sa langue ne tarda pas à enflammer ma chatte, mon clito et l’œillet de mon anus.
Un regard furtif et discret vers la servante me fit constater qu’elle mordait sa lèvre inférieure, tout son corps crispé, et plaça durant quelques secondes une main, sur sa jupe, qui emprisonna son pubis. Ce fut pour moi la preuve qu’elle était excitée par nos ébats.
Donc soit elle n’était pas indifférentes aux femmes, soit elle était lesbienne.
Son type indou m’attirait, ce serait pour moi une expérience nouvelle, et je voulais donc qu’elle se joigne à nous.
Je me levai et me dirigeai rapidement vers elle et lui dit : » tu voudrais te joindre à nous ? Tu me plais et j’ai envie de goûter à ton corps comme je viens de le faire avec celui de Nadia, étendue par terre « . Elle rougie et semblait intimidée.
En disant » tu as de superbes cheveux, une bouche appétissante ! « , je passai ma main dans ses cheveux, sur ces lèvres puis l’amenai vers ses cuisses, et, en soulevant sa jupe de l’autre main, je remontai vers son entrejambe pour entrer en contact avec le tissu de son slip, humide et gluant à souhait.
» Hummm !! Mais tu es déjà toute excitée et bien chaude, ma puce !! Allez, viens, on ne va pas te laisser dans cet état là, voyons !! » Lui dis je en la tirant vers Brigitte et Nadia.
Elle n’opposa aucune résistance et se laissa déshabiller par nous trois.
Nous entrâmes alors toutes les quatre dans l’eau pour vivre un concert de bouches, de mains baladeuses, de langues fouineuses, de doigts fouilleurs, de seins sucés, de fesses léchées, d’anus pénétré et de chattes frottées.
A un moment j’ai amené la servante vers la berge pour l’étendre et lui offrir la même caresse buccale sur tout son corps que Nadia. Elle n’étais pas très féminine dans ses formes avec ses seins plutôt petits, son bassin peu large et des jambes courtes, mais le contact extrêmement lisse et doux de sa peau cuivrée, le parfum de fleur de tiaré et de rose émanant de tout son corps, le velouté féerique de ses cheveux d’ébène brillant, lui donnait des atouts physiques de féminité, pour moi, suffisamment séduisants. Ainsi je m’approchai de son entrejambe, qu’elle avait pris soin de parfumer à souhait, comme d’un bouquet de fleur que l’on veut humer, embrasser et lécher !!!.
Après ½ heures ou, nous toutes les quatre, nous avons varié les positions, combinaisons et les lieux (sous la cascade, dans le bassin, sur les berges), James et Elie apparurent.
Nous sommes sorties les rejoindre pour prendre une collation et je lançai aux deux hommes: » vous ne venez pas prendre un petit bain avec nous avant le coucher du soleil ?! « .
Elie répondis : » Mais on n’a pas nos slips de bain !! »
Et je lui dit : » Et nous, on a nos maillots de bain sur nous ?!! » et j’entrepris de déshabiller Elie et Brigitte fit de même pour James. Une fois leur pénis à l’air nous avons toutes constaté qu’ils étaient suffisamment fermes pour trahir que le spectacle de 4 femmes nues ne les laissait pas indifférent.
Nous les avons précédé dans l’eau et repris nos ébats sans se soucier d’eux jusqu’au moment ou, évidemment affairée à me satisfaire des fesses et de l’anus envoûtant de Nadia de mes mains, ma bouche, mes doigts et ma langue, il a fallut que je fasse appel à Elie :
Après avoir évidement passé ma langue dans le sillon de ses fesses bien écartées par mes deux mains, avoir bien insisté sur les petits replis affolants de son œillet, puis l’avoir avidement et longuement introduite dans son trou d’anus, j’y ait introduit un puis deux, puis trois doigts lubrifiés de la cyprine de sa chatte.
Nadia, alors visiblement très excitée par cette caresse anale, sortie de sa réserve et dit : » tu me rends folle comme ça !! Si tu continue tu sais qu’il va me falloir plus là que tes petits doigts ! Il faudra plus gros et plus profond !! » Je me tournai alors vers Elie et lui fit signe de venir.
Je le plaçai derrière le cul bien exposé de Nadia en levrette et dit à mon mari : » Tu aurais aimé l’enculer ? Elle m’a dit qu’elle veut une bite bien dure, grosse et longue dans son anus !! Alors fait de ton mieux et en extrême douceur !! Elle s’offre a toi ! »
Face au spectacle de cette croupe de Nadia vraiment d’enfer et de cette invitation déroutante, l’effet fut immédiat : la dureté chétive du pénis d’Elie à son arrivée se transforma rapidement en une impressionnante érection d’au moins 20 cm de long et 5 cm de diamètre.
Me rappelant la remarque de Nadia, il fallait que je veille à ce que la pénétration soit douce et sans douleur. Je me dirigeai vers la table ou j’avais remarqué une motte de beurre pour agrémenter les tartines. J’en ai pris une bonne quantité que je répandis sur le pieux bien debout d’Elie et introduisis abondamment dans l’anus de Nadia.
Je fis signe à Elie qu’il pouvait y aller.
Lentement il fit progresser son membre qui ne rencontra aucune résistance dans l’antre de délice bien préparée et élargie préalablement par mes soins.
A mis longueur il marqua un arrêt, exerça une petite pression et repris la lente introduction amenant Nadia à pousser un interminable gémissement de plaisir. Les veines de la verge semblaient vouloir éclatées tellement le pénis était comprimé dans l’étroitesse de la caverne anale.
Une fois totalement planté, Elie marqua quelques seconde d’attente puis entama un va et viens qui l’amenait chaque fois à sortir le pénis à mi longueur puis le replanter jusqu’à ce que ses bourses, gonflées de spermes (trop rarement expulsés à cause de ses rares rapports) viennent frapper sur le clito bien gonflé de Nadia.
Est-ce ce doux choc clitoridien ou le cou de bélier au fond de l’anus, je ne sais, mais, à chaque coup Nadia poussa un cri qui semblait faire vibrer toute la nature autour de la cascade. Elle semblait tellement fondre de plaisir, les yeux révulsés, que j’ai ressentie une ou deux fois le désir de prendre sa place, moi qui déteste, pour avoir essayé une fois, un pénis dans mon anus !!
Elie changea de mouvement : maintenant il sortait entièrement son pénis de l’anus, en une ascension interminable !! Comment l’anus de Nadia pouvait t’il accepter une bite aussi longue !!! en espérant peut être me rendre compte de la profondeur du trou, je me penchai vers le trou anal béant laissé par la verge et ne pu voir qu’un conduit d’un superbe rose clair qui tranchait avec le marron foncé des fesses de Nadia. A deux ou trois cm de profondeur le » tuyau anal se refermait mais les parois intérieurs du trou étaient merveilleusement plissées, reluisantes et animées de contractions attirantes.
Je ne pus m’empêcher d’y introduire 2 doigts puis ma langue pour apprécier et me savourer leur douceur, leur goûts et leurs odeurs suaves de femmes, de l’intérieur d’une femme par cette entrée. L’intromission d’une partie de mon corps, langue, doigts, nez dans un des orifices d’une femme est une façon pour moi d’essayer de m’imprégner par tous mes sens, de sa féminité dans toute sa nature charnelle, sans retenues, sans complexes, sans tabous, comme une vaine tentative d’unir tout mon corps au sien.
Puis je laissai de nouvelle place au pénis d’Elie qui empala de nouveau Nadia. C’est elle, cette fois, qui entama un va et viens de son bassin sur le pieu tendu.
Ce spectacle riche en animation réveilla peut être un désir chez la servante qui s’approcha de Brigitte, lui parla, et vint prendre place à coté de Nadia, dans la même position qu’elle, son adorable croupe en l’air.
Brigitte se mit à travailler l’anus avec la langue puis fonça vers la table pour récupérer le beurre et badigeonner extérieurement et intérieurement le conduit anal.
Elle appelât son mari qui vint en vitesse la bite déjà bien dure et debout à 60° devant son ventre. Après avoir été bien lubrifiée de beurre, le pénis turgescent de James fit subir à la servante le même sort démentiel que Nadia. Les 2 hommes entamèrent une sodomie magistrale accordant leurs mouvements et leurs actions, Brigitte et moi accordant aussi nos interventions quand les pieux libéraient les anus, laissant places à nos doigts et nos langues.
Sentant que l’éjaculation des pénis ne tarderait peut être pas à arriver et, surtout que l’orgasmes des 2 femmes semblait avoir du mal à totalement éclater, Brigitte et moi nous nous sommes étendues sous chacune de nos amantes et nous avons attaqué, comme des folles affamées, leur seins, puis leur vulve et leur clitoris avec des bouches avides de chairs.
L’explosion des 2 femmes arriva assez vite en un mouvement désordonné contre nos bouches et vers les pénis embrochant leur chair.
Evidemment cela a précipité l’éjaculation des hommes qui, l’un après l’autre, se déchargèrent, en poussant des cris rauques et saccadés, membres totalement plantés au fond des 2 cavernes anales.
Lâché tellement profondément, Le conduit anal a du garder tout le sperme car nous n’avons, Brigitte et moi relevées, vu aucune goutte ressortir des anus.
Les deux femmes se sont effondrées sur la berge, Ainsi que Brigitte et moi, à leur coté, les caressant tendrement, ravies et comblées de leur extase. Les hommes se sont couchés également comme vidés de leur énergie.
Brigitte et moi fumes les premières debout, certainement encore sur notre faim sexuelle car, de nouveau dans l’eau, Brigitte lança :
» Hého ! Vous n’allez pas vous endormir là alors qu’il nous reste encore quelques minutes avant le coucher du soleil !!! » . La servante, Nadia et les hommes se levèrent et vinrent nous rejoindre près de la chute d’eau.
La fraîcheur de l’eau à cette heure nous raviva et redynamisa tous.
La servante regarda cette magnifique cascade et nous lança :
» Appeler moi Eugénia, je vais vous faire vivre une expérience qui a un secret de puissance de plaisir sexuel ! Ce sera le clou de l’après midi et peut être de votre séjour !! Des jeux sexuels sans limites près d’une chute d’eau aussi belle sans faire la fameuse » cascade des sexes » c’est qu’on aura raté le meilleur !!! Allez venez vite avant qu’il fasse totalement nuit !! Les hommes aussi, venez, vous serez de la partie en espérant que vous n’avez pas épuisé toute la source qui jaillit de vos bite !! »
Je ne sais pour James , mais mon Elie, tout le germe de blé, la vitamine E, le manioc, le ginseng et la gelée Royale qu’il prends régulièrement depuis tout jeune, il est capable de rebander et éjaculer abondamment moins d’1/4 heure après. Voire si il a pris les plantes tropicales » à réveiller le sexe d’un mort » que je lui ait conseillé!!
Eugénia, très émoustillée, nous guida vers des gros rochers en semblant d’escalier juste à coté de la chute d’eau.
Elle orchestra sa scène de » cascade des sexes » en plaçant chaque personne à sa place, comme la préparation d’un film, en disant :
» Ce sera vraiment une cascade vivante humaine de liquide sexuel si l’un après l’autre, en phase surtout et dans une transmission de notre excitation forte ou notre orgasme, on fasse descendre, à celui qui sera sous nous, cyprine venant des femmes en abondance, sperme venant des hommes à volonté !!
Elie fut placé debout à 2 mètre de la surface du bassin, sur une plate forme formé par un immense rocher. Devant lui Eugénia viendrait se placer à la fin, accroupie, tête presque contre le bassin d’Elie, bouche contre le pénis.
Eugénia m’a fait m’allonger sur la plate forme du rocher, tête juste sous son bassin relevé, la partie haute de mon corps couché sur le rocher jusqu’aux fesses et la partie basse, à partir des cuisses, dans le vide tombant vers le bassin.
Pas pour longtemps car Brigitte pris place entre mes jambes qui reposaient sur ses épaules, sa tête tournée vers mon pubis, bouche contre ma chatte.
Brigitte était à genou sur une large roche plate plongée à 15 cm sous la surface de l’eau. Dans le bassin, l’eau lui arrivant, à ce niveau là, au dessus des mollets.
Eugénia avait écarté puis relevé une jambe de Brigitte offrant tout son entrejambe à la bouche de James étendu sur le dos sur cette roche immergée. James avait le torse surélevé pour que sa tête soit au service du plaisir de sa femme.
Nadia, dans l’eau, devait, sur les conseils d’ Eugénia, se pencher vers l’avant pour pratiquer une fellation à James afin de clôturer cette chaîne lubrique infernale. Elle fit tourner son corps pour former un angle droit par rapport à notre alignement, afin que sa croupe relevée reçoive une partie de la chute d’eau. Ainsi ses fesses et sa vulve recevraient une fessée naturelle, durable et sûrement excitante de l’eau.
Eugénia, venue se placer au dessus de moi, cria un » allez, tous en action !! » qui déclencha une connexion concertée du pénis mou d’Elie dans la bouche de la servante, de la vulve de la servante qui s’abaissa vers mes lèvres, de la langue gloutonne de Brigitte qui s’enfouie dans ma chatte, de la bouche ouverte et avide de James dans coquillage intime de Brigitte, et enfin des profondeurs de la bouche de Nadia avec la verge encore molle de James.
Durant au moins 5 minutes cette chaîne, qui serpentait parallèlement à la vraie cascade, s’anima avec une douce frénésie. Je senti la langue de Brigitte parcourir, dans un va et viens d’une rapidité insoutenable toute la longueur de ma chatte, frappant à chaque aller-retour mon clito que je sentais bien dur. L’effet positif sur la montée de mon plaisir, me fit faire pareil avec ma langue qui, jusque la, entrait et sortait, comme un petit pénis, dans l’entrée du vagin de la servante.
Cette atmosphère hallucinante, dans la douce teinte de feu du soleil couchant, et l’intensité de l’investissement de chaque maillon humain, libérés et unis, fit la chaîne brûler de désirs et de plaisir. A croire qu’au delà des caresses, se transmettait une énergie interne de plaisir, un magnétisme profond d’extase, une pression orgasmique folle qui électrisa cette unique serpent de chair vibrante que nous formions.
J’ai l’impression, par la tension et la crispation des muscles de tout le monde, que chacun était déjà à la limite de l’explosion et se retenait le plus longtemps que possible ne voulant pas se libérer avant les autres.
C’était peut être çà le secret de la » cascade de plaisirs » d’ Eugénia : la retenue de chacun allez rendre encore plus puissante l’explosion harmonieuse de l’orgasme en chaîne et donc aussi le volume d’excrétion de cyprine et sperme.
Je commençais à ne plus pouvoir contenir plus longtemps la montée de mon orgasme. La tension dans mon bas ventre et cette douce chaleur partant autour de ma colonne vertébrale et se transformant progressivement en décharge électrique envahissant en crescendo tous mes sens et mes muscles allait bientôt me faire exploser. Je craignais de na pas être en phase avec le feux d’artifice d’orgasme que nous devions tenter de faire en communion.
Pourtant, à ma grande surprise, je senti la température de l’entrejambe d’Eugénia augmenter nettement et sa chatte envahie d’une odeur plus suave et sauvage. Sa bouche entama une succion d’enfer sur le sexe démesuré d’Elie. Cette avidité trahissait la venue imminente d’un orgasme qu’elle voulait avoir en même temps qu’Elie.
Les soubresauts et le cri déchirant l’air d’Elie furent le signe tant attendu de la libération de la retenue lubrique de chacun. Les événements se succédèrent alors à un rythme fou :
De mon champs de vision je vis le bas ventre de mon mari pris de va et viens qui sortait et entrait de la bouche écartelée d’ Eugénia, une verge frétillante qui dégoulinait de salive au début.
Immédiatement ensuite je perçus les soubresauts du pieu de chair animé de haut en basse toute la tête d’Eugénia qui avait serré et emprisonné 1/3 du pénis dans sa bouche. Ses joues se gonflèrent, un peu de sperme s’échappa de ses lèvres, puis ses joues se sont aplaties et elle libéra le pénis reluisant d’un mélange de salive et de sperme.
A peine avait t’elle englouti la marée de sperme, qu’un violent orgasme la fit se crisper, immobile et plantée sur ma tête. Deux ou trois contractions sourdes firent trembler son bassin et elle a libéré une » douche » de cyprine épicée et brûlante dans ma bouche et mon nez.
Le suprême plaisir de cette réception précipita mon Orgasme qui suivit dans la foulée. Il anima mon bas ventre par les élancements intenses des muscles de mon vagin, humidifiant abondamment ma vulve.
Nos cris se sont mêlés mais les miens furent étouffés par la délectation de son jus intime chaud au goût de lait de coco et aux parfums exotiques.
Brigitte connu certainement le même sort car pratiquement en même temps que ma chatte inonda sa bouche, elle aspira mon précieux liquide intime et se laissa emportée dans un orgasme délirant et puissant car je reconnu son cri rauque de plaisir et les crispations de ses mains, doigts plantés dans mes cuisses.
Je n’ais pas de détail sur les deux derniers maillons de la chaîne, James et Nadia, mais leurs exclamations, leurs cris ardents et successifs me certifiaient qu’ils s’étaient aussi laissés envolés vers les cimes de l’extase.
Nous avons du restés 5 à 10 minutes avant de reprendre nos esprits, terrassés tous par l’énergie inestimable libérée.
Des lumières tamisées de lampadaires qui s’allumèrent tout autour du bassin nous ont tirés de notre agréable léthargie.
Brigitte et moi, durant les minutes de marche pour regagner tous l’hôtel, nous avons demandé à Eugénia : » Ou as tu appris cette technique sublime pur dynamiser un orgasme collectif aussi fort !! »
» C’est une amie lesbienne d’une cinquantaine d’année originaire du Brésil qui nous avait montré çà un jour. Elle nous avait emmené dans une des autres cascades de l’île et avec elle, 3 autre filles et 1 homme comme premier maillon (il faut toujours, m’a-t-elle dit, un homme comme source initial) nous l’avons fait, la cascade humaine, aussi bien qu’aujourd’hui !! « .
Et nous avons regagnées nos appartements après que notre invitée, Eugénia, nous ait donnée rendez-vous à 9 heures le lendemain. Elle tenait à nous amener rendre visite à son amie brésilienne exilée en Dominique. Cette dernière était membre, au Brésil, d’une communauté de femmes, qui là-bas, tentaient de perpétuer les » pratiques » lesbiennes déroutantes de femmes amazones. C’est de là que devait lui venir ses pratiques d’une efficacité inestimable !!
Je vous raconterais lors d’une prochaine histoire la visite troublante chez la » Brésilienne amazone » et la nuit mémorable dans notre suite » nid de femmes amantes « .
Dans l’espoir de vous avoir fait ressentir au mieux l’intensité et la profondeur de mes moments d’échanges intimes. A bientôt, portez vous bien et préservez votre santé physique donc sexuelle. Affectueusement.
ONDINE.
Il faut presque une heure pour lire cette très longue novelle (62 000 caractères sans espaces) mais croyez moi ça vaut le coup
C’est très érotique et c’est intelligent
Non ! Trop de digressions, trop de longueurs, trop de dialogues irréalistes ! j’ai laissé tomber l’affaire à mi-course
Un très bon texte, quoiqu’un peu fouillis, émaillé de réflexions pertinentes (avec lesquelles on est pas obligé d’être toujours d’accord)
Bon moment de lecture érotique