Le jouet de deux femmes matures
(ma tante et ma voisine – 2)
par Enzo Cagliari
Texte comprenant des passages scatos explicites
Bonjour, vous vous souvenez peut-être de moi, Pierre, jeune, brun, grand, fin… et très intéressé par tout ce qui touche au sexe, et plus particulièrement par les femmes mures…
Je vous ai donc narré, il y a quelques temps dans une histoire intitulée » juste un peu de Chantilly » mes aventures avec ma tante Yvette et ma voisine Béatrice…
L’après-midi nous avons mangé le gâteau ensemble mais ses dames étant fatiguées, nous n’avions rien fait d’autre.
Quelques semaines après ces événements, je recevais un coup de fil de ma tante, j’étais ravi, m’imaginant déjà qu’elle allait me proposer une autre séance de folie sexuelle comme je les adore… Mais il ne s’agissait pas du tout de ça :
– Pierre, tu pourrais me rendre un petit service ?
– Mais bien sûr, ma tante…
Déception ! Elle souhaitait en fait, que je lui enregistre un film à la télé…
Le samedi suivant, je téléphonais à mon tour.
– Allô, ma tante, je t’ai enregistré ce que tu m’as demandé, si tu veux, je t’apporte le DVD en fin d’après-midi.
– C’est gentil, mais je ne sais pas si on sera rentré, mais ça ne fait rien, tu le laisseras dans la boite…
Pourquoi avait-elle dit » on » ? Peut-être s’était-elle dénichée un copain. Quelque part cette idée m’embêtait, car si c’était le cas, cela voulait sans doute dire que nous n’aurions pas de sitôt l’occasion de nous amuser comme la fois précédente…
Vers 18 heures je me rendis donc au domicile de ma tante Yvette. Personne ! J’attendais patiemment, un quart d’heure… une demi-heure… au bout de trois quarts d’heures, un peu dépité, je déposais le DVD dans la boite aux lettres et m’apprêtait à prendre le chemin du retour…
Un coup de klaxon ! La voiture de ma tante qui stationne. Les portières s’ouvrent. Elle n’est pas seule, elle est avec ma voisine Béatrice ! Alors ça pour une surprise !
(Sans doute est-il temps maintenant de vous décrire de nouveau ces deux belles personnes : Béa ma voisine mesure 1 m 70 pour 65 kg bien répartis, elle fait du 95 D, elle a les cheveux bruns coupés assez courts. Ma tante Yvette est d’une taille identique, rousse, plus maigre 55 kg et 85 B et elle porte des lunettes qui lui vont très bien.
– Pierre ! Comment vas-tu ? Tu tombes bien, tu vas nous aider à porter les paquets !
Je me retrouve avec plein de sacs dans les mains, on monte à l’appartement.
– On revient du salon de la lingerie, on a acheté plein de trucs ! Me dit tante Yvette. Béa s’est trouvé un petit ensemble, c’est très sexy, ça devrait te plaire, tu veux voir ?
– Oui, bien sûr
– Montre lui, Béa…
Béa ouvre un paquet et me montre un petit ensemble rouge, ça a l’air mignon mais comme ça, non porté, ça ne m’émeut pas plus que ça !
– Mais non Béa, montre-lui sur toi !
– Ça me paraît une excellente idée ! Répond cette dernière qui s’empare du paquet et s’en va dans une pièce voisine afin de se changer…
Ma tante s’éclipse aussi mais vers la cuisine, afin d’aller chercher des rafraîchissements. Je reste seul un instant, assez confiant sur la suite des événements. Puis tandis qu’Yvette revient avec de la bière et des jus de fruit, Béa fait sa réapparition. Une merveille, ce petit ensemble soutien-gorge et string se marie magnifiquement avec sa belle peau bronzée ; elle pivote un peu afin de me faire admirer le verso, ses jolies fesses me provoquent littéralement.
– Alors qu’est-ce que tu en penses Pierre ?
– Superbe !
– On va vérifier s’il ne dit pas cela pour te faire plaisir ! Dit alors ma tante en s’approchant de moi et en me mettant alors sa main à la braguette.
Je me laisse faire. Je bande comme un sapeur.
– Ben dit donc, on dirait que tu lui as fait de l’effet ! Reprend ma tante à l’attention de son amie.
– Attend, que je me rende compte…
C’est maintenant ma voisine qui me tripote, sauf que son mouvement sur ma braguette est beaucoup plus explicite, elle me masturbe carrément à travers le tissu du pantalon.
– On va sortir tout ça, sinon il va attraper un coup de chaud ! Reprend en plaisantant ma voisine, qui joignant le geste à la parole a déjà descendu la fermeture éclair…
Puis la voilà qui farfouille, je sens maintenir sa main au-dessus du caleçon, l’exploration se poursuit et finalement elle me dégage tout, me voici le zizi à l’air devant ces deux si désirables femmes matures.
– Embrasse-lui les fesses ! Me dit alors Yvette, tu en meurs d’envie !
Il n’y a pas que cela dont je meurs d’envie, mais évidemment je ne refuse pas l’invitation et pose mes lèvres sur la douce peau de ma tendre voisine.
– Et toi tu n’essayes rien ? Lance Béa à sa complice.
– Si, si bien sûr !
A son tour elle s’éclipse avec un paquet. Et pendant ce temps Béa me demande de me déshabiller complètement, et en attendant le retour de son amie, elle s’amuse un petit peu avec mon zizi.
Et voilà ma tante Yvette qui revient ! Whaouuuu ! L’apparition ! Elle est carrément à poil, juste revêtue d’une nuisette rose, mais d’un rose transparent dont le tissu lui colle sur ces tétons turgescents ! C’est trop bandant comme spectacle, je vais finir par exploser.
– Tourne toi, il va t’embrasser le cul ! Dit alors Béa.
Je fais ce qu’on me dit, mais voici que ma tante écarte ses globes fessiers dévoilant ainsi son petit œillet brun et plissé.
– Met-moi ta langue dans le trou du cul.
Je lèche donc l’anus de ma tante et me régale de son odeur très particulière ! Béa m’encourage…
– Tu aimes ça, petit cochon, lécher le trou du cul merdeux de ta tante, ça t’excite, hein ! Allez met lui bien ta langue au fond à cette salope ! Je suis sûre que tu aimerais bien l’enculer ta tante Yvette ?
– Ben…
– Ben, oui ou non
– Je ne vais pas dire non !
– Ouais, un, jour peut-être… Qu’est-ce que tu en penses Yvette ?
– Hum… Au fait puisqu’on est dans les essayages, si on ouvrait les paquets de « la petite boutique » ?
En disant cela Yvette s’est relevée tandis que Béa farfouille dans les emballages.
– Voilà c’est là, le paquet rouge c’est le mien, le paquet rose c’est le tiens ! Tu vois Pierre, au salon, il y avait quelques exposants très coquins qui avaient aussi autre chose que de la lingerie. !
C’est Béa qui ouvre la première boite, elle contient deux godes, l’un d’assez bonne taille et un autre légèrement plus petit. Ils sont très beaux, en matière plastique souple imitant parfaitement la forme d’un phallus dont il ne manque même pas que les grosses veines violacées.
– Humm… deux bites, ça me plairait bien dit-elle tout en portant le plus gros gode à sa bouche et en le léchant de larges coups de langue vicieuse.
Puis brusquement elle se le fourre dans le vagin et commence à se pilonner avec, toujours en restant debout.
– Pas pratique cette position, si on allait dans ta chambre, Yvette ?
Ma tante étant (bien sûr) d’accord ; on change tous de pièce… Béa se précipite alors sur le lit, et se replace illico le gode dans sa chatte trempée dans laquelle il rentre avec une facilité déconcertante, elle se masturbe un peu avec, puis se retourne, se place à quatre pattes et m’exhibe ses belles fesses, mais tout en continuant à se donner du plaisir.
– Yvette, soit gentille, fous-moi l’autre gode, le plus petit, dans le trou du cul.
Ma tante s’approche alors de l’anus de ma voisine et lui plante l’instrument là où elle le souhaitait.
– Ça va comme ça ?
– Oui, fais-le bouger un peu… oh là là, je suis trop excitée, je sens que je vais jouir, surtout n’arrête pas, c’est trop bon.
Quel magnifique spectacle de ces deux belles femmes matures qui se donnent en spectacle devant moi ! J’ai bien sûr la queue toute raide, j’interviendrais bien d’une façon ou d’une autre mais je n’ose pas prendre d’initiative.
– Accélère, je sens que ça vient ! Dit alors Béa, d’une drôle de voix… Oui comme ça, comme ça, Ah oui c’est bon, c’est bon, c’est bon… c’est trop bon !
Elle s’écroule sur le lit, son entrejambe dégouline de mouille.
– Tu m’as bien fait jouir, viens que je t’embrasse !
Les deux femmes s’embrassent en un long baiser baveux, je me demande du coup si je ne suis pas de trop…
Les deux godes sont à côtés d’elles, celui qui était dans le cul de Béa est tachée de merde.
– Tiens suce-le, nettoie-le ! Me demande cette dernière.
– Euh !
– Ben quoi tu ne veux pas gouter au jus de mon cul ?
– Si, si !
Et me voilà en train de sucer le gode.
– Hum tu as vu comme il suce bien ! Fait remarque Béa à son ami.
– Tu as déjà sucé une vrai bite ! Me demande ma tante Yvette.
– Euh, oui, un concours de circonstance…
– Raconte !
– C’est tout bête j’étais dans un sous-sol de sex-shop à Paris, où il y a des cabines avec des films. Je passe devant une cabine non fermée, deux vieux se branlaient mutuellement, ils avaient de très belle bites bien bandées, j’étais fasciné. Il m’ont proposé de m’approcher, puis ça é été un enchainement, je les ai sucés tous les deux.
– Ça t’as plu ?
– Oui !
– T’as recommencé !
– Un peu !
– La prochaine fois qu’on se verra, on te présentera un ami, tu verras, il a une belle bite…
– C’est comme vous voulez !
– T’as vu comme il bande quand il nous raconte ses histoires de pédé ! Fait remarquer Béa
– Quel dommage tous ces poils ! Reprend ma tante Yvette
– Ben oui, déjà la dernière fois on a été obligé de te raser… ça repousse trop vite !
– Allez Pierre ! File dans la salle de bain, on va te raser tout ça….
J’y vais, ça ne me dérange pas qu’elles me rasent, j’aime bien qu’on s’occupe de moi… Béa me suit, puis s’amuse à me caresser ma quéquette. Ma tante nous rejoint deux ou trois minutes plus tard, elle s’est harnachée avec le tout nouveau gode ceinture qu’elle a acheté au salon de la lingerie…
– Tu as besoin d’un gode pour le raser ? S’amuse Béa !
– C’est pour après, j’aime bien enculer un beau petit cul bien lisse.
– T’es vraiment une belle cochonne
– Je sais, je sais, mais toi aussi répondit ma tante.
Et tout en disant cela elle m’aspergea le sexe de mousse à raser, elle me fit ensuite asseoir sur le rebord de la baignoire et commença à me raser. Je me laissais faire m’abandonnant à ce curieux traitement avec délice. Ce fut assez long car il fallut plusieurs fois changer de rasoir et remettre de la mousse. A la fin elle me plaça une petite compresse d’eau chaude, puis termina par un peu d’after-shave » spécial ladie » Les deux femmes portaient des propos flatteurs sur mon pénis tout glabre, c’est vrai que le résultat n’était pas mal. Je croyais qu’on en avait terminé à ce genre de chose et qu’on pourrait passer à d’autres divertissements, mais c’est que ma tante Yvette a plus d’un tour dans son sac.
– Tourne-toi, maintenant on va te raser les poils du cul ! Penche-toi, tiens-toi avec les mains sur le rebord de la baignoire et ne bouge plus
J’offris donc mon postérieur aux doigts de ma tante qui le rasa donc de la même façon que mon pénis. C’est la phase finale qui fut un peu différente, car au lieu et place de l’après rasage, je sentis une sorte de gel me rafraîchir l’anus, puis l’extrémité du gode ceinture se mit à pousser. J’écartais alors les fesses pour faciliter l’introduction, et l’engin put entrer confortablement. Yvette put ainsi me pilonner et entama une série d’allers et retour qui me provoquèrent un plaisir à la fois trouble et intense, sous les quolibets de Béatrice !
– Ça t’excite, hein, d’enculer ton neveu ! T’es vraiment une salope !
Et tout en disant cela elle passa derrière elle et lui pinça le bout des seins, provoquant des petits cris de ma tante Yvette.
– Et toi Pierre, ça te fait quoi de te faire enculer par ta tante !
– C’est trop bon !
– Quelle bande de pervers !
Béa réussi à se faufiler dans l’étroit espace entre mes jambes et le bord de la baignoire et commença à me branler la queue. Je ne vous dis pas la sensation de sentir le plaisir à la fois par-devant et par derrière. J’allais prévenir les deux femmes que je ne tiendrais plus longtemps, mais il était déjà trop tard, je déchargeais une longue giclée sur le visage de ma voisine…
– Espèce de cochon, ça mérite un gage, ça ! Dit alors ma tante !
– Qu’est-ce qu’on va lui faire ?
– Viens, on va dans la cuisine !
Décidément j’aurais fait toutes les pièces dans cette maison.
Ma tante choisit alors dans une corbeille de fruits une banane pas trop mûre. Elle ne l’éplucha qu’à moitié, puis s’assit sur une chaise, cuisses écartées et se l’introduit dans le trou du cul.
– Faut que je me fasse jouir ! Précisa-t-elle, je suis trop excitée
Et tandis qu’elle se branlait avec la banane, Béa passa derrière elle. Les visages des deux femmes se rencontrèrent et elles échangèrent un long baiser vicieux, bien sûr ma voisine en profitait pour peloter les seins de ma tante…,
– Si tu veux une banane aussi, n’hésite pas !
– Je crois que je vais effectivement t’accompagner répondit Béatrice, mais Pierre il va faire quoi, on pourrait peut-être lui demander de se fourrer une banane dans le cul ?
– Pour l’instant il regarde, je lui réserve une petite surprise…. Oh là, là, ça fait du bien de se branler ! Oh, je ne vais pas tarder à venir.
Elle ressortit la banane pour en descendre un peu plus l’épluchure afin de pouvoir en entrer davantage dans son anus, ses yeux devinrent hagards, sa peau transpirait à grosses gouttes rendant luisante la sphère de ses seins ! Quel spectacle !
– Je viens, c’est bon, c’est bon ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah C’est trop bon !
Elle poussa un soupir tandis que sur l’autre chaise, les yeux mi-clos Béa entamait le même genre de masturbation.
Ma tante sortit la banane dont l’extrémité était partiellement écrasée et recouverte de sa merde.
– Tiens Pierre, viens manger cette bonne banane !
Je n’hésitais même pas et consommais le fruit rempli des odeurs et des jus de ma tante Yvette.
– C’est bien ! Pierre, tu es un gentil garçon ! Me dit-elle tandis que le cri de jouissance de Béa emplissait la pièce
Fin
Enzo juin 2007
Joliment raconté ‘sauf le passage « rasage » que j’ai trouvé inutile » ! J’ai bien bandé !
Fabuleusement pervers
J’ai toujours aimé me faire sucer la bite par des vieilles salopes. J’aime bien aussi leur bouffer leur vielle chatte et respirer l’odeur de leur gros cul. Il faudra qu’un jour j’écrive tout ça pour que ce soit publié sous forme de récit, c’est que j’en ai des choses à dire.
Vous étés sûr qu’il n’ya pas une erreur d’illustration, cette charmante personne ne me semblant pas trop mature
Merci de nous avoir signaler cette erreur. On a rectifié le tir 😉
Une bonne suite dans la même bonne veine que le premier épisode
à réserver aux amateurs de bananes. Moi je n’aime pas les bananes
Ah le fantasme de la femme mature !
On pourra toujours dire que ces deux nanas vont très vite en besogne mais c’est de la fiction et c’est plutôt bien fait
Dommage ce gage idiot à la fin, ça gache tout !
Mais non, au contraire c’est la cerise sur le gateau (non pas la cerise, la banane)
Très agréable à lire et très excitant
Le fantasme de la femme mature. Le style est bon, le scénario un peu tiré par les cheveux