L’arroseur arrosé !
Par Louise
Comme tous les jours, je prends mon travail à heure fixe, en bonne et dévouée secrétaire que je suis. Mais, aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres… Les pensées qui habitent mon esprit, me font jubiler intérieurement. Je dois porter un pli urgent à Monsieur, mon directeur…
Mon cœur bat la chamade, des gouttes de sueur perlent sur mon front. Je me pince les joues, reprends mon sang froid, frappe à la porte…
– Entrez Mademoiselle Louise, que voulez-vous ?
– Un pli urgent vient d’arriver pour vous Monsieur.
– Eh bien donnez, donnez et sortez, merci Mademoiselle…….
Cette lettre vous intrigue, une grande enveloppe blanche, sertie d’une rose rouge comme emblème. Vous la tournez et la retournez dans tous les sens, vous la sentez, un parfum acre et doux à la fois s’en dégage… L’envie de voir le contenu est trop grande, n’y tenant plus, d’un coup vif de coupe- papier, vous l’ouvrez…
Juste quelques mots, écrits à la plume. C’est une invitation de Madame André, vous êtes convié chez elle, une soirée où elle aimerait vous rencontrer, des gens comme vous qui aiment vivre leurs fantasmes. C’est tout…
Cela vous intrigue, vous ne connaissez pas cette personne. Vous mettez la lettre dans un de vos tiroirs, deux jours passent et vous la reprenez en main. Dans un premier temps vous avez décidé de ne pas vous rendre à cette invitation, mais la curiosité est la plus forte : le samedi suivant, sur votre trente et un, vous vous rendez à l’adresse indiquée….
Vous voilà devant la porte d’un hôtel particulier très chic. Vous sonnez, un maître d’hôtel vous ouvre en vous saluant, vous lui donnez votre invitation et il vous somme de le suivre…
Vous vous retrouvez dans une pièce douillette et chaude, aux couleurs chatoyantes. Vous attendez là plus d’une heure. N’y tenant plus, vous vous apprêtez à partir, quand, soudain, la porte s’ouvre et une apparition divine se trouve là, devant vous, Madame…, une grande femme, au teint blanc et cheveux d’ébène, dans un corps magnifique gainée d’une robe fourreau d’un rouge vif. Elle vous fait face, en vous toisant de la tête aux pieds, d’un regard glacé. Elle vous adresse enfin la parole et vous dit :
– Ainsi, c’est vous le fameux PDG de la firme XXX…
– Oui, Madame, mais je ne….
Pas le temps de finir votre phrase. Une paire de gifles retentit et vous avez le feu aux joues….
– Je savais que vous viendriez et en plus de votre plein gré. Eh bien puisque tu aimes mettre du piment dans ta vie, nous allons te satisfaire.
– Oui, mais…
Une autre gifle claque, plus sèche encore que la précédente !
– Vous parlerez quand je vous le demanderai, pas avant, me suis-je bien fait comprendre ?
– Oui, Madame.
– Déshabille-toi, plus vite, allez, à poil !
Sans comprendre vous vous exécutez, tant votre excitation est forte…. La honte vous envahit car votre sexe est dressé, dur à en éclater. Madame éclate d’un rire sonore et vous bande les yeux en vous entraînant derrière elle…..
Vous entendez des gens discuter, des rires, des gémissements, Madame ordonne :
– Tu vas nous servir de table à mon amie et à moi-même.
Vous êtes à quatre pattes, bien cambré, on pose un plateau de verre sur vos épaules nues et vos fesses, le contact froid vous fait durcir encore davantage….
Le majordome pose les coupes et sert le champagne sur votre dos.
– Tu n’as pas intérêt à bouger, si les verres tombent, tant pis pour toi !
Quand ces dames on bu leurs coupes, on enlève le plateau et Madame vous attire entre ses cuisses, sa robe s’ouvre et vous sentez de longues jambes gainées de soie, elle ouvre son sexe humide et chaud, elle ordonne :
– Lèche petite salope, fais voir ce que tu sais faire, il paraît que c’est ta spécialité…
Vous agitez votre langue, vous humez l’odeur de sa cyprine, elle se trémousse sous vos coups de langue agiles, vous pousse la tête dans son intimité à vous en étouffer.
Soudain vous sentez un doigt fouiller l’entrée de votre anus, vous voulez vous retourner, mais elle vous tire par les cheveux et vous en empêche…. Une brûlure vous déchire, un sexe énorme vous pénètre sans aucun ménagement, un cri s’étouffe dans votre gorge. Au début le va-et-vient dans votre intimité est douloureux, à la limite du supportable, puis très vite il fait place au plaisir, vous bandez très dur et sans rien y comprendre, vous giclez sur le tapis et sur les pieds de Madame, en un râle retentissant…
Madame reste de marbre – C’est bien, dit-elle, tu es une bonne salope, mais maintenant il faut nettoyer tes saletés, comme une bonne chienne que tu es.
Alors vous léchez votre sperme, sur le tapis, puis délicatement, sur les pieds de Madame…
Elle vous relève d’un coup sec, enlève votre bandeau et là :
Vous êtes face à Louise, oui, votre secrétaire, avec un gode ceinture à la taille, vêtue simplement de ses bas noirs, qui rit à gorge déployée, à en perdre haleine…
Louise
Limite, limite, le consentement serait où ?
Juste retour des choses.
Qui n’a pas envie de se venger d’un supérieur dominant
Combien de fois ai-je rêvé d’une vengeance analogue.
Mais après cela il m’aurait fallu quitter mon poste
J’ai attendu l’occasion, je ne l’ai jamais fait et avec qui l’aurais-je fait, d’abord ?
Alors je me suis contenté de jouir des humiliations qu’il me faisait subir
On est maso ou on ne l’est pas