Mari sodomisé Partie 1 – Mon mari aime mes doigts par Sylviane

Mari sodomisé Partie 1 – Mon mari aime mes doigts par Sylviane

Il y a pas mal d’année, j’étais jeune alors. Mon mari me fit une surprise de taille. A cette époque il n’était pas question encore de jouer à plusieurs. On faisait l’amour avec passion et nous nous suffisions à nous même. Mais parfois les désirs secrets se font jour. Je sais par expérience maintenant que bon nombre d’hommes ont exactement la même envie, le même fantasme. Allez, avouez messieurs que vous imaginer avec une femme s’occupant de votre petit cul fait partie de vos envies assumées ou secrètes.

Un week-end donc mon mari me fit comprendre qu’il avait envie de certaines choses. Nous étions que le canapé du salon à faire l’amour. Agenouillée entre ses cuisses, après un baiser je descendais le long de son torse en le couvrant de baisers. Son sexe était tendu, je posais un baiser sur le bout le faisant frissonner. Je continuais ma course le long de sa tige cette fois la léchant du bout de la langue. Puis je léchais ses couilles doucement avec application. J’aime particulièrement la fellation, j’y prends plaisir je ne le fais pas pour faire plaisir. Sucer une belle queue me fait mouiller pour de bon. Ma bouche glissait sur la peau douce de ses boules. Je m’enhardis descendant sous le paquet, léchant la fine ligne qui semble partager cette bourse si douce. Et mue par une sorte d’instinct et d’envie, je descendais entre les fesses de Christian. Me sentant arrivée à l’endroit crucial, il attrapa ses fesses avec ses mains, les écartant pour me laisser libre accès à son petit trou. Jamais il n’avait agi ainsi, mais jamais je n’avais tenté cette caresse.

Je regardais sans doute avec envie son anus tout plissé. Je léchais le dessous de ses couilles, puis ma langue toucha la petite pastille brune. Je ne savais pas à quoi m’attendre c’était la première fois que je léchais un anus. Je n’avais aucune appréhension, ni sur le goût ou l’odeur, c’est pourtant cette idée qui hante les gens la plupart du temps. Je posais ma langue sur la rosette offerte. Je fus surprise par la contraction, décontraction qui l’anima.

– Oh c’est bon ! murmura Christian.
– Tu aimes çà ? Demandais-je
– Oui ma chérie, ça ne te gêne pas ?

Pour toute réponse je me mis à lécher avec voracité son anus qu’il m’offrait. Tenant sa queue et ses couilles dans mes mains je lui léchais la pastille. Aux vibrations que je sentais dans son sexe Christian adorait ce que je faisais. Il se tortillait sur les draps, goûtant ma caresse buccale. Jamais je ne l’avais vu aussi comment dire… lascif, féminin presque. Je trouvais cela très beau, voir mon homme se comporter ainsi m’excitait au plus haut point.

– Chérie… s’il te plaît… tu veux bien me mettre ton doigt… dit doucement, timidement mon mari.

Pendant quelques secondes je restais sans comprendre, du moins ayant compris mais ne sachant que dire.

– Tu veux que je … t’encule ?
– Oh oui ! dit Christian dans un soupir.

Mon mari avait des idées particulières… surprise mais pas gênée, je m’apprêtais à le satisfaire. Pour avoir subi ces jeux, avec délice pour ma part, le savais combien il faut de douceur pour ne pas faire de mal, pour que cela se fasse sans douleur. C’était nos débuts, depuis il faut bien avouer que les précautions de ce genre sont devenues superflues. Mais à cette époque, elles étaient nécessaires.

Je mouillais mon doigt en le suçant, déposant de la salive sur mon index. Puis je léchais son anus, le couvrant également de salive.


Doucement avec plein de douceur, je posais le bout de mon doigt sur sa pastille, elle palpitait doucement, s’offrant à la pénétration. De mon autre main je branlais lentement son sexe, qui était de plus en plus dur. Presque millimètre après millimètre, le bout de mon index entrait dans le cul de mon homme. La sensation était pour moi étrange mais agréable, la chaleur, la sensation de capture de mon doigt c’était nouveau mais agréable en diable.

La première phalange avait disparu, je me demandais s’il fallait arrêter ou continuer. Au vu des réactions de Christian je pensais bien qu’il en voudrait plus.

– Plus loin chéri ? Je ne te fais pas mal ? Dis-je
– Continue mon amour, oh oui c’est bon.

Je m’enhardissais, et poussait plus avant mon doigt. Me basant sur ma propre expérience je reproduisais ce que moi j’appréciais. Je faisais tourner mon doigt dans l’anus, le fouillant, vrillant mon doigt de plus en plus loin. Sous ma main qui tenait sa queue, je sentais les palpitations de plus en plus intense que provoquait l’introduction digitale. Mon doigt entrait maintenant facilement dans son rectum. Je fouillais, tournait, Christian gémissait. A un moment j’avais presque totalement enfilé mon doigt. Je frottais l’intérieur bouillant de son cul, quand Christian s’exclama.

– Oh oui là chérie !! oh c’est bon

Et il se cambra comme une femme sous l’assaut de son mâle. Je bougeais mon doigt à nouveau. Nouvelle exclamation de plaisir. Comme je tenais sa queue de mon autre main, soudain je sentis sur mes doigts quelque chose de tiède, visqueux. Je regardais son sexe, une fine rigole transparente partait de son méat, coulait le long de la face postérieure de son sexe puis sur mes doigts. Oh je savais que ce n’était que la liqueur qui se met à couler quand l’excitation est forte, mais jamais je ne l’avais vu apparaître aussi tôt.

Je cherchais du bout du doigt cet endroit qui semblait si sensible. Je finis pas trouver une légère protubérance. J’appuyais puis la frottait légèrement. Christian se cambra et gémit à nouveau. J’avais bien trouvé un point agréable. Je massais plus fort. Sa queue était tendue gonflée, son gland était rougi, le méat semblait béant et rempli de cette liqueur. Plus je massais plus il coulait. Agrippé aux draps mon chéri se laissait doigter comme une femme. J’adorais le voir dans cet état. Mes doigts en anneau à la base de sa verge le maintenaient fermement. Mon doigt lui fouillait l’anus, stimulant sa prostate. Si jamais on ne vous a fait çà messieurs réclamez-le à vos partenaires. J’adore que les hommes me décrivent la sensation qu’ils ressentent, cela à l’air tellement bon que je me prends à regretter de ne pas être un homme.

Toujours curieuse, je me demandais si un autre doigt tiendrais dans cet anus qui n’était plus vierge, à moins que mon mari ne m’ait caché certains penchants. Sans rien dire je fis glisser mon majeur le long de mon index. L’anus était palpitant il se décontractait. Alors que mon tendre amour gémissait et se tordais de plaisir sur la couche, un deuxième doigt rejoignis le précurseur. Maintenant je massais avec deux doigts. L’effet fut saisissant. Christian ondulait des hanches comme moi je peux le faire quand il me prend. Il gémit, supplie que je continue. Je suis très excitée moi aussi et je sens l’humidité entre mes cuisses. Comme je suis presque tête-bêche avec Christian, il me suffit de lever un genou pour ouvrir le compas de mes cuisses. Je sens distinctement mes lèvres trempées qui se disjoignent pour laisser mon sexe à sa disposition. Il ne se fait pas prier, ses doigts vont et viennent rapidement dans ma fente, ses doigts prennent mon clitoris le malaxe, le pince. Des ondes langoureuses me traversent.

De mon côté je continue à explorer son anus. Je commence à maîtriser la caresse, rapidement son sexe semble ruisseler, de longs fils transparents épais pendent de son gland. Je lape, je lèche sa liqueur que je fais sourdre avec facilité.

A l’époque je n’étais pas très bavarde dans les jeux amoureux mais ma langue commençait à se délier.

– Tu aimes çà que je… t’encule mon chéri ? Tu coules, regarde comme c’est beau.

Oh oui que c’était beau cette queue à l’érection parfaite, ce gland décalotté, cette tige dont les veines étaient de plus en plus apparentes. Pensez de moi ce que vous voulez, mais j’adore la vision du sexe masculin en érection. C’est beau, c’est magique si en plus il est trempé comme l’était Christian ce jour-là je suis aux anges. J’aime avoir le contrôle du plaisir de mon homme, il jouit quand je l’ai décidé, je peux lui interdire de se laisser aller pour que la secousse soit encore plus forte. Je ne me maîtrisais pas à l’époque.

Plus passaient les minutes, plus la queue de mon homme suintait, coulait. La liqueur petit à petit n’était plus transparente, mais translucide. Maintenant elle était un peu laiteuse, d’instinct je me rendis compte que l’orgasme approchait. Je ne branlais pas Christian je me contentais de maintenir sa queue. Il était de plus en plus fébrile. Maintenant je le prenais vraiment avec mes deux doigts, entrant et sortant de son anus qui s’était mis à devenir très humide. A chaque plongée, mes doigts recourbés vers le ventre massaient la prostate qui il me semblait avait gonflé. Ma main était luisante de sa liqueur qui s’écoulait maintenant presque en continu. Moi aussi je mouillais sous les doigts de Christian, j’entendais le clapotis de ses doigts dans ma chatte, je la sentais se contracter. Prendre mon mari comme çà m’excitait vraiment beaucoup.

– Oh chérie… oh chérie ! se mit à crier Christian.

Il donnait des coups de reins comme pour baiser la main qui lui tenait le sexe. Je le laissais faire, sa queue laissait couler une longue rigole de sperme. Puis suivit une énorme giclée qu’il expulsa d’un coup de rein en poussant un cri de bûcheron, giclée qui retomba sur ma joue et mes lèvres, puis une seconde qui finit dans ma bouche car j’avais cédé à la tentation d’approcher mes lèvres. Une troisième tout aussi puissante m’aveugla, j’avais du sperme plein les yeux. Je me mis à branler mon chéri pour lui tirer les dernières gouttes avec force et un peu violemment tellement j’étais excitée.

Christian restait sur le dos les bras en croix, totalement vidé. Je vins sur lui prendre sa bouche, j’avais envie d’un baiser. Le sentant encore dur, je m’empalais sur sa queue et en trois coups de reins j’atteignais l’orgasme lui inondant la queue de mouille et de crème de con.

A suivre… pour la première véritable sodomie…

Sylviane

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5 réponses à Mari sodomisé Partie 1 – Mon mari aime mes doigts par Sylviane

  1. Minotor dit :

    Excellent 🙂

  2. JOËL BEYAERT dit :

    j’ai connu ça sur le tard, 62 ans, quel pied, j’ai les fesses toutes douce et imberbe, ma compagne avec qui je venais de renouer après une longue, séparation, c’est la vie, m’as dit, j’ai envie de te mettre un doigt, c’était un fantasme et très excité, je l’ai laissé faire, très vite, j’ai eu le droit a 4 doigts, ca s’est arrêté la, dommage, on a essayé le gode bien sur, j’avais une jouissance complètement différente, continue tout le long de la pénétration, malheureusement, ma femme est devenu dépressive et elle ne me touche plus, j’ai 73 ans et parfois, j’ai envie d’aller voir un trans pour essayer une vrai bite,

    • JOËL BEYAERT dit :

      c’est moi joêl en fait j’en ai parlé a ma femme, elle ne veut toujours mais comme elle est très ouverte je lui ai dit que j’allais prendre le gode tout seul, elle m’s dit vas y, surpris d’y arriver si facilement, il fait 18 cm et j’avale tout, quelle pied j’attends quelle me surprenne en pleine action je sais quelle a envie de prendre le relais, je n’attends que ça.

  3. Benkader dit :

    La prochaine c est moi je t encule madame et je sodomise ton mari toute la nuit j ai une grosse queue dur 22cm et6m de largeur

  4. chandernagor dit :

    Joli texte et joli fantasme ! On sent bien que la petite dame sur la photo prend beaucoup de plaisir à sucer le trou du cul de son partenaire

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