Marielle la salope, par Roger01
Marielle raccrocha son portable. Elle venait de téléphoner à Damien le jeune frère de son mari. Elle avait 35 ans et était plutôt grande pour une femme. Elle avait les cheveux châtain, les yeux verts et une belle poitrine généreuse. 15 minutes plus tard ils étaient tous les deux enlacés sur le canapé. Damien avait 13 ans de moins qu’elle, blond, très pâle de peau, de beaux yeux bleus, des trais fins presque efféminés, il avait été facile à séduire.
– Si mon frère apprenait ce que l’on fait, il nous tuerait.
– Penses-tu, tu crois qu’il se gêne, lui ? Répondit Marielle en ouvrant la braguette de son pantalon.
Elle sortit le sexe congestionné du slip et le regarda avec avidité et fierté. Elle le masturba rapidement, plus pour durcir le sexe de son amant que pour le faire jouir. Dès qu’elle le trouva très présentable Marielle commença à embrasser son ventre, puis elle glissa sa langue sur le nombril de Damien. Puis elle couvrit la totalité du ventre de Damien de baisers, il avait comme des frissons qui parcouraient tout son corps. Marielle se laissa glisser jusqu’à ce que sa bouche rencontre naturellement le long et puissant sexe et ne l’engloutisse. Elle l’emprisonna dans sa bouche et le suça goulûment. Marielle l’enveloppa de sa langue, lui infligeant un vertige de velours. Elle aspira le membre raidi jusqu’au fond de sa gorge, à s’en étouffer, imprimant à sa tête des mouvements de plus en plus rapides. Damien se laissait faire savourant l’instant les yeux fermés. Elle le retira de sa bouche, continua avec sa main, faisant danser sa langue un ballet endiablé sur le gros gland.
– J’ai mis des traces de rouges à lèvres sur ta queue, mon ange ! dit-elle avec amusement.
La main de Marielle passa derrière le jeune homme, lui écarta les fesses et le doigt préalablement mouillé de sa salive s’approcha de l’anus et y pénétra. Damien poussa un cri rauque et se pâma quand le doigt se mit à gigoter dans son fondement.
– C’est délicieux, n’est-ce pas, mon ange ?
Damien avait confié à son amante qu’il lui arrivait d’aller parfois avec les hommes dans des soirées orgiaques au cours desquelles se bouche et son anus se régalaient de bonnes bites bien bandées.
Quand Marielle retira son doigt, celui-ci était souillé de matière brune. Elle le porta à sa bouche et le lécha avec une expression de défi.
Elle se redressa et ouvrit son déshabillé blanc. En-dessous elle ne portait qu’un porte-jarretelles blanc ainsi que des bas assortis et des escarpins à grands talons. Elle aimait s’habiller en pute. Elle se mit à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle, ses grosses fesses rondes et charnues posées sur ses talons. Elle releva légèrement sa croupe cambrée et se tourna vers lui.
– Je veux que tu me prennes comme ça, je veux te sentir très fort dans mes fesses, pour qu’à chaque instant quand j’aurais mal je penserai à toi.
Damien se glissa derrière son amante son sexe dans sa main, et le présenta à l’anus largement ouvert et il se laissa tomber de tout son poids. Il l’embrocha jusqu’à la garde comme s’il venait d’enfoncer un trépied dans le sol, il ne s’arrêta que lorsque son ventre fut collé aux grosses fesses de Marielle. Elle poussa un long soupir ravi.
– C’est meilleur comme ça ! Murmura-t-elle. Défonce-moi, petit pédé, encule bien ta pute vicieuse !
Il se laissa aller sans retenue, son bas-ventre claquait contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu’il le pouvait. Jamais elle n’avait ressentie une telle sensation de plénitude, les longs centimètres du sexe infatigable de son beau-frère devait y être pour quelque chose. Marielle répondait à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Marielle hurlait sans discontinuer, elle chassa de son esprit l’image de son mari qui l’avait jamais culbuté ainsi, et se contenta de jouir sous les coups de boutoir. Elle avait toujours été friande de sodomie, les longues années de mariage avait refroidi le feu qu’elle avait au fond de ses reins. Damien continuait ses longs va-et-vient entre les fesses superbes de sa belle-sœur. Tout en l’enculant il constata que sa bite rencontrait une matière molle, cela leur arrivait de temps en temps et cela lui plaisait bien
– Continue! Ah, tu me défonce, tu… tu me fais mal, c’est booon..Aaah… J’aime ça, je suis ta salope.
– C’est bon, je sens ta merde au bout de ma bite.
– Continue, mon ange…
Il se mit à se démener entre les fesses charnues, comme s’il voulait les écraser, les aplatir, les faire exploser. Il avait l’impression de devenir dément. Marielle avait pris ses fesses à pleines mains et les écartait encore plus pour qu’il la sodomise mieux. Damien rebondissait sur les grosses fesses, il était presque devenu un homme primitif qui était dominé par ses pulsions par et ses instincts bestiaux. Un homme animal qui pourfendait une femelle en chaleur. Il se tenait fermement à ses épaules la maintenant au sol. Il sentait la jouissance montée de ses reins. A chaque retour de piston sa bite devenait davantage merdeuse. Il donna encore quelques furieux coups de reins et se répandit dans les entrailles gracieusement offertes en poussant un hurlement. Il avait l’impression que c’était sa moelle qui se déversait. Qu’elle l’aspirait. Il se retira de cette croupe accueillante et contempla l’œil brun, source de délice anal, ouvert et distendu de sa compagne qui suintait la merde.
Ce spectacle le fascinait et il s’apprêtait à venir lécher ce joli cul merdeux, mais Marielle fût la plus rapide. Sans hésiter elle engouffra la bite ressortie souillée de sperme et de merde dans sa bouche avec gourmandise, et la ressorti une minute après propre comme un sous neuf.
– Hum ! Ma merde et ton foutre ! Quel mélange divin !
Il s’embrassèrent à pleine bouche.
– Je crois que tu vas faire une gros caca…
– Mais bien sûr mon ange ! Je le sens prêt à sortir de mon cul.
– Chie-moi dans la bouche !
– Pipi d’abord, faisons les choses dans l’ordre.
Marielle grimpa sur le dossier du canapé, Damien se plaça entre ses jolies jambes et ouvrit la bouche, l’urine tiède lui dégringola dans le palais et il but ce merveilleux breuvage avec délectation.
– Et maintenant, caca !
Un long boudin sorti de l’anus de Marielle, se brisa, un premier morceau atterrit sur le visage de Damien, puis un deuxième et même un troisième. Damien s’en débarrassa, mais en conserva un morceau qu’il lécha avec délectation.
Ils se badigeonnèrent ensuite mutuellement avec la matière, se caressant et s’embrassant, puis quand Damien se sentit prêt à baiser de nouveau, il encula son amante et l’emmena au nirvana.
Un peu bâclé le final scato… Dommage !
Bourrin ? Primaire ? Sans doute, mais alors pourquoi est-ce que je bande ?
Un peu bourrin comme dirait le collègue, mais ça passe crème
Je préfère pratiquer les folies scato avec les femmes, mais j’avoue que sucer une bite un peu merdeuse ça à son… charme 😉
Un peu bourrin, même si on perçoit quelques efforts dans le choix des mots.
Et puis bon, c’est du factuel, on va direct à la soupe !
Mais soyons juste certaines descriptions surtout vers la fin ne m’ont pas laissé de marbre