Trois sœurs dans un hôtel par FireEyes
Attention, texte scato explicite
A l’accueil de l’hôtel
C’était en Ukraine, dans un hôtel au bord de la mer Noire. Elena, Natalia et Anastasia étaient les trois filles du gérant, et elles tenaient parfois le comptoir à la tombée de la nuit, quand les clients se raréfiaient et qu’il fallait seulement surveiller l’entrée.
Anastasia était la plus jeune des trois, et de loin la plus jolie. Elle considérait ses grandes sœurs comme des modèles à suivre, et elle les aimait beaucoup malgré les différends qu’elles avaient parfois. Le principal atout d’Anastasia, c’était son visage d’ange, avec ses yeux noirs pétillants, sa petite bouche, ses dents arrondies, blanches et bien rangées. Sa coiffure habituelle consistait à attacher ses longs cheveux noirs en formant comme un nœud papillon, et sa frange bien coupée tombait juste sur ses yeux. Elle avait un bon caractère, et se montrait peut-être un peu trop obéissante avec ses sœurs.
La deuxième, c’était Natalia. Elle n’avait pas beaucoup de particularités, si ce n’est d’énormes seins. C’étaient les plus gros de la famille, et aussi de la ville. Les garçons en étaient dingues, et se bousculaient pour pouvoir y toucher. Natalia avait appris à se laisser faire uniquement par ceux qui avaient quelque chose à lui apporter. En général, il fallait lui offrir quelque chose pour qu’elle daigne déboutonner son chemisier, et si quelqu’un essayait de violer son interdiction, elle avait des dizaines de gardes du corps à disposition pour se défendre; et ils savaient qu’ils seraient toujours payés pour ça.
Malgré elles, les deux premières faisaient beaucoup d’ombre à leur grande sœur de dix-huit ans, Elena. Sans être moche ni plate, elle restait malheureusement moins jolie qu’Anastasia, et moins garnie que Natalia. Elle avait pourtant beaucoup de talents. C’est toujours en suivant les conseils de ses sœurs avaient eu du succès auprès des garçons, et c’est toujours elle qui faisait leur coiffure. Elle essayait de garder certains avantages pour elle, mais cela ne suffisait jamais, et elle était un peu laissée pour compte quand ses sœurs étaient dans les parages. Le pire, c’est qu’on lui avait avoué que Natalia avait beaucoup de mal à satisfaire un garçon, et ça, Elena savait très bien le faire. Beaucoup de garçons le savaient, elle était une des meilleures suceuses de la ville. Son problème, c’est que le respect auquel elle avait droit impliquait que cette aptitude reste confidentielle.
Physiquement, Elena ressemblait à Anastasia. Elle avait la même allure, mais une peau un peu moins parfaite et une bouche moins mignonne; elle portait elle-aussi une frange bien coupée, et avait un nez en trompette particulièrement joli. Son regard gris-bleu tranchait nettement avec la douceur ténébreuse de celui de sa sœur.
Elena avait un trait de caractère qui ressortait très nettement, c’était sa jalousie. Et elle avait de bonnes raisons d’être extrêmement jalouse de ses sœurs. En conséquence, elle se montrait très dominatrice avec celles-ci.
Elle sévissait surtout à la nuit tombée. Elle s’était longtemps contentée de s’en prendre à Natalia et Anastasia lorsqu’elles allaient se coucher toutes les trois, mais depuis cette année-là, elle n’attendait plus que l’heure où leurs parents allaient se coucher, heure à laquelle elles devaient garder l’hôtel, et où les clients se faisaient rares.
Le comptoir mesurait un mètre vingt de haut. On y accédait par-derrière, en passant par une petite pièce où étaient rangées la caisse et les clés. Les filles disposaient de deux fauteuils derrière le comptoir, et d’un canapé dans le bureau. Pour Elena, c’était parfaitement suffisant.
Une chose l’énervait, c’est qu’un garçon regarde ses sœurs plutôt qu’elle. C’est Anastasia qui avait le plus de problèmes avec ça. Quand un groupe de clients passait et que cela se produisait, Elena leur donnait gentiment les clés, et quand ils étaient partis, elle se tournait vers sa sœur et la faisait se mettre à-genoux dans le bureau. Elle se tournait ensuite et la forçait à lui lécher l’anus. Au départ, c’était juste pour dégoûter la petite, mais Elena avait peu-à-peu pris goût à cela. Parfois, elle punissait sa sœur de cette manière juste pour satisfaire sa lubricité, et elle y prenait un grand plaisir. Anastasia avait commencé par se plaindre, mais en même temps, l’hygiène soignée de sa grande sœur amoindrissait la punition pour n’en faire qu’une petite corvée sans conséquences.
Quand c’est Natalia qui revenait d’une soirée de tripotage avec ses amis, elle passait elle-aussi à la casserole sous le joug de sa grande sœur. Son traitement à elle était un peu plus drastique, bien qu’Elena n’ait pas toujours l’occasion de s’y livrer. Quand c’était possible, elle forçait Natalia à se coucher les seins à l’air sur le canapé du bureau, et elle déféquait sur sa magnifique poitrine. Elle la laissait ensuite dans cet état avec la stricte interdiction de bouger, et revenait pour la nettoyer elle-même avant de la laisser partir.
Les pulsions scatophiles d’Elena étaient plutôt modérées: elle ne supportait d’une part que ses propres excréments, et tenait à ce qu’ils soient produits et manipulés dans la plus grande propreté. Elle défendait que ses étrons soient déformés ou étalés, et les manipulait avec une grande délicatesse, pour laisser aussi peu de traces que possible.
Pendant les premiers mois de la saison touristique, les trois sœurs respectèrent cette hiérarchie et ce système de punitions sans faire d’écarts, mais l’arrivée des touristes allait marquer un pas en avant pour la petite Anastasia. Bien que très récemment majeure, elle décida de se laisser dépuceler par un garçon qui lui plaisait.
Anastasia rentra anormalement tard le soir de son premier coup, et les deux autres ne mirent pas beaucoup de temps à deviner ce qui s’était passé. D’abord, Anastasia était revenue avec les cheveux détachés, ce qui n’arrivait jamais. Ensuite, elle était partie avec un jean taille basse qui laissait voir les nœuds de son bas de bikini, et elle était revenue sans les nœuds. Quand Elena, méfiante et autoritaire, trouva le slip dans le sac à main de sa sœur, elle commença de s’énerver, et alla s’enfermer avec elle dans le bureau, laissant Natalia au comptoir.
Au bureau, Elena avait rageusement enlevé tout son bas, et mis sa sœur à-genoux derrière elle. Anastasia commença de lui lécher l’anus comme d’habitude, mais après quelques secondes, elle sentit le muscle se contracter, et un étron rencontra sa langue. Elle voulut se retirer, mais Elena resta ferme, et la força à rester en place. La négociation avait aussi donné lieu à un échange de claques, mais Anastasia avait très peu frappé par-rapport à ce qu’elle avait reçu. Les joues écarlates, elle avait donc été forcée à lécher les déjections de sa sœur, puis à les manger pour la première fois. Et Elena l’avertit déjà que cela se reproduirait si elle recommençait de faire l’amour avec des garçons sans son autorisation; de toute façon, parler d’avoir cette autorisation de la part d’Elena était une pure utopie.
Anastasia continua évidemment de faire l’amour avec son petit-ami, qui était venu de l’autre bout du pays, et elle parvint à le cacher deux fois à sa grande sœur avant de devoir encore une fois manger ce que celle-ci rejetait.
La fois suivante, Anastasia ne parvint pas à rentrer à une heure normale, mais elle se crut sauvée en voyant que Natalia avait déjà été punie avant elle. Celle-ci attendait encore sur le canapé du bureau avec l’étron d’Elena sur les seins.
Mais en voyant que ses deux sœurs avaient fauté le même soir, Elena avait prévu autre chose, et elle amena Anastasia près de Natalia en la tenant par les cheveux pour la forcer à manger ce qu’elle avait mis sur la première. C’était encore chaud; Anastasia soulevait l’étron avec sa langue et le suivait en le mangeant, remontant vers le visage de sa sœur.
Chacune apprit de cette manière ce que l’autre subissait quand elle avait joué à la grande fille, et elles trouvèrent cela plutôt dégoûtant. Pour Elena, cela ne faisait que renforcer la punition, et par conséquent son autorité.
Maintenant que tout le monde savait ce qui se passait quand Elena s’enfermait avec quelqu’un dans le bureau, la nécessité de fermer la porte n’était plus vraiment de mise, si-ce-n ‘est pour masquer l’odeur. Mais Elena avait une échappatoire un peu humiliante en cas de fuite, et les touristes se moquèrent plus d’une fois d’Anastasia pour ses « flatulences »;.
Les punitions d’Anastasia, en revanche, ne se faisaient plus en privé, mais sous le comptoir. Si elle mangeait vite, l’odeur dégagée disparaissait rapidement. Une fois, par contre, Elena avait déjà baissé son pantalon et commencé de pousser quand des touristes passèrent la porte d’entrée. Hors de question d’essayer de faire croire à un gaz: il ne fallait pas laisser la moindre odeur s’échapper. Elena le fit vite comprendre à sa sœur, et celle-ci s’accrocha à ses cuisses pour bien coller les lèvres autour de son anus. Elle avait déjà un morceau de merde sur la langue, et supposait qu’Elena attendrait pour continuer. Mais celle-ci, tout en parlant avec les clients, simula un bâillement pour continuer de se déverser, et elle remplit très vite la bouche de sa sœur. Celle-ci commença d’avaler pour faire de la place, et Elena poussa encore plus, l’obligeant à tout gober en une seule fois. Anastasia parvint à ne produire aucun son au prix d’un effort surhumain, et décolla sa bouche après avoir tout laissé passer dans sa gorge. Elle resta agenouillée par terre pendant que sa sœur recevait l’argent, et la laissa aller chercher une clé et envoyer Natalia pour guider les clients.
Seules, elles purent se remettre de leur petit échange, mais Anastasia ne disait rien. Elle acceptait sa soumission et espérait seulement pouvoir cacher ses rapports sexuels de temps en temps.
Après avoir guidé les clients jusqu’à leur chambre, Natalia passa rapidement devant le comptoir, prit une petite veste, et quitta l’établissement sans se laisser poser des questions. Dehors, elle avait rendez-vous avec des amis à elle. Elle ne comptait pas se laisser toucher ce soir-là, mais de toute façon, elle improvisait toujours de genre de choses. Sa seule certitude, c’est qu’Elena était déjà allé aux selles ce soir, et qu’elle n’aurait pas de punition à lui infliger avant au moins une demi-journée.
La soirée entre amis de Natalia prit des allures plus intimes quand certains s’en allèrent pour la laisser seule avec deux garçons, et le départ de l’avant-dernier sonna le début d’une opportunité pour celui qui restait. Il essaya de la saisir avec un peu de subtilité en proposant simplement un verre de plus à Natalia, mais comme elle était un peu moins stressée que d’habitude – après la faute commise par Anastasia en début de soirée – elle en accepta plusieurs. Finalement, elle se releva ivre de sa chaise, et le garçon la reconduisit chez lui. Il n’y avait rien à craindre parce que c’était son ami, mais il ne l’empêcha pas de dégrafer son soutien-gorge pour lui proposer de s’amuser un peu avec ses courbes.
Bourrée, Natalia état bien moins farouche qu’à son habitude, et elle finit par accepter d’utiliser sa poitrine pour masturber son ami. Elle ne voulait pas mettre sa bouche dans le jeu, ni y toucher avec les mains, et on ne parla même pas de son vagin. Toujours est-il que le jeune homme profita volontiers de cette opportunité. A la fin, Natalia de releva piteusement, vacillante, et se rhabilla pour rentrer chez elle. Le garçon ne la retint pas, et elle retourna tranquillement à l’hôtel.
Quand elle arriva, Anastasia et Elena relevèrent la tête d’un seul mouvement, et secouèrent la tête en voyant dans quel état était leur sœur. Natalia les rejoignit derrière le comptoir, et Elena se mît à l’inspecter, suspicieuse. L’examen ne dura pas très longtemps, car si Natalia n’avait pas mangé le sperme étalé sur sa poitrine, elle ne l’avait pas non-plus essuyé. La tâche sur son chemisier pouvait prêter à confusion, mais pas l’odeur, et Elena ne s’y trompa pas. En une seconde, l’ambiance devint électrique. Comme elle n’avait plus de déjections à donner, Elena fit venir Anastasia et l’allongea sur le sol. Natalia dut se mettre par-dessus elle, et Elena la força à déféquer elle-même sur sa sœur. Ce n’était pas encore une punition pour Natalia, mais la suite le serait. Une fois qu’elle eut posé ses étrons sur les petits seins de sa sœur, elle dut changer de position et commencer à manger ses propres excréments. Elena observait la scène d’un œil victorieux, contente d’humilier sa sœur. Elle la releva en la tenant par les cheveux et l’amena dans la chambre qu’elles partageaient toutes les trois. Dans son lit, Natalia resta sagement en place, et Elena retourna au comptoir pour continuer sa garde. Toujours un peu énervée, elle retira les jambes après avoir enlevé sa culotte, et demanda à Anastasia de lui lécher l’anus pour l’aider à se détendre.
L’été avançait, et certaines chambres avaient déjà reçu plusieurs familles différentes. Ce faisant, Anastasia et Natalia avaient aussi subi plusieurs fois la rage de leur grande sœur, qui n’appréciait toujours pas qu’elles prennent du plaisir avec des garçons, alors que celle-ci peinait malgré ses charmes à en trouver aussi souvent qu’elles.
Les trois sœurs avaient veillé au comptoir toute la nuit, et elles commençaient de s’assoupir quand des clients passèrent la porte d’entrée. C’est Elena qui tenait le comptoir, et elle commença pas jeter un coup d’œil à son horloge. Il était cinq heures moins dix.
Les nouveaux arrivants étaient un couple. Si la jeune femme ne semblait pas intéressante à Elena, le jeune homme valait clairement le détour. Elle ne dut pas se forcer pour les accueillir très chaleureusement. Son bon goût se confirma lorsque Natalia accourut. Elle voulait évidemment voir le nouveau-venu aussi longtemps qu’il resterait. Elena dut faire le poing dans sa poche lorsqu’elle eut l’audace d’échanger quelques mots avec lui. C’étaient des banalités, mais la grande sœur ne pouvait pas s’empêcher d’être très jalouse.
Très professionnelle, Elena envoya sur-le-champ Natalia au bureau, sous prétexte d’aller mettre la chambre sur l’agenda des concierges, et elle capta elle-même l’acompte que devait verser le couple pour pouvoir séjourner dans l’hôtel. Après avoir signé, le jeune homme alla soulever les valises et se laissa ouvrir la porte par sa petite amie.
Elena se tourna avec l’intention d’aller prendre la clé de la chambre, et Anastasia passa devant elle à toute vitesse, la clé dans la main. La jeune fille s’empressa d’engager la discussion, empêchant la bien élevée Elena de reprendre le dessus. Contrainte à abandonner, elle frappa du poing sur le comptoir et s’élança en fulminant dans le bureau. Natalia y boudait assise sur le sofa, et Elena fondit sur elle comme une furie. En un instant, elle se retrouva au-dessus de sa poitrine, les fesses à l’air, pour y déposer ses excréments. Son méfait accompli, elle commença de s’éloigner, et Natalia se mit à protester. Sans se retourner, elle lui promit de lui envoyer leur petite sœur, qui se ferait un plaisir de la nettoyer avec sa langue.
Anastasia avait accompli son service avec grand plaisir. Elle s’était évidemment fait remarquer par le jeune homme, au risque de paraître un peu trop accueillante vis-à-vis de sa petite-amie, mais en tout cas, elle pouvait espérer avoir une ouverture dans les jours à venir.
Alors qu’elle dévalait les escaliers avec le sourire aux lèvres, un bras se tendit pour l’intercepter, et Elena l’attira tout près d’elle, lui prenant le menton dans une main. Les doigts enfoncés dans le mou des joues de sa sœur, et les yeux solidement ancrés dans les siens, elle se mit à sermonner sa petite sœur très durement, lui promettant une punition exemplaire pour l’affront qu’elle venait de lui faire. D’après elle, manger de la merde était un prix acceptable pour être sortie en douce afin de se faire sauter. Mais chercher à se faire sauter au sein même de l’hôtel allait lui valoir quelque chose de bien pire. Tellement pire qu’Elena n’osait pas encore arrêter son choix; elle était déjà en train de s’inonder d’idées malsaines…
De retour au comptoir, Elena attrapa le pantalon de sa petite sœur et le lui enleva. Elle alla l’envoyer par la bouche qui donnait à la cave, où on faisait la lessive, condamnant Anastasia à rester les fesses à l’air derrière le comptoir. Et pour l’obliger à prendre un maximum de risques, elle l’abandonna sur-place et s’enferma dans le bureau avec Natalia, qui attendait toujours avec un étron entre les seins.
Elena ne savait pas quoi faire de l’étron, aussi décida-t-elle de le prendre avec un mouchoir. Elle entrouvrit ensuite la porte du bureau et le tendit à Anastasia, lui donnant l’ordre exprès de le manger. Anastasia protesta en prétextant que les habitants allaient bientôt commencer à sortir pour déjeuner, alors elle lui donna simplement l’ordre de se dépêcher.
Après avoir nettoyé soigneusement les gros seins de sa première petite sœur, Elena fit se lever celle-ci et elle l’entraîna vers la fenêtre. Le chemisier ouvert, Natalia laissait bien voir ses seins, et elle rechignait à s’approcher de la vitre. Dans la cour, les premiers vacanciers étaient déjà sortis pour observer le temps qu’il faisait, hésitant probablement entre aller à la plage ou commencer par déjeuner.
Elena ne savait même pas quoi faire à Natalia, et elle jeta distraitement un coup d’œil au balcon des derniers arrivés. Elle y vit le jeune homme qui leur plaisait, mais pas son amie. Alors qu’elle se demandait où celle-ci se trouvait, elle l’aperçut dans la cour, porte-monnaie en main. Elle allait sûrement chercher un petit déjeuner dans le but de le ramener, tout le monde faisait cela le premier jour. Mais d’habitude, c’est l’homme qui y allait. Dommage !
Quelques minutes après, Elena poussait sa petite sœur sur le balcon d’une chambre libre, en face de celui de son bien-aimé, et elle observa rapidement les autres balcons. Il n’y avait presque personne; en tout cas personne pour la voir. Alors elle arracha le chemisier de Natalia et le fit tomber du balcon. Choquée parce que cela allait la forcer à traverser l’hôtel les seins à l’air, Natalia voulut protester, mais ouvrir sa bouche ne fit que permettre à Elena d’y mettre les doigts pour lui attraper la langue. Et celle-ci avait beau être glissante, les longs ongles de sa sœur lui permirent de s’y accrocher fermement. Déjà amusée à l’idée de son petit jeu, Elena se mit derrière elle et l’appuya contre la rambarde pour commencer de lui faire bronzer les seins sous le soleil qui se levait. Elle lui tenait toujours la langue, et Natalia gémissait doucement à-cause de la douleur. Elena essaya de la calmer en lui caressant un mamelon, et puis en détournant les yeux, elle s’aperçut que son jeune homme les avait vues. Elle lâcha la langue de sa petite sœur et osa même saluer le jeune homme. Parti comme c’était parti, il n’y avait aucune chance que celui-ci raconte cette aventure; et elle comptait sur lui pour ne pas révéler celles qu’elle se réservait avec lui.
Comme elle avait l’attention du jeune homme, Elena prit doucement les mamelles de sa sœur et se mit à les frotter l’une contre l’autre. Très gênée, Natalia patientait en baissant les yeux. Il y avait des gens qui passaient dans la cour, et il leur suffisait de lever des yeux pour la voir. Combien l’avaient déjà vue?
Les yeux braqués sur celui dont elle était maintenant la prétendante, Elena tourna sa sœur encore une fois et se mit contre elle. Derrière, à la vue du jeune homme, elle glissa les mains dans le pantalon de Natalia, et lui caressa doucement les fesses. Elle termina en lui enfonçant un index dans l’anus, et le retira pour le lui faire lécher. Comme Natalia ne voulait pas coopérer, elle lui reprit la langue avec ses griffes, et s’essuya le doigt dessus. Humiliée, Natalia s’agenouilla en signe de soumission, et resta sur-place tandis qu’Elena s’en allait, après avoir généreusement tiré la langue et mimé une fellation à son futur-partenaire. Elle n’avait plus qu’une chose à attendre: que sa petite amie reparte une deuxième fois. Et il était certain que le jeune homme allait tout faire pour s’en débarrasser…
L’occasion suivante fut la bonne. C’était à la nuit tombée, alors que les trois sœurs reprenaient leur garde. Natalia s’en alla la première, pour rejoindre ses amis, et Elena n’oublia pas de lui défendre de leur donner ses seins. Mais Natalia ferait ce qu’elle voulait, et elle finirait sûrement avec des excréments sur les seins…
Quelques minutes après le départ de Natalia, la jeune femme qui était venue avec son petit-ami passa devant le comptoir, et fut accueillie dès sa sortie de l’hôtel par un groupe de filles qu’elle semblait connaître. C’était un signal très clair: la chambre était maintenant ouverte.
Elena ne se posa pas une question de plus. Laissant Anastasia au comptoir, elle s’élança en direction de la chambre qu’elle attendait de visiter, et y trouva comme prévu le jeune homme, seul. Il était en chemise et en pantalon, et avait l’air neutre. Elle commença par brandir un rouleau de papier toilettes et lui demanda si c’était bien ici qu’on en avait besoin. Il répondit que non, mais l’invita à rester boire quelque chose avec lui. Très fière d’elle, Elena se dit qu’elle allait avoir son shot de sperme, ce soir.
Une minute après, elle était allongée nue sur le lit, et l’homme lui léchait l’entrejambe. Il était grand, la faisant paraître vraiment chétive, mais elle avait du répondant. Après qu’il lui ait prouvé sa valeur avec sa langue, elle passa à la réplique. à-genoux, elle l’attrapa par le pénis et le mit tout de suite dans sa bouche. Elle n’avait pas eu ce genre d’occasions depuis plusieurs semaines, la faute à ses séduisantes sœurs, mais ce soir elle se rattrapait copieusement.
Elle étonna grandement son homme lorsqu’il essaya de forcer sa gorge, et se rendit compte que celle-ci n’avait pas à être forcée. Il la lâcha tout de suite, et elle continua sa fellation avec les mains sur les cuisses, tendue en avant, et accueillant avec plaisir sa verge devenue très dure. Courbée au-niveau de son palais, l’organe glissait dans son œsophage en l’écartant un peu plus à chaque fois. Au bord de l’orgasme, l’homme voulut s’échapper pour jouir autrement, et Elena accepta de se coucher sur le lit pour se laisser habiter. Il entra dans son vagin et y travailla avec grand plaisir. Le dernier à lui avoir fait cela avait déjà vieilli d’un mois, ce qui rendit Elena très sensible à cette présence inespérée. Elle jouit en criant comme une damnée, implorant le jeune homme de ne ralentir sous aucun prétexte. Elle se redressa après la torpeur orgasmique pour demander à l’homme de lui jouir dans la bouche. Elle lui expliqua déjà qu’elle comptait donner son sperme à sa sœur, et cela ne manqua pas de motiver le jeune homme. Il s’éjecta rapidement de son vagin pour présenter son gland devant sa bouche, et elle le prit juste avant qu’il se mettre à cracher. Elle récupéra tout avec soin, patiente, et l’homme soupira grassement, soulagé. Alors elle se leva, la bouche fermée, et lui adressa un petit clin d’œil en se rhabillant. Il faisait de même quand elle passa la porte, et elle redescendit vers la cour.
Revenue devant le comptoir, sa langue gardant toujours la goutte de sperme qu’elle avait collectée, Elena appela Anastasia en sonnant sur le comptoir, et la laissa venir en face d’elle. C’est alors, seulement, qu’elle ouvrit la bouche, pour cracher le sperme sur le visage de sa sœur. Immédiatement, elle la rejoignit de l’autre côté et lui vola son pantalon. Il était neuf heures du soir, et il y avait peu de monde en circulation dans l’établissement. Mais si Anastasia devait aller jusqu’aux toilettes avec les fesses à l’air, et se nettoyer la face par-dessus le marché, elle risquait fort d’être remarquée. Elena se voulait intransigeante, et elle la laissa s’en aller.
Contrariée, Anastasia quitta le bureau en observant attentivement chaque tournant, mais avant de parvenir aux toilettes, elle entendit des voix derrière elle. Elle accéléra pour ne pas être rattrapée, et freina une nouvelle fois en apercevant un homme qui sortait des toilettes. Stoppée si près du but, elle fut faire quelques pas en arrière et s’engager dans un petit cul-de-sac pour attendre que les intrus soient passé. Et c’est à ce moment qu’elle se découvrit très malchanceuse: comme s’il n’avait pas autre chose à faire, un homme exprima – à voix-haute, comble de l’ironie – la curiosité de savoir ce qu’il y avait au bout de ce petit couloir. Il y découvrit Anastasia, piteusement rangée au fond du couloir, dissimulant sa vulve en tirant son T-shirt, et retenant difficilement une grasse coulée de sperme qui s’étendait déjà par-dessus le seul vêtement qu’elle portait. L’homme se sentit aussi gêné qu’elle, mais cela n’empêcha pas Anastasia de regretter sa misérable existence. Elle le suivit sans plus se gêner et se dirigea vers les toilettes pour aller achever sa croisade. Le nez nettoyé, elle repartit en sens inverse tout tranquillement. Rencontrer une femme sur le chemin du retour ne lui fit même pas d’effet: elle était vaccinée maintenant.
Elle aboutit dans le bureau où l’attendaient Elena et Natalia. La première venait de poser ses excréments sur les seins de la seconde, et celle-ci se pinçait le nez, dégoûtée. Elena s’extasia de voir leur petite sœur arrivée, disant qu’elle ne pouvait pas mieux tomber. Anastasia essaya bien de la convaincre qu’elles en avaient déjà assez fait ce soir, mais la volonté d’Elena était en béton armé. Dix secondes après, les joues devenues rouges après un bref échange de claques, et les cheveux solidement tenus par la poigne d’acier de sa grande sœur, Anastasia récolta le petit étron avec sa bouche et l’avala pour s’en débarrasser au plus vite. Elle termina de lécher Natalia pour lui éviter d’aller se laver encore, et s’essuya la bouche avec un mouchoir, toujours aussi dégoûtée. On sonna au comptoir, et Elena immobilisa ses sœurs sur-place, promettant de revenir après avoir servi ces clients
Fin
,
Trop glauque, la scato mérite mieux que ça ! Soyons ludique que diable !