Résumé : Laure, Marie et Jeanne ont passé la soirée ensemble ; elles ont
fait l’amour et ont éprouvé de l’une et de l’autre beaucoup de plaisirs.
Louis, compagnon de Laure, rentre à la maison et les découvre ensemble sur
son lit. Il demande à Laure quelques explications, lui fait part du trouble
que lui inspire Jeanne. C’est alors que la femme apparaît.
Louis regarde les seins de Jeanne. Je regarde Louis et Jeanne qui se
regardent, Jeanne les yeux figés sur la bite de Louis, qui, devant elle, est
dressée, droite, fière. Jeanne, les deux mains posées sur les seins, se
triturant, se malaxant de plus en plus vite comme si elle voulait les
arracher loin d’elle.
Pour Louis qui n’aime pas beaucoup les amours de groupe, je m’éclipse dans
un coin de la pièce. Jeanne cherche mon regard et mon approbation. Je lui
fais un signe de la tête, convenu. Oui, qu’elle s’empare de Louis comme elle
m’a montré le faire des hommes, qu’elle se laisse aller tout contre ce
corps, dans ces bras, sur cette queue qui lui fera du bien, qu’elle fasse
tout ce qu’elle veut. Il est à elle. Je ne vois pas pourquoi je m’immiscerai
entre eux deux ; Louis désire follement Jeanne, je le vois bien à son corps
tendu de désir mais plus encore à son regard, aux pupilles qui se dilatent
et se rétractent, au flou qui se porte sur le visage, quand les corps vont
flancher : à l’expression d’une tension grandissante qui cherche à
s’épanouir.
Il n’y a pas de bruit dans le salon. C’est la nuit profonde, l’immeuble est
endormi et il est rare d’entendre l’ascenseur qui ramène les derniers
fêtards. Nous avons été réveillées en pleine nuit, nos corps en ont la
mollesse et peut-être la saveur, le goût assurément, j’ai encore celui de
Jeanne et de Marie, là au bout de mes doigts et sur ma langue. Je pense à
Jeanne qui porte elle aussi nos jouissances mêlées.
Je mettrai bien un peu de musique. Les Œuvres pour piano de Satie par
exemple pour accompagner ces prochains accords. Je suis dans une sorte de
contemplation énervée. Enervée car je sais bien ce qui va se passer et qui
me laissera sur la touche ; contemplation parce que je suis spectatrice et
parce que j’imagine que le spectacle sera beau. Il fait frais, j’ai quelques
frissons. L’air d’une nuit de novembre à moins que ce soit ceux qui
préfigurent tous ceux à venir.
Louis a un corps très mince qui contraste puissamment avec celui de Jeanne.
Il est sec, là où elle s’épanche. Il est noué, là où l’on devine la mollesse
des chairs. Le ventre offre le meilleur contraste. Un corps découpé pour
l’un et bien rond pour l’autre, une peau dont on devine le velouté et la
chaleur alors que l’autre n’est que douceur. Ils se regardent encore. On a
l’impression qu’ils dansent. La danse de deux bêtes qui se tournent autour
pour s’évaluer, une danse où chacun d’eux déroule ses filets mais Jeanne est
plus timide que Louis ; elle passe d’une jambe à l’autre depuis qu’elle a
abandonné ses seins, fait quelques pas et je vois nettement sa cambrure, ses
fesses qui s’épanouissent. Louis bande, il caresse nonchalamment son sexe en
regardant le visage de Jeanne.
Louis s’approche finalement de la femme et lui prend les seins dans les
paumes, il les soupèse, les presse un peu mais il a l’air embarrassé de tant
de chairs. Il se concentre sur le droit : le caressant fortement par en
dessous. Il hésite à caresser le mamelon, s’en empare, il joue avec
délicatement, le presse entre son pouce et son index et effectue un petit
mouvement circulaire. Jeanne a posé la tête sur l’épaule de Louis et
j’entends de légers halètements presque imperceptibles. Jeanne est très
sensible de la poitrine, elle tend son buste vers les mains de Louis. Il
répète la même chose avec le gauche puis avec les deux. Maintenant, toujours
face à face, Jeanne branle Louis. Sa main va et vient sur la bite qui se
gorge de désir. Ils sont collés l’un à l’autre et, s’ils n’étaient pas nus,
on pourrait dire qu’ils dansent. Leurs corps se pressent, se touchent et se
découvrent à travers des caresses.
Je me demande un court instant ce que je vais faire mais je ne peux me
détacher de ce spectacle. Je m’assois sur une chaise et sans même m’en
apercevoir écarte les cuisses, j’ai les fesses à l’air et la fente qui
dégouline. J’ai passé un débardeur en coton noir qui traînait par-là. Les
pointes de mes seins sont érigées, je sens mon vagin répandre une forte
liqueur mais une espèce de boule me broie le ventre. J’ai un peu peur de
voir ce qui va se passer.
Jeanne tire la bite de Louis mais, excepté ce mouvement qui fait légèrement
tressauter ses seins, elle devient passive. Elle fait toujours face à Louis
qui la sert contre lui en lui flattant les fesses. Il les empoigne, les
écarte doucement et glisse son index sur la petite pastille. Jeanne
abandonne la verge et fait la même chose. Elle agace de son ongle le trou du
cul, cherche à y enfoncer sa première phalange. Louis quitte les fesses pour
la chatte qu’il écarte de ses doigts. Jeanne écarte les jambes pour
faciliter le passage. Elle pousse son doigt qu’elle fait très lentement
coulisser. L’homme frotte sa main toute entière rapidement sur le clitoris
et sur les lèvres que j’imagine ouvertes et abondantes. Jeanne flanche un
peu. Ses seins sont gorgés de désir et elle les frotte maintenant
frénétiquement sur le torse de Louis. Elle met dans sa bouche son index
qu’elle suce comme une petite bite. Toute retenu semble l’avoir quittée. Ses
paupières sont un peu plus lourdes, de la salive déborde de ses lèvres et
elle attire Louis entre ses jambes pour qu’il la lèche.
Elle est maintenant assise sur le canapé, la croupe levée, les jambes bien
écartées et ramenées sur la poitrine, la chatte dirigée vers Louis qui tombe
à genoux devant elle. Elle s’offre ainsi totalement au regard, à la bouche
et aux mains de son amant.
– Suce-moi, lèche-moi bien. Sens comme tu me fais mouiller, je suis trempée.
Viens m’aspirer.
Louis regarde attentivement le sexe offert, caresse le buste de la femme,
joue avec les seins, lui caresse le cou. Il s’attaque aux cuisses dont il
apprécie la douceur. Il prend son temps et n’a pas l’air de vouloir accéder
aux désirs de Jeanne. Elle n’ose pas se branler mais on sent qu’elle en a
envie. Elle se tortille, lance ses hanches vers le visage de Louis qui
demeure impassible. Il a découvert ses pieds sur lesquels il commence un
massage.
– Détend-toi, lui dit-il ; nous avons du temps devant nous. Laisse-moi
m’occuper de tes pieds.
Il tire doucement sur chacun des orteils, passe fortement son pouce sur la
plante. Jeanne s’agite mais se détend bientôt. Il agit avec beaucoup de
douceur, la bite toujours dressée. Il suce le gros orteil, introduit sa
langue où il est possible de la mettre et remonte vers le mollet. Jeanne a
fermé les yeux. Sa respiration est vive mais ce n’est rien comparé à la
mienne. J’ai moi aussi fermé les yeux mais c’est pour imaginer le souffle de
Louis sur ma grotte, sa bite bien dure constamment à mon esprit, une caresse
si légère qu’il retiendrait encore. Un liquide épais qui coule entre mes
fesses. Je m’enfonce deux doigts.
Louis a maintenant le visage tout prêt du sexe de Jeanne. Il embrasse la
peau fine et porte un premier doigt sur le clito pour en constater le
volume. Je constate, comme lui sans doute, qu’il ressemble à un gros bonbon
cramoisi qui semble doué d’une vie autonome. Il palpite. Louis le prend dans
ses doigts et le masse. Il rapproche son visage et souffle sur les lèvres
ouvertes.
Jeanne a repris ses seins dans la main. Elle serre ses tétines très fort et
essaie de sa langue de se les lécher. De tout son corps arc-bouté, elle
supplie Louis de lui en donner davantage. Une main consacrée au clitoris,
l’autre au vagin, il a maintenant trois doigts qu’il glisse. Jeanne grogne,
implore :
– Ne me laisse pas comme ça. Mets-moi encore plus de doigts, enfonce,
laboure-moi. Viens contre moi, j’ai envie de te sentir partout…
Louis ne répond pas. Il se concentre sur le vagin qui s’ouvre un peu plus.
Je me pistonne, caresse furieusement de l’autre main tout ce que je peux de
mon corps. Je pense à Marie qui dort dans l’autre pièce, à la position
qu’elle adopte en général pour dormir, une position fœtale, un sein dévoilé,
une main passée entre ses cuisses. J’ai envie qu’elle vienne me rejoindre
pour que nous nous fassions du bien. Marie qui m’émerveille de sa beauté.
Ses longs cheveux qu’elle passerait tout doucement sur mon buste, sa langue
qui viendrait me fouiller devant et derrière et ses mains qui tiendraient ma
tension grandissante, ses petites claques sur mes fesses que je lui
présenterais volontiers, elle qui sait si bien m’ouvrir et exacerber mes
sens. Je lui baiserai la bouche et lui couvrirai de caresses son corps
entier jusqu’à ce qu’elle jouisse, repue, dans mes bras. Je pense au corps
de Jeanne que j’ai eu à ma main tout à l’heure, à son corps ouvert,
palpitant qui ne s’oppose à aucun plaisir. Je regarde ensuite celui de Louis
que je croyais connaître mais qui déploie ici mille trésors. J’ai une
soudaine et irrésistible envie de lui et paradoxalement celle très forte de
m’attaquer à son cul, de le lécher et de le pénétrer de la langue lui qui
est de là encore vierge.
Louis enfonce un doigt de plus. Jeanne se mord la lèvre,
secoue la tête dans tous les sens. Les cris qu’elle pousse s’amplifient.
Louis regarde ses doigts et je sens qu’il s’émerveille de tant de facilité.
– Vas-y, vas-y, encore, pousse tes doigts dans ma chatte, pousse-les bien.
Je les sens au plus profond, défonce-moi, vas-y…
Elle cherche à empoigner le sexe de Louis mais n’y parvient pas. Il donne de
légers coups de langue sur le clito, passe la langue à plat sur les lèvres
ouvertes. Jeanne s’abandonne tout à fait et la jouissance n’est pas loin.
Elle s’empare de la tête de l’homme et l’enfonce entre ses cuisses. Louis
fait des mouvements rapides mais un peu désordonnés. Jeanne, toujours sur le
dos mais maintenant allongée, s’écartèle. Louis a enfoncé toute sa main
quand elle jouit violemment. Elle enlève brusquement de ses entrailles la
main de l’homme qu’elle met sur son visage pour la lécher.
Louis est follement excité. Sa bite atteint des proportions inconnues. Il la
présente à sucer et elle s’exécute de mauvaise grâce toute entière tournée
vers sa propre jouissance. Elle mordille le gland, joue de la langue. Louis
n’est pas long à venir et il jute si fort que son foutre coule le long des
lèvres de la femme qui le laisse glisser le long de son cou et de ses
seins.
Louis ne débande pas. Sa queue est dure. Il demande à Jeanne de se mettre à
4 pattes afin de la prendre en levrette. Il présente sa bite mais découvre
un sexe béant. Il le caresse une fois encore, remonte vers le trou du cul
qu’il n’est pas nécessaire d’humidifier tant il est arrosé de sève. Jeanne
présente ses fesses, les empoigne à deux mains et les écarte en cambrant les
reins.
– Viens me la mettre ici, je suis prête, dit-elle dans un râle.
Louis ne rencontre pas de difficultés. Son pieux entre facilement dans la
rosette de Jeanne. Je le vois disparaître comme happé par une grotte
vivante, apparaître de plus en plus énorme, écarlate. Le gland violacé, la
bite si tendue et j’ai envie que cette petite bombe m’éclate au visage. Les
seins de Jeanne cognent sur le canapé et c’est à ce moment que je me lève
pour me joindre à eux. Je m’installe sous elle et je lape cette poitrine en
me branlant d’une main. Elle sent la jute de mon homme et c’est un peu
collant. Elle pousse des cris, Louis ahane et je mords ses seins en
gloussant.
Je me fais partir et quand je reprends mes esprits, je vois la langue de
Jeanne pointer vers ma fente.
– Viens ma douce, laisse-toi faire. Donne-moi tes seins à caresser. Viens
dans ma bouche. Tu es si douce. Tu m’inondes.
Jeanne pose ses mains sur mon corps. Elle me regarde et j’aime l’air qu’elle
a. La verge de Louis toujours fourrée en elle, elle me dorlote, me fait du
bien. Ses lèvres courent sur ma peau nue, de petits baisers qui alternent
avec des petits coups de langue, de la douceur, son souffle près de mon
visage et sa bouche enfin dont je m’empare avec violence. Louis nous regarde
nous embrassant. Son visage se contracte et il part dans Jeanne qui se
laisse jouir contre moi. Elle ouvre la bouche bien grand et j’y fiche ma
langue, mes dents, ma salive. Je l’embrasse sur le visage, m’enfonce un peu
dans son nez et tête ses lèvres comme une petite folle.
Louis reprend tout doucement ses esprits. Il a glissé du canapé et est
maintenant assis par terre. Il caresse tout doucement une jambe de Jeanne
qui reprend son souffle. Elle sourit. Je suis à genou sur le canapé et je
sens en moi encore une grande excitation. J’en voudrais un peu plus mais je
n’ai pas le courage de le leur demander. J’ai envie de me toucher la chatte,
d’y introduire quelque chose. Ma mouille coule et envahit mas cuisses. Je me
retourne, m’assois sur le canapé, entrouvre les cuisses impudiquement, passe
nonchalamment une main sur mes seins et vois mes mamelons se gonfler.
J’étire les pointes et ne peux m’empêcher d’émettre un petit cri.
– Je crois que Laure en veut plus, dit Louis à Jeanne. Elle va faire la tête
dans deux secondes si on la laisse comme ça… Qu’est-ce que t’en penses ? On
pourrait lui faire du bien non ?
Louis, la bite dans la main, vient vers moi, écarte mon vagin et l’introduit
d’un coup bien profond. Elle n’a trouvé évidemment aucune résistance et je
suis si excitée que je la sens à peine aller et venir. Cette position ne
convient pas à l’état présent de mon corps. Je demande à Louis de s’allonger
parterre afin de pouvoir grimper sur lui. Je prends place et monte et
descends frénétiquement sur cette masse de chair. Jeanne me caresse les
seins en m’embrassant le dos. Je sers les lèvres et accentue la cadence. Mes
cheveux blonds flottent sur mes épaules. Je suis bien.
Ce sont mes cris qui réveillent Marie qui s’étonne un peu de nous trouver
dans cette position. Elle se tient sur le pas de la porte, n’a pas l’air
bien réveillée et ses cheveux ébouriffés lui donnent un air à la fois
rebelle et innocent. Elle porte une nuisette en soie transparente et l’on
devine aisément un sexe glabre. Jeanne s’approche d’elle et l’invite à
s’asseoir sur le canapé. Je suis encore sur Louis qui ne bouge plus.
– Ca va Louis ? demande Marie. Tu en as encore pour moi ?
Louis admire les courbes de Marie et prend plaisir à la voir dans ce
déshabillé mais je le fais revenir à moi en lui disant tendrement à
l’oreille :
– Louis, j’ai encore envie de toi… finissons ce que nous avons commencé.
Louis acquiesce. Il caresse mon ventre, pétris mes fesses, remonte vers ma
poitrine dont il étire les mamelons. Son bassin part à ma rencontre et je ne
suis pas longue à m’abattre sur son épaule, le souffle court et le sourire
aux lèvres. Louis m’inonde à son tour et j’aime tout particulièrement ces
moments où je me sens remplie.
Marie qui n’a pas perdu une miette de notre jouissance revient à la charge.
– Et moi là ?
– Désolé mais j’en peux plus là. Faudra trouver quelqu’un d’autre lui
répond-il avec un sourire.
– C’est un peu vexant ce que tu racontes… Je ne te fais pas envie, lui
demande-t-elle en relevant sa nuisette. T’as vu, je suis vraiment toute nue…
Cette remarque nous fait tous rire. Je me relève et Louis qui n’est plus
dans une forme triomphante, part dans la cuisine se servir un verre à boire.
Marie a pris place à coté de Jeanne et s’est mise à lui caresser tout
doucement la poitrine. Cette dernière s’est renversée entièrement sur le dos
et a les yeux fermés. Elle passe une main sur les cheveux de la jeune femme.
Marie embrasse maintenant les seins de Jeanne, elle descend sur le ventre,
joue avec le nombril. Elle remonte, pose son visage sur les seins et ferme à
son tour les yeux. Jeanne l’entoure de ses bras et la câline. Marie continue
cependant ses caresses et ne reste pas longtemps dans cette pose endormie.
Elle quitte les bras chauds de son amante pour frotter son visage sur le
pubis de cette femme qui lui fait tant envie. Elle le sent, le lèche un peu
et y dépose de légers baisers. Elle regarde attentivement les lèvres qui
s’entrouvrent sous sa pression, le gonflement presque imperceptible du
clitoris, le vagin qui s’écarte. Elle en aime l’odeur et la chaleur. Jeanne
s’abandonne et Marie semble plonger dans une contemplation fiévreuse.
Je vais m’asseoir sur une chaise et les regarde. Il est tard et j’ai
sommeil. Louis revient de la cuisine, s’arrête un moment pris par le
spectacle des deux femmes mais s’en détourne. Il passe un bras par-dessus
mon épaule et m’attire vers notre chambre.
– Laisse-les me glisse-t-il à l’oreille, je pense qu’elles n’ont pas besoin
de nous.
Nous allons directement dans notre chambre et je m’allonge sur le lit. Le
sommeil si vif il y a encore un instant se détourne de moi. Je regarde Louis
qui règle les réveils et je le trouve beau. Mes pensées vagabondent des
hommes aux femmes et ainsi de suite. Mon corps éprouve encore une douce
tension mais je m’enroule dans la couette pour en apprécier toute la douceur
et la chaleur. Notre lit sent l’amour, les draps en portent les traces et si
je déteste cela chez les autres, j’aime chez moi tous ces témoignages. Je
pense à Marie et Jeanne… J’aimerais bien savoir ce qu’elles font mais je le
devine. Marie n’est pas de celles qui abandonnent facilement et elle était
en quête de plaisirs. Mes reins me tirent un peu, des petits éclairs me
parcourent le ventre mais ce n’est plus le moment. Louis me rejoint, se
glisse sous la couette et ouvre les bras dans lesquels je me précipite. Je
passe ma main sur son torse, joue avec ses quelques poils, descends vers sa
bite et me plais une fois encore de ce contact charmant. Pour lui souhaiter
une » bonne nuit « , je la mets dans ma bouche jusqu’à ce que je la sente
gonfler entre mes lèvres. Je remonte alors vers son visage afin que nous
nous embrassions langoureusement.
Ah oui, bien sûr, mais c’est assez peu vassilien, on se croirait chez Marc Dorcel