Souvenirs de jeunesse
6 – Gavé au sperme
par Gerald
Aussitôt un premier groupe d’homme se dirigea vers elle. Tandis qu’elle se faisait prendre, elle suçait un deuxième et en branlait deux autres.
Elle avait bien expliqué au départ que les types devaient se retirer pour jouir et éjaculer dans le saladier disposé sur un tabouret.
Pendant près d’une heure elle fut prise par tous les trous, les gens qui, au début avaient stopper leurs activités pour la regarder, reprenaient de plus belle en jetant un coup d’œil de temps en temps.
Sylviane fit de même et m’entraîna à sa suite, elle trouva deux beaux antillais et leur proposa de la prendre tous les deux en même temps, l’un s’allongea sur le dos, elle prit place sur la bite du type en lui faisant face tandis que l’autre gars se mit derrière elle et lui introduisit sa queue dans le cul en lui arrachant un cri de plaisir, elle réclama alors ma bite et je lui fourrais dans la bouche avec joie.
Sa bouche m’aspirait et elle allait et venait sur mon membre avec rapidité, elle s’y prenait tellement bien que je ne tenais pas longtemps et lui aspergeais le visage, elle étala mon foutre en frottant mon gland sur sa figure puis me nettoya et se passa la langue sur les lèvres pour recueillir les traces gluantes.
Elle était folle de plaisir et les deux types accélérant la cadence la firent jouir violemment avant de se répandre en elle.
Elle vint ensuite s’asseoir sur ma bouche pour que je la nettoie, un flot de sperme s’écoulait de chacun de ses trous, j’ouvris la bouche et la plaquant successivement sur chaque orifice, j’aspirais fortement puis lapais à grands coups de langue pour la rendre propre.
« Oui dit elle, manges tout espèce de chienne, ça vas t’ouvrir l’appétit pour la suite que je t’ai réservée ».
Elle se releva satisfaite de mon travail et m’entraîna vers Clémentine qui avait l’air épuisée. Malgré ses recommandations du début, certains n’avaient pas pu se retenir et des traces de sperme maculaient son ventre et sa poitrine, de sa chatte s’écoulait un lourd filet poisseux, le saladier était tout de même au trois quart plein et le mélange visqueux et blanchâtre contrastait avec la couleur bleue de la céramique.
« Je n’en peux plu nous dit elle, j’ai battu mon record, j’ai baisé avec 75 types à la suite, je n’ai jamais autant joui de ma vie ».
« Bravo ma chérie lui dit Sylviane, puis s’adressant à moi en désignant le saladier elle ajouta : tu as vu ça, c’est tout pour toi, tu vas te régaler mais avant vas nettoyer Clémentine, dépêches toi ».
Je m’agenouillais à côté d’elle et commençais à passer la langue sur les traces de foutre qui étaient sur ses seins, puis léchant son ventre en descendant j’arrivais à sa chatte, elle était toute tuméfiée et un lourd filet gluant coulait vers la raie de ses fesses. Plaquant la bouche, j’aspirais tout le sperme qu’elle avait dans le vagin, vu la quantité ils avaient été plusieurs à n’avoir pu se retenir.
Quand j’eus terminé sa toilette, Sylviane réclama un peu de silence. Elle me demanda de me mettre à genoux au milieu de l’estrade puis elle s’installa devant moi, assise sur le tabouret, le saladier plein de foutre posé sur ses genoux.
Elle remua le brouet gluant avec une cuillère à soupe et me dit :
« Voilà ta pâtée, ouvres la bouche ».
J’ouvris la bouche et avalais la première cuillerée qu’elle me tendait.
« C’est bon dit elle en m’en présentant une autre, allez salope, bouffe ! ».
Tout en avalant les doses qu’elle me donnait avec un regard vicieux, j’entendais dans l’assemblée certains commentaires, quelques personnes étaient étonnées voire admiratives, mais d’autres étaient dégoûtées.
J’en étais à la huitième cuillère quand un type arriva en se branlant et se soulagea dans le saladier, son idée dû plaire car il fut rapidement imité par une dizaine d’autres qui se succédèrent pour faire de même et rajouter ainsi du foutre chaud dans la masse gluante. Sylviane remua le tout et me demanda de garder la bouche grande ouverte en inclinant la tête en arrière, je fis ce qu’elle désirait et elle me versa dans la bouche sept cuillères à la suite, puis pressant son doigt sous mon menton elle dit :
« Allez, avales, sept d’un coup c’est pas mal et ça va plus vite comme ça ».
Replongeant la cuillère dans le saladier, elle la ressortit pleine et se la mit dans la bouche, après avoir avalé elle me tendit le récipient en disant :
« Bois directement au saladier, ça ira plus vite et c’est en train de refroidir, allez dépêches toi, bouffes tout et n’en laisse pas une seule goutte ».
Prenant le récipient à deux mains, je le présentais devant ma bouche, une forte odeur s’en dégageait et une telle quantité de sperme était un peu écoeurante à voir, voulant cependant relever le défi, je le portais à mes lèvres et avalais trois gorgées à la suite.
Les papilles complètement imprégnées je finissais par ne plus ressentir le goût spécial, seule la sensation d’une masse gluante et tiède persistait sur ma langue.
J’avalais gorgées après gorgées et le niveau du foutre dans le saladier diminuait peu à peu, j’avais très soif et de plus en plus de mal à déglutir.
« Continue ! dit Sylviane, tu es presque au bout, tu te régales hein cochon, toi qui aimes ça tu es servi, il y a près d’un demi litre rien que pour toi, encore un petit effort, avales ».
Après une petite pause de quelques secondes, je portais de nouveau le saladier à mes lèvres et avalais 6 gorgées à la suite, j’avais la bouche poisseuse et l’odeur du sperme complètement imprégnée dans les narines.
J’avais de plus en plus soif, alors pour en finir une bonne fois pour toute, j’ingurgitais tout ce qui restait dans le récipient en avalant gorgées après gorgées sans reprendre mon souffle ni marquer une seule pause.
« Bravo dit Sylviane, là tu m’épates »
« Putain c’est dingue dit Clémentine qui était restée allongée sur le banc tout en me contemplant pendant ma dégustation, j’avais encore jamais vu un truc pareil ».
Puis elle se leva en disant qu’elle avait besoin de faire pipi.
Je me levais alors rapidement et, l’attrapant par la main je lui dis que je me rincerais volontiers la bouche.
Elle me regarda avec des yeux ronds et jeta un coup d’œil vers Sylviane.
« Excellente idée dit Sylviane, je regrette de ne pas l’avoir eu avant, mais pas ici, on va en mettre partout et si d’autres invités veulent nous imiter, la salle va ressembler à une pissotière, allons à la salle de bains ».
Nous nous dirigeâmes tous trois vers la salle de bains et je m’allongeais rapidement dans l’immense baignoire ronde.
« Dépêche-toi dit Clémentine en s’accroupissant au dessus de ma bouche car je n’en peux plus ».
A peine installée, elle se soulagea en un jet doré puissant et continu qui moussait dans ma bouche en m’éclaboussant le visage. Après que je lui ai passé quelques coups de langue sur la vulve pour recueillir les dernières gouttes, elle se releva en disant :
« Ouf !ça fait du bien, mais c’est la première fois que je fais ça et je trouve que tu es quand même bizarre comme mec, toi ».
Sylviane vint prendre sa place en s’écartant la chatte avec les doigts et l’approchant à deux centimètres de mes lèvres.
« Puisque tu aimes ça, je vais t’en donner, je vais t’arroser la gueule; salope, ouvre en grand ».
Elle m’envoya un premier jet de pisse dans la bouche, puis se contrôlant, elle s’arrêta et me dit d’avaler. J’avalais rapidement le liquide chaud et doré et rouvris la bouche. Elle m’envoya ainsi une dizaine de giclées que j’avalais intégralement, le fait de boire son urine m’excitait terriblement et je me mis à bander.
« T’aimes ça hein cochon dit elle, allez lèche, espèce de chienne ».
Je passais ma langue sur ses lèvres pour la laisser tout à fait propre, puis elle se releva, et remarquant mon état elle dit :
« Ça a l’air de te faire de l’effet on dirait, ce serait dommage de ne pas en profiter ».
Elle me demanda de me lever, puis s’agenouillant devant moi, elle me goba les couilles et me lécha l’anus avant de prendre ma queue entièrement dans sa bouche. Tout en me suçant, elle me doigtait le cul avec trois doigts qu’elle avait enduits de salive, vu ce que j’avais subi avant, ça rentrait tout seul.
Clémentine était épuisée et elle nous dit de continuer sans elle car elle avait besoin de s’allonger un moment et de se reposer pour récupérer.
Sylviane me bouffait la bite en se l’enfonçant jusqu’au fond de la gorge, elle me pompait à vive allure et son nez venait buter contre mon pubis à chaque fois, des fourmillements commençaient à se faire ressentir dans mon gland et soudain j’explosais dans sa bouche, sans cesser une seule seconde ses va et vient, elle avala tout mon foutre au fur et à mesure.
Elle retira alors ses doigts de mon cul puis lécha les dernières traces de sperme sur mon gland. Je lui dit alors que c’était très bon mais qu’il fallait que j’aille pisser, elle se cramponna alors à mes jambes pour me retenir et ouvrit la bouche en me regardant mais sans prononcer une parole.
Le message était suffisamment clair pour que je n’attende pas d’ordre, saisissant ma verge qui commençait à débander, elle la mit devant sa bouche en tirant la langue, je me mis alors à pisser avec force et elle avala 2 à 3 goulées avant de s’asperger la figure et les seins puis me reprit en bouche pour me laisser finir.
Elle se releva puis m’embrassa à pleine bouche, nos langues se mêlèrent et le trop plein s’écoula sur nos mentons.
Une bonne douche s’avérait nécessaire, après nous être lavés, nous avons rejoint la salle des festivités.
Nous avons pris un verre au bar puis nous nous sommes mis à la recherche de Bruno, il commençait à se faire tard, ou plus exactement tôt car il était 3 heures du matin et Sylviane désirait rentrer.
Après avoir cherché pendant un moment en passant au milieu des gens nus qui baisaient de tous les côtés, nous avons fini par retrouver Bruno.
Au moment où nous nous rendions aux vestiaires pour reprendre nos vêtements, Clémentine arriva, elle nous demanda si nous avions passé une bonne soirée et Sylviane lui assura que cela avait été formidable.
Elle nous embrassa alors tous les trois et retourna vers ses autres invités.
Pendant que Sylviane et Bruno s’habillaient, je me contentais de remettre mon manteau car mon string et mon collant étaient perdus depuis bien longtemps au milieu de la foule. Bruno conduisit lentement car il était fatigué mais comme à cette heure matinale il n’y avait pas de circulation, nous arrivâmes rapidement à leur domicile.
A peine entrés, nous nous sommes couchés tous les trois dans leur grand lit et le sommeil vint immédiatement.
Nous avons dormis presque douze heures et le réveil fut un peu difficile pour tout le monde, mais une bonne douche nous remit d’aplomb et après avoir bu un café fort et mangé un peu, nous étions prêts à recommencer à faire la fête.
Sylviane téléphona à une amie puis nous annonça :
« Ce soir nous sommes invités chez Monique et Bernard, nous avons juste le temps de nous préparer car ils nous attendent pour 19 heures »,
Elle me précisa que c’étaient les amis dont elle m’avait parlé l’autre jour, l’homme à la bite de cheval et la femme fontaine.
Le trajet fut long car il y avait beaucoup d’embouteillages, à un moment, tandis que nous étions coincés dans un flot de voiture, Sylviane en profita pour descendre de voiture et acheter des fleurs.
Nous arrivâmes au rendez-vous avec près d’une heure de retard.
Quand on sonna à la porte de l’appartement, c’est Monique qui nous ouvrit, elle était en déshabillé noir transparent avec juste un string de dentelle en dessous.
Je devinais la beauté de son corps et la perfection de ses courbes à travers le fin tissu, elle nous embrassa et nous fit entrer dans le salon, elle nous pria d’excuser son mari qui prit d’une envie subite n’avait pas attendu notre arrivée et était en train de sodomiser Dominique le transsexuel qui vivait avec eux.
Elle fit rapidement les présentations et nous invita à nous déshabiller sans plus attendre. Elle était très curieuse de me voir à l’œuvre pour vérifier si ce que Sylviane lui avait dit à mon sujet n’était pas exagéré. Après nous être mis nus, Monique félicita sa copine pour mon look féminisé, Bernard qui s’activait de plus en plus finit par jouir en hurlant et s’enfonçant jusqu’à la garde dans les reins du transsexuel.
L’énorme bite à demi molle était toute gluante, elle semblait encore plus grosse et plus longue que celle des antillais que j’avais vu la veille.
« Fais moi une démonstration de tes talents, nettoies la avec ta langue » dit elle.
Je passai la langue sur toute la longueur de la hampe encouragé par les deux femmes,
« C’est très bien, maintenant occupes toi du gland il est encore plein de foutre, nettoies ».
Ouvrant très grand la bouche j’enfournais sa queue le plus possible puis passant la langue tout autour je recueillais les abondantes traînées de sperme et avalais le tout.
« C’est parfait dit Monique, tu as effectivement un sacré coup de langue, maintenant vas nettoyer Dominique, dépêches toi ».
Ce dernier était allongé sur le ventre pour récupérer de sa précédente joute, sur un ordre de Monique, il reprit position à quatre pattes le nez collé au sol et les fesses en l’air. Je m’agenouillais derrière lui puis écartant les fesses à deux mains je passais la langue sur la corolle encore entrouverte d’où s’écoulait un peu de sperme.
« Applique-toi me dit Sylviane ».
Plaquant la bouche sur l’anus, j’enfonçais la langue à l’intérieur le plus loin possible, puis aspirant fortement, je me retournais vers les deux femmes en ouvrant la bouche pour leur montrer le foutre au goût plutôt fort que j’avais récolté, après avoir avalé, je recommençais la même opération, cette fois ci la moisson gluante et parfumée fût encore plus abondante et le fis constater à mes deux maîtresses.
Tandis que je l’avalais, une coulée de sperme s’échappa de l’anus béant et coula sur les couilles épilées de Dominique, je m’empressais alors de passer la langue sur celles ci puis remontant jusqu’au trou du cul, je terminais mon nettoyage par quelques coups de langue.
« Génial » dit Monique à sa copine « tu l’as vraiment bien dressé, il a un savoir faire étonnant » puis elle me dit : « tu m’as drôlement excitée, viens me lécher maintenant je vais te faire goûter mon jus ».
Trop de fantasme dans un texte qui n’est pas si long que ça, mais bon, ça se lit et ça fait (un peu) fantasmer
Bien sûr que les histoires racontent des fantasmes mais quand ils sont trop déconnectés de la réalité, ça ne fonctionne plus