Nanou femelle vicieuse
Ou histoire d’une grosse cochonne gourmande et sale
Chapitre 3 Découverte du cunnilingus
par Fétich Odeurs
A la fin du film, nous avons foncé dans la chambre, mais il fallu attendre vingt minutes pour entendre frapper et voir entrer Marie notre surveillante. Nous étions en petite culotte et soutien-gorge lorsqu’elle fit son entrée, après une seconde d’hésitation elle nous dit
– Vous êtes en chaleur ou quoi ?
Moi j’était rouge pivoine, mais Martine décida de la provoquer, retira son soutien-gorge dévoilant ses petits seins qui pointaient de façon agressive et déclara :
– Je n’arrive pas à dormir autrement qu’à poil, pas toi ?
Marie la regarda et visiblement troublée, elle se reprit et referma la porte en disant bonne nuit. Martine était fière d’elle, et me regarda et dit
– A nous ! « .
Elle s’approcha et vint poser ses lèvres sur les miennes je l’embrassais avec voracité dans un baiser ou nos langues et nos lèvres s’affolaient dans un mélange de salive, prélude à des baisers plus intimes. C’est Martine qui dégrafa mon soutien-gorge, que je fis glisser libérant à son regard et ses caresses mes grosses mamelles.
Nous avions gardé nos petites culottes et je demandais » qui commence ? » appréhendant l’inconnu. On tira à pile ou face et c’est Martine qui commença (elle m’avoua après qu’avant de commencer elle avait eu une trouille monstrueuse).Je m’allongeais sur le lit écartant les cuisses et Martine se mis à quatre pattes entre elle et commença par poser des petits baisser sur mon slip. Je sentais la chaleur de son souffle à travers le tissu de ma culotte qui était déjà fortement humidifié.
Puis elle fit glisser les élastiques sur les côtés, je soulevais les fesses pour l’aider et elle fit glisser le long de mes jambes le morceau de tissu imprégné de mes cochonneries de la journée. Puis je senti ses mains écarter ma forêt de poils noirs, puis écarter mes lèvres et sa langue se poser sur l’ouverture de ma chatte. Je fermais les yeux et senti sa langue pénétrer mon intimité. D’une main je me caressais les seins, et de l’autre je caressais la tête de Martine l’encourageant dans son exploration. Soudain elle trouva mon clitoris et sa langue tournoya dessus, m’arrachant des gémissements de plaisirs. Elle alterna les coups de langues et les succions et lorsqu’elle me pénétra avec un doigt, il lui fallut peu de va-et-vient pour que je jouisse sous ces caresses. C’était beaucoup plus fort que mes masturbations, et Martine était visiblement heureuse d’avoir réussit à me procurer un plaisir puissant.
Après avoir récupéré, Martine pris ma place elle avait toujours sa petite culotte. J’entrepris de lui embrasser les pieds remontant tout doucement vers son entre cuisse. Au fur et à mesure que je m’approchais je sentais le fumet de sa petite culotte envahir mes narines. Une odeur très forte de pisse et de mouille se dégageait de sa petite culotte. Ces parfums m’électrisaient, et je revoyais Martine pisser et se reculotter sans s’être essuyé. C’était délicieusement pervers.
Observant sa culotte, je vis quelques poils roux déborder de sa petite culotte blanche. Enfin blanche, elle ne l’était plus partout des auréoles jaunâtres, trahissait les gouttes d’urines nombreuses qui l’avaient imbibée. De plus son slip trempé de désir, lui collait à la » moule » dévoilant l’anatomie de son abricot.
Je me suis alors jetée comme une folle sur cet entrejambe que j’ai embrassé sucé, léché… Lorsque je fit glisser sa petite culotte une bouffée d’odeur de crevette pas très fraîche me monta au visage. J’étais comme folle, aucune retenue, vers cette chatte dégoulinante de désir. Le nez enfouis dans ses poils mes lèvres se collèrent sur sa vulve, ma langue pénétra cette fente gluante de sécrétions. J’aspirai et suçait son jus de fille en chaleur, tandis que mes narines respiraient avec émoi les parfums entêtant de sa touffe pisseuse.
Martine gémissait de plaisir, avec des ouiii qui en disait long sur son plaisir. Elle m’encourageait dans ma découverte et me guidait écartant ces lèvres pour que je vienne lécher son clitoris. Ma langue compris très vite comment jouer avec son bouton et lorsque je l’ai pénétrée d’un doigt j’ai senti son plaisir monter. J’ai alors serrée mes cuisses. Lorsque j’ai accéléré le va-et-vient de mon index et aspiré fortement son clito, j’ai senti son corps se tendre. J’ai insisté et Martine a explosé sous ma langue ne pouvant retenir le bruit der sa jouissance, et moi j’ai eu un mini orgasme sans me toucher juste enserrant les cuisses. Heureusement tout le monde dormait, sinon nous aurions été très mal.
J’avais laissé ma tête entre les cuisses de Martine, qui reprenait lentement ses esprits.
– Nanou, tu n’imagines pas comme c’était bon,
– Oh siiii ! je te rappelle que tu m’as fait jouir
– Oui c’est vrai, j’oubliais !
– Moi j’oublierai pas le plaisir que j’ai pris à te lécher la chatte, mmm
– Tu as aimé ? Moi aussi j’ai adoré, mais je ne pensais pas que ça pouvait être bon de lécher une femme
– Je dois t’avouer un truc Martine
– Quoi ?
– Hé bien, ce qui m’as le plus excitée c’est l’odeur forte de ta chatte.
– J’avais peur que ça te repousse.
– Non, je ne comprends pas mais les parfums d’urine et de mouille de ta touffe m’ont complètement droguée. Je dois être folle ! dis-je en riant.
– Pas plus que moi, ta grosse touffe brune sentait vraiment la crevette, et pas vraiment fraîche si tu vois ce que je veux dire.
– C’est de ta faute on s’est pas lavé ce matin et, comme toi, je ne me suis pas essuyée après avoir fait pipi.
– A propos de pipi, j’ai une grosse envie,
– T’as qu’à faire dans le broc à eau, ça t’évitera de te rhabiller pour aller aux WC !
Martine alla au lavabo vida le broc et reviens vers moi avec un sourire qui veux dire » je vais te lancer un défi. » Elle posa un pied sur le lit, me tendit le pichet et dit :
– – Sois gentille, tu ne veux pas le tenir ?
– – Avec plaisir ! lui dis-je
Je descendit du lit, m’accroupie et mis le broc à dix centimètres de sa vulve, ce qui me donnait une vue imprenable sur son intimité. Martine eu un peu de mal, au début contractant son ventre sans résultat, puis un petit filet d’urine sorti pour enfin se libérer bruyamment dans le broc en verre. Je retirais le broc, et Martine me dit :
– Nanou, je n’ai pas de papier il va falloir que tu me nettoies !
– Mais c’est que tu aimes ça cochonne ! me dit elle.
– Oouiiii ! dis-je en souriant et me léchant les lèvres
– Moi aussi j’ai la vessie pleine Martine
– Attend il faut que je vide le pichet sinon ça va déborder
– Fait vite j’en peu plus !
– J’arrive écarte tes cuisses ! »
Elle arriva juste à temps, pour recueillir le jet dru qui sortait de ma touffe noire. Je n’eu pas besoin de lui demander pour que sa langue vienne me nettoyer. Je lui ordonnais alors
– Ouvre ta bouche Martine ! et expulsait un mince filet d’urine qu’elle avala sous mes ordres.
Je lui demandais :
– – Ça t’a plus ?
– – Moyen ça laisse un drôle de goût dans la bouche, mais tu ne perds rien pour attendre, ma vieille !
Le sommeil nous a rattrapé et c’est dans nos lits que nous avons sombrés dans les bras de Morphée.
Le matin, 20mn avant la sonnerie de réveil, Marie la surveillante, vint nous réveiller, elle était dans une robe de chambre qui moulait ces seins et ses tétons.
– Les filles debout !
– Mais c’est pas l’heure ! dis-je
–
Elle fit voler nos draps dévoilant nos nudités :
– Il faut que je vous avertisse, que vous vous masturbiez, c’est normal, je le fait aussi, mais soyez discrètes, hier je vous ai distinctement entendu
– Ace point ? fit Martine morte de honte.
– C’est pas que ça me gène au contraire, mais d’autres pourraient l’être !
Marie nous disait ça en observant nos seins et le bas de nos ventres, le » au contraire » me paru comme un appel. J’enchaînais aussitôt, bombant le torse pour faire ressortir mes gros seins et écartant mes cuisses
– Marie tu ne diras rien alors ? Merci !
– Non rassurez-vous, je ne suis pas une bourgeoise coincée en matière de sexe !
…et elle posa un pied sur la chaise sur laquelle elle s’était assise, ce qui me permis de voir qu’elle ne portait pas de culotte sous sa chemise de nuit. Ses yeux brillaient, visiblement elle était consciente qu’elle venait de m’exhiber sa chatte. Avant de partir elle nous dit qu’elle était en 3ème année de fac de lettre et que si on le souhaitait les soirs où elle serait là elle pourrait nous aider pour le bac de français…
Bravo ! Vive les odeurs naturelles !
Moi, j’aime bien les « femelles vicieuses »
J’adore !
je me suis bien marré avec la chatte qui sent la crevette. Non sans déconner, c’est très bandant ces belles salopes cochonnes