La lecture de votre site m’amène à vous faire part d’une histoire que j’ai
vécu il y a bien longtemps mais qui reste associée à mes premiers émois.
C’était avant les années 60 et j’étais assez jeune. Nous habitions à la
campagne tout à côté des bâtiments d’un haras qui faisait partie d’une
immense propriété. Les écuries étaient disposées autour d’une grande cour
carrée et la maison du gardien était adossée à l’un de ces bâtiments.
Nous étions amis avec ce couple de gardiens, ils étaient d’origine
espagnole, lui s’occupait de l’entretien des bâtiments et sa femme, Maria
accueillait les visiteurs et les invités du propriétaire. Maria était une
grande femme très brune, assez ronde, toujours habillée de noir et elle
m’impressionnait par sa taille et son air un peu triste.
Il m’arrivait assez souvent d’aller dans les écuries pour y voir un cheval
qui s’était blessé et respirer cette odeur forte que je trouvais excitante.
Ce devait être vers la fin du mois d’août et nous avions dû rentrer plus tôt
que prévu de vacances en famille. Tout était calme et l’après-midi touchait
à sa fin. Il faisait assez chaud et je décide d’aller voir jusqu’à l’écurie.
La porte était très légèrement entrebâillée et je pouvais voir la grande
allée intérieure qui longeait tous les box ouverts et vides de leurs
occupants.
J’étais sur le point de pousser la porte lorsque je vis arriver dans cette
allée, Maria toute vêtue de noir, avec une allure moins rigide qu’elle ne
l’était d’habitude. Elle s’avançait dans ma direction et je fis un mouvement
de recul pour ne pas être aperçu. Elle s’arrêta à hauteur du premier box et
y entra.
Et là, très tranquillement, à quelques trois mètres de moi, alors qu’elle me
tournait le dos, elle plongea les mains par-dessous sa robe, de chaque côté
de sa taille et elle fit descendre sa culotte jusqu’à la hauteur des genoux.
Elle souleva sa robe jusqu’à la taille, elle la tenait ainsi, d’une main
alors que de l’autre elle tirait sa culotte vers l’avant. Elle pliait
légèrement les genoux et penchait lentement le buste vers l’avant.
Quel spectacle ! Ses fesses bien rondes et très blanches, ses cuisses
légèrement écartées et, pour la première fois, je voyais un sexe de femme
avec des poils qui semblaient recouvrir tout le bas de son ventre, le haut
des cuisses et toute la raie de ses fesses. Des poils très noirs, frisés et
très longs qui m’empêchaient de distinguer quoi que ce soit en dessous. Le
contraste de la blancheur de ses cuisses et de ses fesses avec sa toison
était encore accentué par la lumière du soleil qui traversait les fenêtres
blanchies.
Elle était immobile lorsque je vis couler du milieu de ses cuisses un filet
doré, très fin, dans un tout petit bruit comme un sifflement. J’étais
émerveillé et heureux. Je bandais comme un débutant sans pouvoir rien
contrôler.
La pisse venait frapper le parterre du box parfaitement balayé et
éclabousser les espadrilles de Maria. Elle semblait ne pas s’en soucier.
Elle devait avoir une folle envie de pisser car elle dura ainsi longtemps. A
ses pieds, une mare dorée et ses chaussures trempées. De temps à autre, le
petit filet doré se séparait en plusieurs qui semblaient sortir de plusieurs
touffes de poils brillants.
Manifestement, elle se crispait pour laisser sortir sa pisse le plus
lentement possible et en éprouver du plaisir plus longtemps.
De mon côté, ma queue me faisait mal, tant elle était dure. Je n’osais pas
bouger de peur d’être vu de l’intérieur.
A un moment, elle crispa ses cuisses et ses fesses et le filet doré
s’arrêta. Elle se redressa en lâchant sa culotte entre ses genoux mais en
maintenant sa robe relevée à la taille.
Elle soupirait et cela semblait être de satisfaction.
A nouveau elle écarta les jambes autant que l’élastique de sa culotte
pouvait le supporter. Elle pataugeait dans sa flaque de pisse et elle posait
sa main libre sur la mangeoire du box. Je ne voyais plus rien de son ventre
ni de sa chatte mais seulement ses poils collés et luisants qui dépassaient
de son entrecuisse. Dans cette position, elle relâcha ses fesses et se remit
à pisser. Je n’en revenais pas qu’elle en ait encore après tout ce qu’elle
avait déjà laissé aller.
Par petits jets, la pisse venait tomber sur sa culotte entre ses genoux. Une
partie la traversait et l’autre giclait sur l’intérieur des genoux.
Je n’en revenais pas que cette femme, ordinairement si austère et devant qui
j’étais intimidé, puisse offrir un tel spectacle. Je devais être rouge de
confusion mais tellement heureux d’assouvir ma curiosité.
Maria respirait de plus en plus amplement, au rythme des crispations de son
entrejambe. Elle m’offrait toujours la vue de ses fesses blanches séparées
d’un sillon de poils soyeux et noirs. Sa culotte était trempée et
l’intérieur de ses cuisses était luisant de la pisse qui en descendait.
A un moment elle resserra ses jambes pour laisser descendre sa culotte et
leva un pied puis l’autre pour l’enlever. Elle se pencha en avant pour la
ramasser et elle la porta à sa figure. Elle respira assez longtemps cette
culotte jaunie et dégoulinante de sa pisse, elle semblait avoir un grand
plaisir à sentir son parfum. Elle la reposa ensuite sur le bord de la
mangeoire et s’y appuya, à nouveau de la main.
Elle écarta à nouveau les jambes libérées de la culotte,
pataugeant encore dans sa mare de pisse et se pencha en avant. De sa main
qui maintenait sa robe relevée a la taille, elle venait caresser son
entrejambe. Elle semblait effleurer sa toison de poils noirs et brillants.
J’étais curieux de ce que je pourrais voir de plus de son sexe lorsqu’elle
engouffra deux doigts dans un sillon rose et luisant. Elle faisait peu de
mouvement de ses doigts et l’épaisseur et la longueur de ses poils
m’empêchaient d’en voir davantage.
Elle avait appuyé sa joue sur son avant-bras, elle devenait écarlate et elle
semblait transpirer. Elle avait les yeux fermés mais je craignais qu’elle me
voie. Elle respirait du fond de la gorge. Je pouvais percevoir un petit
bruit sortir de sa chatte. Par deux fois, après un instant d’immobilité,
elle lâcha une giclée de pisse sur sa main et il s’ensuivit des mouvements
plus rapides à l’intérieur de sa chatte. La pisse lui coulait le long des
jambes et venait remplir ses espadrilles.
Ses poils étaient de plus en plus brillants, ils dégoulinaient de pisse et
ce spectacle me ravissait. Il y avait comme un peu de vapeur qui montait
au-dessus de la mare. J’étais trop loin pour en sentir l’odeur mais je
sentais plus nettement celle, très forte, de la pisse des chevaux qui logent
dans ce lieu.
Elle écartait davantage ce sillon qui me paraissait devenir aussi plus
écarlate. Elle malaxait l’ensemble de cette zone de poils et s’approchait de
plus en plus du trou de son cul. Elle allait et venait et sa respiration
devenait de plus en plus bruyante. Un râle commençait à sortir de sa gorge,
en même temps, sa main s’affairait de plus en plus, ses doigts semblaient
aller de plus en plus loin dans sa chatte et son index s’approchait encore
plus de son trou du cul.
Elle l’enfonça et elle se mit à lancer des petits cris aigus dont je ne
savais si c’était de la douleur ou du plaisir. Elle avait la bouche ouverte,
le visage en sueur mais tellement détendu.
Elle était très belle, Maria que je ne connaissais qu’avec son air triste et
distant. Après un instant, elle se releva pour laisser retomber sa robe,
récupéra sa culotte trempée et se retourna pour repartir d’où elle venait en
marchant une fois encore dans la mare de pisse qu’elle venait de faire.
De mon côté et de peur d’être surpris, je quittais les lieux pour aller me
branler derrière les écuries avec un plaisir immense. C’était ma première
découverte d’un sexe de femme, les films X n’existaient pas et la sexualité
était tabou.
Je ne pensais pas qu’un jour, je mettrais sur papier l’histoire de mes
premiers émois mais j’en garde surtout un souvenir merveilleux qui m’a
presque toujours accompagné dans mes plaisirs solitaires.
Bisous, JP
Un très beau texte qui ne m’a pas laissée de marbre
Encore de l’uro bien torché !
Joli texte magnifiquement illustré