Vendeur en articles de sport par Vince01

Vendeur en articles de sport, il m’arrive de devoir me rendre chez mes
clients. Le mois dernier, j’ai fait la rencontre d’un couple, gérant une
salle de sport, avec qui le contact est tout de suite passé.

Fanny, responsable de l’animation de la salle, est charmante, châtain,
cheveux mi-long, de grand yeux verts dans lesquels on se perd avec
ravissement. Un physique à vous affoler la tête au coin d’une rue, son
T-shirt ne laisse aucun secret sur sa fière poitrine. Quant à son jeans, il
n’y a pas un millimètre entre lui et sa peau, j’aimerai être jeans, ses
fesses toutes rebondies me plongent dans les rêves les plus fous.

Philippe, lui, est un grand sportif, il fait du vélo sur route, 1m90, rien à
jeter. Enfin je crois…

Une première rencontre le matin, un rendez vous est convenu le soir même,
après la fermeture (afin d’être plus tranquille).

Le soir venu, je pousse la porte de la salle, Fanny m’offre l’apéritif…

Je leur présente ma société et mes produits. A chaque mouvement de Fanny, à
chacun de ses déplacements je ne peux m’empêcher d’admirer son corps,
Philippe fini par remarquer mon manége… me sourit.

Plusieurs verres s’ensuivent et Fanny me demande si elle peut essayer les
T-shirt qui lui plaise bien.
Je m’empare d’un premier et tout en lui tendant, je prépare les suivant.

Je relève ma tête et vois avec stupeur Fanny, seins nus, enfilant le
vêtement.
Ce en est trop pour moi, Spontanément, je lui dis qu’elle a de très beaux
seins et qu’elle devrait se méfier, je ne résisterai pas longtemps…

Elle me regarde, complice, et me déclare que je n’ai qu’à lui montrer ce
qu’elle risque.

Je me lève et fais mine de faire l’essayeur. Je la fais tourner sur
elle-même, sous les regards amusés de Philippe et vante la vision qu’elle
nous procure. J’arrête mon manége et lui caresse son visage, mon autre main
est partie à la découverte de sa poitrine. Ses pointes sont toutes dures.
Tout en l’embrassant, je promène maintenant mes mains sur ses seins et les
englobe en douceur. Je sens qu’elle apprécie mes caresses, son corps épouse
le mien, elle m’affole.

Tout à coup elle s’écarte et dégrafe son jean. Nu également dessous,
j’admire maintenant son sexe parfaitement épilé, donnant au mien une
dangereuse poussé en avant. Elle s’approche de nouveau et commence par
m’embrasser la poitrine. J’ai de plus en plus de mal à me dominer, la
présence de Philippe ne faisant rien pour arranger. Je n’ai jamais vécu ces
moments. Elle descend, elle agrippe ma ceinture de pantalon, peu de
résistance à ce niveau, mon pantalon rejoint bientôt mes échantillons,
tandis qu’une sensation dévastatrice envahit mon corps.
Fanny vient de se saisir de ma queue et commence maintenant un lent va et
vient, ses mains enserrant mes couilles et la base de mon sexe. Elle me rend
cinglé avec sa bouche. Je ne sais plus ce qui m’arrive, je sens que je ne
tiendrai pas longtemps à ce rythme. A voir la façon dont sa bouche me presse
sans me forcer, dont sa langue affole mon méat, sans aucun doute Fanny prend
du plaisir à me sucer !
Elle arrête, se lève et me repousse dans le canapé. Philippe n’est pas en
reste, il est là nu, son corps glabre tout en muscle, il est derrière Fanny
et lui flatte la croupe. Elle s’agenouille et reprend sa torture sur ma
queue… avec une douceur indéfinissable.
Philippe à son tour lui donne du plaisir avec sa bouche, ce qui a pour effet
de décupler l’envie de Fanny. Ma queue disparaît entièrement, j’essaye avec
mes mains sur son visage, sur ses seins, de lui rendre ce plaisir qu’elle me
donne si bien. Philippe remonte sur son ventre, ses seins… Sa langue joue
avec ses seins. Il remonte encore… Prend son visage et l’embrasse.
Devant moi leurs langues se mélangent et tout à coup, s’emparant de ma
queue, Fanny la tend à Philippe. Il vient de l’emboucher, je suis figé, un
homme me suce ! Jamais je n’aurais pensé vivre cette expérience : le plaisir
est immédiat, jamais mon sexe n’avait atteint cette taille. Fanny rend la
pareille à son mari, il n’y a que moi qui reçois sans donner, mis à part des
cris, cris que j’arrive de moins en moins à contenir.

Il faut que je m’active, à cette vitesse, je ne tiendrai pas longtemps. Je
glisse du canapé, Philippe ne relâche pas son travail, mon visage est
maintenant entre les jambes de Fanny, et j’essaye de me montrer à la hauteur
de leurs compétences. La bouche de Philippe est un ravissement, je ne
réprime aucun de mes cris, lui non plus d’ailleurs. Je tente de me
concentrer sur son clitoris… Je le prends entre mes lèvres et le fait rouler
tandis qu’un de mes doigts se promène entre son vagin et son anus.
Visiblement cela porte ses fruits, elle vient de relâcher son homme et me
prend la tête entre les mains. Elle me presse sur son sexe, je vit des
moments de bonheur…

Trop tard, je n’ai pas tenu. Je viens d’exploser dans la bouche de Philippe,
une, deux, trois saccades, je hurle. Il me lèche et me suce encore un peu et
se redresse. Il prend mon visage entre les mains et m’embrasse, sa langue
fouille ma bouche et je sens ma semence couler au fond. Fanny ce joint à
notre baiser, visiblement elle veut partager le festin. Nous continuons à
nous embrasser, enlacés, couverts de sueur.

Fanny propose un passage dans la salle de bains, une immense baignoire nous
accueille. J’échange des regards de remerciements à mes deux complices.
Fanny nous fait une petite scène, elle se plaint d’avoir était délaissée,
exige réparation. Elle nous ordonne de nous mettre à quatre pattes, côte à
côte. Ses mains se promènent sur nos fesses, elle vient de me forcer
l’anus.
Elle saisit une poire et nous fait un lavement tout en nous parlant comme
deux gamins en faute. La sensation est bizarre, ma queue ne tarde pas à
reprendre allure. Elle m’ordonne de rendre à Philippe le plaisir qu’il m’a
donné, Je suis à genoux dans la baignoire et m’apprête à sucer un homme. Mes
mains saisissent ses couilles et je prends son dard lentement et le fait
glisser au fond de ma bouche … rapidement j’éprouve du plaisir à ce que je
fais, mon sexe me fait mal tellement il est bandé. Toujours derrière Fanny
presse mes fesses, un doigt passant de temps en temps sur mon anus…
Il s’introduit en moi, la sensation dépasse tout ce que j’avais connu. Je
m’applique à donner du plaisir à Philippe, ça marche… Il fait des
mouvements de va et vient, je sens sa toison contre mes lèvres. Un liquide
froid coule le long de mes fesses, Fanny est en train de me pénétrer avec un
gode, la taille de l’engin me semble immense, je suis écartelé

Comment j’ai pu attendre aussi longtemps ce jour, il n’y a que la queue de
Philippe qui m’empêche de hurler mon bonheur. Les va et vient dans mes
entrailles sont de plus en plus rapides, Philippe me fait comprendre
d’arrêter, il rejoint Fanny, contemple mes fesses, je me masturbe. Ce que
j’attendais avec impatience arrive, Philippe viens de prendre la place du
gode.
Son sexe me rempli entièrement, sa chaleur traverse mon corps. Alors que
Fanny me présente son magnifique petit cul, Philippe découvre le mien avec
douceur. Fanny est sous moi, je viens me présente à l’entrée de son vagin.
Elle est tellement humide que je la prends sans attendre, nous essayons
d’harmoniser nos mouvements, peine perdue, je deviens incontrôlable. Je
saisis la poitrine de Fanny, tente de lui donner du plaisir, mais le mien
est trop fort…
Philippe me défonce, c’est géant. Il râle, il n’a pas tenu beaucoup plus
longtemps que moi, je regrette de ne pas avoir senti son éjaculation au plus
profond de moi, la capote a tout gardé. Il est maintenant devant moi, me
souri. Il me tend sa queue que je suce encore un peu tandis que Fanny ce
projette violemment à mon encontre. Je ne suis pas long à abdiquer, dans un
dernier à-coup, je me vide, ma capote ne tiendra jamais…

Complètement anéantis, nous nous retrouvons dans les bras les une des autres
et reprenons nos forces. J’aurais tant aimé les revoir, je n’ai jamais fait
le nécessaire, j’ai toujours eu peur que ma femme l’apprenne.

Cette histoire malheureusement je ne l’ai pas vécu, mais cela fait plusieurs
mois que j’en rêve. Saura-t-on m’aider ?

Vince

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Une réponse à Vendeur en articles de sport par Vince01

  1. Biquet dit :

     » je me vide, ma capote ne tiendra jamais… » Non, mais ça va les chevilles ?

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