Odette – 4 – Exhibitions à Marseille par Bernard_le_photographe

J’avais donc trouvé avec cette Odette, une femme avide de découvertes, d’expériences basées surtout sur le plaisir de se montrer, d’exhiber ses charmes, de les offrir et pas seulement aux regards ou à mon objectif.

Et tout cela avec une certaine classe qui contrastait avec son comportement qui lui faisait tout oublier lorsque l’excitation était là et elle était très excitable même par les paroles au téléphone…

Je vais rapporter quelques faits assez courts car parfois on se voyait juste une heure, mais c’était très intense tout de même.

-1 –
Un soir de Novembre par exemple on se retrouve sur un parking de grande surface. Un peu cachés par l’obscurité mais garés parmi d’autres voitures, nous flirtons de plus en plus chaudement puisqu’elle se retrouve le tricot relevé, les seins à l’air, les tétons dressés par le désir (très gros) et moi le sexe raide branlé par sa douce main.

Nous étions dans sa 205 et quand elle fut bien excitée je lui dis que j’avais un petit cadeau pour elle…

– J’adore les cadeaux, qu’est ce que c’est ?

Je lui montre un petit paquet un peu long dont elle enlève vite l’emballage pour découvrir un vibromasseur :

– Oh ! Merci, Bernard, tu ne vas pas me croire, mais je n’en ai pas et pourtant j’adore me masturber, mais tout cela est récent pour moi, tu sais !

Elle le regarde, le met en marche…

– Il faut que tu l’essaye tout de suite pour voir si ça te plait, sinon on le ramène !

Elle rigole, relève bien sa jupe, sa culotte était déjà sur le tableau de bord, et la voilà qui commence à effleurer son clito, ses lèvres avec ce jouet de plaisir. C’était très érotique et excitant par la situation : on entendait des voitures passer, des portières claquer dans une pénombre complice et moi je me masturbais en la voyant faire ; sa respiration devint plus forte, elle murmura que c’était délicieux et qu’elle allait trop vite jouir… Moi, je l’encourageais, puis elle me dit :

– Fais le moi, fais moi jouir, Bernard !

Je pris l’engin, le promenai sur sa fente déjà mouillée puis je l’introduisis…. en une dizaine de va-et-vient, elle se mit à jouir, c’était superbe.

A peine remise, elle se pencha vers moi pour me sucer ; très excité par tout ça, elle me fit vite éjaculer dans un kleenex. Elle me promit de s’en servir souvent en pensant à moi et de l’apporter à chaque rencontre.

– 2 –
En tout début d’année, nous nous sommes retrouvé dans un grand parc à Marseille, il faisait froid, mais très beau et nous décidions de poursuivre notre relation, d’aller plus loin avec ou sans Cédric (voir les chapitres précédents)

Puis on se promène dans le parc où je lui fais des photos sur un banc ou aux milieu des jeux de jardins destinés aux enfants. Il n’y avait presque personne et elle montra sa culotte, ses bas, puis on alla boire un café toujours dans ce par, à l’extérieur au soleil.

Elle voulut aller aux toilettes et je lui dis :

– Je vais te faire des photos, ici discrètement sans culotte, tu l’enlèveras ?
– Oui d’accord !

En revenant, elle me tendit carrément sa culotte ! Pendant ce temps trois hommes étaient arrivé derrière elle à deux tables de distance, et on les voit sur les vues où elle a sorti un sein, puis l’autre presque posés sur la table !

Et après, je pris ses cuisses ouvertes sous la table également. Ensuite on retourna dans le parc pour quelques vues supplémentaires dont une où elle ouvrit son manteau, jupe relevée, montrant ses jambes jusqu’à sa toison, un couple passa non loin et se douta de quelque chose, ais rien de plus.

Puis on alla dans sa voiture pour flirter un peu dans une rue adjacente. Au risque d’être vus, mais on surveillait quand même les lieux, elle se retrouva les seins hors du soutien gorge, tétons dressés par mes caresses, ma bouche et la situation l’excitait toujours.

Elle prenait un vrai plaisir à tenter le diable, de savoir qu’un passant pouvait surgir ou quelqu’un la voir d’un immeuble. Tout était bon pour faire monter le désir et moi j’y prenais un malin plaisir ! Je lui retroussais la jupe, lui écartais les cuisses en grand, tout en lorgnant discrètement alentour, car il peut passer des gosses, des flics, on avait vu ça précédemment…

La sentant très très excitée, je lui fis mettre SA serviette qui était sur le siège arrière, car parfois elle se masturbait seule et se faisait couler, d’où une serviette à proximité. Ça l’excita encore plus, elle fouilla dans son sac, sortit le vibromasseur roulé dans un tissu doux :

– Bernard, branle-moi, j’ai trop envie ! Vas-y ! Vas-y !

Rien que de le passer sur sa fente deux ou trois fois, elle trembla de plaisir, puis vraiment sur son clito, l’effet fut immédiat, ça la fit jouir mais pas « à fond »

Il y eut une alerte pendant laquelle je la cachais car un car passa avec des enfants à l’intérieur, mais après on fut tranquille, juste deux femmes âgées qui passèrent devant la voiture.

Odette prit l’engin tandis que le je lui caressais les seins, elle se l’enfonça à fond, le fit tourner dedans puis plusieurs allers et retour déclanchèrent un gros orgasme, je lui plaçais la serviette bien en dessous le vibro et elle coula dedans ! C’était sublime de voir ça, j’ai toujours été fasciné par cette faculté qu’on seulement un faible pourcentage de femmes !

A peine remise, elle toucha mon pantalon, très vite mon sexe fut dehors, branlé par ses jolies mains et bientôt sa bouche se fit chaude autour de mon gland, elle me lécha, me suça divinement et lorsque je fus prêt, elle le sentait bien sûr, elle se dégagea et un kleenex recueillit ma semence.

Et tout ça dans une rue de Marseille !

– 3 –
Il faisait un peu frais mais on revint presque au même endroit plusieurs moi après, il faisait chaud et nous ne disposions que d’une heure ou deux.

Entre temps nous avions accumulé les expériences avec un copain, avec des gars rencontrés grâce à des revues d’annonces avec d’excellents résultats. Et juste avant l’été, donc on se retrouve dans cette rue avec l’envie pour elle d’être masturbée dans un lieu où elle risquait d’être vue. Dans ma voiture, cette fois, elle côté trottoir, vêtue d’une petite robe à bretelles, je la filmais assise, puis sortant de la voiture.

Son but étant que je la filme, traversant la rue, habillée, puis elle ferait ce qu’elle pourrait en fonction des voitures ou des passants éventuels.

Elle marcha un peu sur le trottoir d’en face, regarda vers une villa, se retournant, puis voyant la rue déserte, je la vis descendre une bretelle, l’autre, dénudant sa poitrine en revenant vers moi ! Quel bonheur de vivre ça, debout devant ma portière, je filmais la main touchant ses seins tandis quelle me disait combien ça l’excitait de faire ça !

– Je parie que tu as déjà mouillé ta culotte ?
– Oh, je crois bien, sans doute, j’ai envie de l’enlever
– Oh, oui, j’espère bien, retourne en face !

Je la filme encore et ce qui était bien, c’est que nous étions devant un garage privé, fermé moins dangereux qu’une villa par exemple.

Elle remet les bretelles en marchant, se retourne, relève sa robe, la redescend aussitôt car une voiture arrivait !

Il y avait une femme au volant qui avait du la voir un peu car elle passa au ralenti puis disparut.

Odette très vite relève sa robe, saisit les côtés de sa culotte et la descend, passe un pied, puis l’autre et revient vers moi, fière et troublée en même temps.

Elle me tend sa culotte, relève sa robe, je lui touche la minette, constate qu’elle est mouillée :

– Fais voir tes fesses !

Elle se tourne, je lui caresse et filme en même temps mais très vite elle se retourne et laisse tomber sa robe car il y a une autre voiture. On fait semblant de discuter, puis de nouveau elle relève sa robe et retourne en face.

J’étais fou ! Elle marchait les fesse à l’air dans cette rue, mais le plus fort arriva : Je la vois se retourner, descendre les bretelles, faire glisser sa robe, passer un pied puis l’autre, et totalement nue, elle traverse encore pour me retrouver ! Que doit-il se passer dans sa tête en faisant ça ? Je la touche encore, puis tranquillement elle passe devant la voiture, vient s’asseoir et me dit qu’elle a envie de jouir maintenant !

J’avais anticipé, je prends la serviette, elle la glisse sous elle, et je lui demande de se masturber ! Je la filme un eu puis je saisis un objet caché derrière, une pompe à vélo en aluminium et je la caresse un peu avec tout en filmant de la main droite ! Elle écarte ses lèvres en grand montrant son clito turgescent sur lequel je passe le bout de la pompe et en quelques secondes, elle se met à jouir !

Mais elle en veut encore, je lui glisse dans la minette tout en jetant un œil aux alentours et je la masturbe de plus en plus fort. Cette fois cela dure un peu, elle adore être masturbé et elle-même se touche le clitoris en bougeant son bassin. Et soudain je la vois se pencher, fouiller dans son sac et sortir d’une petite pochette, son vibromasseur !

Après s’être un peu caressé le clito avec, elle passe sa main sous sa cuisse et je comprends vite son geste :

Elle le présente à son petit trou en haletant :

– Oh, j’ai envie de jouir encore, tu ais !
– Oui, vas-y prend ton plaisir !

L’engin disparaît dans son anus tant elle est ouverte. Ss deux orifices sont masturbés en même temps. Elle me dit combien ça l’a excité d’être à poil dans cette rue, que je l’ai filmée, que je l’ai touchée, que peut-être quelqu’un l’a vue. Elle a les yeux fermés sur son plaisir de plus en plus intense. Je jette toujours un œil par précaution, personne ne nous dérangera et son orgasme sera si fort qu’elle va envoyer une giclée presque jusqu’au tableau de bord ! C’est inouï de voir ça et la serviette fut bien mouillée.

Elle me remercia de cette nouvelle étape (c’est moi plutôt qui la remercie) en se penchant vers mon pantalon et comme précédemment après une délicieuse gâterie, elle me fit jouir encore dans un kleenex

A suivre

Bernard (février 2005)

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2 réponses à Odette – 4 – Exhibitions à Marseille par Bernard_le_photographe

  1. Poitevin dit :

    Ça sent le vécu et c’est bien

  2. dollet dit :

    Attention, conjuguer transgression et plaisir en faisant l’amour dans des lieux publics peut vous réserver quelques surprises, si les forces de l’ordre vous surprennent en plein ébat. Vos galipettes pourraient alors être assimilées à de l’exhibitionnisme, condamné par l’article 222-32 du Code pénal à des peines pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement et 15 000 €uros d’amende. De quoi refroidir quelques ardeurs…

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