Matinée incestueuse par Rémi et Sabrina

Cette histoire m’est arrivée ce matin, j’avoue en être encore tout retourné.
Je m’appelle Rémi et ma sœur avec qui j’ai partagé un instant incestueux
s’appelle Sabrina, j’ai 18 ans et elle 25, pour vous dire l’écart qui nous
sépare… Je suis plutôt grand, un peu de ventre mais rien d’alarmant, je suis
brun coupé court. Ma splendide sœur est plutôt grande aussi, le teint bis,
les cheveux noirs ondulé, un corps majestueux de quoi faire fondre les
glaciers de l’antarctique.

Quand nous étions plus jeunes, nous avions pour habitude de venir dans le
lit de l’autre le matin pour discuter, se taquiner, rigoler etc.…bref pour
passer une matinée tranquillement à deux entre frère et sœur. Quand Sabrina
entra au lycée, elle avait 16 ans et elle dû aller à l’internat car le bahut
était trop loin. Nous ne pouvions donc plus faire nos grasses matinées. Elle
rentrait le samedi mais le dimanche elle se levait tôt pour travailler, bref
du haut de mes 9 ans j’étais un peu mis de côté vis-à-vis de ma sœur, de
plus quand elle rentrait, elle sortait avec ses copines tout l’après midi,
des fois elle dormait chez ses amies etc.…je me demandais si j’avais encore
une sœur. Ce manège infernal dura longtemps, après l’internat elle se trouva
un petit appartement plutôt sympa, et menait une petite vie tranquille.

L’année dernière, elle rencontra un jeune homme charmant…du moins il
paraissait charmant, elle tomba sous son charme et vécut avec, jusqu’ hier
où ce type  » charmant  » eut la galanterie de la quitter pour une autre. Ma
sœur, déboussolée, est donc venue hier dans l’après-midi pour rester un peu
avec les parents, pour qu’ils la réconfortent, et elle est restée dormir. Ce
matin, je me suis réveillé assez tôt pour aller changer le moral de ma sœur
et la taquiner comme nous le faisions autrefois, je suis entré discrètement
dans sa chambre, elle dormait encore, je me suis rapproché de son lit, j’ai
soulevé le drap et ma surprise fut immense car je n’avais jamais pensé au
fait que le corps de ma sœur s’était métamorphosé et qu’elle ne portait plus
des pyjamas mais des nuisettes. J’eu un instant de recul, mais je me mis
quand même près d’elle, après tout moi aussi j’avais changé, et je ne
mettais plus des pyjamas mais des caleçons et mon corps avait pris une forme
plutôt attirante. Ma sœur était couchée sur le coté, je ne devinais que les
formes harmonieuse de ses hanches, son derrière rebondi, sa belle chevelure
qui reposait sur ses épaules. Mes pensées me trahissaient, elle me plaisait,
mon sexe grandissait dans mon caleçon malgré moi, mais je repris mes
esprits,  » je ne peux pas c’est ma sœur !  » me suis-je dis, et pourtant. A
vrai dire, j’étais à l’âge de la découverte du sexe, je ne suis plus vierge,
j’ai déjà goûté au corps de quelques sirènes, mais ma sœur, ce n’était pas
pareil, toucher ma sœur c’était violer les lois familiales, aller vers
l’interdit, et c’est cela qui m’excitait et qui m’a fait mettre ma main sur
sa cuisse. Ca y est, ma main la touchait, que faire ? M’arrêter là ? Oh non,
j’ai déjà été trop loin, et mon envie était trop puissante, je décidais de
commencer par admirer ses seins, ce serait le plus discret. J’essayais
doucement de la mettre sur le dos, j’ai mis le temps qu’il fallait mais j’ai
réussi, et je pu admirer là une poitrine généreuse, malgré sa nuisette je
devinais les traits, les formes de cette poitrine qui me semblait ferme,
délicieuse, je posais ma main dessus, je ne m’étais pas trompé, Dieu que ses
seins sont fermes, ma main se baladait doucement sur ce sein qui commençait
a durcir grâce mes caresses, je passais mes doigts doucement sur ce tissu
qui emprisonnait encore cette merveille, ses tétons se mirent a sortir, je
les caressais lentement, ils étaient durs, je mis mon index sur l’un d’eux
et le fit tourner lentement, puis mon pouce et mon index l’emprisonnèrent et
le firent glisser entre eux. Je bandais comme jamais, mon gland sortait et
était déjà humide d’excitation, je posais cette bosse intime contre les
fesses de ma sœur qui dormait paisiblement. Mon excitation me poussa à faire
descendre ma main vers le gouffre interdit, je soulevais doucement sa
nuisette, à ma grande surprise, sa culotte portait une auréole à l’endroit
où se situe la caverne des plaisirs, avait-elle uriné ? Ou mouillait-elle ?
Je mis ma mains sur cette culotte blanche et humide, je caressais lentement
, je frottais doucement ce tissu, sur le bout de mes doigts.

Je la regardais pour voir si elle ne se réveille pas, soudain ses yeux
s’ouvrirent, elle me regarda et sourit :

– Alors frangin, on dirait que les grasses matinées ont changé de forme !!
– Tu…tu ne dormais pas ?  »

J’étais rouge de honte, j’avais retiré ma main, et je m’étais levé, mon sexe
essayait toujours de trouver une sortie dans mon caleçon et c’était très
voyant.

– Tu sais, je t’ai entendu depuis le début, j’ai senti et j’ai apprécié
surtout tes mains caresser ma poitrine… hummmm c’est dommage que tu sois
mon frère et que tu sois jeune.
– Pour…pourquoi ?
– On aurait pu se faire un câlin plutôt…érotique si tu vois ce que je vois
dire…
– Mais on peut, oublie que je suis ton frère et il n’y a plus de problème !
– C’est vrai que t’es bien fait, ton sexe m’a l’air délicieux, mais…tu es
trop jeune, tu dois être encore vierge et j’aime les mecs qui savent y faire
avec les femmes.
– Tu sais…on ne s’est plus trop vu pendant une dizaine d’années et beaucoup
de choses se sont passées, comme ma première fois…et il n’y en a pas eu
qu’une…
– Ah bon ? Viens me le prouver alors.

Je suis monté dessus, mes mains posées de chaque côté de son visage, on
s’est regardé, elle me souriait, je sortis ma langue et lui lécha la bouche
avec la pointe, elle poussa un gémissement, leva la tête et m’embrassa à
pleine bouche, ça y est, pour la première fois de ma vie j’embrassais ma
sœur, ce baiser était délicieux, nos bouches se soudèrent, nos langues se
caressaient, nos salives fusionnaient dans ce baiser incestueux, je goûtais
à cette bouche délicieuse, mes mains caressaient son visage, ses joues
tandis que ma langue léchait sa bouche, lui suçait les lèvres, elle léchait
ma langue, l’aspirait au fond de sa bouche, elle me retira mon maillot, et
se mit a caresser mon dos, longer ma colonne vertébrale pendant que ma
bouche se perdait dans son cou que je couvrais de baisers. J’étais contre
elle, elle me serrait fort, elle me susurra un  » je t’aime  » qui me fit
frissonner, je lui répondis en l’embrassant chaudement. Mes mains
commencèrent a retrouver un lieu fraîchement découvert, ses seins
m’appartenaient, je les caressaient à travers le tissu, je soulevais cette
barrière, je retirais sa nuisette et la jetais au sol, une poitrine
merveilleuse s’offrit à moi, je l’admirais, je sentais le souffle de mon
ange s’accélérer. Je caressais ses seins, je les pris dans mes mains et je
les pressaient doucement, je les massais délicatement, ma tendre sœur gémit,
les yeux fermés, elle leva son dos pour m’offrir encore plus ses seins
merveilleux, je triturais ses beaux tétons qui étaient sortis et qui
demandaient ma bouche, je les pinçais doucement, puis je me penchais, et me
mit à embrasser cette peau si douce et si ferme. Je remplis ses seins de
baisers mouillés, je ne tardai pas à sortir ma langue pour mieux goûter sa
peau sucrée, je léchais ses doux tétons, je les pris dans ma bouche, je les
aspirait tout en salivant, je lâchais mon prisonnier et remarqua qu’un filet
de bave s’attardais entre ma langue et son téton, je léchais bien sa
poitrine généreuse. Je me régalais, ses seins étaient brillants de salive,
je descendais doucement, j’embrassais son ventre, je le léchais, je bavais
doucement dans son nombril, sa peau était douce, c’était un délice, je
descendis encore plus bas, je sentais l’odeur de l’interdit monter dans mes
narines, j’étais entre ses cuisses, elle les écartait au maximum pour
m’offrir son antre encore prisonnière, j’embrassais ses cuisses, je les
couvrais de baisers tout en montant lentement, je laissais monter en elle
l’excitation, je remontais, j’embrassais sa culotte, je goûtais déjà le
fruit de son excitation. Je retirais doucement sa culotte, son antre laissa
couler une liqueur qui m’attira, j’allais sur ce sexe brûlant de désir,
j’embrassais ses lèvres intimes, son bouton d’amour, son antre, puis je me
mis à sucer délicatement ses lèvres, je les léchais tout en les suçant
goulûment, je salivais dessus, je me régalais, je donnais de grands coups de
langue sur son sexe, je la léchais lentement en appuyant bien ma langue
dessus, je récoltais son jus dans ma bouche, mon menton fut souillé de son
liquide délicieux, je suçais son trou, je l’aspirais pour sentir son effluve
parcourir ma gorge. Je léchais son bouton d’amour, je donnais des coups de
langue précis sur ce lambeau de chair humide, je le suçais, l’aspirais
tendrement, je le titillais , son trou n’en finissait plus de couler, je
rentrais ma langue dedans, je l’enfonçais du mieux que je pouvais, j’étais
en elle, je commençais un joli va et vient dans son antre. Ma tendre sœur
ondula sous mes caresses buccales, son bassin dansait sous mes caresses, ses
mains tenaient ma tête, me caressaient les cheveux, pendant que ma langue
continuait de s’aventurer dans ce gouffre dégoulinant de mouille délicieuse.

Je me relevais un peu, ma jolie sœur me regardais en souriant, je lui souris
aussi, je lui rentrais discrètement deux doigts profondément en elle, sa
tête partit soudainement en arrière et elle poussa un gémissement puissant
qui me fit bander de plus belle. Je fouillais doucement cet endroit nouveau,
mes doigt se couvraient de mouille, je grattais son intérieur, je fis des va
et vient très lents et très profonds, elle gémit à chaque fois que mes
doigts rentraient en et elle poussait un doux cri, elle sentais mes doigts
qui se baladaient, je les faisaient tourner, je les agitait bien hummmmmmmm
c’était un régal de la voir prendre du plaisir, j’accélérais mon va et vient
toujours en prenant soin de les enfoncer bien au plus profond de son corps,
je sentais que ma sœur n’en pouvait plus, elle me cria :

– Prends moi, vas y, je t’en pris, baise ta sœur chérie, fais moi jouir fort
!

Je revins sur elle, je l’embrassais tendrement, on se regarda un instant,
nos yeux pleuraient d’excitation et d’amour, je l’embrassais pour lui faire
goûter sa propre liqueur, elle se régalait et me dit que c’était bon. Je
retirais mon caleçon, je pris mon sexe dans ma main, je lui caressai bien le
minou avec mon beau gland humide de plaisir, je pressais mon bout contre son
bourgeon bien gros, je rentrais doucement mon gland dans son trou, mon cœur
battait à 100 à l’heure, j’allais faire l’amour à ma sœur, je rentrais
doucement mon sexe raide, il glissa tout seul, mon excitation l’a tellement
fait mouiller que rien ne résistait a son antre. Ca y est, j’étais enfin en
elle, je restais un instant, sans bouger, je me serrais contre elle, sa
bouche m’embrassa dans le cou, me caressa le dos, et doucement je commençais
un lent va et vient en elle, je bougeais lentement, je sentais sa chatte se
serrer contre ma bite raide en elle, je me relevais et commençais a donner
des coups de reins plus puissants, hannnn hannnnn hannnn oui elle me sentait
bien, elle sentait ces doux coups de mon bassin, elle gémit, sa bouche
ouverte témoignait de son plaisir. Je baisais ma sœur, je n’aurais jamais
imaginé ça auparavant, c’était tellement mon de sentir mon sexe glisser en
elle, j’accélérais , j’allais de plus en plus vite, le lit se mit à cogner
contre le mur, mon souffle s’accéléra, je lui tins les cuisses fermement et
je lui enfonçais mon sexe au plus profond, elle gémit a chaque passage,
j’aime l’entendre gémir, mon excitation était forte, je la sentais trembler,
se relever un peu et crier un  » oui  » immense, je sentais qu’elle avait
joui, son plaisir coulait sur mon sexe, elle retomba, anéantie, sur le lit,
les yeux fermés, essoufflée, je sortis mon sexe, elle me demanda de jouir
dans sa bouche. J’approchais mon sexe je me branlais près de sa bouche elle
l’ouvra bien grande et je jouis intensément entre ses lèvres délicieuses,
elle prit mon sexe dans sa bouche et avala à grandes gorgées ma semence,
elle me nettoya le sexe en le léchant bien comme il le faut, elle ressortit
ma tige et me regarda en souriant. Je m’allongeais à côté d’elle, j’étais
épuisé, elle se serra contre moi, sa tête contre mon torse, mes bras
l’entouraient.

L’amour se fait à deux et on a décidé que la narration aussi… Voici donc la
suite de cette sensuelle aventure avec mon frère.

Nous étions donc dans les bras l’un de l’autre… heureux, épanouis et encore
sous le choc de tant d’émotions et de sensations si intenses. Jamais je
n’aurais imaginé cela entre nous. Je caressais son visage et je lui
souriais. J’avais l’impression de découvrir mon frère… moi qui pensais le
connaître ! Quand je le regardais , c’est un homme que je voyais à présent
et non plus le petit garçon de mon souvenir. Tout devint trouble dans ma
tête, l’orgasme était tellement puissant qu’il m’a épuisée, vidée de toute
mon énergie.

J’aurais dû avoir honte, me sentir mal, culpabiliser… mais c’était tout le
contraire ! J’avais l’impression de flotter, le temps s’était arrêté et
puis, sans m’en rendre compte, je m’endormis dans ses bras. Mes rêves furent
alors peuplés d’images de notre enfance, de nos rires, de nos jeux ; tout
cela était-il bien réel ? Puis mon sommeil devint plus lourd et plus
profond… je sombrais complètement. Soudain, une odeur me chatouilla le nez,
je m’éveillais peu à peu et sentis une bouche douce et sensuelle couvrir de
baisers mon épaule nue. J’ouvrais doucement les yeux, Rémi me souriait et
m’invita à reprendre des forces. A coté de nous, sur le lit, il y avait un
plateau sur lequel je distinguais du café et des croissants. Je rougis : ce
n’était donc pas un rêve ! Il vint tout contre moi en ronronnant de bien
être. Je ne pensais même plus une seule minute à mon petit ami qui m’a
quittée. Je savourais l’instant présent. Le petit déjeuner terminé, je
décidais de faire un massage à mon  » petit frère  » pour le remercier. Il
adorait ça quand il était petit, souvent, le soir quand les parents
travaillaient tard et qu’il me fallait le mettre au lit, je lui massais
gentiment le dos en lui racontant une histoire, ça l’endormait. Il était
donc assis, juste vêtu de son caleçon et je lui massais tendrement les
épaules. Entre temps, je ne pus m’empêcher de déposer un baiser ou deux dans
son cou, puis sur sa nuque… il frissonna de plaisir. J’aime le goût de sa
peau et tout en continuant à le masser, ma langue longea sa colonne
vertébrale, il en eut la chair de poule. A cet instant, Rémi se tourna vers
moi et m’enlaça, il me contempla d’un air grave. Troublé, la voix pleine
d’émotion il dit :

– Tu me rends fou. Je te désire tellement… Fais moi l’amour !

Je pris donc sa tête entre mes mains, je l’embrassais
doucement… du bout des lèvres… puis à pleine bouche. Je caressais ses
cheveux tout en effleurant sa langue avec la mienne, je léchais ses lèvres,
je les mordillais et ses yeux se fermèrent. Nos salives se mêlèrent,
j’adorais ça. Je savais pertinemment qu’on ne devait pas faire ça mais je
m’en fichais. Plus rien n’existait. Nous étions seuls au monde. Je sentais
mon excitation couler entre mes cuisses, je me mis sur lui et l’embrassais
avec plus de fougue encore. Je couvrais son visage de baisers mouillés,
j’enfouis ma tête dans son cou, je le respirais. Son odeur me stimulait, il
me rendait dingue. Je descendis et ma langue parcourait son torse,
j’embrassais ses tétons, je les léchais, je les aspirais tandis que ma
salive coulait dessus. Il gémit et soupira… j’aime l’entendre, il me supplia
de continuer en murmurant qu’il m’aime, je fus alors parcourue d’un
incroyable frisson. Ma bouche se déplaça plus bas sur son corps, je léchais
son ventre et me retrouvais face à son sexe bien raide. Il sentit mon
souffle chaud dessus, je m’approchais encore et mes lèvres se posèrent sur
son gland. J’y déposais juste un baiser, puis ma langue le caressa et
s’enroula autour hummmmm il était bien humide. Je le léchais bien en
salivant dessus, je le tétais, je l’aspirais fort… ça le faisait gémir. Je
le prenais en entier dans ma bouche en levant les yeux pour le fixer et ne
pus empêcher ma salive de rouler jusqu’à la base de son sexe. Pendant ce
temps, mes doigts lui pincèrent les tétons, il sembla apprécier car ses
gémissements se furent plus audibles
alors j’accentuais son plaisir en lui caressant les bourses du bout des
doigts. Moi aussi je gémis, je gémis de bonheur…du plaisir de lui faire du
bien de le rendre fou d’excitation. Il sentait à présent les vibrations de
mes gémissements, ce qui décupla encore ses sensations. Je le sentais
palpiter dans ma bouche, mes lèvres formèrent un cercle autour de son sexe
sur la base duquel ma main fit des va et vient. J’adorais titiller son gland
mouillé, le lécher, l’aspirer très fort puis tout reprendre dans ma bouche
en pressant bien ses fesses pour l’enfoncer en moi. Jamais je n’aurai
imaginé vivre une telle expérience, mon corps était en ébullition…

Ce que je ressentais était tellement fort que ça dépasse l’entendement et je
sais maintenant que j’y ai goûté que je ne pourrais jamais plus m’en passer.
L’excitation montait d’un cran encore alors que j’avais toujours son sexe en
bouche, mon entrejambe réclamait d’être comblée et je voulais qu’il jouisse
en moi, je voulais lui donner le plaisir suprême.

– Assieds toi mon ange, je te désire tellement, je ne peux plus attendre !
– Fais de moi ce que tu veux, je t’appartiens !

Il était assis là sur le lit, au comble de l’excitation, le souffle court,
il semblait se demander ce qui l’attendait. Je vins m’asseoir sur lui à
califourchon, je lui fit face et m’empala d’une lenteur insupportable sur
son sexe. Une fois bien empalée je le regardais, il semblait totalement
surpris et encore plus troublé. Mon intimité se contracta autour de lui, je
bougeais doucement sans le quitter des yeux, la proximité me bouleversait,
je le pris dans mes bras et mes seins s’écrasèrent contre son torse. Mes
mains caressèrent son dos, son visage, ses cheveux. Le plaisir montait
hummmmm hannnn hannnnnn le rythme s’accéléra, je murmurais combien je
l’aime…il me faisait perdre la tête. Je bougeais bien sur lui tout en
l’embrassant, je gémissais, il me remplissait bien, je dévorais sa bouche,
j’adorais ça, je me mis à lui parler jusqu’à la jouissance :

– Je t’aime, j’aime te sentir en moi, lime moi bien j’adore ça je veux
sentir ta jouissance exploser dans mon ventre, je suis totalement sous ton
emprise, je suis à toi hummmmmmmmmm hannnnnnnnnnnnnn ouiiiiii je te sens
venir ouiiiiiiiiiiiii

On explosa tous les deux d’un orgasme tellement puissant que je m’accrochais
à son dos tout en lui mordant l’épaule. Nous avons joui en même temps et
c’était tellement intense qu’il me fallut du temps pour revenir à la
réalité. Nous nous sommes alors effondrés sur le lit, toujours emboîtés l’un
dans l’autre, nos corps fusionnaient Il me caressa alors le dos en me disant
combien il m’aimait et se mit à ronronner. Je voulais que le temps s’arrête,
que l’on passe le reste de cette journée au lit enlacés, coupés du monde…
juste lui et moi

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7 réponses à Matinée incestueuse par Rémi et Sabrina

  1. De la Rocherais dit :

    Continuez à vous aimez et ne vous souciez pas du quand dira-t-on

  2. moloses236 dit :

    la même chose se passe pour moi et ma soeur nous avons aujourd’hui moi 64 ans ma soeur 58 ans à ce jour nous continuons

  3. Beninou dit :

    Quand nous étions ados, ma sœur me suçait, 20 ans plus tard le fait encore quand nous arrivons à nous rencontrer discernment. Jamais nous en avons eu honte et c’est très bien comme ça

    • moloses236 dit :

      La même chose se passe pour moi et ma soeur nous avons aujourd’hui moi 64 ans ma soeur 58 ans à ce jour nous continuons

  4. regnaud dit :

    z’ont bien le droit, font de mal à personne

  5. fawzi. dit :

    quel chance que vous avez ma belle.jadore etre a sa place avec toi .tus ais exactement baiser ;jadorre.biz.jaime bien te baiser.

  6. Dunlop dit :

    Un sujet sulfureux mais le traitement est tout juste gnangan

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