Ma petite vie gay 3 – Les joies du footing par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
3 – Les joies du footing
par Emmanuel_2


Au fait vous ai-je raconté que j’ai failli me faire « violer » l’automne dernier dans un bois ?

J’étais descendu dans un hôtel dans le sud et comme j’étais courbaturé par la route je suis allé courir un peu dans le bois derrière en fin d’après midi. Comme ça semblait un parcours sportif je me suis pas inquiété.

Il faisait hyper chaud et je suis donc sorti en short (assez mini c’est vrai et avec des cotés fendus assez hauts) et torse nu sans me souvenir que j’avais seulement un string en dessous. Je coure un peu, puis un peu de mouvements et torsions puis je recoure de nouveau.

Un mec se pointe derrière moi qui fait aussi son footing.

Il me dépasse à l’aise puis ralentit pour revenir à ma hauteur et il me lance :

 » Hum ! Joli petit cul !  » Et en rigolant il continue rapidement.

Estomaqué je me demande ce qui lui fait dire ca pour finalement m’apercevoir que mon short est peu descendu et que la cordelette et le minuscule triangle de mon string ne font que valoriser le début de ma raie des fesses.

Je remonte le tout et repart. 1/4 heure après j’arrive à un truc du parcours sportif. Une échelle horizontale à 2 mètres et quelques barreaux pour se suspendre. Comme je veux me délasser/détendre, je me suspends par les genoux, puis la tête en bas en me relâchant complètement.

10 secondes plus tard je sursaute en sentant dans mon dos des mains se placer sur mes flancs et passant sous ma ceinture remonter mon short jusqu’à mes genoux. Puis la voix du mec de tout à l’heure qui me dit :

 » Ne bouges pas, je ne te ferais pas de mal !  »

Et immédiatement il agrippe les cordelettes du string et le remonte avec le short .je ne peux rien faire sinon me casser la figure si je bouge.

Et je le sens qui m’écarte les fesses avec une main, qu’il embrasse fiévreusement ma raie des fesses et mon petit trou en essayant d’y introduire la langue. De l’autre main il saisit et plaque une de mes mains sur son sexe dressé et hyper dur et s’en sert pour se masturber

Ne pouvant rien faire je décide d’abréger le temps en le masturbant de toute la vitesse et force les caresses tant que je peux. Tout ca la tête en bas et sans le voir.

Finalement je me relâche un peu et je sens sa langue dure comme un sexe entrer en moi et me sucer vigoureusement.

Finalement avec quelques cris il jouit dans ma main et sur mon dos et cou. Je sens ses jets chauds de sperme couler le long de ma nuque et mes cheveux. Quelques secondes plus tard il passe devant moi, fout son sexe dégoulinant de jus sur ma bouche et je le suce rapidement. Puis il masturbe 3-4 secondes mon sexe qui s’est raidit, et en rigolant se tire en remontant son bas de survêtement.

En fait mon corps a aimé cette rapidité et petite violence et j’ai du mal à calmer mon petit trou qui en redemande et mon sexe laissé en plan. Je descends tant bien que mal sur mes pieds, string et shorts en tire bouchon sur les chevilles. Ca a duré peut-être une minute en tout et pour tout et mon corps tremble de bonheur et de peur.

Je remonte fissa mon string et mon short, les ajuste comme je peux et retire de la main ce que je peux de sperme qui dégouline dans mon dos puis rentre doucement à l’hôtel espérant ne rencontrer personne en chemin.

Malgré moi je me retourne fréquemment ayant peur qu’il ne me saute dessus pour me baiser vraiment .Je sens ma raie des fesses mouillée de salive et de mon jus et mon anus encore gonflé qui frotte agréablement sur la cordelette à chaque pas.

Puis un long bain très chaud dans lequel je tremble malgré mes mains et doigts qui me caressent partout pour me calmer , puis séance de câlinage en boule avec des serviettes douces pour m’emmitoufler de bonheur , de la crème pour éliminer toute sensation et un bon diner avec encore des boules dans le ventre et des images fugaces.

Puis le retour dans ma chambre et des images qui me reviennent en boucle, mon entre-fesses qui me fait un peu mal d’avoir été forcée et mon sexe qui en redemande de n’avoir pas été comblé. Finalement une nuit pelotonné contre un polochon, rêvant de caresses, introductions et longues jouissance de partout.

Apres coup j’avais encore peur tout en regrettant qu’il n’ait pas pris son temps pour me câliner plus longtemps dans les herbes …..

note du webmaster : On est vraiment à la limite du forçage et du rapport de force… mais à la limite seulement sinon, je ne l’aurais pas publié

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