Un Petit café chez Sandra par Sandra et Claude

Ce texte a été publié il y a plus d’un an sur un grand site d’histoires
érotiques par Hélèna sans que l’auteur ne se manifeste. Il peut, bien sûr,
toujours le faire ! Mais il aurait été dommage que ce très bon texte « bi » ne
figure pas en bonne place parmi les histoires publiées ici !

Un Petit café chez Sandra

Au volant de ma voiture, j’avais de la difficulté à me concentrer sur la
route. J’allais enfin rencontrer Sandra en personne. Cela faisait déjà un
bon moment qu’on avait fait connaissance sur un des canaux de bavardage. Ce
matin là je m’étais connecté avec l’espoir de la trouver en ligne. Non
seulement elle était là, mais elle a accepté mon invitation à prendre un
café.

J’étais ivre d’anticipation; serait-elle ce que je m’attendais ? Nos
conversations sur le net étaient-elles un indice de ce qui allait se
produire ? Était-elle prête à tromper son mari ? J’en savais rien. Cela
faisait déjà quelques temps qu’on partageait nos fantasmes et nos désirs les
plus intimes sur le net et on avait parlé au téléphone une fois. J’avais été
enchanté par sa voix douce et sensuelle; elle m’avait mis hors de moi en me
disant ses fantasmes les plus chers. Mon cœur battait tellement fort j’avais
peur d’avoir un malaise.

J’ai réussi à me rendre tant bien que mal à l’endroit prévu pour notre
rendez-vous. Serait-elle là ? Changerait-elle d’avis à dernière minute ? Je
me suis présenté avec quelques minutes d’avance. Devant les portes du café
convenu comme lieu de rencontre je vois une fille qui attend… c’est elle ?
D’un air distrait, elle me regarde approcher. Mes doutes disparaissent quand
je la vois un magnifique sourire se dessiner sur son visage. Elle est telle
qu’elle s’était décrit et plus. Elle a des grands yeux vifs et un regard
innocent qui la font paraître beaucoup plus jeune que ses vingt-cinq ans. Je
presse mes pas, je lui serre la main et je l’embrasse sur la joue d’un
baiser nerveux, en touchant à peine son visage.

– Sandra ?
– Oui. Comment ça va ?
– Très bien… Heu… hmmm… Je suis très content de te rencontrer…
Uhh… s’cuse-moi si je ne sais pas trop quoi dire… Tu es vraiment
ravissante.
– Merci… Moi aussi je suis un peu nerveuse…
– On va à l’intérieur ? On fera mieux connaissance devant une tasse de café.
– C’est pas nécessaire. J’ai l’impression de te connaître déjà comme un
vieil ami. Viens chez-moi, on sera mieux à l’abri des regards.

Je n’ai pas hésité une seconde avant d’accepter son invitation. J’avais
seulement un doute:
– Ton mari n’est pas là ?
– Il est au bureau. Il ne sera pas là avant sept heures… Alors tu viens ?
T’as ton auto ? Je suis venue à pieds, j’habite à dix minutes d’ici.

Il commençait à pleuvoir et on a couru s’abriter dans l’auto. À l’intérieur,
l’imper qu’elle portait s’est ouvert et m’a permis de découvrir une paire de
jambes divines. Elle portait une jupe très courte en dessous et je ne savais
pas si elle faisait exprès pour montrer le plus de peau possible. Pendant
qu’elle me montrait le chemin à prendre, je jetais des regards furtifs en sa
direction. Une bosse imposante prenait déjà forme sous mon pantalon. Elle
n’a pas fait semblant de rien voir, au contraire elle m’a regardé
directement dans les yeux en passant lascivement sa langue sur ses lèvres.

La voiture s’est arrêtée devant sa porte et nous y sommes rentrés d’un pas
rapide.

Sa demeure était décorée avec goût. Je me suis assis sur un divan moelleux
au salon pendant qu’elle fermait les stores et m’offrait un verre. Assise
sur la causeuse, elle m’a fait signe d’approcher. Nous avons commencé une
conversation sur nos différents intérêts, j’ai complimenté sa maison en
buvant lentement ce qu’elle m’avait offert. Après seulement quelques
minutes, j’ai senti sa main effleurer ma jambe, qui était près de la sienne.
Elle a pris le verre que j’avais encore dans ma main et l’a placé sur la
table à café.

C’est toujours indescriptible cette sensation du premier baiser. J’ai senti
sa bouche se poser sur la mienne et c’est comme si un éclair avait touché à
terre. Nos langues se sont entremêlées. La sienne avait un goût de miel et
amandes en pénétrant ma bouche. J’ai caressé l’intérieur de sa bouche avec
des va-et-vient furtifs de ma langue. Elle a mis une jambe à chaque côté de
moi et s’est assise sur mes genoux. Me devançant, elle a pris chacune de mes
mains et les a posés sur ses hanches voluptueuses.

J’ai caressé chaque partie de son corps d’une main fébrile. Ses fesses et
ses seins étaient d’une douceur infinie. Très habile, elle commençait à
défaire mes boutons de chemise et ceux de sa blouse sans briser notre
baiser. Elle a défait mon pantalon avec la même adresse, puis j’ai vu ses
mains baisser sa jupe qui ne tenait que par un élastique. Elle s’est mise
débout pour la laisser glisser à ses pieds. Sa blouse défaite et sa
chevelure en désordre, elle avait l’air d’une femme dans tous ses états.

Elle m’a aidé à baisser légèrement mon pantalon et est venue coller encore
une fois son corps au mien. Cette fois en m’embrassant sur le cou et la
poitrine, elle a réussi à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout
en lâchant des petits râlements, des ohh! Et des ahh ! Elle commençait à me
masturber lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide,
soupesait le sac se forçant sous mes caleçons, serrait le nœud fermement.
Elle a descendu son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant
son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide.

J’ai senti sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les
yeux vers moi, elle a commencé une succion répétitive. Son visage était
comme illuminé pendant qu’elle s’activait à prendre le plus possible de ma
bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si
elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante
décharge de sperme à avaler.

Son regard s’est égaré, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si
la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde; de temps
en temps elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de
langue. Cela me permettait d’éviter un orgasme trop vite venu tout en me
donnant d’agréables sensations. Puis, elle m’a dit:

– Vas-y… Tu peux décharger dans ma bouche… J’aime ça.

Et elle a entamé une pipe endiablée. Elle me branlait d’une main en suçotant
sur le nœud de ma bite. C’était presque violent. Mon dos s’est cambré, mes
jambes ont raidi et j’ai senti ce courant électrique qui précède la
jouissance. J’ai giclé avec beaucoup de force une abondante quantité de
liquide visqueux et chaud. Elle a arrêté son pompage que lorsque ma queue
était devenue tellement sensible que c’était douloureux. Puis elle a remonté
vers moi. Son visage était radieux.

– Tu n’as pas échappé une seule goutte.
– C’est mieux comme ça… Pas de gaspille.
– Merci. C’était magnifique… Mais je n’ai même pas caressé ton sexe. Je
voudrais te donner autant de plaisir que toi tu m’as donné.
– Tu l’as déjà fait. J’ai joui sans me toucher… Mais si tu veux me
caresser, je suis toute à toi.

En disant cela elle a écarté de son sexe sa petite culotte. Il suffisait
d’un coup d’œil pour voir que sa forêt était inondée. Sa toison reluisait
tellement elle mouillait. J’ai pu voir des longues coulisses de jus qui
descendaient le long de ses jambes.

Une envie soudaine de plonger mon visage entre ses jambes m’a secoué. Je
voulais fouiner chaque recoin de sa fente avec ma langue. Laisser ma bouche
éponger ses sécrétions généreuses. La prenant presque violemment par la
taille, je l’ai fait s’étendre sur le sofa. Elle semblait amusée par mon
empressement. Je me suis rué sur elle, j’ai commencé par embrasser sa bouche
comme un affamé. Elle goûtait encore moi. J’ai léché et sucé son cou et ses
épaules, je me suis attardé spécialement sur ses seins, que j’ai tété et
mordillé avec délectation. Ses mamelons ont dressé tout de suite et elle a
gémi un peu en s’abandonnant à mes caresses. J’ai frayé mon chemin le long
de son ventre, son odeur de femelle commençait à remplir mes narines.

Quel plaisir que de trouver enfin l’objet de mes convoitises ! Ses jambes
écartées, son sexe était offert à moi et à mes caresses buccales. J’ai placé
sous ses fesses un coussin qui se trouvait sur le divan. Sa chatte était
toute baveuse et gluante déjà, elle baillait légèrement et une traînée de
jus allait échouer sur son anus rosé.

Son corps a raidi au premier toucher de ma langue sur son sexe. Ouvrant un
peu sa fente avec mes doigts, j’ai trouvé petit son bouton sans difficulté.
Il était tout rouge et demandait de l’attention, dressé comme une petite
bite. Je l’ai roulé sur le bout de ma langue, je l’ai pris dans ma bouche
pour l’aspirer, je l’ai massé en le pinçant entre mes doigts. J’ai léché son
con au complet, sans rien négliger. Je le lapais comme un chat. Ma langue
défilait tout le long de son sexe qui me gratifiait avec son liquide
doux-amer. J’ai plongé ma langue dans son vagin, en le léchouillant
l’entrée, j’ai pu sentir ses contractions qui voulaient emprisonner ma
langue à l’intérieur. Puis, j’ai glissé ma langue vers le bas. Son anus
s’est ouvert sans objections à mes attaques buccales, pendant que jouais
avec son clito. Son orgasme m’a surpris tant par sa violence que par sa
durée. En sentant ses frémissements, j’ai sorti ma langue qui fouinait les
plis de son petit trou pour aller coller ma bouche sur son sexe fumant.

J’ai vite été récompensé par une coulée succulente de jus féminins. Ses
jambes ont emprisonné ma tête, m’empêchant presque de respirer. Des longs
flots de liquide salé ont rempli ma bouche et sont descendus en grosses
gorgées chaudes.

Je ne sais pas si elle a crié, car j’avais les oreilles bouchées par ses
jambes, mais son orgasme a duré ce qui me semblait être des longues minutes.
Je n’ai pas arrêté de lui brouter la chatte que lorsque son corps s’est
détendu et elle est restée molle comme une poupée de chiffon.

Je me suis assis à côté d’elle pour qu’on reprenne notre souffle. Mon sexe
avait repris ses forces pendant que je m’occupais d’elle, mais elle avait
l’air épuisée.

– Merci. C’était trop bon. Tu manges toujours aussi bien les chattes?
– Je t’avais dit que je suis très oral. Je pourrais faire ça pendant des
heures entières…
– C’est parfait ça! Moi je pourrais me faire manger comme ça pendant des
heures.
– Dommage… Ton mari va arriver trop vite. On n’a pas des heures devant
nous.
– Tu sais quoi? Elle m’a dit d’un ton presque moqueur.
– Quoi?
– Tu te rappelles une fois… Tu m’as dit avoir un fantasme… Ça te tentait
d’avoir une relation à trois… avec un mec bi ?
– Oui… Mais c’est pas mal difficile de trouver un couple partant.
– T’as toujours envie de le faire?
– Bien sûr… Si l’occasion se présentait.
– Ok. Tu sais quoi encore ? Tu ne vas pas te choquer ? Mon mari n’est pas au
bureau… Il est là derrière la porte du placard et il a tout vu.
– Heu ? !!

Mon cœur a fait un saut. Je ne m’attendais surtout pas à ça. Elle avait mal
à contenir son fou rire quand elle a vu l’expression sur mon visage. J’ai
retourné la tête en direction du placard à l’entrée et j’ai vu la porte
s’ouvrir. Son mari est sorti comme si rien n’était et s’est dirigé vers
nous. Il n’avait pas du tout l’air d’un mari cocu. Il était plutôt souriant.
Il ne portait qu’un t-shirt et des boxers… L’image de quelqu’un qui
profite d’une journée de congé à la maison pour flâner et pour… regarder
sa femme s’éclater avec un autre mec !

– Salut… Ça va? Moi c’est Claude.
– Euhh… Oui ça va… Juste un petit peu surpris.
– T’en fais pas… Toi tu le sais pas mais des fois quand tu chattais avec
Sandra j’étais à côté d’elle et je te lisais. On aurait dû te dire tout de
suite qu’on serait trois à la table mais elle a préféré te surprendre. Je
suis content aussi parce que j’ai trouvé ça très hot de vous voir en
cachette. J’espère que tu n’es pas choqué.
– Non pas du tout. Mais si vous me faites ça encore une fois je vais mourir
d’une crise de cœur. Vous êtes sûrs qu’il n’y a plus personne de caché
quelque part?
– On est sûr !

L’ambiance commençait à être détendue. Ils avaient l’air d’un couple très
complice et bien dans leur peau. Lui aussi avait une mine très jeune. Il
était un bel homme dans la mi-vingtaine mais ses cheveux bouclés lui
donnaient une apparence de gamin. Du coup, l’érection que j’avais perdue
avec la surprise revenait. Ma queue commençait à s’enfler de nouveau. Les
possibilités qui se présentaient maintenant étaient très excitantes. Sandra
a parlé la première:

– Et si on passait dans la chambre ? On va être beaucoup plus confortable.

Elle n’avait pas terminé de prononcer ces mots qu’elle était déjà en route.
Nous l’avons suivie dans la chambre sans perdre du temps. À partir de là
tout s’est passé comme si on avait l’habitude de faire ça. Elle a sauté sur
moi et m’a dépouillé de mes vêtements en riant comme une gamine. Son mari
pendant ce temps ôtait le peu de sous-vêtements qu’elle avait encore. En le
disant, on était nu, Sandra et moi. Il ne restait que Claude. Je l’ai aidé à
enlever son t-shirt et Sandra, toujours rieuse, s’est accroupie devant lui
pour faire descendre son boxer.

Elle a dévoilé un sexe semi-rigide. Ses bourses étaient rasées, ainsi que
la base. Il ne gardait qu’une petite touffe entre la queue et le nombril. Je
me suis senti presque jaloux. Sa queue n’était pas plus grosse que la mienne
(de toute façon je ne suis pas si insécure que ça), mais elle était vraiment
belle. Sandra s’est mise à lui caresser les jambes. Elle ne riait plus et
avait pris un air sérieux.

Elle a pris son sexe entre ses mains et a amorcé une masturbation sur le
membre de son mari. Je voyais sa queue grossir à vue d’œil. Elle caressait
partout autour de cette queue qui pointait maintenant vers le plafond. Elle
m’a fait signe d’approcher. Debout devant elle comme lui, elle a pris nos
deux pieux entre chacune de ses mains. Elle nos masturbait lentement, on
aurait dit qu’elle était fascinée par ces deux membres qui étaient durs
seulement à cause d’elle. Elle pesait nos couilles comme pour essayer de
voir lesquelles étaient plus dures. En nous tirant par la verge, elle nous a
fait approcher de son visage.

Mon sexe est le premier qu’elle a embouché. On aurait dit qu’elle avait
l’eau à la bouche, tellement c’était mouillé et chaud dedans. Sa salive
coulait sur son menton et allait retomber sur sa poitrine haletante. Puis
elle a retiré ma queue pour la remplacer par celle de Claude. Elle n’a
jamais arrêté de nous branler simultanément, gardant un rythme constant.

Après avoir passé d’une queue à l’autre plusieurs fois, elle s’est arrêtée
sur la mienne. De sa main droite elle a tiré sur celle de son mari pour le
forcer à s’accroupir à son tour. J’ai tout de suite deviné ce à quoi elle
voulait en venir.

Très vite j’ai eu devant moi ce couple libertin qui s’en chargeait de me
sucer en tandem. Il n’avait pas autant d’expérience dans les fellations que
sa femme mais il n’était pas maladroit pour autant. Il mettait beaucoup
d’effort à aspirer ma bite dans sa bouche devant les yeux médusés de Sandra,
qui venait parfois prendre la relève ou donner quelques coups de langue à
mes couilles.

Puis elle a fait mettre Claude debout. Répétant ce qu’elle avait fait à son
mari, elle m’a fait mettre à genoux à côté d’elle. Droit devant mon visage,
son sexe paraissait plus gros qu’avant. Sans hésitations, j’ai foncé vers
lui et je l’ai embouché d’un seul coup. Sandra ne faisait que regarder la
plupart du temps, mais elle venait à l’occasion m’aider dans la fellation de
son mari. Du coin de l’œil je la voyais se tripoter les seins et sa main qui
frottait entre ses jambes avec insistance. Elle aimait le spectacle devant
elle, dans son visage on pouvait lire le plaisir qu’elle retirait en se
branlant avec notre show.

Sandra est venue se coller à mon oreille et elle a chuchoté quelque chose
qui m’a donné des frissons:

– Je veux qu’il t’encule.

Elle m’a pris par les mains et m’a fait approcher le lit. J’avais les jambes
en gélatine. D’une part j’étais terriblement excité, d’autre part j’avais
terriblement peur. Elle m’a fait mettre la tête sur le lit. J’étais presque
à quatre pattes. J’ai senti deux mains qui écartaient mes fesses et une
langue mouilla mon anus de salive. J’ai regardé Claude à côté du lit et j’ai
su que c’était elle qui perçait mon cul. Elle me caressait si bien avec sa
langue ! Elle la passait partout: sus mes couilles et sur mes fesses, mais
surtout dans mon cul.

Elle a fait mettre Claude derrière moi et a placé le nœud de son sexe dans
l’entrée de mon cul vierge. J’ai retenu ma respiration un moment, en sentant
cette queue qui commençait à percer. Je m’attendais à plus de douleur, mais
elle s’est assurée que Claude prenait son temps et mon cul était vraiment
trempé de salive. Après un moment, je le sentais commencer un va-et-vient
dans mon anus. Elle me branlait tranquillement au début, après elle a pris
la main de Claude et l’a mise sur ma verge pour qu’il s’occupe de moi et
elle est venue se placer devant moi. Assise sur le lit, les jambes bien
écartées.

Claude me fourrait de plus en plus fort et de plus en plus vite et moi je
léchais Sandra avec la même force, sinon plus.

J’ai senti Sandra tirer sur mon épaule et j’ai tout de suite compris ce
qu’elle désirait. Marchant sur mes genoux et sans arrêter mon enculage, je
l’ai rejointe sur le lit. Maintenant couchée et les jambes bien écartées,
j’ai pas perdu de temps et je me suis enfoncé en elle, profitant des coups
de bite que Claude donnait dans mon derrière.

Elle semblait hors de soi. M’embrassant passionnément et me disant des noms
à l’oreille.

– Petit enculé…. Ahhh… hmmm… Je le sens en toi… Hmmm vas-y enculé
baise-moi encore plus fort.

Son vagin caressait chaque nerf de ma queue et j’avais le cul à vif. Claude
me défonçait le cul comme un déchaîné maintenant. Je savais qu’il allait
jouir en moi bientôt. La pièce au complet sentait le cul et on entendait les
bruits de nos sexes moites dans nos orifices encore plus humides.

Elle a joui la première. Les contractions de son vagin sur ma queue ont eu
un effet incroyable. Le cul bien rempli, mon orgasme a été dévastateur. Très
long. J’ai serré le cul en même temps, ce qui a fait Claude m’envoyer un
arrosage de foutre gluant dans le cul.

Épuisés, nous sommes restés comme ça pendant des longues minutes. J’ai senti
Claude débander et abandonner mon cul meurtri, laissant échapper une
abondante coulée de sperme de mon boyau. Je suis resté accouplé à Sandra
pendant un moment mais finalement ma queue a dégonflé et quitté la gaine qui
l’accueillait.

On était trempé de sueur et après un bref repos nous avons sauté sous la
douche. Sandra et Claude se sont montrés très sympas, m’offrant de rester à
dîner et même à passer la nuit. Pendant qu’on mangeait un excellent repas
arrosé de vin rouge, Sandra m’a rappelé un fantasme qu’elle avait partagé
avec moi avant:

– Tu sais? J’adore la sodomie et j’aimerais toujours avoir deux hommes en
même temps. Ça doit être quelque chose de se sentir remplie comme ça…

Sandra et Claude

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3 réponses à Un Petit café chez Sandra par Sandra et Claude

  1. Hélèna Sevigsky dit :

    Ce texte a été publié sur notre site il y a 22 ans (comme le temps passe!) A l’époque il faisait figure d’Ovni, la bisexualité étant rarissime dans les récit érotique… depuis on a fait beaucoup mieux mais je relis toujours ce texte avec une certaine nostalgie.

  2. Dumigron dit :

    Superbement écrit, manifestement l’auteur sait de quoi il parle.

  3. Chandernagor dit :

    Classique mais classieux

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