Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée
par Elian Lvekman
Je me prénomme Eric et j’ai 23 ans. Pour mes études je suis allé faire un stage de deux semaines en Thaïlande, après ce temps, je m’octroyais huit jours supplémentaires, mais de vacances cette fois. Je logeais chez l’habitant et dans ma famille d’accueil, il y avait une interprète au nom imprononçable se faisait appeler Corina. Cette superbe eurasienne de père italien et de mère thaïlandaise traduisait les conversations entre la famille et moi. Ses cheveux droits, de couleur ébène, étaient attachés au bas de sa nuque, et de fines mèches retombaient sur son visage dans un tourbillon léger. J’étais subjugué par sa beauté et ses yeux en amande laissaient entrevoir son regard marron, brillant et sensuel. Ses lèvres fines et bien dessinées étaient enduites d’un baume naturel qui rendait sa bouche exquise merveilleusement attirante. En outre, elle dégageait une odeur très subtile de fleurs des champs. Je l’imaginais douce et sensuelle.
Ce soir-là nous étions tous dans un restaurant réputé de Bangkok. Elle était assise à mes côtés et j’avais de la difficulté à me concentrer sur la conversation. Je la regardais continuellement du coin de l’œil. Même sa façon de manger me rendait fou de désir pour elle. J’ai toutefois fait honneur à ce repas préparé avec brio et, juste avant de partir, j’ai subtilement glissé un petit mot à Corina. Elle l’a enfouie dans sa poche discrètement et nous sommes partis chacun de notre côté. Sur le message, je l’invitais à souper le lendemain soir au même restaurant et, au cas où elle ne pourrait venir, j’y avais indiqué mon numéro de téléphone. Elle m’a fait un grand sourire et a baissé les yeux timidement.
Le lendemain, fidèle au rendez-vous, j’attendais depuis près d’une heure dans l’établissement désigné et je commençais à désespérer de la voir venir. Comme je m’apprêtais à commander mon repas, elle est arrivée et a pris place en face de moi, très gracieusement, en s’excusant de son retard. Sa seule présence à ma table me faisait oublier l’heure que j’avais passée à l’attendre. Elle avait un chemisier en soie rouge et une jupe courte noire qui s’attachait sur le côté avec des lacets. Elle avait les cheveux attachés au creux de sa nuque en une sorte de chignon avec l’aide d’un ruban rouge flamboyant qui contrastait avec la couleur de sa chevelure.
Nous avons mangé un repas de spécialités locales et Corina s’est moquée gentiment de moi tout au long du souper parce que j’avais quelques peines à articuler les fameuses baguettes. Après ce repas, et afin de m’en remercier, elle m’a invité chez elle pour terminer la soirée. Nous avons abondamment parlé de décoration et de l’art du design intérieur thaïlandais et elle désirait me faire visiter son appartement. Sur des cousins, je me suis allongé par terre avec un verre qu’elle m’a servi; une boisson alcoolisée. Corina s’est allongée à mes côtés et elle s’est mise à me masser les épaules. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma chemise. Elle semblait donner de l’énergie à tout mon corps fatigué. Puis, elle a déposé un léger baiser dans le creux de mon cou. Il n’en fallait pas plus pour allumer mon corps en entier.
Je me suis retourné vers elle et je l’ai embrassée sur la bouche. J’y mettais beaucoup de tendresse, mais mes pulsions se contrôlaient difficilement. J’avais véritablement envie d’elle. Ma queue dressée depuis l’instant où elle avait posé ses mains sur moi. Je promenais mes lèvres sur les siennes et ma langue s’insérait délicatement dans la chaleur de sa bouche. Mes mains se promenaient partout sur son corps. Je caressais ses mignons petits seins par-dessus son chemisier. Je sentais raidir la pointe de ses mamelons au fur et à mesure que je les touchais. Puis, je me suis éloigné d’elle et j’ai tiré sur la boucle de ses cheveux pour libérer son chignon. Ses cheveux sont alors retombés sur ces épaules très gracieusement. J’ai inséré ma main dans sa chevelure d’ébène et j’ai attiré sa bouche contre la mienne. J’ai repris possession de ses lèvres et de sa langue avec passion. Elle répondait à mes baisers avec autant de ferveur que moi. J’avais l’impression que nos corps s’attiraient comme des aimants.
J’ai commencé à déboutonner les minuscules boutons de son chemiser, mais elle m’a arrêté. Elle m’a demandé de m’allonger et de me laisser faire. Elle voulait me montrer comment faire l’amour à la Thaïlandaise. J’ai suivi son conseil et je me suis allongé par terre, sur les doux cousins de soie. Elle a déboutonné ma chemise et m’a débarrassé de mon pantalon et de mes sous-vêtements. Elle s’est dévêtue aussi, mais elle a gardé sa petite culotte et son soutien -gorge, tous deux de couleur rouge. Je voyais parfaitement ses mamelons foncés émerger de la dentelle écarlate et ça m’excitait au maximum. Elle m’a pratiqué un massage très particulier. Ses mains courraient sur mon corps et je sentais se détendre mes nerfs dorsaux sous la faible pression de ses paumes.
Elle a glissé ses mains sur mes fesses et elle les a tapé légèrement du revers de la main. Puis, elle a inséré deux de ses doigts entre mes fesses, et elle a massé délicatement les muscles de ma raie, de mon anus, de mes testicules. Un doigt a pénétré mon anus. On ne m’avait jamais prodigué cette fantaisie, mais je ne protestais pas, me trémoussant de plaisir. Je sentais monter en moi des sensations nouvelles. Je prenais un plaisir fou à me faire dorloter par cette ravissante femme. Je me suis retourné sur le dos pour qu’elle constate que ses caresses portaient fruit. Elle a souri en voyant ma queue, dignement dressé vers le ciel. Elle n’a pas été plus intimidée que ça. Elle a pétri mon torse et mon ventre de la même façon qu’elle l’avait fait pour mon dos et mes épaules. Puis après ‘avoir pincé fortement mes tétons, elle est descendue vers mes cuisses et elle est remontée jusqu’à mes parties viriles. J’avais les nerfs à fleur de peau. Mon érection s’accentuait de seconde en seconde.
Elle a pris mon manche entre ces petites mains de fée et elle l’a caressé du bout des doigts. De violents spasmes ont traversé mes testicules jusqu’à l’intérieur de mon ventre. Elle a posé sa bouche sur mon pénis le plus doucement du monde. J’ai senti la chaleur de ses lèvres glisser le long de mon membre. Elle prenait son temps pour déguster chaque parcelle de mon pénis, Je voyais, par la réaction de son visage, qu’elle aimait beaucoup la présence de ma queue dans sa bouche. Sa langue s’enroulait autour de mon gland et traçait le contour marqué de mon capuchon. Elle a sucé pendant plusieurs minutes mon pénis, puis elle a fait glisser sa petite culotte le long de ses cuisses. Elle avait une chatte très féminine dont le poil, taillé à la perfection, dessinait le contour de ses lèvres vaginales. J’avais envie de la prendre et de lui rentrer mon membre entre les jambes pour la faire crier de plaisir…
Mais décidément ce soir, c’est d’elle que toutes les initiatives partaient. Sans plus de préliminaire elle a chevauché ma queue et l’a entrée très facilement à l’intérieur de son vagin, J’ai ressenti un sentiment de victoire traverser mes organes. Son vagin gardait mon pénis prisonnier de sa cavité juteuse. Une chaleur incroyable englobait ma verge et très lentement, Corina s’est mise à agiter son bassin. Elle semblait jouir beaucoup dès le début. Je sentais mon manche lui racler l’intérieur et elle poussait des cris puissants et son visage se contractait à chaque fois que mon gland revenait à l’entrée de son sexe, Je sentais chaque détail de son intérieur et j’en jouissais davantage. J’ai dégrafé son soutien-gorge pour prendre, dans la paume de ma main, ses petits seins fermes. J’ai massé très délicatement ses formes harmonieuses. Corina poussait des cris stridents qui provoquaient en moi des élans de jouissance intense. Par la suite nous avons été terrassés par un fabuleux orgasme qui surgit comme l’éruption d’un volcan du plus profond de nos entrailles. Elle m’a ensuite demandé si je désirais la boire, ne comprenant pas la suggestion je lui demandais des précisions. Elle m’annonça alors sans aucune pudeur qu’elle allait m’offrir son pipi. Alors comme dans un rêve, j’ai ouvert la bouche et absorbé quelques gorgées de son précieux nectar.
Je suis revenu chez moi et je n’ai jamais eu de nouvelles de Corina, ma Thaïlandaise aux doigts de fée
Adaptation d’un récit non signé paru sur le site de Sophiexxx en 2000
très sensuel ! J’adore les femmes asiatiques !
Un très beau texte, bien écrit qu’il serait dommage de laisser dans les oubliettes du site