Merci à tous les fidèles lecteurs de mes histoires qui je le répète sont
réellement vécues. Je comprends fort bien les incrédules qui pensent que
j’affabule, car lorsque je ne connaissais pas ce milieu, j’avais le même
sentiment. Mais j’ai cherché et j’ai trouvé ces aventures. Faites comme moi,
cherchez, vous les vivrez aussi !
Mes amis Betty et Tanguy, vraiment très sympas, m’ont proposé d’utiliser
leur emplacement de camping et même planté une petite tente à côté de leur
caravane pour moi !
Un soir d’été j’étais invité à manger avec un copain connu par
correspondance. Nous étions partis le matin vers Le Cap qu’il ne connaissait
pas du tout. En route, il regarde mes albums photos, époustouflé de voir ma
collection impressionnante et bien sûr excité ! Arrivé là-bas, je lui fais
tout visiter, y compris les plages bien sûr !
Mais je l’avais averti que s’il me voyait aborder un couple, qu’il reste un
peu à l’écart sauf si je lui faisais signe. Dès notre arrivée, dans une
galerie marchande, j’abordais une femme enceinte avec son mari, qui très
sympas acceptèrent que je fasse quelques vues d’elle à côté de leur voiture,
sans aucune suite.
Avant d’aller à la plage, j’abordais encore une fille très fournie côté
poitrine avec sa mère, mais il me faudra voir le père le lendemain. Puis à
la plage, on matait tout ce qu’il nous était permis de voir, pour enfin
arriver chez nos amis.
Bien accueillis, apéro, repas, plus ma bouteille de champagne, il n’y eut
qu’un problème, mon copain était assez coincé et ne répondait pas beaucoup
aux sollicitations et aux allusions qui auraient permis de s’amuser à quatre
de nouveau. D’ailleurs Betty, en douce me le dit et ils prétextèrent un
rendez-vous avec un couple pour rester corrects.
J’étais dépité mais cela se termina beaucoup mieux…
Je lui fis visiter Le Cap la nuit, admirant des tenues toutes plus sexy les
unes que les autres, j’abordais encore un couple belge et le lendemain on
aura la permission de faire tous deux des photos d’une jolie femme à la
fente nue.
Puis, il fallut penser à dormir, mon copain dans ma voiture viendrait me
rejoindre sous les douches au matin, et moi j’allais vers » ma tente » pour
constater que mes amis étaient là, il y avait leur voiture mais tout était
éteint, hélas !
J’avais déjà fait ma toilette et m’apprêtais à fermer la tente lorsque j’eus
l’impression de ne pas être seul !
Je tâte alors le matelas, touche une jambe douce, j’entends une respiration,
je ne dis rien, remonte cette jambe, la cuisse, une fente sans poil !
– Betty ?
– Oui, Bernard !
– Quelle bonne surprise !
Je me love à côté d’elle, sur le dos.
– Et Tanguy ?
– C’est lui qui m’a dit de venir, à condition que je lui raconte tout après
!
– Hum, j’adore avoir des surprises de ce genre
– C’est vrai ? Tu ne le prends pas mal ? Tu n’as pas fait l’amour avec une
autre ce soir ?
– Pas du tout, et puis même… Pour toi, je suis toujours en forme !
– Merci, tu es un amour !
Elle était vraiment charmante, gentille ce que j’apprécie beaucoup car il y
a plus que le sexe pur, il y a complicité, sensualité, échange, tendresse
aussi !
– Et toi quand il t’a demandé, tu aurais pu refuser ?
– Avec ton copain, j’aurais pas pu, tu vois, il est mignon, mais je ne le
sens pas, avec toi, je suis toujours d’accord, tu es comme mon mari.
Je la remercie d’un baiser, un petit puis un autre plus langoureux qui n’en
finit pas. J’aimais ça en elle, le flirt, elle aimait se sentir désirée et
l’embrasser à pleine bouche était un régal. Puis on commence à se caresser
et déjà elle respirait fort. Dans ce petit espace clos, les sons étaient
étouffés. L’obscurité presque totale, c’était très curieux et je n’avais
jamais fait l’amour dans une tente. Après de très longs baisers avec nos
mains parcourant nos corps, l’excitation est déjà très forte et elle prend
l’initiative
– J’ai envie de te sucer, tu peux pas savoir !
Elle ajoute
– On peut parler normalement, je suis sûr qu’il écoute par la fenêtre.
C’est encore plus excitant ! Je dis donc :
– Oh ! Oui suce moi comme tu sais si bien le faire !
A peine le temps de le dire que ses lèvres douces tètent mon gland. J’en
rajoute :
– Oh, oui Betty, vas-y suce tout, oui branle-moi aussi , c’est bon ta bouche
!
Et c’est vrai que c’était une experte en fellation. J’imaginais son mari
écoutant nos paroles, se branlant sans doute… Un dialogue un peu exagéré
mais super excitant :
– Viens, mets-toi sur moi que je te lèche ton bel abricot !
Elle vient au-dessus de moi, ma langue cherche son intimité.
– Oh, oui lèche-moi Bernard, toute ma fente, c’est bon, c’est doux !
On rompt le silence de temps à autre.
– Oh, oui suce ma queue à fond, que c’est bon, tu sais y faire toi !
Et elle :
– Hum, oui, sur mon clito, que c’est bon, mords-le !
Elle aimait ça ! ou encore :
– Oui, lèche mon petit trou, mets-y un doigt, tu le sais que j’aime ça, hein
salaud ? Tu m’enculeras tout à l’heure ?
…Texto !
Puis exprès un peu plus fort, je lui dis :
– J’ai envie de toi, envie de te prendre la minette, comment tu préfère ?
– Moi aussi, je veux ta queue, viens derrière moi, j’adore en levrette.
C’est un jeu très excitant car on fait ça pour nous et pour l’autre qui
écoute certainement. Je me place donc derrière elle ; heureusement ce n’est
pas si petit que ça. Je caresse le corps de Betty cambré au maximum. Je sens
son dos creusé, sa tête posée sur le lit. Je palpe un superbe petit cul
tendu, offert à mes doigts. J’en enfonce un, puis deux dans sa fente.
– Oui, Bernard, branle-moi comme ça, tu aimes ?
– J’adore ça, tu es trempée, ça rentre bien, j’en ai mis trois, tu sens ?
– Hum, j’adore, vas-y branle-moi fort !
Je sens sa main toucher son clito.
– Tu te branle le clito en plus ?
– Tu le sais que j’adore me branler, non ?
– Tu es une petite vicieuse, une branleuse, Betty !
Elle est si ouverte que je glisse un quatrième doigt.
– Oh la la, qu’est ce que tu me mets, si ça continue, je vais jouir, c’est
trop bon !
– Ne te gène pas, je t’ai mis quatre doigts ; tu es trempée, vas-y jouis,
cris si tu veux, laisse-toi aller
– Oui, je vais jouir, putain, que c’est bon, continue branle-moi fort, oui,
oui, oui !
Elle jouit violemment, secouée de spasmes et cela du s’entendre chez les
voisins ! Elle se laisse tomber sur le côté, je la félicite pour cette belle
jouissance, et je me place contre elle, mon sexe raide contre ses fesses,
elle roule une cuisse :
– Prend-moi, Bernard, je veux te sentir dedans !
Je présente mon gland et tout de suite il glisse à l’intérieur.
– Oh que c’est bon, cette chatte trempée, c’est chaud, c’est doux
– Enfonce-là Bernard, c’est bon, Bernard. Baise-moi, prends-moi
C’est un régal cette petite chatte et elle se pousse vers moi pour mieux me
sentir en haletant, puis on se met en » croix » car il fait très chaud, elle
sur le dos, moi en travers. Elle se tient les cuisses très haut, je lui
malaxe les seins, elle m’encourage :
– Oui, baise-moi, baise ma chatte de salope !
Elle aimait qu’on la traite de salope une fois partie. Moi :
– Oui, tu es une petite salope qui aime se faire baiser, tu la sens ma queue
?
– Oh ! C’est bon ta queue à fond, oh putain, que c’est bon !
Puis, elle se lâche une jambe et se branle de nouveau :
– Oui, branle-toi encore, branle-le ton clito de garce, tu es faite pour
jouir sans arrêt, toi !
Je faillis jouir tellement c’était sublime, je sors de sa chatte,
m’agenouille devant elle, la branle encore avec trois doigts, puis je
replonge en missionnaire… Elle se branle toujours sous moi et de l’autre
main agrippe mon dos. Au moins dix fois elle dira fort :
– Baise-moi, baise-moi !
Et complètement parti, je me demande comment j’ai pu me retenir. Après ce
deuxième orgasme, elle se relâche, je la laisse se reprendre en lui disant
des mots gentils et sincères mais murmurés cette fois
Puis on s’embrasse encore follement et cette fois je me mets sur elle pour
un soixante neuf merveilleux au cours duquel je parvins à lui mettre encore
quatre doigts et elle à me sucer en gorge profonde. Je faillis encore jouir
puis elle me demande assez fort :
– Bernard, tu as promis de m’enculer, j’ai envie maintenant !
– Je tiens mes promesses, en, général, je suis à ta disposition.
– Viens comme tout à l’heure, en levrette !
Nos corps se trouvent dans l’obscurité, je sens à nouveau ce dos très
cambré, ma langue titille son petit trou
– Oui, Bernard, lèche mon petit cul, j’ai envie que tu le prennes, je suis
ouverte, tu le sens ?
– Oui, tu sens mon doigt comme il entre ? Hum, j’en ai mis deux, c’est fou !
– Hum, c’est bon d’être enculée, vas-y mets moi ta queue !
Je la fais un peu languir pour faire monter encore l’excitation
– Betty, dis-le que tu veux être enculée, que ça te plait !
– Oui, Bernard, je veux que tu m’encules, je veux ta queue dans mon cul !
Je présente mon gland, pousse à peine, déjà il entre.
– Ça y est je t’encule, Betty, que c’est bon !
– Oui, je te sens dans mon cul, vas-y défonce-le !
J’ai failli jouir encore ! Je me retiens, puis je peux y aller en longues
pénétrations, très lentes.
– Oh putain, que c’est bon, je sens tes couilles sur ma chatte, vas-y
maintenant, baise mon cul, fort, vas-y, vas-y !
Elle est si ouverte que ça glisse comme dans sa chatte. En plus elle se
pousse sur moi après s’être relevée. Je la laisse faire sans bouger.
– Tu t’encules toi-même, Betty, tu es vraiment une petite salope
– Oui, je m’encule, je suis une salope, que c’est bon, je vais encore jouir,
remplis-moi, donne-moi ton sperme, oh, je jouis, je jouis…
Je l’attrape aux hanches et je la baise à fond, je gicle en elle, un délire
entre elle et moi, le mari qui écoute… La folie ! On s’affale sur le côté
encore emboîtés.
On ne dit plus rien, chacun dans sa jouissance, je débande. Je l’entends
encore me dire :
– Merci, Bernard, je te laisse, je vais rejoindre mon mari, il va sûrement
m’enculer dans ton sperme !
Je la sens se mettre la main sous les fesses, elle se lève, j’ouvre la
tente, l’embrasse en la remerciant à mon tour.
Je la devine entrant dans la caravane. J’entends la porte, aucun bruit.
N’aurait-il pas écouté nos ébats ? J’essuie mon sexe après l’avoir lavé au
petit lavabo dehors. J’écoute vers la fenêtre, ça y est ! Je l’entends
haleter mais sans distinguer car la fenêtre est maintenant fermée. Par
contre j’entends des bruits de literie et bientôt elle pousse des petits
cris, je comprends qu’elle jouit de nouveau.
Le lendemain matin, éveillé le premier, je vais chercher des croissants et
trouve mon copain à qui je raconte tout. Puis on déjeune tous les quatre
sans en parler, sauf que Tanguy à part m’a remercié de l’avoir bien fait
jouir et m’a confirmé qu’il l’avait enculé avec mon sperme !
Nous étions nus, sauf Betty, en culotte de dentelle blanche ce qui la
rendait encore plus excitante, c’est ça le plaisir du naturisme !
Avant de quitter mes amis, je vais avec mon copain aux douches. Il me dit
que j’ai bien de la chance de les avoir rencontrés et d’avoir fait tout ça
avec eux. Je lui ai bien sûr raconté les rencontres précédentes et il a vu
les photos.
Il la trouve sublime, même s’il n’a rien fait avec (je lui parle de rien) et
il me remercie de lui avoir fait connaître le Cap et ce milieu naturiste où
il peut mater tous ces corps nus. Une fois rasés et tout propres, on revient
à l’emplacement de mes amis et ne les voyant pas, j’appelle. J’entends
Tanguy :
– Entre, Bernard !
Je monte les deux marches et je reste interloqué, je vois Betty à genoux sur
un oreiller, les mains attachées dans le dos, les yeux bandés, le sexe de
Tanguy dans la bouche !
Comme si de rien n’était, il dit :
– Tu viens nous dire au revoir ? Tu peux dire à Didier d’entrer aussi !
Il me fait un clin d’œil, me fait signe de venir, pendant que j’appelle mon
copain. Il ajoute :
– Elle ne voulait pas vous laisser sur une mauvaise impression, Didier,
surtout !
Et ce dernier entre, alors que Betty me suce déjà, je vois encore la
surprise sur son visage et son sourire égrillard quand Tanguy lui dit :
– Tu veux en profiter aussi ?
Il semblait ne pas y croire quand on lui laissa la place, il ne
banda d’ailleurs qu’après avoir été léché une minute par la langue, puis la
bouche de Betty. On s’amusa à se faire sucer à tour de rôle ou tous
ensemble, un vrai régal partagé car elle adorait sucer. Tanguy était ravi et
la traitait de cochonne, de salope, de vicieuse, ce qui l’excitait encore
plus.
Je demandais par signe à Tanguy l’autorisation de la caresser, il accepta,
je m’agenouillais derrière elle, lui caressais les seins, le dos, le ventre,
la culotte sur les fesses. Elle respirait fort et je voyais en gros plan son
visage, sa bouche, ses lèvres entre lesquelles glissait un sexe ou l’autre.
Je ne dis rien pour ne pas qu’elle sache qui la caressait. Je passais entre
ses cuisses pour sentir une humidité certaine, elle frissonna et j’insistais
un peu, puis écartais d’une main le fin tissu, l’autre venant caresser sa
fente… Elle ronronna et agita son bassin. Je lui massais la fente et le
clito, puis glissais un doigt dedans. Ses bras n’étaient attachés que
symboliquement et je défis le lien tout en la masturbant.
Tanguy invita Didier à s’asseoir sur le lit, Betty se pencha pour continuer
sa besogne… son corps penché me permit de me présenter au milieu derrière
elle pour la prendre, encouragé par Tanguy. Surtout que je la vois se
cambrer et tendre son petit cul vers moi, j’écarte sa culotte, glisse mon
sexe entre ses lèvres et je m’enfonce à nouveau en elle avec délice. J’adore
en plus qu’elle n’ai pas voulu enlever sa culotte, c’est encore plus
excitant et je m’agite en elle de plus en plus fort, elle émet des bruits de
gorge, tortille son bassin, un régal ! Je fais signe à Tanguy de me
remplacer, mais au lieu de cela, il tape sur le bras de Didier pour qu’il y
aille ! J’étais ravi pour lui et nous échangeons nos places. Betty branle et
suce nos queues avec énergie, secoué par Didier. Je me rappelle m’être dit
qu’il se rappellerait de sa première visite ici ! Baiser une belle coquine à
dix heures du matin ça marque ! Mais je comprends qu’il ne tiendra pas
longtemps. Il demande par signe s’il peut jouir en elle. Tanguy accepte et
moi je me branle alors qu’elle tête mon gland. Elle comprend que je veux lui
remplir la bouche et ne se dérobe pas, au contraire, sa main remplace la
mienne et bientôt j’explose en plusieurs saccades dans sa bouche ! Quel
bonheur ! Et presque aussitôt Didier se vide aussi en elle qui jouit
aussitôt. Elle se redresse pour exprimer son plaisir et je la vois encore
avaler ma semence, le trop plein lui coulant sur le menton, une vision, de
rêve dont je n’ai pu faire des photos, hélas ! Tanguy lui enlève le bandeau
alors qu’elle se lèche les lèvres :
– Bravo, chérie, tu es la meilleure !
Elle avait compris que c’était moi et elle nous remercia, on lui rendit la
politesse ! On a rebu un café pour nous remettre et on les quitta jusqu’à la
prochaine fois en ce qui me concerne. C’était le bon temps où l’on pouvait
se passer des préservatifs. Je ne les revis que deux ou trois fois sans
mieux à raconter, sauf un soir où Tanguy me demanda de rentrer avec lui vers
minuit à la caravane avec une arrière pensée : Prendre sa petite femme
pendant son sommeil ! C’est très insolite car en faisant très doucement on
ne la réveilla pas au début. Elle eut l’impression d’un rêve érotique mais
finit par s’éveiller pour comprendre qu’elle ne rêvait plus au moment
j’entrais en elle » concrètement » ! Un merveilleux souvenir que j’ai pu
vivre aussi avec une autre sans qu’elle ne se réveille mais dans des
circonstances particulières…
Quant à mon copain il fut évidemment ravi de tout cela… et du reste
également, ayant pu aussi faire quelques photos dans l’après midi..
Bernard photographe – février 2003
De la pluralité raconté comme dan un reportage sur le vif