Son cœur battait fort, elle avait couru mais en vain … la clef de la porte était dans l’enveloppe, elle était fermée, elle soupira, il ne le saurait pas, elle écarta le rideau et entra.
Elle n’était jamais venue dans cette grande maison et pourtant il lui semblait la connaître, sans doute ce parfum qui flottait dans l’air, oui, maintenant elle en était sûre, son Maître l’avait déjà amenée ici sans qu’elle le sache … il lui arrivait souvent de venir la prendre chez elle, de lui bander les yeux et de l’amener où bon lui semblait pour la livrer à d’autres sans qu’elle sache jamais ni où elle était, ni à qui elle avait appartenu mais aujourd’hui c’était différent, la maison semblait vide.
Cependant elle fit ce qu’elle devait faire à chaque fois avant de le rencontrer, elle laissa glisser sa jupe par terre pour ne rester qu’avec ses bas et ses porte-jarretelles et elle attendit les yeux baissés qu’il lui dise de venir, mais rien pas un bruit, la maison était vide, elle était soulagée son Maître ne saurait pas qu’elle avait désobéie.
Elle osa relever les yeux et regarda autour d’elle, devant sur la table basse une enveloppe avec son prénom.
» Soumise, monte au premier étage sur le lit de la chambre tu trouveras de quoi te vêtir et te maquiller… j’arrive »
Elle gravit l’escalier, dans la chambre sur le lit, bien aligné et dans l’ordre les vêtements étaient là tous ceux que jour après jour elle avait essayé pour lui, les chaussures à haut talons qui faisaient si bien ressortir le galbe de ses mollets et la cambrure de ses fesses, la guêpière noire qui serrait sa taille et faisait ressortir ses seins, les bas noirs qui mettaient ses jambes en valeurs, mais également une longue jupe noire et un bandeau de tissus épais … Au dessus des habits une autre enveloppe sur laquelle avait été déposée un tube de rouge à lèvres, une brosse et une pince à cheveux en argent.
» Soumise, tu dois te parer pour moi … »
Elle savait ce qu’il voulait ses cheveux devrait être tiré en queue de cheval, bien lissé, il aimait voir son visage dégagé, il aimait pouvoir sentir son parfum dans son cou ou derrière ses oreilles sans que rien ne vienne le gêner, toutes ces lèvres devraient recevoir cette petite touche de ce rouge brillant qui faisait ressortir l’ourlet de ses lèvres, il aimait particulièrement les voir ressortir dans la position de la soumise attendant son Maître.
Elle se dévêtit complètement, nue devant la glace, elle admira ses fesses tout comme lui lorsqu’il s’enfonçait lentement et doucement au cœur de ses reins …
Mais elle se retardait, elle commença par la guêpière, elle eut du mal fermer tous les crochets tant sa taille était serrée, elle compris pourquoi il avait tant insisté auprès de la vendeuse pour qu’elle s’attache par devant.
Puis elle fixa les bas, puis enfila les chaussures, la grande glace de la chambre lui renvoyait son image, vraiment elle était belle, ses reins cambrés et ses petits seins pointant devant elle, le rouge sur ses lèvres … elle allait plaire au Maître .
Elle réalisa soudain que le Maître devait la voir … des caméras, il le lui avait dit.. .Elle vérifia sa coiffure, repris le rouge à lèvres, rougis les lèvres de sa bouche et de son sexe avec le pinceau, elle passa la jupe longue, elle était prête, doucement elle descendit l’escalier, le bandeau à la main et rentra dans le salon, elle remarqua le lourd tapis de laine épaisse, une table basse et là devant la cheminée une nouvelle enveloppe.
» Soumise, allume le feu et attend moi offerte »
Elle savait ce que cela voulait dire, le feu était prêt, une allumette et il s’enflamma, elle mit le bandeau sur ses yeux, la maison était calme, elle se mit à genoux, elle posa son front sur le tapis et releva la jupe sur ses reins, elle mis ses bras le long de ses jambes, les paumes de mains tournées vers le haut. Elle attendit, petit à petit ses reins se creusaient et sa position devenait plus impudique, le Maître serait content d’elle, il oubliera peut être le retard de tout à l’heure.
Cinq minutes, cinq longues minutes avaient passées, une clef dans la serrure, du bruit, des voix. Il arrivait ….
Combien étaient ils dans la pièce autour d’elle ? Elle le savait, elle le sentait les yeux étaient braqués sur elle, sur ses fesses relevées et ses reins creusées, elle comptait au moins deux couples et une jeune femme.
» Alors c’est elle, dit une voix d’homme en se rapprochant d’elle, pas mal, elle est bien cambré » il lui flatta les reins comme on flatte un cheval » mais tu devais la préparer un peu pour qu’elle soit plus … disponible … »
» Tu crois et comment ? »
» Comme pour Jeanne, montre lui »
» Ah je vois, et c’est efficace »
» Bien sur tu veux que Jeanne s’en occupe ? »
» Oui »
» Jeanne, »
» Oui Maître, »
» Prépare la, je vais peut être m’en servir »
» Oui Maître »
Jeanne s’approchait d’elle, elle fit mine de se relever mais une main ferme se posa sur ses fesses et la voix dit
» Non ; n’oublie pas, elle a désobéi … »
Un frisson la parcouru, elle savait ce que cela sous-entendait mais son Maître dit !
» Plus tard, laisse faire Jeanne … »
Jeanne se tenait à coté d’elle, elle sentait son parfum, puis son souffle chaud sur ses fesses, doucement elle soufflait pour la faire frissonner, sa langue partie du bas de sa fesse en remontant, une main s’insinua entre ses jambes pour lui caresser l’intérieur des cuisses, la langue continuait son petit jeu passant d’une fesse à l’autre en s’aventurant de plus en plus vers le centre, vers ce qui était devenu sa cible …
Brusquement elle comprit ce que l’homme avait voulu dire et la caresse n’en fut que plus délicieuse, en plus de la douceur de la caresse elle imaginait Jeanne à genoux également offerte, derrière elle sa jupe relevée et passée dans sa ceinture pour découvrir ses fesses aux yeux des autres …
La caresse se faisait de plus en plus précise elle remontait le long de ses petites lèvres pour passer rapidement, trop rapidement sur son œillet, Jeanne insistait, ses petits coups de langue, ses mordillements produisaient leurs effets, son sexe dégoulinait, ses lèvres étaient grandes ouvertes en attente, elle sentait son ventre bouillonner, doucement elle gémissait, attendait que Jeanne s’attarde, mais Jeanne avait une mission et elle ne s’arrêtait pas là.
La langue de Jeanne se faufilait comme un petit serpent partant de son sexe pour remonter entre ses fesses et s’attardait en leur milieu, c’était donc cela le but … Elle goûtait la caresse avec volupté, il lui semblait qu’un petit animal vivant voulait entrer en elle, elle frémissait sous chaque assaut qui l’ouvrait un peu plus, elle sentait la salive de Jeanne qui glissait lentement vers son sexe, Jeanne accentuait sa caresse de plus en plus, pour elle ses reins se creusaient, elle allait vers cette langue elle attendait chacun de ses assauts, elle haletait, elle avait envie de s’ouvrir avec ses mains pour faciliter ce plaisir qui montait de plus en plus, elle se savait impudique et provocante mais elle aimait beaucoup trop ce qu’elle ressentait, son ventre frissonnait et se contractait …
Une main se posa sur ses reins :
» Elle est prête Jeanne … »
Jeanne se releva, pris chacune de ses mains et les ramena sur son dos, une lanière de tissu les attacha rapidement ensemble, la main l’empêchait toujours de bouger.
Elle senti un liquide tiède glisser du haut de ses fesses en s’insinuant vers le bas …
» Maintenant Jeanne, »
Un objet dur s’appuya entre ses fesses, elle frémit, seul son Maître avait le droit, doucement millimètre par millimètre l’objet s’insinuait en elle, au début de petite taille il s’agrandissait en entrant en elle, il sembla que cela durait des heures, mais Jeanne ne voulait pas lui faire mal, doucement, tout doucement, il avançait, finalement il était en elle, plus gros que son Maître il l’investissait totalement.
Jeanne passa une cordelette autour de sa taille puis entre ses jambes, de part et d’autre de son clitoris pour revenir l’attacher dans son dos. Elle ne pouvait pas s’en débarrasser, mais le voulait-elle …
» Voilà, Tu vois c’est finit, Jeanne, elle, est déjà prête comme tu le vois … Maintenant Jeanne l’anneau … »
Jeanne l’aida à se relever, elle pris conscience que plus un bruit, autre que sa respiration, ne remplissait la pièce … Jeanne l’a guidait pour quelques pas, rapidement elle délia ses mains pour les rattacher sur son ventre, elle la poussa doucement vers l’arrière ses fesses rencontrèrent une surface froide, un mur.
Jeanne lui saisit les mains et les amena au-dessus de sa tête, un clic et elle était de nouveau à sa merci … Elle la laissa ainsi offerte a tous, une allumette craqua et elle allumait un feu dans la cheminée …
Une voix féminine s’éleva
» Je peux ? »
Cette voix, un simple » je peux » mais elle la connaissait, quelques retours sur sa mémoire et maintenant elle en était sûre, cette petite brune qu’elle avait croisée plusieurs fois, ils avaient mangé ensemble avec des collègues et elle l’avait même trouvé appétissante et en avait parlé à son Maître.
Une main s’approcha d’elle lui caressa le sein en descendant vers son ventre, elle s’arrêta sur la ceinture de la jupe qui masquait encore le bas de son corps
» Je peux ? » dit la petite brune.
La voix de son Maître répondit
» Elle est à toi, tu peux en faire ce que tu veux … »
D’une main ferme en appuyant sur ses hanches elle la fit pivoter et défit la fermeture éclair.
La jupe tomba en corolle autour de ses pieds, sa main repris son exploration. Sur ses fesses, puis entre ses fesses pour tester le « plug » qui la maintenait ouverte pour plus tard, elle continua de descendre le long de ses cuisses à l’intérieur, là où la peau est si tendre, puis son genou, son mollet et son pied, elle changea de jambes pour remonter lentement vers son sexe, allait-elle s’y arrêter ? Elle avait envie de cette caresse qui lentement s’approchait …
Sa main s’était appesantie sur sa toison, un doigt furetait entre ses lèvres en titillant son bouton, s’égarant sur ses lèvres, soudain un souffle chaud remplaça son doigt, une langue curieuse la fouilla …
» Elle a bon goût, dommage qu’elle se soit pas lisse, j’aurais préféré … »
» Elle est à toi » dit son Maître
La brune se releva,
« Jeanne va chercher ce qu’il faut … » dit elle, elle se tourna et saisi le collier posé dans la table basse et lui enserra le cou et le boucla sur sa nuque.
La laisse se referma sur l’anneau et Jeanne, de retour, lui décrocha les mains.
Docile, elle suivi à petit pas, tirée par le cou. Des mains refermèrent sur ses hanches, sans efforts on lui posa les fesses sur ce qui devait être une table, puis on l’allongea, ses mains furent ramenées au-dessus de sa tête, puis liées plus bas, ses jambes écartelées furent attachées aux pieds de la table. De nouveau elle était offerte aux regards des autres.
Un souffle passa sur son sexe, des petits picotements, certainement un homme qui la goûtait lui aussi, sa langue agile passait de ses lèvres à son clitoris, elle sentait son ventre se contracter, elle aurait aimer se servir de ses mains, lui saisir la tête pour le guider, mais impossible de se libérer, elle sentait le plaisir poindre, l’homme aussi s’en était aperçu, il se fixa sur les tressautements de son ventre, il était presque là, elle le sentait rouler et venir… il releva la tête, non pas maintenant … encore un peu
« Tu devrais goûter Dominique elle est délicieuse, … »
Un autre souffle chaud, une douceur, une femme, une langue qui savait comment faire revenir les vagues dans son ventre, qui s’attarda longuement, lentement alternant les caresses, les succions et les mordillements jusqu’à ce qu’il soit de nouveau là tout proche, à rouler dans son ventre … Cette fois ci le souffle chaud de Dominique ne s’éloigna pas, sa langue se fit précise rapide et insistante. Elle, attachée sur la table se tordait en sentant son ventre tressauter, son plaisir explosa insistant la tordant dans tous les sens, Dominique insistait doucement pour qu’il se s’arrête pas et elle la laissa pantelante sur la table …
La voix de la brune se fit entendre
» Allez, Jeanne aidez-moi, lissons-la … »
Un doigt s’insinua dans son sexe
» Elle est vraiment délicieuse » dit elle.
Elle sentit que l’on étalait sur son pubis une crème, la main passa entre ses cuisses en prenant soins de n’oublier aucun recoin, puis une lame froide se posa sur son ventre …
» Ne bouge pas, c’est un rasoir de grand père et je n’ai pas vraiment l’habitude … »
» Encore un peu de champagne ? »
Elle réalisa qu’elle avait la gorge sèche, son Maître lui releva la tête et fis glisser un filet de champagne entre ses lèvres …
» C’était bon, frais, encore ?
Elle fit oui de la tête ….
Le rasoir commença son office Jeanne tenait la petite cuvette où la brune rinçait régulièrement la lame, on entendait que le crissement de la lame sur le peau et les craquements du feu, son sexe se découvrait petit à petit, le pubis était lisse, la lame s’attaquait aux lèvres,
» Ne bouge pas … »
Elle frémissait à chaque fois que la lame partait se rincer, son ventre se contractait lorsqu’elle rentrait de nouveau en contact avec elle une fois deux fois dix fois elle parti et revint … Puis un peu d’eau glissa sur sa peau le contact d’un linge chaud et humide qui faisait disparaître toutes trace de savon, on glissa une serviette sous ses fesses et de l’eau coula sur son sexe. On l’essuya, elle était lisse.
» Dominique tu veux goûter la différence ? »
» Eh non, elle en a déjà eu, dit la brune c’est mon tour, c’était mon idée et je les préfère comme cela lisse, écartelée et offerte, … »
Elle sentit de nouveau un souffle chaud, d’abord sur ses jambes, puis des petits coups de langue qui remontaient le long de ses cuisses, qui s’insinua entre ses lèvres, la bouche pris possession de son sexe, elle léchait, suçait, la pénétrait, elle insistait sur ses recoins aspirait son bouton le mordillait pour se blottir entre ses lèvres, les aspirer et revenir vers lui. Elle sentait de nouveau son ventre rouler, ce plaisir qui montait de plus en plus, cette langue qui s’accélérait, cette bouche qui gobait son clitoris toujours plus vite, elle tordait sur la table, tous la regardait elle était devenu un ventre qui se tendait de plus en plus puis finalement il explosa, la bouche avait du mal à suivre ses coups de reins, elle criait son plaisir … puis elle retomba sans force, haletante le souffle court, anéantie.
Peu à peu elle repris contact avec le monde extérieur, des sons puis des voix
» Magali, tu me la tourne, »
Oui c’était elle la brune Magali … elle s’approcha, lui délia les chevilles et la retourna sur la table, les attaches des mains se firent plus lâches, on tira sur ses hanches, elle était à plat ventre sur la table, de part et d’autre des mains lui saisir les chevilles et les entravèrent a la table … Elle était de nouveau offerte, Elle senti des mains sur ses hanches, doucement on défaisait la ceinture qui maintenait le plug.
» Jeanne … » ordonna son Maître …
Un froissement d’étoffe, on devinait l’aide que Jeanne allait apporter.
Elle l’imagina à genoux sur l’épais tapis devant la cheminée, un lent bruit de succion ne lui laissa aucun doute sur la tache de Jeanne,
Et elle, on allait la prendre là sur la table, attachée soumise à un inconnu, dont elle ne connaissait que la voix, sans que son Maître n’intervienne, bien au contraire.
» Reste comme ça Jeanne … » dit son Maître en s’approchant
Des mains se posèrent sur son dos puis sur ses hanches, descendirent sur ses fesses en les caressant, les prenant dans la paume comme pour bien sentir leurs douceurs. Elles les écartèrent comme pour bien voir le but, son sexe humide et rose, légèrement entrouvert en attente, car elle attendait, elle avait envie de sentir possédée.
Lentement doucement, sans précipitation il s’enfonçait en elle, de plus en plus loin jusqu à l’emplir totalement.
Elle le sentait bouger lentement, sortir d’elle puis re-rentrer, elle sentait l’intrus dans ses fesses qui bougeait aussi en suivant chacun de ses mouvements, lui aussi devait le sentir comme s’il était deux à bouger en elle.
Les mains jusque là simplement posées, saisirent ses hanches, elles la tenaient maintenant fermement, petit à petit il avait accéléré, elle le sentait grossir en elle tandis que le rythme augmentait.
Elle aussi sentait son plaisir s’avancer doucement au rythme infligé par l’homme, brusquement elle sentit un souffle chaud sur ses lèvres, une langue agile s’y aventura, forçant l’entrée de sa bouche.
Magali l’embrassait maintenant à pleine bouche, elle lui rendait son baiser, leurs langues se mêlaient encore lorsque qu’elle sentit l’homme exploser en elle. Son ventre tressauta son plaisir aussi était la, l’homme continua à bougeait suffisamment pour que leur plaisir à chacun soit complet, il s’était arrêté mais restait profondément blotti en elle, sans bouger le souffle court. Elle, elle haletait tentant de reprendre sa respiration, son Maître s’était approchait sans qu’elle s’en aperçoive, il lui murmura près de son oreille
» A mon tour … »
Il lui retira son bandeau qui cachait toujours les yeux, il voulait ses yeux, il voulait qu’elle le voie, il l’embrassa doucement et se releva. La grande vitre du vaisselier lui renvoyait son image, elle à plat ventre sur la table, les fesses relevées en attente de son Maître, elle comprit soudain ce qu’il avait dit un jour
» Tu es vraiment belle dans cette position, je sais alors que tu n’attends que moi et que je ne viens que pour toi … »
Magali était toujours à genoux à coté d’elle, elle dégagea son sexe et l’emboucha profondément.
Son Maître recula et le présenta à ses lèvres, elle ouvrit la bouche et l’accueilli, il était dur, il avait envie d’elle, elle le sentait, elle s’appliquait, elle aussi maintenant avait envie de lui, elle le voulait dans son ventre au plus profond d’elle.
Magali rapprocha sa bouche pour le caresser, elle aussi,
» Non ! » l’autre homme la retourna et investi sa bouche sans douceur.
Son Maître la quitta, lui remis le bandeau et fit le tour de la table en laissant courir sa main sur son corps jusqu’au bas de son dos,
» Tu étais en retard tout à l’heure … cinq minutes … tu le savais pourtant … »
Cinq fois la badine dessina un trait sur ses fesses, elle sursauta à chacun des coups, les fesses contractées encore plus désirables.
Elle entendit la badine tomber par terre, elle le senti prendre lentement possession d’elle, elle aussi appréciait qu’il entre en elle doucement, lentement, elle savait se resserrer autour de lui pour le ressentir dans son ventre, petit à petit complètement, totalement, au plus profond d’elle.
Il marqua un temps d’arrêt comme pour mieux savourer son plaisir, pour sentir ce ventre qui l’enveloppait, qui épousait son sexe comme pour lui donner plus de plaisir, il l’aimait, seulement avec elle il parvenait à ressentir ce plaisir physique et cette communion de l’esprit qui leur permettait de sentir le plaisir au plus profond d’eux.
Doucement il se remit en mouvement, il sortait presque totalement d’elle pour replonger au tréfonds de son ventre, elle sentait son plaisir monter, grossir et grandir. Son ventre commençait à tressauter pour annoncer l’explosion, lui aussi l’avait senti, son rythme s’était accéléré savourant le contact de l’intrus qui bougeait en elle à son rythme. Brusquement elle arriva, cette explosion de plaisir, elle s’entendit râler, crier tandis que lui continuait inexorable. Puis il ralentit la laissant savourer ce plaisir qui pourtant n’était pas complet car lui restait sans plaisir, mais elle devinait pourquoi …
Doucement il sortit en elle savourant chaque centimètre de son intérieur, lentement il retira l’intrus, il allait prendre sa place. Elle restait ouverte, offerte attendant qu’il l’investisse, ce qu’il fit là encore tout en douceur mais elle savait que par là il aimait la force. Même s’il aimait entrer lentement pour bien sentir toutes les contractions que son entrée suscitait, une fois au fond de ses reins il accéléra sortant complètement pour revenir et entendre sa peau claquer contre ses fesses, régulièrement. Elle se concentrait sur ses reins sur la chaleur qui montait petit à petit, sur les mains qui lui tenait le hanches de plus en plus fermement, le plaisir de son Maître arrivait, elle le sentait, il était plus dur plus gros, elle se sentit tressauter et se déverser dans ses reins, son plaisir l’emporta une nouvelle fois en communion avec lui.
Il la laissa comme cela, sur la table en prenant congés de ses invités. Elle les entendit partir, seule Magali passa à coté d’elle
» A bientôt ! » lui glissa t’elle a l’oreille, sa main la caressa de sa nuque à ses reins.
La porte se referma, le silence était revenu, son Maître la détacha, la prenant dans ses bras il monta l’escalier jusqu’à la salle de bain. La seule lumière qui l’éclaira venait des bougies posées sur le bord de la baignoire, Jeanne avait fait couler le bain chaud comme elle l’aimait, il la déposa délicatement dans l’eau parfumée, la soirée n’était pas encore terminée ….
J’aurais volontiers remplacé cete séance de rasage qui ne sert à rien par un peu de décontraction
Un peu morgue, mais bien illustré