Histoires de bons plaisirs – 14 – Gertrude, sa copine Josette et les autres… Par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 14 – Gertrude, sa copine Josette et les autres… Par Verdon

Gertrude et Josette sont deux sacrées coquines. Nous connaissons déjà la première qui sait fort bien naviguer dans un groupe de joyeux fêtards, prendre du bon temps et copuler avec eux. Ce n’est pas une soumise, elle sait ce qu’elle veut.

Josette sa copine est différente. Elle n’a ni mari ni amants, elle dit qu’ils ne sont pas fréquentables, elle préfère les femmes. Pas pour se regarder dans le blanc des yeux mais plutôt pour profiter entre elles de tous les bons plaisirs que la nature leur offre. Aussi ne la verrons-nous pas au milieu de notre fameux groupe de joyeux lurons, mais plutôt dans les bras de femmes comme Gertrude qu’elle apprécie plus particulièrement et dont elle vient de faire la connaissance.

Comme elle, assez forte, bien proportionnée, généreuse en nichons et chatte vorace, elle a la boutonnière qui n’est réservée qu’à ses Dames amies, une langue prétend-elle étant mieux qu’un bon vié. Mais par quelques détours, Gertrude se fait fort de la convaincre un jour à moins de retenue.

En cette fin de semaine, nos deux gouines après avoir partagé toute une nuit de lubriques faveurs, décident d’aller faire un tour sur la plage naturiste de l’Espiguette en Camargue, haut lieu très sympathique de l’échangisme, de l’exhibition et du libertinage sauvage. C’est la belle époque, les années sans sida, le défoulement des sexes.

La première idée qu’elles ont en arrivant sur la plage, est d’aller voir les pédés. Elles vont se planquer sur les dunes pour jeter un coup d’œil sur ce qu’il s’y passe.

– Oh regarde ces deux jeunes hommes qu’ils sont jolis quand ils se tripotent ! Ils bandent tous les deux, lequel va baiser l’autre chuchote Gertrude, j’aimerais bien voir.

Elle n’a pas attendu longtemps car le blondinet qui s’est courbé se prend entre les fesses un sacrée vireton que lui tend son copain. Josette semble ravie. Elle aime la sodo mais quand c’est chez les autres… la garce !

Elle veut du spectacle, du sadisme, elle aime voir un mec se faire enfiler durement par un gros vié, il lui faut des cris, de la soumission, de l’humiliation. Elle a vu si souvent sa mère se faire enculer sauvagement par son beau-père, qu’elle en a gardé de la haine qu’elle reporte maintenant sur les hommes. Qu’ils se fassent tous enculer et ils verront à leur tour  » comme c’est bon! « . Tous des salauds !

– Oh faut pas exagérer, tu parles de choses que tu ne connais pas.
– Tiens regarde ce pépère la bite qu’il se paye ! Je la prendrais bien dans mon cul.
– Oh oui fameuse ! ce salaud il ne va tout de même pas s’enfiler le jeune homme qu’il tient par la main.
– Et pourquoi pas, il n’est pas si jeune d’ailleurs et ils ont l’air de s’entendre. Regarde il se met en position le gars, il va lui mettre.
– C’est fou…elle est si grosse ! il ne va pas oser ? Oh putain mais ça entre !
– Hi, Hi…le crois-tu !… une belle rosette comme ça…il ne va pas hésiter…c’est du gâteau pour un maître enculeur !… Aller vas-y pépère…fais-lui sa fête !

Et zou ! Ras les rognons… Voilà une bite bien emballée !

Elle trépigne la Gertrude, elle est radieuse face à la fausse grimace de Josette qui semble pour autant ne pas avoir mal aux yeux.

– Ben regarde, regarde si ça ne rentre pas ! Il jouit le jeune homme…il l’a bien dans le cul !… ça ne te donne pas envie ?
– Oh cochonne…Il braille quand même le gars…Putain ça doit faire mal…
– Si peu, si peu…il faut savoir ce qu’on veut… mais ensuite regarde comme il jouit l’enculé !
– Tu vois ça dans mon cul ? s’effraie la Josette.
– Dans le tiens je ne sais pas, mais dans le mien pourquoi pas ! ça ne se refuse pas une bite pareille!
– Mais c’est qu’il en a plein le cul, ce n’est pas possible!… il se fait défoncer ! Bon sang ce gros truc qui lui rentre dans l’anus! C’est impressionnant ! le salaud …il pousse ! C’est drôle !
– Oh oui ! Mieux que ça même !… Vas-y pépé c’est bon pour la vieillesse ! bourre-le ce p’tit con !
– Mais c’est vrai qu’ils jouissent tous deux ! ça doit être bon ?
– Ben voyons !

Les femmes suspendues à ce joli spectacle jouissent de la vue, elles se rapprochent et se serrent excitées, amoureuses d’elles-mêmes et peut-être des hommes. C’est qu’il s’en donne le vieux. Et oui, ça entre, ça entre jusqu’aux roupettes du vieux cochon qui prend bien soin de s’enfoncer et de ressortir plusieurs fois à l’arrachée ! … Il se sait admiré par les deux femmes et il jouit encore plus fort dans le cul du blanc bec en s’agrippant à ses épaules. Il est fier l’enculeur.

– Oh que c’est beau s’écrie Gertrude en attrapant Josette qu’elle bécote à pleine bouche…

Ils ont continué leur petite affaire les deux amoureux, même que pour finir, le pépé a trempé sa quéquette entre les babines de son bienheureux….qui du coup se sont retrouvées moustachues !

– Oh le gros dégueulasse qu’elle dit Josette…
– Ben voyons, un si beau compliment vaut bien une bonne turlute pour rendre son éclat à la belle gaillardise.
– Mais as-tu vu le trou du cul du vieux…fendu comme il est, il a dû s’en prendre plus d’une, lui aussi, le vicieux…

Pour terminer le vieux se tourne bien en face de ces Dames. Les jambes écartées et insolent, il se met à pisser dans leur direction en se tenant la pine et les couilles tout en jetant vers elles un regard provocateur et satisfait…les dames apparemment le sont aussi.

– Bonne journée mes demoiselles dit l’orgueilleux et les deux hommes s’en vont bras dessus bras dessous en tortillant du cul et se flattant les fesses.…

Mais où a-t-elle mis son doigt la cochonne Gertrude ?… Je vous le demande en mille !… Vous avez deviné ?…

C’est qu’à bien regarder, sous les cuisses de Josette, le sable est bien trempé !…

– Tu m’étonnes, ta Josette elle ne me paraît pas avoir le cul si innocent que ça !… et en tous cas le pépé il peut être bien fier…c’est un brave homme ! il me plaît ce gars-là, j’aurais bien pris la place du jeune homme !

Ça, vous vous en doutez, c’est une réflexion d’Ernestine qui vient d’arriver ce matin comme d’habitude pour prendre son petit déj en me suçant la pine.

– Moi aussi j’aime regarder les pédés, ton histoire me plaît. Les hommes comme les nanas ils ont bien le droit de se faire des papouilles au trou de balle. (Et se disant elle me fout son doigt au cul la salope).Je parie que tu es de mon avis.
– Oui tu as raison, je vois où tu veux en venir, il est bon ton doigt…suce ma bite et laisse-moi réfléchir, je sature.

Elle n’a pas encore compris ma bienfaitrice que quand on parle à mon cul, j’ai le cerveau qui s’enlise… comment voulez-vous que j’écrive dans ces conditions ? Que voulez-vous que je fasse ? ….. Je sais d’avance ce que vous allez me dire !

… Eh bien c’est ce que je fais….

Bon, dix minutes de pause et on repart les couillons vides et l’esprit clair.

Nous avons donc vu que malgré tout la Josette, elle a ronronné côté du centre des délices…. elle n’est pas restée insensible devant une aussi jolie prestation. Il avait une jolie grappe entre ses jambes le vieux monsieur qui festoyait le jeune cul.

Ce qui attire nos deux femmes en plus du bonheur de se faire rôtir la fesse, c’est aussi de s’envoyer un peu en l’air entourées de quelques voyeurs surexcités mais bien sages car, évidemment il n’est pas question que quiconque les touche. Et si quelqu’un a par hasard la main un peu trop leste, Gertrude a le moyen très efficace de remettre l’intrus à sa place, par ses dispositions naturelles que je vous ai déjà décrites précédemment.

Ça leur plaît à nos deux femelles de se tripoter et se bouffer la foufoune sous les regards de voyeurs qui se rincent l’œil tout en leur balançant de grasses plaisanteries et même des grossières, ce qui les excitent davantage.

– Allez-y les salopes…traînées…conasses…mal aimées…

Josette allongée au-dessus de Gertrude qui lui gamahuche la mounine, offre à un jeune couple assis derrière elle, la vue magnifique de sa raie du cul ouverte et luisante de bave. Elle sait qu’elle excite le garçon qui ne tient plus en place si ce n’est que sa compagne le saisissant par la queue l’empêche de se relever (jalousie féminine).

Un autre se branle et crache à la volée son sperme bouillonnant (quel gâchis !).

Deux mecs impolis et insolents s’avancent et se plantent devant les dames faisant mine de vouloir les importuner. Elles se dégagent en les engueulant. Ils insistent.

– Ouvre ton cul conasse, on va t’enfiler qu’il crie le plus fort en s’adressant à Josette.
– On est poli et on ne touche pas s’écrie Gertrude qui se redresse en bondissant.
– La ferme sale pute ! Qu’il lui répond.

Gertrude fait un bon, se retrouve face à lui les seins en avant :

– Tu vas voir ce qu’elle te dit la pute…et des deux bras elle le pousse et l’envoie valdinguer sur le dos dans le sable. L’autre cherche à intervenir en saisissant Gertrude par le bras. Mal lui en prend. Par une savante prise de judo, le voilà qui virevolte et va mordre le sable à côté de son copain.

Ils n’ont rien vu arriver et rien compris, ….ils se relèvent minables et s’enfuient comme des rats sans demander leur reste, la queue entre les jambes et le cul plein de sable.

Les femmes rigolent comme des folles, le couple applaudit et les derniers mateurs se barrent en catimini…faut pas moisir dans le coin doivent-ils penser.

– Bravo, s’écrient les deux jeunes gens qui s’étaient avancés craignant les deux femmes en danger.

Mais vite rassurés et surpris ils formulent leur admiration sur la façon dont elles ont réglé l’incident.

– Merci, c’est gentil. Ce n’est pas par ce genre de mecs qu’on va se faire emmerder les voilà bien avertis.

Du coup une certaine sympathie s’est faite jour entre eux. Les deux femmes invitent le couple à s’asseoir à côté d’elles sur des serviettes et la discussion reprend.

– Moi c’est Armand et ma femme Yvette, on s’est marié il y a trois mois.

Si la jeune femme semble un peu timide et très tourmentée par la situation, la bite du mari ne l’ai pas, qui se tend vigoureuse et insolente de désir.

– Vous nous avez offert un fort joli spectacle, Mesdames, on en est tout ému.
– Oui ! Oui qu’elles s’exclament toutes deux, en riant, on l’a bien remarqué, vous êtes démonstratif ! Mais nous sommes entre femmes, alors le monsieur, il planque son outil…d’accord ?

Bien déçu Armand tente une autre approche et sans même demander l’avis de sa Belle :

– Pas d’homme entre vous…mais peut-être ma femme ?
– Oh mais voyons chéri ! J’ai peut-être mon mot à dire ! je n’ai jamais fait cela et ces Dames crois-tu qu’elles….
– Mais pourquoi pas ! L’interrompt Gertrude, du moment que Monsieur reste sage…

C’est que nos Dames patronnesses sentent qu’offerte si généreusement par son mec, cette petite Dame toute neuve, apparemment soumise et bien pourvue en fesses et en poitrail, serait pour cet après-midi de bonne consommation.

Pas trop rassurée mais docile et obéissante Yvette se glisse timidement entre les deux bobonnes qui se l’accaparent pour se la peloter sans doute comme elle ne l’a jamais été dans sa vie. Et je ne vous dit pas le plaisir de son mec qui se tape une branlette à s’arracher la queue.

– Ecarte tes cuisses qu’il lui dit à sa meuf pas trop à l’aise et un peu gauche, ne fais pas la nunuche, lève ton cul vous n’êtes qu’entre femmes ! Suce-lui les nichons à la grosse ! Laisse-toi faire…n’ai pas honte…

Bientôt les bonnes mains qui lui taquinent le fessier et deux bouches sur ses seins finissent par émouvoir la jeune mariée qui commence à réagir agréablement en sentant le plaisir qui monte et qui efface sa timidité. Les choses vont alors de bon train, le mari se branle satisfait du consentement de son épouse qui se traduit déjà par deux coulées de mouille le long de ses cuisses. Mais c’est qu’elle y prend goût la jeune novice toute rouge de honte sans doute mais sûrement de plaisir.

Le sable n’étant pas le meilleur des endroits pour jouir le cul nu, il invite les deux femmes à les rejoindre dans leur maison de vacances pour continuer la fête en des lieux confortables, tout près d’ici. Deux tapes sur les fesses de son épouse encore un peu inquiète oblige cette dernière à renchérir l’invitation…

– D’accord ! s’écrie Josette mais avant tout j’ai une envie pressante alors je vais là-bas satisfaire mes besoins.
– Super ! rétorque Gertrude et je viens avec toi.
– Et nous aussi, ajoute Armand en poussant Yvette pas du tout rassurée à suivre avec lui, les deux copines.

Et voilà sur le sable, nos deux meufs accroupies face à face qui se font des patins, leurs bras sur leurs épaules respectives. Elles ouvrent leurs cuisses pour donner libre cours aux fonctions de leur cul. Elles poussent les chéries en ouvrant bien les fesses. Ça leur provoque des frissons. Elles jettent un œil par ici, voient un p’tit vieux là-bas (le cochon !), elles se bécotent vicieusement. La Gertrude grimace en se fendant le cul, tandis que la Josette chie avec élégance sur le sable doré un étron insolent, un colombin pointu, un sablé sûrement. Quatre crottes pour Gertrude au cul plutôt avare et un pipi bruyant que nos femelles font en s’arrosant les pieds.

Armand excité comme une puce, derrière sa chérie qui est debout, l’enserre de ses deux bras. Il lui masse le ventre et pelote ses seins en pinçant les tétons. Du coup elle a une forte envie de pisser. Elle ouvre ses jambes en V renversé.

– Vas-y ma chérie, mais pisse donc putain, c’est bon n’est-ce pas !… aller pisse ! Ouvre ta moule !

Enfin ça y est, elle pisse à gros jet debout comme une pouliche, un jus jaune et bruyant, bien dru, qui fait un gros trou dans le sable. C’est bon malgré la honte elle ne se retient plus, elle tend son ventre en avant.

-Tu es une cochonne…
– Oh oui, pince-moi les tétés, ça me fait frissonner et ça aide à pisser !
– Oh vois-tu les chieuses ! Les grosses dégueulasses, quelle indécence !

Ils restent tous les deux ébahis par le cul de Josette qui referme son trou en toute décontraction après avoir lâché sa merde sur le sable et replié ses fesses sur sa rosette ornée de ciselures brunes.

– C’est drôle mon chéri, je n’ai jamais vu ça ! Qu’elles sont salopes ces deux-là ! C’est sale…ça t’a plu à toi… salaud ?
– Sûrement… quelle superbe et vicieuse inconvenance !…
– C’est drôle : faire caca avec tant d’insouciance, mais voir le gros encombrement sortir du petit trou c’est curieux, c’est amusant…tiens c’en est presque excitant ! je trouve qu’avec son cul elle a de la tenue…puff !
– Cet étron qui nous nargue comme une langue en bouche, c’est un geste bouffon, plus mignon que grossier, c’est propre et joliment fait et tellement naturel… un défi, une invite, une merde joyeuse…Un bon soulagement !… Ah oui, c’est excitant … ça donne envie d’en faire autant. Chérie à la maison je veux que tu le fasses !… je veux voir ton cul m’offrir une si belle outrance !
– Cochon !

Leurs affaires terminées et ventres soulagés, tout le monde à la baille et tous les trois nus, serrés entre eux se bécotent et chahutent dans l’eau. Ils sont craquants les tétons des filles sur leurs gros seins qui flottent comme des bouées. Durcis par la vigueur de l’eau salée, ils se dégustent  » al dente « , tandis que le zizi du garçon, qui rétrécit comme une peau de chagrin est la risée des trois garces.

– Eh le mec où il est ton outil à faire la joie ?
– Ah Voilà comme je les aime les hommes s’écrie Josette en se collant insolemment contre la bite impuissante.
– Attend un peu ton tour et tu vas voir comment je les aime moi les bonnes femmes comme toi qui lui dit l’Armand en lui doigtant un bon doigt dans le cul… (avec l’eau salée ça entre bien profond et à l’abri des regards elle se laisse faire la salope, elle l’ouvre bien son cul… Ah quelle salope !).

La journée continue donc chez Yvette et Armand

Apéro, bon repas, fine goutte et bonnes blagues et puis retour au turf, histoire de bien occuper la soirée qui s’annonce très chaude.

Sur un tapis moelleux les meufs sens dessus-dessous se disputent leur moule, leur petit trou. Elles se dévorent les nichons et se congratulent le cul avec une fougue incroyable et des allures de bêtes fauves. Elles se patinent le museau.

Pour Yvette ce sont des noces féminines, sous le regard de son homme, c’en est même meilleur qu’avec la grosse bite entêtée de ce dernier. C’est doux, voluptueux finalement c’est bien bon entre femmes. Tout doucement elle prend goût à la débauche.

Elles se jouent des séquences de lutte, se triturent les cuisses, s’étirent les tétons, se croquent le chou-fleur, se collent chatte à chatte. Se caressent les cheveux, les poils du pubis, s’éventent le trou de balle, se branlent le clito. Elles sont radieuses.

C’est un plaisir divin, des ébats parfois violents de femelles excitées ravies de pouvoir abuser des vices de leurs natures tout en échappant à l’emprise des hommes.

Elles se disent qu’ils sont parfois chiants ceux-là avec leurs bites impatientes, leurs envies têtues, leur brutalité et leur trou du cul malpropre qu’ils leur collent sur le nez. Et tandis qu’Armand se branle, elles jouissent de lui offrir ce joli spectacle.

Mais n’est-ce pas là un appel à la débauche ?

Finalement Yvette n’est pas fâchée de le défier, mais lui il s’en fout, il n’a d’yeux que pour les deux autres femelles.

C’est que justement s’il est bien sage le Monsieur et gentiment à leur service en s’affairant autour d’elles, un p’tit repas par ici, un rafraîchissement là et même quelques massages ponctués de bisous…il n’en pense pas moins.

Alors c’est sûr il bande toujours comme un jeune dieu le garçon et sur sa bite raide il porte une serviette à la disposition des Dames pour s’essuyer la chatte. Aussi chacune son tour, sur ce sexe serviable dépose un gros bisou en prenant le chiffon.

Il va craquer le jeune marié, il a en face de lui ces trois gouines qui se paluchent la citrouille et se gamahuchent comme des folles, la situation est intenable. Il ne va pas rester longtemps bien sage !

Quitte à se faire remballer, il s’approche de Gertrude, il la touche…cherche une réaction…attend une réponse, et comme elle présente son cul, n’y tenant plus, sans hésiter il lui fout dans l’anus un doigt inquisiteur.

Oh mais ça lui fait du bien ! Elle ouvre son postérieur elle accepte le bon doigt qui entre bien à fond. C’est sûr elle aime ça ! Alors avec deux doigts il élargit le trou et chevauchant les filles il encule la mature sous les yeux hébétés de Josette couchée sous elle en 69. A cinquante centimètre du bout de son nez elle voit le gros zob d’Armand s’affairer sur les bordures nacrées du trou du cul de Gertrude. Elle a une paire de roupettes sur ses cheveux.

Elle est tout offusquée la timide Yvette…tout de même son mari il ne va pas se payer le cul de Gertrude dessous ses yeux !

Ben si, il se le paye et avec élégance le salaud ! (Non mais elle n’est pas encore sortie de son rêve la nunuche !).

On l’a vu plus haut, Josette adore la sodo quand ça se passe chez les autres. Aussi elle en profite. Elle n’a jamais vu cela de si près, jamais vu une femme se faire enfiler. C’est un joli spectacle. Ça l’excite, elle s’émeut. Elle admire la puissance, la violence du geste, l’abandon de Gertrude, l’ouverture de la faille, l’évasement de l’anus. Elle est impressionnée par la beauté du sexe. Par sa grosseur, par ses grosses veines bleues qui semblent prêtes à éclater, par la buse du gland rubicond. Elle guide un tant soit peu le bel instrument dans le conduit anal chaque fois qu’il se sauve, et tripote les couilles du vaillant culbuteur.

Machinalement peut-être mais non pas sans envie, Josette enfouit dans sa bouche la fringante biroute chaque fois qu’elle quitte la demeure rectale.

Du coup avec son doigt du milieu, Gertrude, d’un geste autant sublime qu’obscène, fait signe au fouteur d’enculer l’impatiente avant qu’elle ne se refroidisse.

– Vas-y fous-lui le cul, elle est chaude !

Il a vite fait le brave d’aller rincer son paf et le beurrer pour enculer notre gouine en déroute, qui prend sans coups férir l’engin ras son croupion en geignant de bonheur ! (C’est à se demander si tant elle est bien honnête la garce à se prendre ce gros vié avec facilité alors qu’à l’exercice elle se prétendait revêche !)

En tous cas voilà Josette bien ferrée. Elle y a trouvé du plaisir. Finalement une gouine qui n’est pas chienne peut s’offrir ces faveurs, surtout si dans son dos elle ne voit pas le chien !

Et de deux ! Eh bien pour la jeune mariée voilà de jolis coups de canif dans le contrat! C’est un sacré salaud son mari ! Deux culs dessous ses yeux ! Il y va fort son mec. Elle n’en est pas traumatisée pour autant car elle se dit que c’est un mâle qui sait se servir de ses couilles et qu’elle devrait être la première à pouvoir en bénéficier.

Ne voulant pas paraître trop nunuche elle cherche quand même à se faire enculer comme une grande. Mais Armand a accordé beaucoup trop d’attentions aux deux autres femelles et ne peut satisfaire le cul de sa chérie.

– Planque tes miches pour la maison, tu ne perds rien à attendre qu’il lui dît le saligaud en lui tapant sur les fesses.

Heureusement Gertrude compatissante sort de son sac un joli godemiché en bois d’olivier, qu’elle enfile aussitôt dans le cul d’Yvette, histoire de la rassurer sur ses bonnes dispositions, ce qui lui convient bien.

– Ah oui, oh oui j’en veux c’est bon !

Et tout en se faisant caresser par Josette, elle jouit la novice salope.

Serait-t-elle tout à fait déniaisée la mariée ! Pas tout à fait encore….Armand qui se dit satisfait souhaite toutefois la dévergonder un peu plus. Il lui promet une bonne petite soirée avec des amis très attentionnés et fort bien équipés.

– Eh bien il ne me manque plus que ça ! Mais il est fou mon mec !
– Putain, ‘Etienne’ ! il faut que je te fasse connaître Etienne…et ses potes ! Avec eux on ne va pas s’ennuyer.
– Certainement mon salaud !… pas folle la guêpe ! Il semblerait qu’elle y prenne goût… (à voir qui va y prendre le plus son pied!).

La partie terminée, nos deux meufs épuisées se retrouvent enlacées, elles se bécotent, se détendent s’endorment ignorant le jeune couple qui baise en rêvant déjà à de nouvelles partouzes.

– Ah toi vraiment me répète Ernestine, après avoir lu mon article, toi tu sais t’occuper du cul des dames, et il me semble que celui de la jeune mariée il va vite se faire roder apparemment !…Elle me plaît ton histoire, il va falloir que je t’amène un jour Pauline, tu sais la belle-mère du marchand de journaux, avec le mari qu’elle a elle a sûrement besoin qu’on lui dépoussière le derrière.

– Bon on se calme Ernestine, je ne suis pas le bon samaritain, alors s’il y a des culs à dépoussiérer, laisse-moi le soin de les choisir et si tu continues je vais finir par tomber dans ma saga ! Alors bonne nuit…..
………………………………………………………
– Tiens avant de partir prête-moi un peu le tiens je vais lui faire la poussière !
(25.10.21)
verdon

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 14 – Gertrude, sa copine Josette et les autres… Par Verdon

  1. Harivel dit :

    Ma bandaison dominicale ! Merci Verdon 😉

  2. fantasmeur100 dit :

    J’aime beaucoup les scènes entre hommes.. Et les relations Dominations Soumissions

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