Maîtresse Kriss 2 – Un jeudi d’esclave par Boris Vasslan
Quand même quand j’y pense ! Ma sexualité a basculé chez cette diablesse de femme, j’ai sucé des bites, je me suis fait enculer, j’ai léché un cul malpropre et je suis prêt à recommencer tout ça !
Le jour fixé, je me dirigeais vers son domicile dont je connaissais maintenant l’adresse en me débrouillant pour ne pas être en retard. Drôle d’idée pour une Maîtresse d’inviter un esclave à sa table, mais après tout pourquoi pas ? Je supposais qu’avant la domination proprement dite, on pouvait parfaitement parler d’autres choses. Ne voulant pas arriver les mains vides, j’achetais un volumineux bouquet de fleurs, en espérant qu’elle l’accepterait sans problème. Ce n’est qu’à moitié rassuré que je sonnais à sa porte. Angélique la belle antillaise vint m’ouvrir, et me libera de mon bouquet. Elle me conduisit ensuite vers la cuisine, où elle me transmit l’ordre de me déshabiller intégralement. L’ordre m’intrigua, mais après tout pourquoi pas ? Un déjeuner à poil serait peut-être une bonne façon de s’exciter avant de passer à la suite. Je m’exécutais donc et attendais tandis qu’Angélique s’affairait.
Dix minutes plus tard j’eu le bonheur d’apercevoir ma Maîtresse. Kriss était habillée d’un fuseau blanc super moulant et d’un chemisier très transparent qui laissait voir directement sa belle poitrine. Elle était réellement très désirable.
– Merci pour les fleurs, t’es un chou ! Me dit-elle en esquissant un petit bisou sur le bord des lèvres !
Puis elle sortit de la cuisine ! J’étais à la fois rempli de bonheur par la façon dont elle réagissait, en même temps qu’intrigué. Ce genre de conduite n’avait pas grand-chose à voir avec la domination. Kriss revint plusieurs longues minutes plus tard, et me passa un collier d’esclave, auquel elle attacha une laisse.
– Bon ! Tu vas marcher à quatre pattes derrière moi !
Je craignais alors le pire.
– Oui Maîtresse !
Elle me conduisit à la salle à manger où trois personnes finissaient de prendre l’apéritif, il y avait là le couple dont elle m’avait parlé. Elle, Chantal, belle femme, cheveux blonds décolorés et frisés, la quarantaine, assez plantureuse, habillée d’une robe hyper décolletée d’où elle avait pris soin de faire sortir de beaux tétons bien durs et bien sombres, le mari, Jérôme, assez quelconque, bedonnant, quasiment chauve et apparemment complètement myope. Le troisième personnage était Hélène, une grande rousse aux cheveux courts et à la peau laiteuse, vêtue d’une grande jupe noire, fendue des deux côtés, et en haut d’une sorte de débardeur à grosses mailles laissant apparaître les contours et les détails d’une fort belle poitrine. La beauté de ce spectacle me fit en partie oublier l’humiliation de ma position, d’autant qu’à ce moment-là personne ne sembla s’intéresser à ma personne.
– On passe à table ! Annonça Kriss, me tenant toujours en laisse.
C’est à ce moment-là que je réalisais que la table n’avait été dressée que pour quatre couverts, le mien n’était pas sur la table mais sous la table, un sentiment de honte m’envahit, c’était donc cela l’invitation de ma maîtresse, à sa table, oui, mais comme un chien. Ce n’est pas vraiment le genre de situation qui me fait bander !
Ce qui se passa ensuite fut totalement improvisé. Alors que les convives s’apprêtaient à s’attabler, Chantal demanda le plus simplement du monde :
– J’irais bien faire un petit pipi avant ! C’est où les toilettes ?
Kriss n’hésita pas une seconde.
– T’as qu’à pisser sur l’esclave, il sera ravi !
A ces mots, Angélique en bonne soubrette prévenante s’en fut chercher une bâche. Chantal eut sur le moment l’air d’être déstabilisée par cette réponse imprévue, puis réalisant qu’il ne s’agissait nullement d’une plaisanterie :
– Non désolé, je ne peux pas faire ça !
– Mais, si essaie, allez vas-y ! L’encouragea Hélène.
– Non, je ne pourrais pas !
– Tiens, je vais le faire d’abord, et après je te passe le relais !
Joignant le geste à la parole, Hélène retira prestement sa culotte et m’ordonna de m’allonger sur le ventre, elle se plaça debout au-dessus de moi et ne tarda pas à faire couler un petit jet qu’elle dirigea vers mon sexe qui redevint à nouveau tout dur, puis elle s’avança afin de se positionner au-dessus de mon visage. Je devinais ce qui allait se passer, elle s’accroupit légèrement, et tandis que tout le monde regardait autour de moi, je reçus l’ordre d’ouvrir la bouche et d’avaler – sans en perdre une goutte -, le précieux liquide. La quantité étant restreinte et le goût franchement agréable. Ce ne fut pas une corvée.
– Je peux faire caca aussi ? Demanda Hélène, comme si ce genre de chose était le plus naturel du monde.
– Non, il n’est pas encore tout à fait prêt pour ça ! Mais tout à l’heure, peut-être.
– C’est dommage, j’ai envie !
– C’est peut-être dommage, mais pour l’instant tu te retiens ! A ton tour Chantal !
Cette fois Chantal complètement désinhibée, n’hésita plus, elle adopta la même position initiale qu’Hélène, mais ce fut assez long à venir, puis soudain ce fut le déluge, elle avait vraiment une grosse envie, tout mon corps se mouillait de sa bonne pisse chaude et se répandait sur le carrelage. Hélène complément excitée remonta son soutien-gorge libérant deux seins magnifiques, puis recueillant avec les creux de ses mains un peu de la pisse de Chantal s’en barbouilla la poitrine.
– Pisse-lui dans la bouche !
Effectivement la fin du jet fut pour ma soif, mais l’abondance du liquide m’empêcha de tout boire. Je pensais que cette petite fantaisie se terminait quand Jérôme annonça son intention de pisser à son tour. Voilà qui ne m’amusait pas trop, heureusement le lascar avait surestimé ses possibilités et je n’eus pas à le supporter très longtemps. N’empêche que le plaisir éprouvé au contact des deux pisseuses s’effaçait place à la honte de ce troisième contact. On réagit bizarrement parfois…
Rien de tout cela n’avait été prévu et Kriss rappela à tout le monde qu’on allait manger assez vite, pour pouvoir pleinement profiter de l’après-midi. Le repas était en effet léger et rapide (crudités, quiches, salade, fruits). Et moi j’étais toujours au pied de la table pataugeant dans une mare d’urine que personne ne venait éponger. Le service était assuré par Angélique qui pour la circonstance avait revêtu une vraie tenue de soubrette, qui laissait à l’air sa belle poitrine d’ébène et ses petites fesses galbées.
Elle me servait après les autres, sans aucun ménagement en me balançant les aliments dans mon assiette posée au sol. Je n’avais pas trop faim, et la position n’était guère pratique, comme je crus qu’on ne faisait pas attention à moi, je résolu de m’asseoir en tailleur pour manger, mais un coup de cravache de maîtresse Kriss me fit reprendre vite la position initiale. Du coup les voilà qui me regardent tous, je n’ai plus d’appétit, il faut bien l’avouer, d’autant que mon assiette est maculée de l’urine de ces Messieurs dames, je laisse donc tomber. C’est Jérôme qui suggère qu’on me punisse puisque je n’ai pas l’air d’apprécier les bons petits plats de ma maîtresse, mais Kriss ne relève pas, son intention n’est ni de me forcer à manger, ni de prolonger notre présence autour de cette table.
Il fut convenu que l’on boirait le café en bas dans le donjon, pendant ce temps, ma maîtresse me conduisit à quatre pattes jusqu’à la salle de bain en me cravachant les fesses, et surprise me demanda de me doucher ! Cinq minutes après elle revint me chercher et nouvelle surprise, me déposa un petit bisou sur le coin des lèvres en murmurant :
– Tu es un bon esclave, continue à nous donner du plaisir !
J’en étais tout transporté de bonheur !
C’est bien sûr en laisse que je rejoignis le donjon, je pensais y retrouver d’autres personnes, mais non. Les trois « invités » étaient assis sur des poufs prêts à savourer le spectacle. C’est à eux que Kriss s’adressa en premier :
– Bon vous êtes mes invités, mais ici vous êtes sous mes ordres. C’est moi et moi seule qui dirige les opérations, quand j’aurais besoin de vous je vous ferais signe !
Puis elle me dirigea vers une croix de Saint-André où elle m’attacha de face. Elle commença par me passer un lacet qu’elle serra autour de mes couilles et à la base de ma queue. Puis elle entreprit de me tortiller le bout des seins. Contrairement à la dernière fois où elle avait agi progressivement, elle commença très fort, m’arrachant un cri de douleur, c’était fort mais supportable, elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. C’est avec art qu’elle m’en écrasait le bout tout en leur imprimant un mouvement de pivotement. Bien évidemment ma queue se dressa, arrogante, grâce à cet habile traitement.
– Qui t’a autorisé à bander, petite salope ?
– Pardon, Maîtresse !
– Tu vas être puni pour cela.
– Oui Maîtresse !
Kriss alla chercher deux pinces à seins et me les plaqua, elle se débrouilla pour me les placer le plus près possible de l’extrémité, là où cela fait le plus mal. Je pensais qu’elle allait s’amuser avec, mais pas du tout, elle décrocha du mur un martinet à longues lanières, et commença à m’en frapper les cuisses.
– Dix coups sur chaque cuisse, ça c’est le hors d’œuvre !
Au 20ème coup elle s’arrête, me sourit en tenant le martinet à la main, je sais qu’elle va frapper mais j’ignore où. Son regard possède en ce moment quelque chose de profondément troublant, je suis complètement dominé par cette femme, et prêt à subir (presque) n’importe quoi de sa part. Elle se met soudain à lécher l’extrémité du martinet et je m’aperçois à ce moment-là que celle-ci à la forme d’un gode. Je pense alors qu’elle va me le faire lécher. Mais non, le coup arrive en plein sur la queue. Je hurle, mais en reçois un deuxième.
– Pitié Maîtresse, ça fait trop mal.
Elle ne veut rien savoir, et continue. Au 8ème coup elle s’arrête me laissant presque groggy.
– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci Maîtresse !
– Dis donc, pouffiasse, tu as employé un mot interdit quand je t’ai frappé.
Je comprends instantanément son jeu.
– Oui Maîtresse, j’ai imploré votre pitié, je ne ferais plus, punissez-moi Maîtresse !
– T’inquiètes pas pour la punition, tu ne vas pas être déçu, mais en attendant tu vas voir ce qui va t’arriver
Cette fois le coup est pour ma poitrine, le coup est si bien ajusté que la pince se déplace légèrement sur mon téton. Je comprends que c’était le but de la manœuvre. Nouveau coup de fouet, cette fois la pince tombe en me faisant hurler de douleur. Elle vise l’autre qui ne tombera qu’au troisième coup. Je n’en puis plus ! Elle ramasse les pinces et me les replace. Je commence à me demander si je vais tenir le coup à ce rythme-là. Cette fois elle prend un temps infini pour viser avec son martinet, manifestement elle veut le faire tomber du premier coup.
Splash, le coup tombe, cinglant douloureusement ma poitrine tandis que mon téton ressent cruellement la torture de la pince qui se détache. Je suis en sueur, il est temps qu’elle passe à autre chose, j’attends avec appréhension le deuxième coup de martinet. Cette fois encore elle détache la pince du premier coup. Je panique quand je la vois ramasser les pinces, mais ce n’est que pour les ranger. Elle me détache de la croix. Comme elle ne m’a fouetté que devant, je pense qu’elle va me retourner pour me fouetter le dos et les fesses, mais non, ce sera sans doute pour plus tard.
– A genoux, salope !
– Oui maîtresse !
– Tu es venu-là pourquoi aujourd’hui ?
– Pour vous obéir, maîtresse !
Elle me balance une gifle magistrale et me crache au visage plusieurs fois de suite.
– Non ce n’est pas la bonne réponse !
– Pour… pour… pour…
Nouvelle gifle
– Alors ça vient ?
Je n’ai aucune idée de la réponse qu’elle attend, puis me remémorant ses « promesses » de la dernière séance :
– Pour vous nettoyer le cul, maîtresse !
Nouvelle gifle !
– Non t’es venu pour te faire enculer !
– Oui maîtresse !
– Dis le ! Je veux t’entendre le dire !
– Je suis venu me faire enculer, Maîtresse !
Puis Kriss s’adressant à Jérôme :
– Viens ci ! Connard !
Kriss me fit placer derrière lui. Pourquoi derrière ?
– Bon, tu vas aller toucher la bite à Jérôme, mais attention pas n’importe comment, n’oublie pas les gestes que tu vas faire, j’espère qu’on aura l’occasion de les refaire… Tu restes derrière lui et tu lui caresses la braguette jusqu’à ce que tu sentes son sexe durcir.
– Ça y est c’est dur !
– Bon, alors maintenant tu ouvres la braguette, et tu continues à le caresser à travers le slip, voilà caresse le doucement on n’est pas pressé. Tu as vu Chantal ce qu’il se fait faire ton mari ? Tu savais qu’il était pédé ?
– Un peu, oui, mais Il me surprendra toujours !
– Bon maintenant tu peux lui sortir la bite, et tu la branle doucement ! Ne bouge pas, reste derrière.
L’idée de faire des choses avec ce type ne m’enthousiasmait guère, mais il faut avouer qu’il avait une belle pine et un gland superbe.
– Mets-toi devant lui, sors-lui les couilles et caresse-les. Bon maintenant tu peux lui baisser le pantalon et le caleçon. Allez maintenant, suce-le !
Sans trop réfléchir, je gobais la verge de Jérôme et entrepris de la sucer, le contact était doux et chaud et la sensation d’interdit lié à cet acte m’excitait considérablement. Mais soudain je sentis sa queue se raidir violemment dans mon palais. Cet abruti était en train de jouir dans ma bouche !
– C’est vraiment malin ! Retourne à ta place ! Et toi avale !
Je ne me décidais pas à le faire, mais quelques gifles eurent raison de mes réticences. Après tout ce n’est pas mauvais
Chantal et Hélène étaient mortes de rire devant cette situation imprévue.
– Ça vous fait rire vous deux ? Pas moi, déshabillez-vous on va s’amuser.
Les deux femmes étaient assez différentes, Chantal affichait des rondeurs un peu limites sur un corps à la peau trop blanche et une chair qui deviendra vite flasque. Les fesses avaient une certaine tendance à la cellulite, mais la poitrine restait agréable quoique très légèrement tombante. Hélène, elle, avait le corps tout bronzé sauf la marque d’un slip brésilien, on sentait l’aérobic et les massages esthétiques.
Kriss fit mettre les deux femmes à quatre pattes.
– Toi l’esclave tu vas leur lécher le cul, et tu devras dire laquelle des deux a le cul qui sent le plus fort !
Bis repetita de la première séance, donc ! Mais avec deux femmes, cette fois-ci. La précédente séance m’avait permis de me débarrasser un tout petit peu de mes inhibitions en ce domaine, mais pas complètement. Par contre, sucer un trou du cul bien propre, ne m’avait jamais gêné, restait à savoir si ceux-ci l’étaient. Je commençais par Chantal et me souvint à ce moment-là qu’aucune des deux femmes ne s’était rincé après le pipi du midi. Je fourrais donc ma langue dans son anus, bien agréable à lécher sans vraiment ressentir quelque chose de particulier.
– Alors il est comment son trou du cul ?
– Il est propre maîtresse !
– C’est bien dommage ! Dis donc Chantal, je t’avais pourtant demandé de garder ton cul un peu sale…
– Je sais, j’ai pris une douche ce matin mais je n’ai pas été faire caca depuis.
– Et là tout de suite tu n’as pas envie ?
– Je ne crois pas !
– Alors je vais devoir te punir !
– Comme vous voulez, maîtresse !
Je léchais à présent l’autre, la différence fut vite évidente, mais me rendant compte que personne ne m’obligeait à le lécher davantage je stoppais immédiatement !
– Celui-là est moins propre, Maîtresse !
– Et bien justement nettoie-le !
Très curieusement, et contrairement à la première fois, je m’aperçu que cet ordre dégoûtant me plaisait, si ma maîtresse m’imposait cette épreuve c’est qu’elle savait que j’étais capable de le faire, pour rien au monde je ne voulais la décevoir. Je commençais par lécher les traces brunes, puis donnais donc des coups de langues au plus profond que je pouvais, rencontrant un goût acre et troublant.
– Je peux pousser ? Ça vient ! Prévient Hélène.
– Non retiens toi, je vais vérifier tout ça !
A ces mots, Kriss introduisit un doigt dans le cul d’Hélène et entreprit quelques mouvements de va-et-vient, puis le ressortit.
– Lèche !
J’évitais de regarder et léchais l’index pollué de ma maîtresse.
– C’est bon ?
– Oui maîtresse !
– T’es vraiment qu’un papier à cul !
– Oui maîtresse !
– Tu viens de lécher deux culs, t’en lécherais bien un autre ?
– Oui Maîtresse, le vôtre !
– Tout à l’heure si tu es sage !
– Merci maîtresse !
Maîtresse Kriss alla chercher un gode ceinture, et le confia à Hélène.
– Il faut bien que quelqu’un l’encule ! A toi l’honneur, Hélène !
Kriss me fit mettre à quatre pattes et tandis que la rousse me forçait le cul de son gode, ma maîtresse passant ses mains sous mon torse me tortillaient les seins.
Au bout de cinq minutes de pilonnage anal, Hélène fut invitée à se retirer.
– Regarde-moi ce cochon, Commente-t-elle, il a tout sali le gode.
– Quand on salit, on nettoie.
Je m’exécutais sans broncher prenant conscience que ce qui me restait d’inhibition en la matière (c’est le cas de le dire) était en train de disparaître.
Ensuite, Maîtresse Kriss me fit allonger sur le dos sur une table où elle m’attacha par les poignets et par les chevilles, puis s’éloigna de quelques mètres pour revenir avec une bougie allumée ! Je n’avais jamais eu l’occasion de tester ce supplice. Cependant il ne m’inspirait guère. Si une dominatrice peut toujours doser la portée d’un coup de martinet ou de cravache, si elle peut doser la douleur d’une pince comment par contre doser la brûlure d’une bougie en fusion ? Comme pour me donner confiance, Kriss se débarrassa (enfin) de son chemisier et entrepris de faire couler la première cire sur son sein, ce qui lui provoqua un petit frémissement, puis sans transition, elle en coula sur la paume de mes mains, curieuse sensation… une douleur vraiment à la limite de la brûlure, mais ce n’est pas une brûlure, ça picote et c’est loin d’être désagréable.
Elle dirigea ensuite la coulée vers mes seins, zone beaucoup plus sensible, je poussais quelques petits cris, mais la douleur n’avait malgré tout rien à voir avec ce qu’elle m’avait infligé avec le martinet et les pinces. C’est ensuite mon nombril qu’elle attaqua s’amusant à le remplir entièrement de cire en fusion. J’appréhendais la suite sachant que la prochaine cible serait ma bite. C’est effectivement ce qui se passa, mais auparavant elle prit deux bougies plus grosses et qui coulaient donc davantage, une sorte de chaleur trouble envahit soudain mes couilles, me provoquant à nouveau une belle érection. C’est exactement ce que cherchait Kriss qui fit ensuite couler le liquide sur ma verge et sur mon gland.
– Bon il reste encore plein de trucs à faire, on ne va pas tout essayer aujourd’hui ! Mais tu vas avoir ta récompense. Avant tu vas aller dans la salle de bain et te débarrasser de toute cette cire de bougie que tu as sur le corps. Au passage tu demanderas à Angélique de nous servir le café. C’est elle qui te ramènera ici !
Il n’est pas évident de retirer les morceaux de cire qui s’agglutinent dans les poils, la prochaine fois, avant de venir, je me raserais le corps intégralement et j’espère que cela plaira à ma maîtresse. Au bout d’un quart d’heure je n’étais toujours pas prêt, Angélique pénétra dans la salle de bain.
– Je n’ai pas tout à fait fini !
– Je sais, j’attends !
J’avais l’air un peu idiot de m’escrimer avec mes morceaux de bougies fondues coincés dans les poils de mes couilles. J’essayais d’engager la conversation.
– C’est pas évident vous savez ?
– Ce qui est évident c’est que maîtresse Kriss va perdre patience !
A ces mots Angélique se saisit d’un téléphone portable
– Il n’est pas encore prêt… Ah, d’accord… Bien Maîtresse !
Angélique farfouilla dans l’armoire de la salle de bain et en ressortit une bombe de gel à raser et plusieurs rasoirs.
– Tu finis avec cela ! Kriss ne veut plus voir un seul poil ! Je vais revenir !
J’entrepris donc de me raser tous les poils. Cette opération n’est pas très rapide mais je réussis à la mener à bien, éprouvant une nouvelle sensation trouble en caressant mon corps devenu lisse.
Angélique revint, elle tenait dans ses mains des bracelets en cuir, sans que nous quittions la salle de bain, elle me fit mettre à genoux et m’attacha les chevilles avec une première paire, les poignets derrière le dos avec la seconde paire, puis le rejoignit les deux paires avec une courte chaîne qui m’empêcherais de me relever
– Voilà tu restes là un moment, on viendra te rechercher quand on aura besoin de toi !
Je ne m’attendais pas à cela, mais puisque cela faisait partie du jeu… Je n’avais pas ma montre et il n’y avait pas de pendule dans cette pièce. Toujours est-il qu’au bout d’un moment j’avais les genoux en compote, à force de contorsion je parvins à me coucher en chien de fusil sur le carrelage froid, pour me rendre compte aussitôt que la position était tout aussi inconfortable et difficilement réversible. Je perdais la notion du temps me demandant quand même ce que je faisais là. Ce genre de punition n’ayant rien de particulièrement excitant, je ne tardais pas à avoir une envie de pisser irrésistible. Il était temps qu’on revienne me chercher, mais personne ne venait. Je criais assez fort :
– Y a quelqu’un ? J’ai envie de pisser !
Mais je savais bien que personne ne viendrait, sauf quand Kriss l’aurait décidé. Je n’avais qu’une solution : attendre, étant bien entendu que si je m’octroyais la fantaisie de faire un raffut du diable, la domination s’arrêterait brusquement et définitivement, ce que je n’osais envisager.
L’envie d’uriner me prenait à la gorge, et je laissais convaincre que je n’avais pas à me gêner, et je me résolu à me pisser dessus.
Peu de temps après Angélique vint me délivrer :
– C’est quoi ce bordel ?
– J’avais trop envie !
– Je devrais te faire nettoyer, mais je ne peux pas faire attendre Maîtresse Kriss, mais tu ne perds rien pour attendre, j’en ai marre de passer mes journées à éponger la pisse !
J’ignorerais toujours ce qui s’était passé pendant mon enfermement, mais je constatais que Jérôme était maintenant emprisonné à poil dans une cage. Hélène, elle était attachée à la croix de Saint André, ses seins et sa chatte étaient pris dans des pinces et tout son corps était strié de marques de martinet. Quant à Chantal et Kriss elles étaient enlacées sur un tapis, l’air épuisées comme si elles venaient de s’envoyer en l’air. Néanmoins, à mon arrivé Kriss se redressa :
– Ah, ben te voilà quand même, toi ! On t’attendait ! Hélène avait une grosse envie, j’ai dû la punir pour l’obliger à se retenir. Tu vas pouvoir te régaler du spectacle
Devant mon peu d’enthousiasme, elle ajouta :
– De toute façon tu vas adorer, c’est un spectacle que t’offre ta maîtresse, et elle est contente de te l’offrir !
La tournure des évènements ne me plaisait pas trop. Kriss détacha Hélène et fit sortir Jérôme de sa cage. Elle lui demanda de se coucher sur le sol. Hélène vint s’accroupir au-dessus de lui, se mit à pousser et lui chia un long étron sur le visage. Je ne vis pas la suite, Kriss m’entrainant à l’autre bout de la pièce en tenant à la main un plat en argent qu’elle posa à même le sol, avant de se mettre en position et de commencer à pousser, je regardais partagé entre répulsion et fascination ce boudin marron qui se tortillait au bout de son anus avant de dégringoler. Quand elle eut terminé, elle se mit à genoux, fesses relevées et ordonna :
– Viens lécher le cul plein de merde de ta Maîtresse !
J’obtempérais, d’abord hésitant, puis me persuadant qu’il fallait le faire, pour ma maîtresse. Je le lui nettoyais donc avec une application qui se transforma vite en excitation.
– Alors c’était bon ?
– Oui, maîtresse !
– Dit moi ce qui était bon !
– De lécher votre merde, maîtresse !
– Alors tu as droit à un petit bonus !
Alors devant mes yeux incrédules, je vis Maîtresse Kriss ramasser un peu de matière, en faire une petite boule qu’elle approcha de sa bouche pour la lécher à grands coups de langue avec un air de défi, puis s’en badigeonner les tétons avant de me les offrir à sucer.
Complétement parti dans ce trip scatologique, je n’hésitais même pas et léchais ces pointes merdeuses dans un état second.
– C’est bien ! Tu es un bon esclave, tu vas maintenant te faire jouir pendant que je te pisse dans la bouche !
– Oh quel beau cadeau ! Merci maîtresse !
Et joignant le geste à la parole, ma maîtresse posa sa chatte sur ma bouche et la remplit de ce délicieux liquide, tandis que d’une main fébrile je faisais enfin jouir ma bite.
– Je pourrais revenir vous voir, Maîtresse ?
Sa réponse ne fut qu’un sourire mais ce fut la plus belle des récompenses.
FIN DE L’EPISODE
Boris Vasslan © 2000 (remanié en 2003 et reconstitué dans son intégralité en 2008)
vasslan@hotmail.fr
J’adore ces situations de dominations où rien ne se passe vraiment comme prévu
Quelle ambiance ! Je me serais bien vu à la place du soumis.
On m’a déjà chié dessus et j’ai aimé ça, la première fois c’était pendant une soirée un peu fun, on demandait une volontaire, j’y suis allée, je me suis étalée sur la table et la femme est venu faire son boudin. En suite on m’a tartiné et on est venu me lécher tout ça ! J’ai bien aimé, je devais avoir des prédispositions.
Je prends toujours un plaisir extrême à relire ce récit fabuleux dans lequel je retrouve tous mes fantasmes
J’ai toujours eu du plaisir a regarder une jolie femme chier !
Spectacle rare et pour y assister, j’y ai longtemps été de ma bourse
Et quand un jour une domina m’a proposé de faire sur moi, je ne me suis pas dérobé
J’ai lu le 3 avant le 2 ! pas bien grave ! C’est la suite logique du premier, on sent l’auteur fasciné par la bisexualité entre mecs, c’est vraiment son truc, mais l’ambiance SM est bien rendue, les aspects uro et scato sont plutôt bien dosés
Voilà, j’ai une question : Je suis assez maso et je paie quelques copines pour me faire fouetter et humilier.
Je franchirais bien le pas en allant voir une vraie maîtresse
J’aimerais qu’on m’oblige à sucer des bites,
Ce qui m’embête c’est la scato, je ne suis pas prêt pour ça, pas du tout ! Et j’ai peur qu’on ne me l’impose.
Est-ce que quelqu’un peut me rassurer sur ce point ?
C’est la maîtresse et le soumis qui définissent ensemble ce qu’ils vont faire ou non.
Une maîtresse qui impose des trucs à son soumis pour lequel il n’est pas d’accord, ça n’existe pas.
Et puis quel est l’intérêt de faire faire au soumis des choses qu’il n’est pas prêt à faire ? Ce n’est pas comme cela qu’on risque de fidéliser un client.
Boris a bien répondu, mais je dois ajouter quelque chose. Les soumis ont leurs limites, et certaines seront infranchissables, mais pas toutes. L’exemple classique c’est le type qui refuse toute relation homosexuelle, pourtant dans le cadre d’une domination et en y allant progressivement, 9 fois sur 10 le mec va finir par le faire.
On procède par petite touche, genre « regarde sa bite comme elle est belle », on guette ses réactions, on lui dit de toucher, juste toucher,.. pour commencer, ensuite l’enchaînement se fera soit dans la foulée soit à une séance suivante.
Pour la scato c’est plus compliqué, personne ne fais caca à volonté ! Mais lécher un cul mal essuyé ou tout simplement un doigt qui sort de l’anus, c’est déjà de la scato, si le soumis ne refuse pas violemment ce genre de pratique, on peut aller plus loin.
Je me souviens d’un type à qui j’avais doigté l’anus, je lui ai ensuite demandé de me lécher les doigts. Il a refusé catégoriquement, je lui ai dit alors :
– Dis-moi que tu es une petite salope !
– Je suis une petite salope ! » a-t-il répondu
– Tu sais que les petites salopes, ça lèche les doigts qui sortent des trous du cul ?
Et là, miracle le mec s’est mis à lécher, je n’en revenais pas