Lina par jeromemp001


Un nouveau Sms : « Je t’attends ce soir »

C’est la deuxième fois que je reçois cette convocation depuis que j’ai révélé à ma meilleure amie que je suis un soumis. La première a été pour faire une mise au point dès qu’elle en a eu connaissance. Savoir comment notre relation pouvait perdurer. Les choses étaient claires : elle ne sera pas ma Maitresse, ni comme dominatrice ni comme amante, elle restera mon amie, ma confidente, un guide. Elle m’avait juste imposé une nouvelle hiérarchie (je resterai humble et soumis avec elle) et m’avait attribué une nouvelle place, à genoux devant elle lors de nos rencontres. J’étais heureux de ma nouvelle place.

Je sonne et elle m’ouvre avec toujours ce grand sourire qui me dit qu’elle est contente de me voir, je l’embrasse, elle me fait signe d’entrer dans le salon.

Surprise ! Elle n’est pas seule ce soir, son amie de longue date Lina, est présente assise dans un fauteuil. Je la connais depuis longtemps aussi.

Mon cœur bat à cent à l’heure, je ne comprends plus très bien ce que je dois faire. Le ton du Sms sonnait comme un ordre donc comme une convocation du soumis que je suis.

Je salue Lina et l’embrasse, puis je me retourne vers Sylvie l’œil interrogateur pour savoir comment je dois me comporter, où dois-je m’assoir ?

Sans quitter son sourire, Sylvie me dit d’un ton sec : « à ta place ! »

Mâté, je m’exécute et viens me mettre à genoux devant le canapé où Sylvie vient prendre place. Je n’ose relever la tête mais je sens le regard de Lina se poser sur moi. C’était bien une convocation pour continuer mon parcours et révéler ma soumission à de nouvelles personnes. Humble, j’attends avec résignation et excitation la suite des événements.

– Tu vois Lina, comme je te l’avais dit, Jérôme est un parfait soumis, il a trouvé sa place et je sais qu’il est tout excité de cette nouvelle situation.
– Je n’en reviens pas ! Et il fait tout ce que tu lui dis ?
– Oui regarde,

Et se tournant vers moi en dirigeant son pied vers mon visage :

– Jérôme, embrasse mes chaussures !

Je prends son pied en main et embrasse le bout de ses escarpins.

– Retire la chaussure et occupe-toi de mes pieds !

Délicatement je retire l’escarpin, le pose au sol, et reprends en main son pied pour l’embrasser et le lécher avec attention. Elle me tend l’autre pied et je fais de même. Après avoir embrassé la chaussure, je la déchausse et embrasse son pied nu.

– C’est trop bien, tu crois qu’il peut faire ça pour moi aussi ?
– Naturellement

Elles parlent entre elles comme si je n’étais qu’un objet

– Ordonne-lui de me faire la même chose.
– Tu sais, je ne suis pas sa Maitresse, il se met naturellement au service de celle qui lui demande. Ordonne le lui directement et je suis sûre qu’il aura un grand plaisir à t’obéir. N’est-ce pas Jérôme ?

J’acquiesce de la tête.

Sylvie retire son pied de mes mains et Lina m’ordonne :

– Viens en face de moi et prosterne-toi.

A genoux je me dirige vers elle et baisse mon visage au niveau de ses chaussures, que j’embrasse.

– Extra, ça marche ! Retire mes chaussures et masse moi les pieds, ils sont tout fatigués des transports en commun pour venir ici.

Je retire les chaussures, embrasse les pieds et commence un massage en douceur de chacun des pieds avec des bisous et quelques coups de langue en supplément.

Sylvie et Lina discutent ensemble sans plus faire attention à moi.

– Après m’avoir fait sa révélation, il m’a demandé de l’aider à continuer sur ce chemin. Une proche comme toi c’est l’idéal pour lui, il doit avoir les neurones en ébullition, (comme elle me connait bien), il aimerait que tout le monde le sache mais il faut y aller progressivement : tout le monde n’est pas aussi compréhensif que toi.
– Si j’avais su depuis tout ce temps ! C’est vrai qu’il était toujours serviable, je mettais ça sur le fait qu’il devait être un peu amoureux de toi. Finalement on a perdu du temps. Et qu’est-ce qu’il fait d’autre ?
– On a mis au point une sorte de mode d’emploi. Tu vas voir.

Elle se lève et va chercher dans sa commode une feuille remplie recto verso, qu’elle remet a Lina. Elle jette un premier regard sur la feuille.

– Incroyable ! Attends c’est une véritable profession de foi. Et il fait tout ça ?
– Oui. Tu vois en haut ? Sa motivation c’est être un soumis sexuel et il est là pour donner du plaisir.
– J’ai du mal à croire que tu ne l’as pas utilisé, il y a des trucs trop bien là-dedans.
– Non je ne veux pas de relation avec lui, j’ai peur que ça casse notre amitié.

Lina commence à lire le tableau des pratiques. Pour l’avoir établi avec Sylvie, je connais l’ordre dans lequel apparaissent les pratiques et je suis avec attention les mimiques ou remarques qu’elle fait à sa lecture.

– Ça j’ai jamais fait mais c’est un truc qui me tente – Bof – Moi aussi j’aime bien qu’on me le fasse – ça existe ? – J’adore ça pendant des heures – Ah non jamais ! – ça doit être trop excitant.

Elle repose la feuille, me regarde droit dans les yeux, mais avec un regard doux et tendre.

– Tu avais tout ça au fond de toi et personne n’en savait rien ? Si j’avais su, il y a longtemps que je t’aurais consommé.

Et en se tournant vers Sylvie.

– Dis, tu me le prêtes, tu me le prêtes ! On se le partage tout de suite ! Je suis toute mouillée à l’idée de ce que je vais pouvoir faire.
– Je te l’ai déjà dit, il ne m’appartient pas et je n’ai pas de relation sexuelle avec lui. En plus, ça me dérange de te voir baiser, on est copines. Je vais vous laisser tous les deux, tu fais ce que tu veux. Je reviendrai dans deux heures, je te préviendrai avant de revenir. Profites-en.

Et se tournant vers moi et en me caressant la tête :

– Sois bien obéissant, que je sois fière de toi.

La porte claque, je suis seul agenouillé face à Lina, toujours en train de m’occuper de ses pieds.

– Premièrement, tu vas immédiatement te mettre nu et tu te mets dans la même position.

Je me déshabille et pose mes vêtements sur le côté.

– Ah mais c’est super ça ! Tu es tout épilé, j’aime ça. Regarde : moi aussi.

Joignant le geste à la parole, elle relève sa robe en tirant sur l’élastique de sa culotte pour me montrer son pubis lisse.

– C’est tellement plus doux. Allez, à genoux et lèche bien mes pieds. Je veux sentir ta langue partout pendant que je réétudie ton mode d’emploi… Alors l’uro tu vois, j’ai jamais fait mais c’est un truc qui me tente, je suis sûre que je vais prendre mon pied à pisser. Va me chercher de l’eau dans la cuisine, une grande bouteille.

Je reviens avec une bouteille d’eau et un grand verre, que je pose sur le guéridon.

– Tourne toi que je vois ce cul qui aime prendre des gros calibres. Ah oui ! Bien épilé aussi, c’est sympa. Effectivement tu as l’air d’être ouvert, mais je te le laisse. Ce que je veux aujourd’hui c’est avoir moi, du plaisir, c’est ce que tu promets dans ton mode d’emploi.

– Reviens vers moi et lèche mes jambes… Voyons ça… Le travail des seins, ça ne m’étonne pas, y a rien de plus excitant pour décupler le plaisir… Remonte plus haut, doucement, comme ça c’est bien

Elle écarte ses jambes pour que je puisse remonter le long de ses cuisses.

– L’intérieur des cuisses, lèche, c’est bon ici.

Lina était vêtue d’une robe légère et je me retrouvais la tête entre ses cuisses sous la corolle, lorsque d’un seul coup elle serre les jambes, emprisonnant mon visage. Elle se penche en avant tout en me relâchant, je me retrouve à moitié à la renverse. Elle prend la bouteille et d’une longue rasade en boit la moitié.

– Tu vois ce qui vient de disparaitre ? C’est pour toi ! Quand ça va réapparaitre, tu feras honneur à mon jus.

Elle se remet dans le fauteuil, les fesses presqu’au bord de l’assise, les jambes grandes écartées.

– Au boulot Jérôme, viens sentir ma culotte, je suis toute trempée.

Elle prend ma tête à deux mains et colle mon nez sur son sexe. Quelle odeur, un vrai délice ! Je fais pointer le bout de ma langue pour l’exciter encore plus, puis je colle ma bouche pour aspirer ses sucs à travers le fin tissu.

Avec ses deux mains elle dirige ma tête de haut en bas, je l’entends commencer à gémir.

– Retire-moi ma culotte.

Elle lève ses deux jambes à la verticale et attend que je fasse glisser son petit string jusqu’au bout des pieds pour la libérer. Elle relâche alors de part et d’autre ses jambes. Les cuisses appuyées sur l’accoudoir, totalement béante elle me présente son sexe légèrement ouvert où perlent quelques gouttes d’excitation.

Je replonge au contact de ce sexe qui m’appelle, afin de le butiner. Je la lèche, la bois, aspire son bouton, fait tourner ma langue au plus profond.

Elle prend à nouveau ma tête à deux mains et appuie pour me faire descendre plus bas, elle relève ses jambes pour que son anus soit plus accessible à la caresse. Je la sens se détendre et s’ouvrir.

– J’aime aussi par-là, que c’est excitant de te sentir pénétrer mon cul avec ta langue, je suis une chienne en chaleur et tu m’excites.

Je redouble d’allant, son cul s’ouvre de plus en plus, sa mouille coule de son sexe et je me redresse pour le laper. Elle gémit et dirige de plus en plus ma tête aux endroits qu’elle désire.

Une contraction de tout son corps, un cri, ses mains qui appuient plus fort mon visage sur son sexe : elle est en train de jouir.

– Continue, viens me prendre tout de suite !

Je me redresse, elle prend mon sexe en main pour le diriger vers elle, toujours à moitié allongée sur le fauteuil.

– Surtout tu ne jouis pas, interdiction sans mon autorisation, je veux que tu sois un bon godemiché vivant et que ça dure très longtemps. Je suis une chienne et toi tu es un bon chien, allez va-y, laboure moi !

Je commence à la pilonner en alternant les rythmes rapides avec des mouvements plus lents, j’ai l’impression qu’elle est un puits sans fond tellement je m’enfonce en elle, elle est complètement lubrifiée et sa mouille coule de son sexe.

Je m’arrête pour éviter de jouir, elle me lance un regard inquisiteur de peur que je sois parti, je m’agenouille et lèche son jus qui coule abondamment, ça me laisse du répit et me permet de reprendre mon souffle, elle en profite pour boire à même le goulot.

Et la cavalcade recommence, elle m’agrippe par les fesses pour me donner son rythme, à ses cris je sens qu’elle n’est pas loin de jouir, mais moi aussi, je lui demande à nouveau un moment de repos. Elle acquiesce et je replonge ma bouche sur son sexe pour la boire. Sa mouille a coulé jusqu’à son cul et je le lape pour ne rien laisser.

Elle me dit « reviens je veux jouir », elle s’agrippe à nouveau à mes fesses pour me donner son tempo. Quelques minutes plus tard elle crie comme une furie sa jouissance. Elle me stoppe en elle et je sens l’intérieur de son vagin se contracter sur mon sexe. Il me faut penser à autre chose pour ne pas jouir.

Elle me repousse

– Viens me préparer la rondelle : je te veux dans mon cul. Vas-y, bave bien pour que ça glisse.

Son cul est déjà tout ouvert et ma langue glisse toute seule en entier à l’intérieur, j’y laisse un maximum de salive.

Elle me tire le visage, pousse un peu plus ses fesses au bord du fauteuil et me dirige droit dans son cul.

– Vas-y, défonce moi, j’adore être enculée par un bon petit chien comme toi. N’aie pas peur d’être un peu violent, ça n’en sera que meilleur.

Pas besoin de me le dire deux fois, je l’encule d’une seule traite jusqu’à la garde sans ménagement, elle crie sa surprise, je reste au fond quelques secondes puis je la mitraille en ressortant ma queue à chaque fois. Son cul est tellement dilaté qu’il ne se referme plus entre deux coups de boutoir. A nouveau je suis obligé de ralentir le rythme afin de me contrôler.

Ça n’a pas l’air de lui plaire, elle s’accroche à mes seins et tire comme une malade pour me faire rentrer au plus profond d’elle, elle jouit à nouveau en hurlant.

Il était moins deux pour moi, mais j’ai réussi à me contrôler.

En ressortant de son cul, il a des petits spasmes de contraction mais il reste ouvert. Je me précipite pour le lécher et nettoyer toute cette mouille qui s’étale de son ventre à ses cuisses.

– Vas-y, nettoie bien, ne laisse rien. Pour une première avec toi c’est bien réussi : tu m’a bien baisée. Une fois que je suis partie, je suis une vrai salope, j’aime me faire prendre comme une chienne, j’ai l’impression que je pourrais être sans limite. Et là j’ai envie de pisser, je sens que ça va être encore un truc de fou. Allez repose-toi quelques instants, ça va être ton petit quart d’heure friandise pour te remercier.

– Alors comment on fait ça, le petit pipi ? Tu sais, pour moi ça va être la première fois, je te laisse me guider. Fais comme tu préfères.

Je lui demande si elle se sent capable de contrôler sa miction par petit jets.

– Je n’en sais trop rien
– Il sera préférable alors d’aller dans la salle de bains sinon on risque d’en mettre un peu partout. Je peux boire la totalité mais il faut me laisser le temps de déglutir sinon ça déborde.

Je m’assois au fond de la baignoire, elle vient coller son sexe à ma bouche.

Quelques secondes après je sens les premières gouttes salées arriver sur mon palais, puis un jet intense, j’avale le maximum que je peux mais elle ne s’arrête pas immédiatement et elle a inondé mon visage.

– Ok je vois ce que tu voulais dire, putain c’est sacrement vicelard ce truc-là, alors tu as bu tout ce que je t’ai donné à l’instant et tu aimes ça ?

J’acquiesce de la tête.

– Je vais mieux me contrôler, j’ai senti où me contracter. Vas-y, ouvre la bouche à nouveau, tu vas avoir une nouvelle dose, ne perds pas une goutte.

Elle recolle son sexe à ma bouche et lâche un jet qui la remplit et stoppe le temps de me laisser avaler.

– Tu vois, j’ai vite appris, c’est trop top de voir un mec boire sa pisse, je suis la reine du monde dans cette salle de bains. On continue jusqu’au bout et je sens que tu vas en avoir beaucoup.

Par petites saccades elle me fait boire toute sa vessie, avec le litre et demi d’eau qu’elle a bu, son urine est très douce au goût, je me régale, plus rien n’a échappé. Elle me fait nettoyer à coups de langue son sexe puis elle se retourne pour que je lui nettoie aussi son cul. Elle rabaisse sa robe qu’elle a gardée depuis le début.

– Fais un brin de toilette et rejoins-moi dans le salon.

Je me rince à la douche, me sèche et reviens m’installer à genoux devant le fauteuil où elle était à nouveau assise.

– Tu as fait exactement ce que je voulais, ni trop, ni trop peu, vraiment tu es un bon soumis qui sait rester à sa place et j’ai apprécié que tu n’aies pas joui. Maintenant je te donne l’autorisation, je veux que tu jouisses dans ma main. Je te donne une minute, après il sera trop tard.

Immédiatement je me prends en main et m’astique, elle m’encourage par des mots crus

– Allez donne ton bon jus pour ta chienne, tu as vu comme je suis une chienne quand on me baise bien ? Et encore je peux être encore plus vicieuse, allez branle toi et crache ta semence dans ma main.

J’éclate en une magnifique explosion de plaisir, le sperme l’inonde et remplit la totalité de la main de Lina.

Je m’attends à ce qu’elle me fasse lécher sa main. Elle me regarde à nouveau droit dans les yeux mais là ce n’est plus un regard doux et tendre mais un regard fixe avec un peu de folie. Elle amène sa main à sa bouche et avale tout mon sperme, lèche pour ne rien laisser, elle le fait rouler dans sa bouche, l’ouvre en grand pour me montrer qu’elle s’en régale puis ferme la bouche, déglutit et me la remontre grande ouverte, vide.

Elle me prend par la tête et me roule une gamelle de folie.

– Je t’ai dit que je suis chienne quand on me baise bien, tu as eu ta friandise dans la salle de bain, c’était à mon tour d’avoir la mienne. J’espère pouvoir t’utiliser à nouveau mon beau chien vicelard.

– Allez ! On appelle Sylvie pour lui dire de revenir, j’ai plein de trucs à lui raconter. Vas te rhabiller.

Fin de l’épisode

 

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4 réponses à Lina par jeromemp001

  1. Hélèna Sevigsky dit :

    Un texte bien humide comme je les adore

  2. Maud Anne Amaro dit :

    Fétichisme du pied, domination soft et ludique, uro ! Tout pour me plaire !!!

  3. Claire dit :

    J’ai beaucoup aimé les personages et les actes de ce récit

  4. Muller dit :

    de la soumission « différente ». pas mal du tout !

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