Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni

Le voyage spatial s’est poursuivi sans incident notable. Avant l’atterrissage, j’ai expliqué aux filles que je possédais un cabaret mais que je ne pouvais pas y embaucher onze filles, j’en ai embauché trois, dont Valencia, j’en ai recommandé quatre autres auprès des gérantes de la Maison Parme et du Vagin d’Or; des bordels réputés pour leur bonne tenue, les autres se sont dispersées à droite et à gauche dans des établissements que je leur ai recommandés où elles pourraient exercer soit comme simples serveuses, soit comme entraineuses. Quant à Hofjom, il n’a aucun point de chute, je lui ai conseillé d’essayer de se trouver une activité et lui ai promis de l’aider s’il le fallait.

J’ai donc pas mal de choses à faire, j’accompagne les trois nanas que j’ai embauché à ma boite « le Diable rose » et les présente à Riquita, la belle transsexuelle, maintenant régisseuse des lieux.

– Bonjours Mesdames, bienvenue parmi nous !
– Bon, les filles, comme je vous l’ai dit, les clients ici viennent surtout pour chercher des contacts avec les transsexuelles, donc ne vous attendez pas à gagner le gros lot, mais je pense que vous arriverez à faire votre trou. Sinon en mon absence des choses particulières, Riquita ?
– Non ça roule plutôt bien ! Quelques bricoles mais rien d’important…
– O.K. Là j’ai un truc à faire, je reviendrais plus tard, je te laisse avec ces dames, je compte sur toi pour qu’elles soient bien intégrées à l’équipe.
– Et quand tu reviendras on pourra faire un petit extra.
– T’es une cochonne Riquita !

Et maintenant direction le Carrie’s bar. Petite anxiété, on ne sait jamais ce qui peut arriver pendant une longue absence.

Pas grand monde, un type est attablé et semble attendre quelqu’un. Marcia est derrière son bar.

– Quelle surprise, je vous croyais disparu ! M’apostrophe-t-elle.
– Eh non ! Carrie n’est pas là ?
– Elle est occupée !
– J’ai retrouvé l’assassin de Dernoul, son corps flotte maintenant dans l’espace et il n’est pas près de s’arrêter d’y flotter.
– Ouf ! Voilà qui m’enlève un poids. Je devrais sauter de joie, mais même pas, c’est ma fille qui va être contente, elle avait toujours une petite appréhension …
– Votre fille ?
– Oui, Carrie, c’est ma fille !
– Je l’ignorais…
– Eh bien désormais vous le saurez. En tous cas, je tiens à vous remercier, je suppose que ça n’a pas été facile ?
– Pourquoi dites-vous ça ?
– Tout ce temps.
– C’est une longue histoire.
– Je n’en doute pas.
– Je vais vous montrer le petit film que j’ai fait qui montre l’éjection de l’assassin dans l’espace.
– Laissez-ça capitaine, je vous fait entièrement confiance, je voudrais vous dire… Non laissez tomber, je dois être folle, on va attendre Carrie.
– Je ne pense pas que vous soyez folle, vous m’avez demandé un service, j’ai accepté de vous le rendre, alors soyez gentille, ne me cachez rien.
– Vous referiez l’amour avec moi ?
– Sans hésiter !
– Maintenant ?
– Si vous voulez !
– On attend que Carrie descende et on y va.

Des pas dans l’escalier… C’est Carrie qui descend précédée de son client. Ils se font un bisou d’aurevoir avant que la belle rousse s’aperçoive de ma présence.

– Tiens donc ! Vous ici ! Vue la mine réjouie que nous fait Mamie, je suppose que les nouvelles sont bonnes ?
– Oui…

Je répète un peu ce que j’ai déjà dit à Marcia.

– Et ce gars-là, il était seul, il n’avait pas de complice ?
– Je ne crois pas il aurait eu des complices, les choses ne se seraient pas passées comme ça. Là, il a fait tout le boulot lui-même : envoyer un innocent au casse-pipe pour savoir d’où venait l’appel au restaurant, assassiner Dernoul en faisant croire à un crime rituel, venir cambrioler ici, puis se faire embarquer sur mon vaisseau…
– O.K.
– Je vais monter avec lui, ça me fera du bien ! J’ai envie de me détendre ! Lui indique Marcia.
– Moi aussi je me détendrais bien, après ces bonne nouvelles ! Intervient Carrie.
– Eh bien, viens avec nous quelques minutes ! Lui suggère sa mère.

Aucune objection

Voilà un trio qui s’annonce insolite. La fille et la mère ensemble ! Qui a entraîné l’autre dans l’exercice du plus vieux métier du monde ? Je ne l’ai jamais su et me suis bien gardé de poser la question, ce sont des choses qui ne me regarde pas… même si j’aurais bien voulu savoir.

Nous voilà en chambre, ces dames se déshabillent sans cérémonie, j’en fais donc de même, j’ignore si la séance est gratuite. Je sors ma carte de paiement.

Non, non, c’est la maison qui régale ! Me dit Marcia. Et ce n’est pas une passe, c’est une détente récréative !

J’aime bien le mot.

Marcia se pointe devant moi et m’attrape mes tétons pour ensuite me les tortiller et me les pincer. C’est qu’elle a de la mémoire la mamie ! Mais moi j’en ai aussi et c’est à mon tour de faire souffrir ses bouts de seins. Nos visages finissent par se rapprocher, on se roule un patin ! Elle est délicieuse la Mamie.

– Quand vous aurez fini de batifoler tous les deux, vous viendrez me rejoindre ! Nous dit Carrie en se couchant de tout son long sur le lit, les cuisses écartées.

Un peu compliquée cette situation, car je me demande qui est vraiment maître du jeu. Vous me direz qu’il n’est pas nécessaire qu’il y en ait un, mais parfois ça permet de savoir où l’on va !

– C’est mon copain, j’ai bien le droit de flirter un peu avec lui ! Répond Marcia.

Carrie ne répond pas, nous on se pelote quelques minutes, puis Marcia m’entraine vers le lit.

– T’a envie de te faire caresser ? Demande Marcia à sa fille.
– Ben oui, c’est bien pour ça que je suis montée, occupez-vous un peu de moi et après je vous laisserai tous les deux..
– Occupe-toi de ses seins, me dit Marcia, on va la faire monter au plafond.

C’est qui « on » ? Et je réalise en voyant la langue de Marcia commencer à butiner la chatte de Carrie. Sur le coup ça fait drôle ! L’inceste reste encore un tabou tenace… Mais je m’en voudrais d’être bornée, la bonne question étant de se demander si en faisant cela Marcia et Carrie font du tort à quelqu’un. La réponse est tout de suite trouvée. Alors je laisse Marcia lécher sa fille et viens m’amuser des jolis tétons bruns de la belle Carrie.

Cette derrière ne reste pas inactive et sa main m’a attrapé la bite qu’elle branle avec une belle vigueur.

– On change ! Me dit Marcia au bout de quelques minutes.

Pourquoi pas ?

C’est donc mon tour de venir laper la chatte de la jolie rousse, je pensais que Marcia allait reprendre le travail sur ses seins, Mais non, celle-ci la chevauche au niveau du visage et lui donne son anus à lécher. Fantastique, ce n’est pas tous les jours que l’on voit une fille lécher le cul de sa mère. Ça fout vraiment la trique de voir ça !

– J’adore lécher le trou du cul de ma mère ! Commente sa fille.

J’avais compris ! Toujours est-il que la belle Carrie geint de plus en plus, et de plus en plus fort, ma langue s’enroule autour de son gros clitoris, le balaie, mes lèvres l’aspirent, et la voilà qui hurle comme une damnée. Elle jouit, je suis assez fière de moi.

– C’était bien, je vous laisse en amoureux ! Dit-elle en se relevant et en se rhabillant prestement.

Amoureux ? Faut peut-être pas exagérer, non plus ! Mais c’est vrai que j’ai énormément d’affection pour cette Mamie pute !

– Quelque chose t’as choqué ? Me demande Marcia, mais elle connait déjà ma réponse !
– Mais non, c’était très décontracté, très naturel, et puis très excitant aussi.
– Ça ne m’étonne pas, il suffit de voir ta bite ! Mets-toi donc en levrette, je vais te faire un petit truc qui va te plaire !

Je m’exécute de bonne grâce et tends mon cul à ses privautés.

C’est d’abord sa langue qui vient me chatouiller le petit trou. Elle fait preuve dans cet exercice d’une agilité phénoménale à ce point que je frétille d’aise. Le doigt, je devrais dire deux doigts, viennent ensuite faire quelques allers et retours bien appréciable. Puis comme je pressentais, la voici qui m’introduit un gode ! Elle ne me l’a pas préalablement montré, je ne sais donc ni comment il est, ni quelle est sa taille, mais ça me fait un bien fou.

Ça va, ça vient, je suis aux anges. J’aime tellement que l’on s’occupe du mon cul ! Elle retire le gode d’un coup sec me provoquant un spasme de plaisir, mais c’est pour le remettre aussitôt.et me le laisser,

– Maintenant retourne-toi, je veux que tu me baises.

La dernière fois je l’avais sodomisé. Aurais-je encore cette fois-ci droit à cette fantaisie que j’aime tant ? Peut-être pas, elle s’est allongée sur le dos. Je la pénètre d’abord doucement avant de m’agiter frénétiquement, n’en pouvant plus de toute cette excitation contenue.

– Dans mon cul ! Finit dans mon cul !

Je me retire tandis que Marcia lance ses jambes au ciel dégageant son anus, son charmant petit anus que sa fille à léché tout à l’heure devant mes yeux ébahis.

Le souvenir de cette scène ne contribue pas à me faire débander, vous vous en doutez bien, et c’est donc un membre tout raide qui vient l’enculer.

J’ai du mal à retarder mon plaisir, en fait j’attends que le sien monte. Et quand je la sens prête à partir je me lâche.

– Donne moi ton sperme ! Arrose-moi m’implore-t-elle

Nous avons joui pratiquement ensemble, mon foutre à giclé sur son visage et sur ses seins et nous nous sommes enlacés comme deux vieux amants.

Je ressors épuisé de cette petite séance, bien sûr toutes deux sont des professionnelles aguerries, mais avec Mamie Marcia, j’ai l’impression qu’il se passe quelque chose… Elle a une de ces façons de me regarder. Il ne faudrait pas qu’elle devienne amoureuse non plus.

La question de Carrie sur d’éventuels complices de Levkovich m’a interpelé. Je reste persuadé qu’il n’en avait pas. Mais le type faisait partie néanmoins d’une organisation, il avait donc un contact, quelqu’un à qui rendre des comptes.

Et ce quelqu’un j’en connais le nom, il se nomme Laburo. Alors essayons de voir comment ça a pu se passer.

Question préalable, Laburo était-il sur Vargala lorsque Levkovich a décidé de partir dans l’espace ? Facile à vérifier, en tant que capitaine j’ai accès à pas mal d’informations sur le trafic de l’astroport, mais je n’ai pas accès à celles ayant trait au trafic passagers. Qu’importe, je demande à Dyane d’aller chercher le renseignement auprès de la capitainerie. Ce ne sera pas gratuit, mais le gars de permanence lui donne tous les renseignements voulu contre une bonne pipe… même si parfois il en demande un peu plus.

Ce genre de chose amuse Dyane, ça ne l’excite pas, non ça l’amuse.

– C’est le mec des alcools, il vient tous les six mois, il est sympa, il m’apporte toujours une super bouteille. Précise, Rudy, le gars de la capitainerie en se reculottant.
– Les livraisons d’alcools ne se font que tous les six mois ?
– Non bien sûr, mais Monsieur Laburo se déplace personnellement tous les six mois environ.
– Mais, là, il est reparti…
– Oui !
– Ça vous ennuierait de me prévenir quand il va revenir ?
– Je ne peux pas vous promettre, je peux oublier et puis je ne suis pas toujours là, d’ailleurs faut que je prenne quelques vacances…

Bon je suppose donc que Levkovich a envoyé un message à ce Laburo pour le prévenir de son embarquement. Il n’y avait rien sur le spacephone qu’il a emporté sur le vaisseau, ce qui ne veut rien dire, un message ça s’efface… ou alors, il a fait ça sur un autre appareil qu’il a sans doute fait disparaître. Peu importe. en toute logique, Laburo après avoir reçu le message devrait rappliquer afin de de prendre connaissance du résultat de la mission du toubib.

Bon voyons, Laburo étant probablement toujours en vadrouille, le message a dû être envoyé à sa société qui ensuite lui a retransmis, donc six semaines environ pour recevoir le message, ensuite il faut qu’il se prépare et qu’il rapplique, on peut donc ajouter quatre autres semaines. Donc il ne devrait pas tarder, et on ne sera pas forcément prévenu.

Une fois qu’il aura atterri, il va tenter de joindre Levkovich, qui évidement ne lui répondra jamais plus. Il va donc enquêter. Or le toubib lui a probablement donné le nom de mon vaisseau. Il va donc soudoyer l’officier de permanence qui lui dira qu’on est revenu, et le type va essayer de me contacter.

Voilà une perspective qui me fait froid dans le dos. Il faut absolument que je trouve le moyen de prendre ce type de vitesse.

Que faire ? Je peux toujours envoyer mes collègues au cosmodrome guetter l’arrivée d’un éventuel cargo rempli de caisses d’alcool, mais ça ne me dit pas ce que je ferais après. Et puis rien ne dit qu’il viendra forcément en cargo.

Je réfléchis, j’ai une amorce de plan, je renvoie en urgence Dyane sucer la queue du gars de la capitainerie, il s’agit cette fois de récupérer la photo holographique de Laburo.

– Ça sent le louche ! Objecte Rudy.
– C’est possible, mais personne n’en saura rien. Lui répond ma charmante seconde de vaisseau
– Et si je dis non ?
– Pourquoi dire non quand on peut dire oui.
– Alors je veux du fric en plus !
– Pas question, ça laisse des traces, mais une entrée gratuite dans un cabaret très chaud pendant un mois.
– C’est quoi ce cabaret ?
– Le Diable Rose
– C’est pas un truc de travelos ?
– Il y a des femmes aussi, et des canons…
– Alors deux entrées et une pipe.

Bref on a eu la photo. Nerren, Dilos et Nadget ont été d’accord pour se relayer au cosmodrome et surveiller toutes les débarquement de passagers. Tâche on ne peut plus ingrate, puisque le trafic ici est loin d’être intense.

J’ai confié une tout autre tâche à Gundula bien plus retorse.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Oui, parce que c’est dans tes cordes, que je n’ai pas d’autres idées, et que si ça ne marche pas, on va tous y passer, et pas forcément en douceur.
– Bon, bon…

Le remplaçant de Levkovich dans sa clinique s’appelle Zolier. Gundula après s’être habillée bien sexy demande à le voir.

– Gundula Miller, je viens me faire réembaucher comme convenu avec le docteur Levkovich.
– Pardon ? Mon confrère ne m’a laissé aucune instruction en ce sens.
– Il aura oublié, il a toujours été distrait, mais j’avais pris quelques semaines sabbatiques et…
– Ne bougez pas, je regarde…
– Aïe, oh la la !
– Qu’est-ce qu’il vous arrive ?
– Un machin dans l’œil.
– Faites voir !

Les deux paires d’yeux se croisent.

– Je ne vois rien !
– Regardez mieux, je sens bien que j’ai quelque chose. Vous allez vous endormir, monsieur Zolier, regagnez votre fauteuil. Voilà, vous allez sur ma fiche dans l’ordinateur et vous remplacerez le mot démission par « congé sabbatique ». Allez-y ! Ça y est c’est fait ? Ce n’est pas tout, quand je claquerais des doigts comme ça, vous me devrez obéissance. Maintenant, réveillez-vous.
– Oh, j’ai eu comme un moment d’absence, ce doit être la fatigue, on n’en était où ?
– Vous vouliez contrôler ma fiche !
– Ah, oui ! Donc… Ah, voilà ! Donc vous étiez en congé sabbatique, vous voulez reprendre le travail quand ?
– De suite !
– Attendez demain…
– Non j’ai besoin de travailler..
– On va être en sureffectif…
– Ce n’est pas mon problème cher monsieur, puis-je avoir une blouse et un vestiaire…

Bref le loup ou plutôt la louve était dans la bergerie, il suffisait maintenant d’attendre le mouton.

A suivre

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4 réponses à Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni

  1. Leclerc dit :

    Ben oui, purquoi voudriez vous que les filles de port soient glauques ,

  2. Deleuze dit :

    Le fantasme des filles de port transposé dans l’espace, c’est vrai que ça fait fantasmer !

  3. Lucia dit :

    L’auteur sait pimenter ses récits de petites choses qui nous excitent tant !

  4. Forestier dit :

    Un doigt d’inceste, ça manquait, et c’est dans le vieux pots …

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