Un déplacement rapproché
par Claude D
Sylvia et moi nous avons une profession commune et il arrive 3-4 fois par an que nous devions nous séparer plusieurs jours pour un déplacement ou un cours de formation lié à notre profession.
C’était à la fin de l’année, et ce fut mon tour de partir au sud de l’Allemagne pour 4 jours pour un tel déplacement en formation. Vu que je n’aime pas les hôtels j’ai décidé de prendre comme toujours le camping-car dans lequel je me sens mieux. Le soir je peux ainsi approfondir ma » matière de la journée » et la passer en revue avec une bonne bouteille.
J’ai quitté la maison vers 18 h 00. Comme toujours Sylvia n’était pas très contente de rester toute seule pendant 4 jours (nuits) à la maison. Elle avait été triste toute la journée à l’idée de se séparer de moi. Je la consolais en disant qu’on avait le téléphone mobile et qu’elle pouvait m’appeler tant qu’elle voudrait.
J’ai pris alors la route avec le coeur frustré. C’était au environ de 1 h 30 dans la nuit quand je suis arrivé au parking, à l’endroit où aurais lieu les cours le lendemain. Je téléphonais à Sylvia pour l’informer que j’étais bien arrivé et vu que j’avais oublié mon réveil je lui demandai de me téléphoner à 7 h 30 heures pour me réveiller afin que je ne rate pas le début des cours.
Le lendemain à 7 h 30 mon GSM sonnait et une voix très douce encore à moitié endormie me chuchotait dans l’oreille :
– « Bonjour mon amour, il est 7 h 30. Tu as bien dormi … toute seul …. Sans moi …? »
– « Bonjour ma chérie…. et toi t’as bien dormi ? »
– » bboooff… j’avais froid toute la nuit comme toujours quand tu n’est pas là. »
On se caressait verbalement un peu au téléphone jusqu’au moment ou elle dit :
-« Je dois raccrocher maintenant parce que j’ai envie de faire pipi, et si je me ne lève pas je vais encore faire dans le lit. »
-« Ce n’est pas une mauvaise idée chérie vu que ça serait pas la première fois » Répondis-je en rigolant,… » va vite, je t’appelle plus tard. …Ciao. »
En raccrochant, elle critiquait ma provocation :
– « T’es salaud là….tu sais bien que j’ai une vessie fragile »
Je me levais pour faire le café, quand le téléphone sonna de nouveau. C’était encore Sylvia Je croyais qu’elle allait prendre maintenant sa revanche mais elle me demandait avec une voix douce et un peu timide :
-« Tu veut écouter… mon pipi…? Quand il sort…..Je suis assise aux toilettes. »
-« Bien sur ma chérie… vas y…fais moi l’entendre… ».
-« Alors attend … un instant … ça vient ….maintenant…. »
Quelques secondes plus tard j’entendais au téléphone le chuchotement que le pipi de Sylvia faisait en sortant de sa vessie pour tomber dans la cuve en porcelaine. Comme elle me l’expliqua après, elle avait mis le téléphone près de sa chatte pour que je puisse mieux entendre son bruit merveilleux. Un bruit, si proche et quand même si loin l’un de l’autre, semblable à un vrai jet d’eau, le chuchotement et le gargouillement de son champagne qui sortait de ce corps bien sculpté. Tout ça me confirmait qu’elle était sérieusement en train de vider sa vessie. Après quelques secondes le bruit de sa source finit doucement, j’entendis encore le bruit d’un prout. Le gaz obligatoire qui concluait chez Sylvia la pression d’envie. Puis plus rien, le silence absolu.
Une jolie symphonie de soulagement transmise par le téléphone.
-« Allo…tu est encore là ? L’entendais-je dire « tu m’as entendu…? »
-« Oui ma chérie, tu est merveilleuse …je t’aime…. » je lui avouais mon excitation.
« Si tu veux je t’appellerais toujours quand j’aurais envie de faire pipi…vu que tu n’est pas à la maison…je te fais un petit plaisir….OK…?
Elle voulait savoir.
« Oui,…ma chérie fait ça…je me sens aussi moins seul… »
Après nous nous sommes dit encore des choses très caressantes ou même sexy jusqu’au moment ou je devais quitter le camping-car pour aller suivre les cours.
Cette superbe façon d’entendre Sylvia faire pipi par téléphone m’accompagnait donc les 4 jours de mon stage. Tous les matins à la même heure pour me réveiller, pendant la journée sous forme de » Bonjour mon amour…c’est moi…je sais que tu ne peux pas parler mais que tu peux écouter « , et les soirs avec accompagnements de caresses verbales avant que Sylvia ait envie de soulager sa vessie… Nous étions vraiment plus proches l’un de l’autre et nous nous sommes sentis moins seuls.
Avec les cours qui étaient plutôt intéressant et le téléphone mis sur vibrateur les jours passèrent effectivement très vite.
Le matin du dernier jour, après que Sylvia m’eut fait écouter son pipi – prout, je discutais avec elle sur mon retour à la maison. Je décidais de ne pas visiter l’usine, car je l’avais déjà vu l’année précédente et de me mettre en route tout de suite après le déjeuner vers 13 h 30 heures ou un peu près. Sylvia était très contente et me disait :
-« Alors tu es pour ce soir à la maison entre 19 h 00 et 20 h 00 à peu près…? Enfin tu reviens… je ne dors plus toute seule cette nuit…alors …je te promets de ne plus faire pipi toute l’après-midi, je vais boire beaucoup et je te garde tout mon pipi pour ce soir… OK ?? »
-« OK, ma chérie.. » répondis-je « mais ne tire pas la chose trop loin…je ne veux pas que tu souffre…pense à ta vessie fragile….nous avons évidement notre téléphone… »
Avec cette promesse dans la tête je suivais donc le dernier cours, et le temps ne passait pas assez vite. Sylvia m’avais téléphoné trois fois ce matin pour me faire entendre son pipi – prout. Après le déjeuner j’ai pris la route comme convenu, il était 13 h 20. J’ai informé Sylvia de mon départ. Très heureuse elle me disait :
-« Viens vite ….mon amour …j’ai besoin de toi…et je vais essayer de tenir ma promesse… »
L’autoroute était assez monotone et j’étais assez nerveux pour revenir vite à la maison. Vers 17 h 30 heures Sylvia m’appela pour savoir où je me trouvais. »
-« Deux cents kilomètres à peu près » répondis-je mais je trouvais sa voix un peu drôle et je lui demandais : « Tu va bien chérie,… si, tu dois faire pipi… il ne faudra pas m’attendre…. tu peux me le faire écouter…si tu as envie… »
-« Non, non tout est bien, j’avais un peu envie, vers 16 heures, mais je contrôle bien la chose, ne t’en fait pas… tu vas tout avoir…les chutes du Niagara seront un ruisseau à côté des miennes.. » elle rigolait
Vers 19 h 30, 2 heures plus tard, j’ai passé la frontière. J’ai téléphoné à mon poussin pour l’informer et j’entendais dans sa voix qu’elle avait du mal à se tenir et elle me disait :
-« Viens vite mon amour…ça presse maintenant je ne peux presque plus me retenir … je t’attends. »
Une demi heure plus tard je rentrais dans le village où nous habitons. Je l’appelai pour lui dire que je m’approchais d’elle. Quand j’entrais dans le parking avec le camping-car je la voyais déjà venir. Le téléphone dans une main, elle avait mis l’autre entre ses jambes pour ne pas pisser dans sa culotte. Je lui ouvrais la porte du camping-car, elle rentra et dans ses yeux je voyais cette terrible envie qu’elle avait de se vider
.
-« Vite mon amour …je ne peux plus me retenir une seconde,… où tu veux que je pisse…? »
Elle levait sa jupe d’une telle vitesse et se lança sur le lit que j’avais seulement le temps pour lui dire:
-« Pisse moi dans ma bouche….bébé… »
Elle se plaçait avec son bassin sur le rebord du lit. Le slip, elle avait déjà enlevé avant mon arrivé pour ne pas perdre de temps. Elle écartait ses jambes et disait:
-« Comme ça… ouaaahhh … ça vient …aaahh… je pisse je n’en peux plus…. »
Elle pissait…
Une terrible pression » en grande fontaine » me tapait sur mon visage et dans ma bouche.
Normalement quand Sylvia fait pipi il y a toujours trois, quatre gouttes qui s’annonce d’abord , avant le grand jet et avant l’ouverture complète de son écluse, mais là son jet de pisse doré me frappait avec une telle force le visage que ça faisait presque mal. C’était une sensation semblable à un coup de fouet. J’ouvrais ma bouche pour boire son champagne, Son urine sortait d’une telle vitesse de sa vessie que je n’arrivais pas à tout avaler. Un goût amer sucré que j’aimais bien d’elle, me remplissait la bouche. Une puissance énorme, naturelle, c’était un vrai plaisir de la boire.
Son nectar se versait chaudement de ma bouche sur ma chemise, mon pantalon, pour terminer en flaque jaune sur le sol, et formait un ruisseau le long du camping-car.
Sylvia soupirait sous sa décharge en disant :
-« ouh… enfin… je peux pisser,…aahh …comme ça fait du bien… j’avais terriblement envie… »
Sa fontaine semblait ne jamais vouloir se terminer. Sylvia me douchait le visage et avait l’air de bien s’amuser. Il se passa presque une éternité avant que la force de son jet s’adoucisse, puis s’épuise. Elle releva la tête en me disant :
-« Attends mon amour… je n’ai pas encore terminé… je fais simplement une pause…ouuuh ça fait du bien…mon ventre a bien dégonflé maintenant… »
Elle commençait à pousser des petits jets d’urine qui sautaient en petites fontaines sur moi, cette fois accompagné de quelques beaux prouts. Je sentais le vent que son gaz faisait et en même temps l’odeur bien forte.
-« OOUUps… »elle disait avec un grand sourire « ceux là n’étaient pas prévus…. »
En rigolant je répondais :
– » Tu m’as vraiment tout gardé … »
Nous rigolions et elle continuait à pousser avec rythme son pipi en dehors de son ventre jusqu’à la dernière goutte. De temps en temps les jets étaient accompagnés de drôle de bruit venant de l’anus. Sylvia ne pouvait pas contrôler la sortie des deux trous forcement connecté l’un avec l’autre et ça avait l’air de ne pas la gêner.
-« Voilà ….c’est tout… fini…Merci …mon amour…ouuuh … je crois que j’ai perdu quelques kilos. ….? »
Elle terminait ce fabuleux spectacle Elle avançait vers moi pour me toucher mon pénis, puis me tirait vers elle pour m’embrasser en disant :
– » Tu n’a pas mal …tu es si serré…je t’ai tout excité … mon pauvre…. »
Elle essayait de m’enlever mon pantalon bien serré pour m’accueillir.
-« vient…prends-moi …je t’appartiens….j’ai les même envies que toi pour faire l’amour avec toi… »
Très vite j’enlevais mon pantalon et ma chemise trempée d’urine. Sans faire beaucoup d’effort mon pénis glissait dans son corps. Sylvia était terriblement chaude et mouillée, mais pas simplement à cause de son pipi mais parce qu’elle avait aussi bien envie de moi. Quatre nuits sans faire l’amour ça pressait de tous les côtés. Après quelques coups j’étais déjà au bout et je voulais me débarrasser de cette énorme pression dans ma baguette pour éjaculer. Sylvia sentait venir mon sperme se gonfler dans mon pénis et elle m’encourageait:
– Oui… vient …mon amour …vient.. Ne te retient pas….oui…donne moi tout….
Mon sperme gicla dans son ventre comme des petites explosions. Sylvia me répondit par son orgasme en avalant toute ma force comme une ventouse dans son ventre.
Totalement épuisé je me laissai tomber sur elle. Je sentais son odeur pleine de chaleur.
Après quelques minutes de repos, sous les caresses de Sylvia je sortais mon pénis de son ventre. Un acte que je n’aime pas faire vu ce sentiment magnifique d’une chaleureuse fatigue.
En voulant me rhabiller je remarquais toute cette piscine dans le véhicule, et le fait que mes habits étaient trempés de pisse. Sylvia par contre avait simplement besoin de baisser sa jupe
» -Très pratique… » Constatais-je
» -Non…non… maligne…plus tôt maligne… elle rigolait
Nous avons pris encore des serviettes pour absorber le ruisseau jaune qu’elle avait lâcher dans le camping car et en sortant du véhicule elle me demanda:
-« C’est moi qui a fait tout ça…. tout ce lac sur le sol…je t’ai vraiment gâté aujourd’hui… »
« OOOh Oui…tu avait dit que les chutes du Niagara n’étaient rien quand tu te mettrais à pisser…et crois moi tu n’avait pas exagéré… » répondis-je en rigolant
-« Viens mon amour …avant de nettoyer le véhicule à fond, je te conseille une bonne douche….et tu vas me frotter le dos….n’est ce pas….??? Ajouta Sylvia.
Fin
Claude D
PS du Webmaster : Je tiens à préciser que le français n’est pas la langue maternelle de cet auteur. ce qui peux expliquer certaines tournures de phrases assez inhabituelles… Cela dit j’aimerais bien, moi écrire aussi bien l’italien que cet auteur écrit le français….
De l’uro, rien que de l’uro mais c’est bien
En principe un téléphone portable possede une fonction réveil et alarme, non ?
Le récit a été publié en 2004 et est peut-être encore plus ancien. Ceci explique donc cela !
De l’uro comme je l’aime ! Gloups !